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anti-national - Page 727

  • Le Premier ministre danois reconnaît que des régions entières de son pays sont gouvernées par les musulmans

     DANEMARK (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Premier ministre danois conservateur libéral Lars Rasmussen a admis ouvertement que les musulmans dominaient déjà certaines parties de son pays. C’est dans une entrevue avec le journal Jylland sposten, le principal quotidien conservateur du pays, que le Premier ministre a estimé que dans certaines régions du Danemark, la loi danoise ne s’applique plus aujourd’hui. Là, les gangs musulmans font leurs propres lois. Beaucoup de clandestins ou migrants vivent grâce à l’assistance sociale.

    Le gouvernement a échoué

    Pour le ministre, le gouvernement a failli dans la lutte contre ces entreprises parallèles. Il explique : “Nous avançons et revenons en arrière : en un jour, nous discutons d’une interdiction de la burka, la prochaine fois, au sujet des écoles musulmanes”.
    Selon l’hebdomadaire autrichien Wochenblick, la grogne monte doucement au Danemark. Je cite : « Des politiciens inconséquents, pour qui leur pays et les droits de leurs concitoyens ne signifient rien, sont responsables de cette situation. Ils feraient mieux de démissionner au plus vite, avant qu’ils ne soient chassés du Parlement par des citoyens en colère. Les Danois en ont déjà tiré les premières conséquences. Selon les médias, la présence de l’armée sera renforcée à la frontière avec l’Allemagne.

    Cela entraverait la sécurité du pays

    Le Danemark n’est pas en reste pour le terrorisme et a subi plusieurs attentats islamistes. L’immigration de masse illégale qui s’entasse dans ces lieux n’y arrangerait rien.
    Dans les médias nationaux, ces zones sont déclarées comme les « ghettos » du Danemark, avec une large part de population extra européenne, de forts taux de chômage, pauvreté et criminalité. En 2016, le nombre de ces ghettos aurait été multiplié par cinq.

    https://fr.novopress.info/

  • ALSTOM : FACE AUX ERREURS DE MACRON, MONTEBOURG A TOUT JUSTE !

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    Montebourg a 100 % raison ! Il faut rediscuter pour qu’Alstom soit européen (50 % français et 50 % allemand) et non pas sous contrôle allemand. Macron a commis une faute énorme en vendant l’activité énergétique d’Alstom à General Electric. À l’époque, Siemens était prêt à laisser à un Alstom français le contrôle non seulement de l’activité matériel ferroviaire, mais également de l’activité des signaux qui semble plus développée chez « Siemens Mobility » que chez Alstom en France.

    Ayant fait une ânerie grosse comme une maison, Macron, ne se bat même plus pour ce qui est encore sauvable, à savoir garder la parité de contrôle 50/50 dans la fusion Siemens/Alstom, comme c’est le cas dans l’Airbus de l’air. Ce n’est plus une défaite, c’est une déroute, c’est la Bérézina, et de ce fait, l’État devrait, selon le plan Macron, se retirer à terme complètement du capital d’Alstom, tout comme le groupe Bouygues, après que ce dernier a empoché ses dividendes exceptionnels.

    On se demande pourquoi Macron a nationalisé, s’est tant battu dans l’affaire des chantiers navals STX pour le 1 % de contrôle majoritaire du capital… Subitement cela n’aurait plus aucune espèce d’importance dans l’affaire Alstom ? La contradiction est totale.

    La supercherie de communication nous assurant qu’aucun site ne fermera est affligeante ! Le brave Le Maire s’époumone, criant « l’emploi ! », l’emploi qu’il jure de garder pendant 4 ans ! Oui… et après ? Eh bien, après cela se terminera comme Pechiney, Sacilor, Alcatel, Technip Lafarge ; après les 4 ans, c’est celui qui contrôle, à savoir Siemens qui ne laissera à l’entreprise croupionne Alstom que ses beaux yeux pour pleurer, afin de continuer à vendre ses signaux et son matériel ferroviaire en France à la SNCF !

    Selon Le Maire, qui n’a rien d’un économiste ou d’un homme d’affaires, cette fusion est une très bonne nouvelle. IL prétend même que cela ne sert rien d’avoir un strapontin au capital d’Alstom ! En ce sens, il a raison, il faut effectivement que ce soit 50 % du capital pour garder la parité de contrôle.
    Il s’agit donc d’une trahison pure et simple de Macron en rase campagne avec une communication hypocrite d’enfant de chœur pour le grand public juste bonne à écœurer les initiés !

    Alors, que faut-il faire ? Il n’y a qu’une solution, engager des fonds publics pour imposer la parité de contrôle 50/50 à Siemens en étant conscient qu’à cause de la faute irréversible que constitue la vente d’Alstom énergie à GE, il n’est plus possible d’avoir en France le siège social pour l’activité signaux.

    L’État, comme le conseille Montebourg, devrait racheter les actions qu’il loue actuellement à Bouygues. À Grenoble, Montebourg a évoqué un mélange d’action politique, de lutte syndicale et de menaces de poursuite pénales. Cette affaire n’est pas sans nous rappeler la légèreté avec laquelle Madame Lagarde avait accepté la décision d’un arbitrage honteux dans l’affaire Tapie.

    Et le comble de la tartufferie fut avenue Iéna, où l’on vit Henri Poupart-Lafarge, pour garder son poste et ses « stock options » – parlant anglais – avoir le culot, en compagnie de Joe Kaeser, le Président allemand de Siemens, de tenir ces propos :  « les Allemands ont l’impression d’être rachetés par les Français ». Et Joe Kaeser est venu en rajouter une pincée en nous disant qu’« Alstom sera européen et non pas allemand »

    Montebourg a raison : « Il n’est pas trop tard pour nationaliser Alstom » et tout renégocier.

    http://www.bvoltaire.fr/alstom-face-aux-erreurs-de-macron-montebourg-a/

  • La France Vassale, Leo Imbert Elite et vassalisation

  • Quel avenir pour les mosquées radicales ?

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    05/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le 20 novembre 2015, une semaine après le massacre du 13 novembre au Bataclan, Saïd Djelleb le président de la communauté musulmane des Indes à Sartrouville expliquait au journal Le Parisien qu’une minute de silence aurait lieu dans sa mosquée. Il voulait dénoncer l’acte barbare pour, je cite : « Montrer la position de [sa] mosquée et éviter que les gens fassent des amalgames ». Fin de citation. Il affirmait aussi vouloir que les jeunes prennent conscience de l’acte et du fait que cela n’a pas sa place chez eux.

    Deux ans plus tard, la mosquée de Sartrouville ferme cette semaine, en conséquence d’un arrêté préfectoral a-t-on appris.
    Que leur reprochent les autorités ?

    Les autorités ont constaté que des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence avaient été prononcés le 8 septembre et le 15 septembre dernier. Mais ce n’est pas tout, car la mosquée est sous surveillance depuis quelque temps déjà. Elle est considérée comme, je cite : « Un foyer ancien de l’islamisme radical ». Fin de citation. Mais la salle de prière n’est pas fermée définitivement. Elle est fermée officiellement jusqu’à la fin de l’état d’urgence, c’est à dire jusqu’au 1er novembre 2017…

    L’Etat a donc encore et pour l’instant la capacité de fermer les mosquées radicales mais de manière temporaire. En 2016, le gouvernement avait fermé une vingtaine de lieux de culte musulmans.

    Quel sera donc l’avenir de ces mosquées radicales ?

    Les mosquées radicales ont de beaux jours devant elles. C’est ce que montre l’Observatoire de l’islamisation, dirigé par Joachim Véliocas.

    Dans le nouveau projet de loi du 3 octobre 2017, « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme », il apparaît que les mosquées radicales ne pourront pas fermer plus de six mois. Selon l’Observatoire de l’islamisation cela permettrait aux mosquées de faire le ménage. Car il suffirait aux associations de gestion des mosquées de changer l’imam, renouveler le bureau de leur association et de remplacer quelques ouvrages dans leur bibliothèque. Mais pour combien de temps ?

    Pire encore, les visites et saisies ne pourront avoir lieu sans la présence de l’occupant à savoir l’imam ou le président de l’association musulmane ou de deux témoins, sur lesquels les policiers n’ont pas autorité.

    https://fr.novopress.info/

  • Catalogne et Kosovo : le deux poids deux mesures de l’Union européenne

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est le président serbe Aleksandar Vucic qui pose la question : « Comment se fait‑il que, dans le cas de la Catalogne, le référendum d’indépendance ne soit pas validé par Bruxelles, mais qu’à ses yeux la sécession du Kosovo, pourtant organisée sans référendum, le soit ? » Le Kosovo, berceau et cœur historique du royaume de Serbie, avait été reconnu indépendant par l’Union européenne en 2008 alors qu’il n’avait fait l’objet d’aucun référendum. « C’est le meilleur exemple du deux poids deux mesures et de l’hypocrisie dans le domaine de la politique internationale », ajoute le président serbe Aleksandar Vucic.

    Les pays où des mouvements séparatistes agissent, comme l’Espagne, n’ont pas reconnu cette indépendance du Kosovo. La Grèce, la Tunisie, la Roumanie non plus. C’est également la position adoptée par la Russie, notamment parce qu’elle révèle l’ambivalence de la position occidentale dans le dossier de Crimée. « Nos partenaires occidentaux ont créé le précédent du Kosovo de leurs propres mains », déclarait Vladimir Poutine devant le Parlement russe, en 2014. Poutine avait alors estimé que la situation au Kosovo et en Crimée était « exactement la même », mais que la diplomatie occidentale, dans sa grande majorité, avait choisi de traiter les deux cas de manière différente et incohérente.

    https://fr.novopress.info/

  • POURQUOI VEULENT-ILS RÉFORMER LA FRANCE ? COMPRENDRE LEUR "PÉDAGOGIE DE LA RÉFORME"

  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

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    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • [communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?

    Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.
    OlivierRenault2.jpgDans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.
    Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.
    Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.
     La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.
    Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.
    Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés,  le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
    lu sur le site de riposte laïque

  • Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT

    Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent“l’influence des réactionnaires” dans le débat public :

    “Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobesracistes qui oppriment et aliènent”.
    “Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.

    Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.

    DLSCrhtXUAAsJ2P

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »

    04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :

    « Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !

    « On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.

    « Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »

    « Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !

    « Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »

    « Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »

    https://fr.novopress.info/207711/alba-ventura-sur-daniele-obono-on-est-entre-lideologie-la-provocation-et-la-betise/