anti-national - Page 570
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Etat de droit : quand la Macronie perquisitionne les deux principaux partis d’opposition
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AVORTEMENT : NON, TUER N'EST PAS UN "DROIT" !
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Clandestins à Ouistreham : une situation bientôt apocalyptique ?
Ouistreham dans le Calvados, charmante cité balnéaire de Normandie, subit depuis 2016 une véritable invasion migratoire. La ligne de ferry qui relie Ouistreham à Portsmouth est régulièrement la cible des clandestins bien décidés à passer au Royaume Uni. Face à cette situation dramatique, les habitants se sont regroupés dans un mouvement de résistance avec l’association pour le Retour au Pays des Expatriés (ARPE).
Vous avez fondé à Ouistreham l’ARPE, Association pour le Retour au Pays des Expatriés. Pourquoi avoir choisi ce nom ?
ARPE : Nous avons choisi ce nom, parce qu’on nous reproche souvent d’être « contre les migrants », alors que ce que nous demandons, c’est au final une solution très simple et de bon sens : le rapatriement des expatriés.
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La paupérisation... par l'impôt
L’humoriste Alphonse Allais disait : « Il faut prendre l’argent là où il se trouve : chez les pauvres. D’accord, ils n’en ont pas beaucoup, mais ils sont si nombreux ! »
Cette maxime est aujourd'hui largement appliquée par les gouvernements successifs qui se sont juste permis d'y adjoindre la classe moyenne. Celle-ci ayant eu tendance à s'accroître et engraisser avec les Trente Glorieuses, elle est en effet devenue la cible privilégiée de la nouvelle fiscalité. D'où le phénomène actuel constaté d'une paupérisation par l'impôt de cette classe moyenne, fragilisée de s'être trop enrichie pour échapper à l'impôt mais pas suffisamment riche pour justement pouvoir y échapper par la niche fiscale ou l'expatriation. Rappelons que si seulement 43 % des 38 millions de foyers fiscaux paient l'impôt sur le revenu, c'est aussi parce que sur les 22 millions qui en sont exemptés, sans doute un tiers l'est grâce aux divers mécanismes d'optimisation fiscale dont beaucoup sont réservés aux revenus les plus importants. Tout le monde n'a pas les moyens de se créer du déficit...
Quoi qu'il en soit, cette spoliation fiscale de la classe moyenne prend sous Macron de nouvelles formes. D'abord, l'attaque contre l'immobilier. Ensuite, les efforts demandés aux retraités et futurs retraités. Enfin, le prélèvement à la source qui livre les petits contribuables pieds et poings liés à l'Etat.
Concernant l'immobilier, Emmanuel Macron affirme vouloir favoriser l'investissement et sanctionner fiscalement la rente, improductive selon lui. Il amalgame donc rente et immobilier, d'une part, investissement et capital financier, d'autre part. Autrement dit, la relance macronienne passe par un allégement de la fiscalité financière compensé par un alourdissement de la fiscalité immobilière. Or, l'immobilier constitue souvent l'essentiel du patrimoine des Français moyens alors que les capitaux restent entre les mains d'un petit groupe au caractère oligarchique et au profil plus international. D'où le matraquage fiscal de la classe moyenne auquel on assiste aujourd'hui, coincée en France avec son immobilier, pendant que l'élite financière est préservée, au motif qu'elle est censée investir et que, surtout, elle peut à tout moment s'exiler si la pression fiscale s'accentue.
La tranche la plus fragile de la classe moyenne-supérieure
Dans les faits, on voit donc la fiscalité des plus hauts revenus financiers descendre de 60 % à 30 % avec le prélèvement forfaitaire unique, pendant que la fiscalité immobilière augmente, notamment avec le passage des prélèvements sociaux de 15,5 à 17,2 % qui touche avant tout les ménages les plus modestes. Ainsi, un couple de retraités non imposable et qui arrondit ses fins de mois avec la location d'un petit studio loué 300 € voit son imposition passer de 46,5 € à 51,6 €, ce qui peut paraître faible mais représente plus de 10 % d'augmentation...
Avec l’IFI, Macron s'attaque cette fois-ci à ce que l'on peut appeler le ventre mou des patrimoines aisés ou, plus exactement, la tranche la plus fragile de la classe « moyenne-supérieure », celle dont le patrimoine repose avant tout sur un immobilier peu rentable et surtout peu mobile. Les hautes fortunes sont pour leur part ravies de ne plus acquitter d'ISF sur leurs biens financiers et peu leur chaut de payer encore un solde d’IFI sur leur résidence principale, secondaire, voire tertiaire qui, mises bout à bout représentent une part infime de leur patrimoine.
La classe « moyenne-supérieure » voit donc son patrimoine s'étioler sous les coups de boutoir de l'IFI et des taxes foncières et finira sans doute par vendre des immeubles parfois de famille qui partiront alors dans l'escarcelle d'on ne sait qui ou d'on ne sait quoi, situé on ne sait où.
Finies les remises gracieuses
Quant aux retraités, tous, dès environ 22 000 € de revenus annuels pour un couple, subissent depuis le 1er janvier la fameuse hausse de CSG de 6,6 à 8,3 %. Or, il est évident que cette augmentation est plus durement ressentie par les petits dont le superflu est faible.
Et si les petits salariés ont pu compenser la hausse de la CSG par une baisse des cotisations sociales, celle-ci est bien partie pour n'être que temporaire comme l'annonce l'augmentation des cotisations AGIRC-ARRCO au 1er janvier prochain, à l'occasion de la fusion des deux caisses. Les retraités de demain, à la différence des retraités actuels, continuent donc d'avoir des cotisations qui augmentent pour des prestations à venir qui ne cessent de baisser... Ce souci n'est pas celui des dirigeants qui bénéficient en général de retraites maison ou constituées lors de leur parcours à l'étranger et qui garantissent en principe le remplacement de tout ou partie de leur rémunération actuelle.
Enfin, le prélèvement à la source n'arrangera pas l'affaire de ces petits contribuables pour qui l'impôt représente la charge de trop. Car comment déposer une remise gracieuse lorsque l'impôt a déjà été prélevé ? Les 200 000 démarches initiées annuellement en matière d'impôt sur le revenu risquent de s'estomper dans les années à venir, au grand soulagement de Bercy.
Manuel Calambra monde&vie 27 septembre 2018
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Matteo Salvini a ordonné le transfert des migrants installés illégalement dans le village de Riace
Matteo Salvini poursuit son coup de force contre Riace, cette petite commune de Calabre dont il qualifie d’illégale la politique d’accueil des migrants.
Le ministre italien de l’Intérieur a ordonné samedi le transfert des quelques 200 migrants du village vers des centres d’hébergement plus grands dès la semaine prochaine.
Le maire de Riace, Domenico Lucano, sympathisant communiste, a été arrêté et assigné à résidence au début du mois. Il est accusé d’aide à l’immigration clandestine. Mais ce dernier tient tête et affirme que les migrants resteront dans son village :
Ils ne partiront pas parce qu’ils n’ont pas d’endroit où aller avec leurs enfants. Il y a beaucoup de familles dans ce cas-là. Dernièrement, quelqu’un est parti parce qu’il y avait beaucoup d’incertitude, mais la majorité d’entre eux n’ont pas d’endroit où aller.
Le bras de fer ne fait que commencer entre Salvini et le maire pro-migrants.
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Génération Identitaire occupe les locaux de SOS Méditerranée !
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Immigration : et si on arrêtait de mentir ?
Rattrapés par la réalité, et voyant comment les gouvernements des pays voisins basculent les uns après les autres à cause de l’immigration, nos médias seraient-ils prêts à arrêter de désinformer ?
https://www.lesalonbeige.fr/immigration-et-si-on-arretait-de-mentir/
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Lorient : même le maire socialiste s’inquiète de l’insécurité provoquée par les clandestins
Le sujet de l’immigration est un tel tabou en France, que le constat du maire de Lorient mérite d’être relevé. Car, si le lien entre invasion migratoire et insécurité galopante paraît une évidence, rares sont les élus qui osent transgresser volontairement la chape de plomb idéologique qui pèse sur la liberté de parole dans notre pays.
Lire la suiteLien permanent Catégories : actualité, anti-national, immigration, insécurité, islamisme 0 commentaire -
L’immigration, cause de la chute d’Angela Merkel
En septembre 2013 : “La presse européenne salue le triomphe d’Angela Merkel“, réélue pour un troisième mandat.
Durant l’année 2015, Angela Merkel fait entrer 1 million d’immigrés en Allemagne (principalement des hommes). En décembre 2015, des milliers de femmes sont agressées sexuellement par des immigrés. “En Allemagne, outre Cologne, onze villes sont touchées : Hambourg, Stuttgart, Bielefeld et Düsseldorf principalement. 12 des 16 Länder ont été impacté.”
En octobre 2018 : “échec électoral en Bavière pour Merkel“. L’Union chrétienne-sociale, parti frère de la CDU de Mme Merkel, qui domine cette région depuis les années 1950, arrive certes toujours en tête avec 35,5%, mais ce score a tout d’une débâcle politique puisque la CSU perd 12 points par rapport à 2013, sa majorité absolue, et va être obligée de chercher une alliance inconfortable. Autre mauvaise nouvelle pour AngelaMerkel, l’autre membre de sa coalition gouvernementale, les sociaux-démocrates du SPD, subissent une gifle avec 9-10% des voix. Les gagnants du scrutin sont les Verts, 2e avec 18-19%, et l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le parti anti-immigration qui prend 11% des voix, au coude-à-coude avec les Freie Wähler, des conservateurs indépendants (11,5%). Les Libéraux du FDP (5%) ferment la marche.
Et ce n’est pas terminé : la CDU devra faire face à un scrutin tout aussi ardu le 28 octobre en Hesse, Land que les conservateurs dirigent en coalition avec les écologistes. Ces deux scrutins “affecteront la politique nationale et en conséquence la réputation de la chancelière”, a prévenu vendredi le président de la chambre des députés et vétéran respecté de la CDU, Wolfgang Schäuble. Angela Merkel doit affronter en décembre un vote de militants pour être reconduite à la tête de son parti.
https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-cause-de-la-chute-dangela-merkel/
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Témoignage : camarade Olivier Dubuis et sa compagne, violentés par 2 maghrébins - Conversano