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anti-national - Page 725

  • Zoom : Christian Harbulot - Le Nationalisme Économique Américain (contre l'Europe!)

  • UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

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    Michael Stürzenberger avait publié une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme.

    Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

    Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

    Le vendredi 18 août 2017, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

    Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

    Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

    Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

    Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

    Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

    Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation !

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    La chronique de Philippe Randa

    Ils sont (re)venus/Ils sont tous là /Avec des demandes d’asiles plein les bras…

    Où ? Porte de la Chapelle, à Paris, en ce mois d’août, bien sûr ! 2 500 migrants s’étaient réinstallés pour le plus grand déplaisir des riverains jusqu’à leur évacuation, par 350 policiers à la veille du week-end : « 2 376 hommes, 60 femmes, et 23 mineurs », a précisé Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).

    Cent fois sur l’occupation, remettez votre évacuation ! dirait un Nicolas Boileau contemporain.

    Un peu de toutes les nationalités, comme d’habitude : de l’Afghans, du Soudanais, du Somalien et de l’Érythréen « dont la plupart, clandestins, ne sont même pas éligibles au droit d’asile », tempête Philippe Goujon, qui en a hérité de 450 dans le XVe arrondissement, pour la plus grande joie de ses administrés, on n’en doute pas.

    « C’est la troisième fois qu’un gymnase du 15e est choisi, sans que j’en sois informé, pour être transformé en campement de migrants », ajoute-t-il, taclant au passage le nouveau locataire de l’Élysée : « Je regrette que le nouveau président de la République suive la même politique d’absence de maîtrise de l’immigration que son prédécesseur… »

    Regrette-t-il désormais d’avoir repris, dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle, le communiqué de presse des Républicains mentionnant que « l’abstention ne peut être un choix » et qu’il fallait faire barrage à Marine Le Pen ?

    Sans doute pas, un élu Les Républicains, ça ne regrette jamais rien… C’est même à ça qu’on les reconnaît !

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Retour à Barcelone : Ce qu'en pense Mathieu Bock-Côté

    Par  Mathieu Bock-Côté

    Cette tribune [24.08] est de celles que Mathieu Bock-Côté donne sur son blogue du Journal de Montréal. Il revient ici avec de justes réflexions et des inquiétudes, bien-sûr, fondées, sur la tragédie de Barcelone et du terrorisme en général, dont nous avons nous-mêmes traité par deux fois. [Voir liens en fin d'article].   LFAR  

     On a peu parlé, ou du moins, trop peu parlé des attentats de Barcelone.

    Quinze personnes sont mortes, plus d’une centaine sont blessées. Pourtant, une fois la nouvelle connue, nous sommes vite passés à autre chose.

    Peut-être est-ce parce que nous sommes désormais habitués à la violence islamiste ? Autour de dix morts, on ne veut y voir qu’un fait divers. À cinquante morts, on est prêt à s’y intéresser quelques jours. 

    Nous sommes blasés. Nous ne parvenons même plus à nous révolter. Certains s’en réjouissent : ce serait une manière de vaincre le terrorisme que de faire comme s’il n’existait pas.

    C’est la stratégie de l’autruche.

    Terrorisme

    Et pourtant, cet attentat marque une étape supplémentaire dans la guerre de l’islamisme contre l’Occident.

    Il nous rappelle d’abord une chose : tous les peuples sont visés. Même les Catalans le sont. Personne ne peut se croire à l’abri.

    Et les islamistes misent aussi sur le meurtre de masse. Ils sont dans une logique d’éradication. Hommes, femmes, enfants, tous peuvent crever, s’ils sont d’Occident.

    Quand une voiture fonce dans une masse humaine, elle ne fait pas de discrimination : elle écrase sans nuance.

    Mais il y avait quelque chose de plus dans cet attentat. Les terroristes avaient aussi prévu de s’en prendre à la Sagrada Familia, la cathédrale mythique de Barcelone.

    On aura beau tout faire pour relativiser les événements, il faut en convenir : dans la tête des islamistes, c’est une guerre de religion qui se mène. Il s’agit de conquérir l’Europe, de la soumettre, d’y imposer l’islam et d’éradiquer les traces du christianisme.

    Dans leur esprit, il s’agit de nous imposer leur Dieu, de nous y soumettre. Pour eux, le terrorisme n’est qu’un moyen. D’ailleurs, bien des islamistes le condamnent, mais espèrent néanmoins établir une domination globale. C’est une question de stratégie.

    Pourquoi détruire une cathédrale ? Pour humilier l’Europe, et pour faire comprendre aux Européens qu’ils ne sont plus chez eux. Pour faire comprendre qu’une civilisation doit disparaître et qu’une autre doit s’édifier sur les ruines d’un vieux monde épuisé.

    On nous dira que les islamistes ont peu de chances de réussir leur coup. Ce qui est certain, c’est qu’ils peuvent faire d’immenses dommages à notre civilisation et semer la terreur partout où ils passent.

    Je crains qu’un jour, ils ne parviennent à dynamiter la Sagrada Familia, Notre-Dame de Paris ou la cathédrale de Strasbourg. Un jour, ils détruiront un symbole sacré de notre civilisation.

    Occident

    Comment réagirons-nous ?

    La question, dès lors, semble simple, même si elle ne l’est pas.

    Au nom de quoi pouvons-nous nous battre ? Au nom des seuls droits de l’individu ? C’est terriblement insuffisant.

    Au nom de notre prospérité ? Cela manque d’âme.

    Au nom d’une religion ? Ce n’est plus possible. La foi est chose intime. Nous ne sommes plus au temps des croisades.

    Au nom d’une civilisation, de son histoire, de son héritage, des peuples qui l’habitent ? Oui. Mais encore faut-il la comprendre. Encore faut-il vraiment réapprendre à l’aimer.  

    Mathieu Bock-Côté

    XVM1ee2f1d6-5507-11e7-a55a-1181ae6a8cf3-100x155.jpgMathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).

    Lire aussi dans Lafautearousseau ...

    De Barcelone à Rotterdam ...

    Barcelone : « No tinc por »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Comment les néo-conservateurs essaient de stopper Donald Trump

    BREIZATAO – ETREBROADEL (12/08/2017) Une puissance coalition intérieure semble déterminée à empêcher Donald Trump de mettre en application sa profonde transformation de l’Amérique sous le slogan nationaliste « L’Amérique d’abord ». Tant et si bien qu’elle a entrepris de saboter sa politique domestique et étrangère, comme le montrent les réactions des élites US sur les dossiers nord-coréen et venezuélien.

    Alliance entre islamistes et néo-conservateurs

    Depuis le 11 septembre 2001, une sorte de synthèse politique avait été réalisée aux USA, mêlant démocrates et républicains, qui se proposait de faire des USA la base d’un système global. Durant l’ère Bush 2 (1999-2007), des universitaires, journalistes, militaires, politiciens et financiers – souvent qualifiés de « néo-conservateurs » – ont façonné une première phase géopolitique dont les guerres d’Afghanistan et d’Irak furent les événements marquants.

    Contrairement à une idée reçue, les éléments anti-musulmans de l’administration Bush ont toujours été minoritaires, largement dominés par des figures partisanes d’une alliance stratégique avec les islamistes contre les nationalistes arabes, héritiers du baasisme. Tout au contraire, le discours pro-musulman a très tôt été développé par la présidence Bush. Rappelons que ce dernier visitait le Centre Islamique de Washington le 17 septembre 2001 où il déclara que « l’islam est paix » et assura que « les femmes couvrant leurs têtes dans ce pays doivent pouvoir se sentir à l’aise lorsqu’elles quittent leur maison » (source).

    En 2008, c’est le Secrétaire de la Sécurité Intérieure (Homeland Security) de George W. Bush, Michael Chertoff, qui donna l’ordre au gouvernement fédéral de ne pas utiliser les termes « islamiste » ou « islamique » pour décrire al-Qaeda. Sous l’autorité de Chertoff, le musulman George Selim était chargé de s’appuyer sur les organisations islamiques pour développer un discours pro-musulman au sein du gouvernement américain en tant que conseiller du Bureau pour les Droits et Libertés Civiques.

    Après l’élection de Barack Hussein Obama, de père musulman et musulman lui-même, George Selim a continué à officier au sein du gouvernement pour « contrer l’extrémisme » musulman. Un seul problème dans cette fonction : il était en liaison permanente avec le Conseil pour les Relations Américano-Islamiques (CAIR), la vitrine de l’organisation fondamentaliste des Frères Musulmans liée au groupe djihadiste palestinien Hamas (source). Il ne s’agissait pas, en réalité, de « contrer l’extrémisme », mais de structurer l’alliance politique entre les islamistes et le gouvernement américain dominé par les néo-conservateurs.

    Lire la suite sur retour d'Avalon

  • LAXISME DE LA JUSTICE ALLEMANDE FACE AUX VIOLS COMMIS PAR LES MIGRANTS

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    La justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs qui se voient frappés de peines très légères.

    Alors que les agressions sexuelles perpétrées par les migrants sur les Allemandes se poursuivent, la justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs, qui se voient frappés de peines très légères.

    Un individu de nationalité gambienne, entré illégalement en Allemagne en 2014 et vivant, depuis lors, en tant que réfugié à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, avait été condamné en première instance à huit mois d’emprisonnement pour avoir tenté, durant une demi-heure, de violer une Allemande de 17 ans, l’acte ayant été évité au dernier moment suite à l’intervention de colocataires de la victime alertés par les cris de celle-ci. Le Gambien est allé en appel et la justice a réduit fortement la peine : il est seulement frappé, ce 23 août 2017, de cinquante heures de prestations sociales (et contraint à trois entretiens au sein de l’association de conseils pour le planning familial, la pédagogie sexuelle et les conseils sexuels Pro Familia), son avocat, payé aux frais du contribuable, ayant plaidé le fait que son client présente de bonnes possibilités d’intégration. L’agresseur a décidé, devant le tribunal, de ne pas s’excuser auprès de sa victime.

    Un Irakien de 23 ans ayant violé, le 6 août 2017, une Munichoise de 22 ans a, par contre, ce même jour, accepté devant un tribunal de lui présenter des excuses. La victime avait dansé toute la nuit lors d’une soirée organisée au bord du lac de Starnberg, dans les environs de Munich. Elle s’était ensuite rendue à la station de train local où l’Irakien, ayant lui aussi pris part à cette soirée, l’avait abordée en lui faisant croire qu’il connaissait un chemin plus court, l’avait entraînée vers une prairie, l’avait jetée à terre, lui avait tenu la bouche fermée et l’avait violée.

    Le 23 août 2017, à 2 h du matin, au sein de l’ancien jardin botanique à Munich, des passants ont été alertés par des cris. Ils ont vu une étudiante allemande de 17 ans en train d’être violée par un Afghan de 18 ans. La police, prévenue, a été contrainte de tirer un coup de feu en l’air afin de pouvoir capturer l’individu alors en fuite.

    Ce 20 août 2017, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une Allemande a été violée dans les toilettes de la discothèque Maquina par un Africain demandeur d’asile.

    Les hôpitaux ne sont pas épargnés. Mojtaba H., un Afghan demandeur d’asile de 30 ans, est jugé à Hambourg pour avoir pénétré par une fenêtre au sein d’une clinique durant la nuit afin de commettre une agression sexuelle, le viol étant évité suite à l’intervention d’une infirmière, malgré le fait que l’agresseur ait eu le culot de lui prétendre être le petit ami de la victime.

    Pendant ce temps, le journaliste anti-islamisation Michael Stürzenberger a été condamné, ce 18 août 2017, à Munich, à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social pour avoir publié sur Facebook une photo historique montrant les collusions ayant existé entre un pan de l’islam et le national-socialisme, la juge estimant, entre autres, qu’il a ainsi stigmatisé les musulmans.

    La justice allemande est devenue une institution de république bananière où les peines les plus légères frappent les migrants coupables des pires délits pendant que certains patriotes se voient condamnés pour délit d’opinion.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Quand Bruno Roger-Petit, nouveau porte-parole de l’Elysée, rêvait de tuer des militants de la Manif pour tous !

    Décidément, Emmanuel Macron sait s’entourer ! Il vient maintenant de désigner le journaliste Bruno Roger-Petit, comme nouveau porte-parole de l’Elysée.

    Dans la foulée de l’annonce de sa nomination, l’ancien journaliste Bruno Roger-Petit a rapidement supprimé son compte Twitter trop compromettant. Mais c’était sans compter sur l’archivage !

    Il y a par exemple ce tweet de Bruno Roger-Petit, rêvant de tuer des militants de la Manif pour tous ! C’était le 24 mars 2013, lors de la grande manifestation parisienne de la Manif pour Tous  :

    http://www.medias-presse.info/quand-bruno-roger-petit-nouveau-porte-parole-de-lelysee-revait-de-tuer-des-militants-de-la-manif-pour-tous/79400/

  • Clarification : Juppé et Darmanin partiront si LR vire à droite

    Alain Juppé a rappelé ce week end les deux "lignes rouges" à ne pas dépasser pour le voir encore participer activement au mouvement : le FN et la loi Taubira

    "La première de ces lignes rouges, c'est l'incompatibilité de ce à quoi nous croyons avec les idées du Front national. (...) Lorsqu'on veut faire battre la candidate du Front national, on n'a pas d'autre choix que de voter pour son adversaire. C'est pour cela que j'ai appelé à voter pour M. Macron [au second tour de la présidentielle]".

    "Nous ne souhaitons pas que, petit à petit, la ligne dominante de LR soit celle de la partie la plus conservatrice, et même la plus rétrograde en termes de société. (...) Je jugerai [rester ou pas au sein du parti, NDLR] en fonction, s'il gagne, de ce qu'il proposera". "Je crois que le débat sur le Mariage pour tous est derrière nous et je ne souhaite pas que LR perde son temps à s'enliser dans ce genre de questions."

    Idem que Valérie Pécresse, selon laquelle Wauquiez incarne “la France d'hier”, ce qui signifie qu'elle court vers la gauche.

    Ce matin, le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a suivi la voie ouverte par Alain Juppé :

    "Si [pour la présidence du parti] je vois qu'il y a le choix entre Laurent Wauquiez et Daniel Fasquelle, j'ai plutôt envie de partir des Républicains".

    Qu'ils partent, cela clarifiera les choses. Ou pas : Laurent Wauquiez, s'il est élu, pourrait aussi s'entourer de juppéistes...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ANNE HIDALGO : « NOTRE-DRAME DE PARIS », OU LE SECTARISME DANGEREUX D’UNE IDÉOLOGUE

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    On aura les Jeux olympiques en 2024 et les Gay Games l’année prochaine. Avec des rats et des punaises aux fesses, on battra peut-être des records ?

    Fermée depuis un mois pour l’aménagement d’une nouvelle piste cyclable, la « berge 16e » a rouvert ce lundi matin. Mais en partie seulement : sur les trois voies de circulation, il n’en reste plus qu’une pour les automobilistes. De quoi ajouter à l’exaspération des Parisiens et surtout des Franciliens qui passent des heures dans des bouchons créés à dessein par la mairie de Paris dans le seul but de servir sa com’.

    Petit détail en passant : le RER A, la ligne la plus fréquentée d’Europe avec 1,2 million de voyageurs quotidiens, est actuellement à l’arrêt pour travaux. Mais qu’importe à Mme Hidalgo : les transports, c’est le STIF, et le STIF, c’est son ennemie Valérie Pécresse.

    Eu égard à ses penchants, Bertrand Delanoë était surnommé « Notre-Dame de Paris ». Celle qui a pris sa suite est devenue « Notre-Drame de Paris ». C’est le titre, hélas fort justifié, du livre d’Airy Routier et Nadia Le Brun à paraître jeudi (Albin Michel). Le Figaro Magazine lui a consacré sa une ce week-end, en publiant les bonnes pages, et RTL recevait lundi matin Airy Routier pour commenter, notamment, cette nouvelle fermeture d’un axe routier indispensable à la capitale, révélatrice de la véritable « pathologie anti-voitures » du maire de Paris. Et d’expliquer, preuves à l’appui, qu’on « organise artificiellement des bouchons en amont pour masquer les délires de la neutralisation des berges rive-droite »(empruntées quotidiennement par 45.000 véhicules), tout en avançant des chiffres inventés de toute pièce sur les méfaits de la pollution afin de justifier une politique absurde et surtout contre-productive. Résultat : boulevards et petites rues bouchés, périphérique saturé plusieurs heures par jour, tout comme la rocade de l’A86 et les abords de Paris, totalement embouteillés.

    Commentaire désabusé du journaliste : « L’axe Est-Ouest de Paris est maintenant totalement bloqué. Il ne reste plus qu’à bloquer l’axe Nord-Sud. »

    C’est que « la reine Verte », « la reine des bouchons », « la pasionaria du social », « sainte Anne du Bon Accueil » est seulement préoccupée de sa com’. Elle a créé pour cela une agence bidon, C40, subventionnée à hauteur de 200.000 euros, dans le seul but d’asseoir sa candidature aux présidentielles de 2022, et développe sa politique assassine en conséquence.

    Son objectif affiché est en effet « d’accroître la diversité sociale et ethnique de la capitale ». En dangereuse idéologue qu’elle est, elle entend « corriger l’héritage historique » (sic) de Paris en y créant 30 % de logements sociaux. Pour ce faire, la mairie exerce donc son droit de préemption dans les beaux quartiers, quitte à acheter des biens à des prix délirants : 12.000 euros le m2 dans le XVIe, 13.400 à Montmartre ! Hidalgo s’en fout, c’est le contribuable parisien qui paiera. Ainsi la dette de la capitale est-elle passée de 1 à 5,7 milliards d’euros, la mairie dépensant chaque année 400 millions de plus qu’elle n’en gagne.

    On pourrit des quartiers entiers, mais attention : pas question de critiquer sans être accusé de racisme. La preuve par Ian Brossat, l’adjoint PCF chargé des migrants qui a tweeté ce week-end : « Je viens de lire le dossier du Fig Mag sur Paris. Une benne ne suffirait pas à rassembler la masse d’ordures racistes qu’il contient… »

    Pour finir, et puisqu’il est question d’ordures dans ce Paris devenu, en effet, une benne à ciel ouvert : les rats y pullulent, non plus seulement de nuit mais aussi de jour, courant sur les pelouses au milieu des touristes. « Les squares, les jardins municipaux envahis doivent être fermés les uns après les autres pour être dératisés, avec des produits chimiques agressifs et polluants à côté desquels le dioxyde d’azote et les particules fines ont la dangerosité de l’eau de Cologne. »

    Mais qu’importe : on aura les Jeux olympiques en 2024 et les Gay Games l’année prochaine. Avec des rats et des punaises aux fesses, on battra peut-être des records ?

    http://www.bvoltaire.fr/anne-hidalgo-drame-de-paris-sectarisme-dangereux-dune-ideologue/

  • chaos migratoire, chaos financier, chaos mondialiste

    C’est aujourd’hui que le gouvernement effectue officiellement sa rentrée, période estivale qu’Emmanuel Macron a achevé par un nouveau couac, une nouvelle maladresse à l’issue de sa mini tournée (plutôt ratée)  des pays du groupe de Visegrad (Hongrie, République tchèque, Slovaquie et Pologne). Le président européiste entendait obtenir  de ses interlocuteurs  une réforme de la directive sur le travail détaché;  son arrogance de donneur de  leçons,  la fatuité de ses  sentences sur les valeurs bruxelloises lui ont surtout valu de nombreuses moqueries et  un sévère recadrage du Premier ministre polonais  Beata Szydlo . En France, alors que la cote de popularité du chef de l’Etat a déjà dévissé de manière très brutale ces dernières semaines, les choses sérieuses commencent véritablement maintenant pour le tandem Macron-Philippe, tant les sujets (légitimes) de colère et d’inquiétude sur le front économique, social, sécuritaire, migratoire  ne manquent pas en cette fin d’été. La droite républicaine au pouvoir entre 1995 et 2012 s’était signalée par un laxisme proprement dramatique dans sa  gestion de l’immigration, Nicolas Sarkozy battant un triste record en matière d’accueil d’une immigration de peuplement planétaire. Mais quand celle-ci vient chatouiller les moustaches de l’électorat bourgeois des centre-villes, le ton monte.  Le maire LR du  XVe arrondissement de Paris, Philippe Goujon,  s’émeut ainsi (à juste raison) de l’installation par l’Etat dans un gymnase universitaire, sans prévenir personne et avec la complicité de la catastrophique Anne Hidalgo,  de 440 jeunes immigrés clandestins, les fameux migrants.

    Une  politique du fait accompli, de dispersion de l’immigration, que les  riverains  concernés  du XVe ont accueilli avec colère. Interrogé par RT,  Philippe  Goujon s’est hissé à la hauteur des sentiments  de ses administrés : « Cela dénote un profond mépris de la part des autorités gouvernementales et du ministre de l’Intérieur, aussi bien des élus locaux et du maire que je suis, que des habitants qui ont aujourd’hui 500 migrants sous leurs fenêtres ». « Je conteste l’absence de politique migratoire du gouvernement, qui est absolument la même, en tous cas je ne vois pas la différence entre celle d’Emmanuel Macron et celle de François Hollande, qui consiste à accueillir tous les migrants quels qu’ils soient (…).  Parmi ces 500 migrants il y en a à peine 20 % qui sont éligibles au droit d’asile.Que fait-on des 80 % restants ? On va les expulser, évidemment, mais pourquoi les avoir accueillis sur notre territoire ? ». « Tout pays a le droit de protéger ses frontières et d’accueillir sur son sol ceux seulement qu’il veut accueillir. Cela n’est pas le cas en France car il n’y a pas de maîtrise de l’immigration. Cette politique amène à un désastre ». Mieux vaut tard que jamais pour s’en rendre compte M. le maire.

    D’un désastre l’autre, 100 000 manifestants ont défilé samedi à Barcelone pour réagir  aux attentats revendiqués par l’Etat Islamique et commis par six jeunes Marocains  qui ont  frappé la ville et la commune de Cambrils les 17 et 18 août. Les commentateurs ont noté que le Roi d’Espagne présent dans le cortège avait été hué et sifflé par les indépendantistes catalans qui ont aussi conspué la politique étrangère espagnole, notamment les relations nouées avec l’Arabie saoudite. Nous relèverons surtout  la niaiserie des slogans sur les banderoles qui n’avait rien à envier à ceux des bobos parisiens au lendemain des attentats du bataclan et des terrasses:  « Je n’ai pas peur » , « non à l’islamophobie », « l’immigration est une richesse », « vous n’aurez pas ma haine » , « la meilleure réponse : la paix »… bref pasdamalgam dans l’Europe  des bisounours. 

    Certes, nous n’avons jamais confondu, et Bruno Gollnisch le premier,  les terroristes djihadistes décérébrés, manipulés,  avec l’ensemble de la communauté musulmane, mais ce type de cérémonie expiatoire a aussi (surtout)  pour but de légitimer dans les esprits la nécessité d’une poursuite de l’immigration non européenne. Il en va de même du sondage relayé par  France soir sur l’intégration des immigrés de confession musulmane. Cette étude est-il écrit, « menée par la fondation allemande Bertelsmann, s’est intéressée à l’intégration des immigrés musulmans en Europe dans cinq pays différents (France, Suisse, Allemagne, Royaume-Uni et Autriche). Les résultats montrent de vrais progrès dans l’intégration des immigrés musulmans, malgré les obstacles dans l’éducation et l’accès à l’emploi, ainsi que face aux attitudes xénophobes » – xénophobie qui est l’apanage  des méchants européens et pas des gentils immigrés bien sûr…

    « Au sujet de la xénophobie » est-il indiqué, « la France s’en sort mieux que ses voisins européens: ainsi, 14% des Français interrogés disent ne pas vouloir de voisins musulmans. Ils sont 21 % au Royaume-Uni, 19 % en Allemagne, 17 % en Suisse et 28% en Autriche. Les musulmans représentent environ 5% de la population en Europe de l’ouest, rappelle l’étude qui assure que les personnes peuvent cohabiter sans problème » insiste France soir  au cas ou nous n’aurions pas bien compris le message.

    Il nous parait là aussi utile de préciser que  l’Institut Bertelsmann à l’origine  de cette étude est tout sauf un organisme impartial, neutre, mais au contraire un élément actif dans le dispositif de propagande et d’action en faveur des politiques mondialistes. L’immigration de peuplement, nous la savons, est un des instruments les plus redoutables, les plus mortifères,  de destruction  des identités et des  souverainetés nationales, parmi ceux  utilisés contre les peuples et les  pays européens . C’est ce même institut qui,  en 2015,   arguant d’une baisse importante du nombre de travailleurs en Allemagne, indiquait qu’ « un demi-million d’immigrants seront nécessaires chaque année pendant 35 ans »…

    Pierre Hillard  a écrit un ouvrage très fouillé et documenté paru en 2009  sur cette Fondation-Institut  Bertelsmann qui a été créée en 1977 ( La Fondation Bertelsmann  et la gouvernance mondiale, éditions Francois-Xavier de Guibert)  dans lequel il  a décrit ses objectifs : « la construction européenne, le renforcement du partenariat transatlantique, (l’élaboration d’une) politique au Proche-Orient subdivisée en deux parties ; Israël et le monde musulman.»

    Il le résumait alors sur le site dE&R:  « dans le cas européen, les efforts de la Fondation Bertelsmann sont probants puisqu’elle a joué un rôle décisif dans la relance du projet de constitution européenne après les non français et hollandais en 2005. En effet, un rapport a été adopté par le Parlement européen en janvier 2006 appelant à remettre sur les rails l’idée d’une constitution dotée de la personnalité juridique (droit accordé à l’Union européenne d’être un acteur reconnu sur la scène internationale). Malgré le non irlandais en juin 2008, le projet de constitution est maintenu. Or, les deux rapporteurs, les députés anglais et autrichien au Parlement européen, Andrew Duff et Johannes Voggenhuber, ont travaillé en liaison étroite avec la Fondation Bertelsmann. Celle-ci a bénéficié de relais au sein du Parlement européen comme les présidents des commissions des Affaires étrangères et constitutionnelles (Elmar Brok et Jo leinen) pour remettre en vigueur l’idéal politique de Valéry Giscard d’Estaing (…).  Parallèlement à l’évolution de la politique européenne, la Fondation Bertelsmann s’active dans le renforcement des liens transatlantiques (…). »

    «Ces ambitions ( d’une gouvernance mondiale politique, financière et monétaire)  vont très loin soulignait M. Hillard  puisqu’il est spécifié qu’une arène monétaire  doit voit le jour de part et d’autre des rives de l’Atlantique. C’est l’annonce en filigrane d’une monnaie transatlantique », et la poursuite des efforts pour « la création d’un grand marché transatlantique » sur les conséquences duquel le FN alerte régulièrement nos compatriotes et qui fut au cœur de la campagne frontiste pour les élections européennes en 2014. N’en doutons pas, du chaos migratoire au chaos financier,  toutes ces menaces là restent d’une brûlante actualité et seront au cœur de ce quinquennat Macron.

    https://gollnisch.com/2017/08/28/chaos-migratoire-chaos-financier-chaos-mondialiste/