Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 724

  • Le nouvel ordre moral contre Civitas

    LOGO-Civitas-2016-cité-catholique.jpgIl y a une semaine, une campagne de haine et de calomnies contre Civitas était lancée sur le forum des Cahiers du Football lors d’un débat sur les dérapages de la Gabonaise Danièle Obono, députée des quartiers de La Goutte d’Or et La Villette au Parlement républicain.  Cette dernière avait comparé La Manif pour tous avec les attentats de Daech :

    « Est-ce qu’il y a des personnes qui, au nom de leur religion, ont une idéologie réactionnaire et discriminante ? Oui ! De toutes les religions. Je vous rappelle qu’il y a quatre ans, il y a eu des dizaines de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue au nom de leur religion pour s’opposer à une loi qui finalement a été votée. Oui, il y a donc des personnes qui utilisent leur religion comme justification de leur comportement […] et qui justifient les actes d’autres personnes pour commettre des actes terroristes». Une des membres les moins à gauche du forum posa la bonne question : « On arrêtes les conneries 2 secondes ? Y a vraiment des électeurs de Mélenchon qui s’alignent sur ces stupidités ? Depuis quand c’est « au nom de la religion » qu’on est descendu ? Et manifester contre une loi c’est illégal ? C’est du terrorisme ? ».

    Il fut immédiatement cloué au pilori par l’un des commissaires politiques locaux. De fil en aiguille, la conversation dévia sur Civitas, véritable déferlement d’insultes, de diffamation, mais également de clichés rances et moisis marque de fabrique de la secte du Méchancon (soutenue par au moins 40 % des membres), sans parler des analyses sociologique niveau café du commerce. Le 10 octobre, « Annyong » se lâche dans le délire parano-diffamatoire :

    « Sauf que la Manif pour tous n’a pas été qu’une gentille manifestation de familles bisounours se tenant la main, comme sur les T-shirt. Ca a aussi été un déferlement de haine, de jugements d’une stupidité terrifiante sur ce qui était naturel et ce qui ne l’était pas (non mais sérieusement mec, ta voiture, elle est naturelle, elle pousse dans les arbres ?). Bizarrement on a cessé d’opposer nature et culture pour remplacer le second terme par « contre-nature ». Sans compter l’influence que ça a pu avoir sur les plus jeunes, qui défilaient dans la rue en répétant les argumentaires parentaux sans y comprendre goutte. Et les parents qui répondaient que la civilisation étant en danger quand on leur demandait la raison de la présence des marmots dans la foule. Et n’imaginez pas que personne n’en a souffert, de voir la parole homophobe à ce point libérée ».

    Vient ensuite Lotbur qui le surpasse encore en idiotie :

    « Je rappelle pour ma part que le taux de suicide chez les homosexuels est 6 fois plus important que chez les hétéros (pour les hommes, 4 pour la globalité). Chaque année, environ 30% des homosexuels de moins de 25 ans font une tentative de suicide (selon un rapport du sénat de 2013). L’homophobie tue beaucoup plus dans ce pays que le terrorisme (islamique, bien sur, le seul qu’on appelle comme ça) ou les accidents de la route. L’homophobie décomplexée des dingos de Civitas, sens commun et autre est une forme de terrorisme. Qui tue. Beaucoup. Sans avoir besoin de bombe ».

    Le taux de suicide des homos n’est pas du aux injures ou aux discriminations qu’ils subiraient (sinon, le taux de suicide le plus élevé serait celui des gens qualifiés d’extrême droite…), mais à leur fragilité mentale. Poussons également le raisonnement ad absurdo : si on suit son raisonnement, c’est la « parole libérée » contre les policiers – notamment par voie de presse, de chanson, de films ou de « reportage » –  qui est responsable du fait que les policiers sont l’une des professions où on se suicide le, plus…  Le sophisme, « argument » de base du gauchiste, ce que relève d’ailleurs un autre participant :

    « lotbur, ton saut de « les homosexuels se suicident plus que les hétéros » à « Civitas tue » il est très joli mais il n’a aucun sens. Je suis toujours fasciné, quand quelqu’un veut montrer que quelque chose est dangereux et qu’il est incapable de le montrer quantitativement, de le voir systématiquement se réfugier dans ce qui est inmesurable. En page précédente c’est la libération de la parole (un grand classique), là tu nous balance une affirmation qui ne serait prouvable que si on pouvait comparer un monde avec Civitas et un monde sans Civitas, donc un truc impossible. C’est toujours la même chose.  Après si tu penses que l’homophobie est un terrorisme parce qu’elle tue, soit tu as la mauvaise définition du terrorisme, soit on peut faire une liste super étendue des terroristes. L’alcool ? Terroriste. La drogue? Terroriste. Les fabricants de bagnoles? Terroristes. Les fabricants de bouffe grasse? Terroristes ! ».

    S’en suit le bon cliché » bien rance : « Vous n’en n’avez pas marre d’évoquer ces cintrés moyenâgeux ? Laissons-les dans les poubelles de l’histoire qu’ils n’auraient jamais dû quitter » et on arrive avec le plan parano-conspi de « Esay Slider » :

    « Nier qu’aujourd’hui des homosexuels puissent vivre dans un climat de terreur, et plus encore suite à la manif Pour Tous dans laquelle ont été observés des ratonneurs et casseurs d’homo notoires (Goldofaf ça te dit peut-être quelque chose jéronimo), c’est beau. Pas pouvoir se tenir la main dans la rue sans avoir à essuyer moqueries et menaces ».

    Ce crétin serait bien incapable de citer un cas de militants de Civitas ayant frappé un homo. Rappelons quelques cas qui me viennent à l’esprit : On se souvient du fameux Wilfried qui avait été victime d’une agression très violente avec son camarade de jeu en avril 2013. Il avait alors accusé la manif pour tous. L’enquête prouva ensuite que l’agression était à la fois homophobe et raciste, puisqu’il avait été massacré par un groupe de Maghrébins, non seulement parce qu’il était gay, mais aussi parce qu’il était Blanc. Rappelons ce patron de bar gay de Laval qui en avril 2009 eut la main cassée. Il accusa des jeunes du MJCF de l’avoir blessé. L’enquête prouva que c’est lui qui s’est cassé la main en agressant les jeunes catholiques. Plus anciennement, on peut se souvenir du gay Sébastien Nouchet qui, en 2004 à Noeux-les-Mines prétendit avoir été victime d’une tentative de meurtre par des « homophobes » qui auraient voulu le bruler vifs, agresseurs qui n’avaient existés que dans son imagination. Pire, il avait accusé un innocent qui avait le meilleur des alibis : il était en prison…  Quant à Goldofaf, il est aussi coupable du suicide des gays que Georges Brassens de ceux des gendarmes.  Et on ne parle pas des propos de haine et des menaces de mort provoqués par les agents de la gaystapo contre les catholiques, cela mériterait un article entier…

    Puisque on en est dans les rappels, souvenons-nous que le premier couple gay marié dans l’Oise à vu l’un des deux partenaires être arrêté pour pédophilie gay, tout comme le fut l’un des principaux cadres LGBT d’Ecosse. A Verdun, un des premiers couples de lesbiennes mariée fut arrêtée pour avoir séquestré, torturée et violée une jeune handicapée mentale de 20 ans. On pourrait multiplier les cas à l’infini. Encore tout récemment, le 25 mai 2016 à Cardiff, Elsie – une petite fille de 18 mois adoptée par un couple de gays – est morte au bout de 15 jours, torturée à mort par l’un des deux, Matthiew Scully-Hicks. Quelques jours plus tard, lors de l’affaire Weinstein, sur les Cahiers du Football, un intervenant plastronnait : les couples d’hommes gays au moins n’harcèlent pas les femmes. Non, immonde kopile ! Ils tuent juste les gamines… (Je vois arriver le truc : oui mais chez les hétéros… Compare les pourcentages, glupak !). Et pour ne pas être accusé de sexisme contre les hommes, le procès de Scully-Hicks arrive au même moment que celui de deux militantes LBGT de Tulsa condamnées le 21 septembre à 20 ans de prison pour avoir torturé le petit garçon de 5 ans de l’une d’elle…  Notons, hasard ou non, que chez les gays, la fillette est torturée et chez les lesbiennes, le garçon…

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/le-nouvel-ordre-moral-contre-civitas/81758/

  • Projet d'attentat de l'ultradroite : c'était du bidon

    Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que le ministre de l'Intérieur l'avoue :

     
     

    Projet d'attentat de l'ultradroite : "Ce n'était pas la bande la plus sérieuse qu'on ait arrêtée ces derniers temps" @gerardcollomb

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE PROBLÈME DES EXPULSIONS : UNE HONTE FRANÇAISE

    remigration-depart-retour-avion-vol-embarquement-1550x660.jpg

    Emmanuel Macron, le Président des « Celzéceux » (c’est ainsi qu’il désigne généralement les Français), s’est enfin adressé à « ceux-ci, celles-ci », dimanche 15 octobre, en promettant que « tous les étrangers en situation irrégulière qui commettent un acte délictueux seront expulsés ». Cependant, cette volonté si affirmée de plaire à la grande majorité des Français qui souhaitent l’arrêt de l’immigration et la reconduite des clandestins délinquants aux frontières n’est qu’une rodomontade car M. Macron n’ignore pas que tous ses services semblent s’être concertés pour organiser l’impossibilité de la mise en œuvre des lois référentes à ce problème, quand ces lois existent ; ainsi, le fait de séjourner irrégulièrement en France n’est plus un délit depuis la loi du 31 décembre 2012. Ahmed Hannachi, l’égorgeur des deux jeunes filles à la gare de Marseille, constamment appréhendé et relâché pour de nombreux délits, était un délinquant en situation irrégulière depuis… 2005. Se présenter sept fois sous une fausse identité n’est pas un délit non plus.

    Mais alors, comment expulser un clandestin délinquant dont on ne connaîtra jamais l’identité et comment lui signifier son expulsion s’il n’a pas d’adresse ? Mais c’est très simple : dans ces cas-là, on ne fait… rien.

    Et l’on se trouve devant cette situation ubuesque où notre bureaucratie incompétente et tatillonne ne va décider l’expulsion que des personnes qui ont fait l’effort de s’intégrer.

    Certains ont vu des forces de police arrêter sur la route des vieilles dames qui avaient omis d’attacher leur ceinture pendant que passent devant leur nez des « jeunes » sans casques, à trois sur un scooter et qui font un doigt d’honneur à leur intention.

    Nous sommes dans le même cas de figure.

    Il est bien plus confortable de signifier son expulsion à un étranger affable et discret, respectueux des lois du pays qui l’accueille.

    On n’expulse que ceux qu’on peut expulser sans risque. Il n’y aura pas de manifestation violente, ni de pétitions d’intellectuels et d’artistes, ni d’indignation des médias, ni de soutien des associations « charitables ».

    C’est ainsi que, dernièrement, les préfectures ont signifié un arrêté d’expulsion à un cuisinier japonais réputé à Reims, à une Allemande polyglotte employée à l’office du tourisme de Roquemaure, à une doctorante russe en économie qui finance elle-même ses études à Perpignan, à une bachelière (mention très bien), russe elle aussi, à Blois et bien d’autres encore, tout aussi méritants.

    Cette réelle discrimination est scandaleuse, une véritable honte française.

    Mais quel est l’intérêt, pour l’administration, de déclencher cette procédure à l’encontre de ces véritables « chances pour la France » s’il ne n’agit pas de « faire du chiffre » puisque, ces personnes n’étant pas délinquantes, aucune amende n’accompagne ces reconduites à la frontière ?

    Notre administration est gérée par l’idéologie de notre « élite » de gauche (certains politiciens, magistrats, médias, publicitaires, associations, syndicats, « artistes », etc.) qui n’aime ni les Russes ni les Japonais ni les Allemands pour différentes raisons inexprimables mais qui tiennent à une haine viscérale.

    Nous pouvons aussi nous demander s’il n’y a pas une volonté délibérée de remplacer les Français par une sous-classe d’individus déracinés, malléables et sans qualifications qui permettra à ladite « élite » et aux multinationales dont elle est dépendante de faire ce que bon leur semble.

    http://www.bvoltaire.fr/probleme-expulsions-honte-francaise/

  • Quand ils sont "d'extrême-droite" ils ne sont pas "déséquilibrés"

    6a00d83451619c69e201bb09cea8cf970d-800wi.pngDe Pierre Malpouge dans Présent :

    "L’info est tombée mardi et a vite fait le tour des médias : dans le cadre d’une enquête portant sur un (des) projet(s) d’attentat(s) – notamment contre des mosquées, des hommes politiques, des « blacks », des « racailles », des « djihadistes » ou encore des « migrants » –, dix personnes, âgées de 17 à 25 ans, ont été arrêtées à la suite d’un coup de filet mené par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et la sous-direction antiterroriste (Sdat) dans le milieu de l’« extrême droite » en Seine-Saint-Denis et dans les environs de Marseille.

    Comme par hasard, donc, ça n’a pas traîné et la plupart des noms des 8970-20171020.jpg« terroristes » – ici pas question de « maboules » ni de « déséquilibrés » – circulent dans les rédactions notamment celui de Logan Nisin, Vitrollais de 21 ans, interpellé le 28 juin dernier à Tarascon et mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, connu pour être un admirateur du tueur norvégien Anders Breivik – qui, en 2011, avait massacré 77 personnes sur l’île d’Utoya (Norvège) – et comme étant un ex-membre du « groupuscule royaliste Action française ».

    Un furieux dont les enquêteurs avaient relevé sa « volonté d’organisation et d’association » en vue de parvenir à ses fins, non sans avoir effectué des « repérages », mais sans pour autant avoir arrêté son choix sur une cible bien définie, est-il précisé dans Le Figaro. D’où direction la case prison direct pour lui mais également pour ses comparses, considérés pour l’heure comme des « pieds nickelés » par les policiers qui tentent de faire le jour sur la « nature des relations au sein de leur groupe ».

    Que ce coup de filet soit justifié, on aimerait voir la même efficacité contre les groupuscules d’extrême gauche, les fichés « S » et autres islamistes radicalisés et terroristes en puissance connus et reconnus mais relâchés dans la nature faute de place dans des centres de rétention administrative."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat de Marseille : le rapport de l’IGA révèle la guerre raciale dans les centres de rétention

    Gérard-Collomb-Rapport-IGA-600x281.jpg

    Minute-Marseille-Couv-248x350.jpg« Guerre raciale », l’expression n’est pas trop forte. Entre clandestins en attente d’expulsion (ou pas), ce n’est pas vraiment le grand amour. Et dans les centres de rétention, l’Etat ne parvient même pas à assurer l’ordre. Telle est une des révélations du rapport de l’Inspection générale de l’administration (IGA) commandé par le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb après l’attentat commis à la gare Saint-Charles de Marseille par l’islamiste Ahmed Hamachi, remis en liberté la veille de son double assassinat, faute de place dans le Centre de rétention le plus proche. Extrait du dossier que l’hebdomadaire Minute consacre cette semaine à ce rapport bien plus intéressant qu’on ne l’a dit.

    La solution, qui aurait permis d’empêcher Ahmed Hanachi de se trouver le lendemain gare Saint-Charles mais n’aurait nullement permis de l’expulser, aurait consisté à le placer quand même dans un centre de rétention administrative (CRA), et c’est parce que cela n’a pas été fait que le préfet du Rhône a sauté. Au CRA le plus proche, celui de Lyon-Saint-Exupéry, il n’y avait pas de place.

    Pas tant parce que, ce jour-là, ça se « bousculait au portillon » comme l’a dit un agent du CRA, qu’en raison du fait que, au centre qui est en fait un ancien hôtel F1, « six chambres de quatre places étaient indisponibles », soit 24 places, dans l’attente « de leur remise en état ». Il est donc vétuste ? Ce n’est pas cela : « L’accroissement des dégradations volontaires et des troubles au sein du centre conduisent à l’immobilisation continue d’une part importante des chambres. » (page 20)

    L’Etat n’est pas plus capable d’assurer le maintien de l’ordre dans les centres de rétention que dans n’importe quelle banlieue !

    L’IGA l’écrit noir sur blanc :

    « La plupart des interlocuteurs rencontrés […] ont […] souligné la difficulté la maintenir l’ordre au sein du CRA en raison notamment de tensions entre les retenus originaires d’Europe de l’Est et du Maghreb » !

    RAPPORT-IGA-Couv-248x350.jpgEh oui : la guerre raciale, dans notre société multiculturelle, c’est aussi dans l’antichambre des couloirs aériens !

    Sinon, pour placer Hamachi, il aurait été possible de faire du « place pour place ». Du troc ! Ça semble courant :

    « Si elle veut néanmoins procéder à un placement [quand le CRA est plein], la préfecture n’a alors d’autre choix que de négocier avec le CRA une arrivée en échange de la remise en liberté d’un autre retenu dont les perspectives d’éloignement paraissent plus faibles (par exemple s’il n’est pas susceptible d’être rapidement reconnu par les autorités consulaires de son pays). »

    Tu me sors un Cap-Verdien, je te file un Marocain ! Ou l’inverse…

    En fait, il y avait de la place. Mais des places auxquelles Hamachi n’avait pas accès. Au CRA de Lyon-Saint-Exupéry, ce samedi 30 septembre, seize places étaient libres : douze places réservées pour d’éventuelles familles et quatre places pour des femmes. On a préféré ne pas mettre Hamachi dans le quartier des femmes. Après tout, on a bien fait. On n’a juste pas pensé qu’il pourrait les trouver ailleurs, gare Saint-Charles, le lendemain, à Marseille.

    Extrait d’un article de Marc Bertric
    paru dans Minute n° 2843 daté du 18 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Agressé par les antifas, Ludovic Pajot témoigne

    ludovic-pajot_XVM9362e8d4-54dc-11e7-bab4-c4b90180982c-600x338.jpg

    8969-20171019.jpgLes trois agresseurs « antifas » du député FN Ludovic Pajot, 23 ans, viennent d’être jugés en comparution immédiate. Sursis, vice de procédure (provisoire) et remise en liberté « faute de preuves », toute la palette des indulgences dont bénéficient ces champions de l’impunité judiciaire et de la bienveillance politico-médiatique, est ici représentée.

    — Pouvez-vous nous rappeler les circonstances de votre agression le samedi 7 octobre dernier à Béthune ?

    — Je buvais un verre avec une amie dans un bar du centre-ville lorsque des jeunes m’ont reconnu. L’un d’eux portait le tee-shirt du groupuscule antifa : « Action Antifascisme ». Les serveurs l’ont remarqué aussi et ont témoigné l’avoir vu. Ça a commencé par des insultes dans le bar. J’ai été insulté de façon répétée et j’ai reçu un coup de pied. Je suis alors sorti. Au moment de regagner ma voiture, les agresseurs, qui s’étaient cachés, se sont mis à courir derrière moi. Ils étaient trois. Ils m’ont donné des coups dans les jambes pour me faire tomber. Je suis tombé face contre terre, j’ai eu des douleurs musculaires au niveau de la mâchoire pendant plusieurs jours. Je me suis relevé et ils m’ont à nouveau frappé. J’ai réussi à leur échapper et à me réfugier dans un autre établissement, un bar à vin. Des clients se sont alors interposés. Ils ont témoigné au tribunal de l’extrême violence de ces militants politiques. J’ai de nouveau été insulté : « sale facho », « raciste ». La police est arrivée. L’un de mes poursuivants qui portait une casquette rouge reconnaissable, a été interpellé, les autres ont été interpellés le lendemain.

    — Depuis, ils ont été jugés en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Béthune. Quelle peine ont-ils pris ?

    — L’un, âgé de 29 ans, a prétendu m’avoir frappé en raison de mon sourire narquois. Je précise que j’étais loin de sourire, précisément parce que j’avais repéré dans ce bar qu’il y avait une bande d’antifas hostiles à mon égard. Il a été condamné pour « violences en état d’ivresse » à six mois de prison avec sursis et 850 euros de dommages et intérêts. Le second a bien été obligé de reconnaître qu’il m’avait agressé pour des raisons politiques étant donné que beaucoup de témoins avaient entendu ses insultes politiques. Contrairement à ce qu’indiquait La Voix du Nord, la motivation politique de l’agression a bien été admise. Il a avoué au tribunal qu’il haïssait le Front national dont les idées lui « répugnaient ». Il a bénéficié d’un vice de procédure. Toutes ses auditions et sa garde à vue ont néanmoins été validées. Il sera donc jugé le 24 octobre pour « violences sur une personne chargée d’une mission de service public ». Le troisième agresseur a prétendu qu’il n’avait fait que s’interposer. Il a été relâché faute de preuves.

    — Quel est votre sentiment sur ce jugement ?

    — Je pense que ces actes relevaient de la prison ferme. L’agression a été très violente. Heureusement que j’ai eu ce bar pour me réfugier. Si l’agression avait eu lieu près de ma voiture comme c’était leur intention, je me serais retrouvé isolé sur un parking sans lumière, sans témoin, ils auraient alors pu me tabasser à terre, ce qu’ils voulaient. Ils voulaient que je tombe à terre pour me passer à tabac.

    — Comment les médias et vos collègues politiques ont-ils réagi ?

    — J’ai été très choqué par la couverture médiatique de mon agression. D’abord : « Il aurait été agressé. » Puis : « Il a été agressé mais ce n’est pas politique. » Et enfin : « C’est politique mais ce ne sont pas des antifas. » C’est bien évidemment parce que je suis un député du Front national. Ils bénéficient d’une grande indulgence et d’une protection médiatique. J’ai reçu beaucoup de messages de soutien au sein du Front national mais très peu des autres élus. A l’exception de François de Rugy, leur silence a été assourdissant.

    — Les violences antifas occupent l’actualité avec la récente chasse aux DRH, le procès de la voiture de police incendiée et votre agression. Que préconisez-vous comme réponse politique ?

    — Le gouvernement doit dissoudre ces milices d’extrême gauche ultra-violentes. Nous sommes les seuls en France à réclamer leur dissolution. Comme on peut le constater, ces violences sont en augmentation. C’est la première fois en cinq ans d’engagement politique que j’en suis victime. Je suis scandalisé de cette impunité judiciaire et de cette complaisance politique.

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LE PROCÈS DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE EST UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION »

    Il y a cinq ans, l’action choc du groupe Génération identitaire, qui avait occupé le chantier de la mosquée UOIF de Poitiers, avait défrayé la chronique. Leur procès a lieu ce 20 octobre.

    Me Frédéric Pichon, un des avocats de ces jeunes gens, dénonce ces poursuites politiques qui n’ont d’autre but que de museler l’opinion sur la question de l’islam. 

    http://www.bvoltaire.fr/proces-de-generation-identitaire-atteinte-a-liberte-dexpression/

  • Zoom - Laeticia Pouliquen : On se prépare à mettre les femmes au rebut !

  • #balancetonporc : avec les musulmans ça marche aussi ?

    Pour Yves Daoudal, cette affaire de délation publique est un enfumage :

    "On peut se demander si le très élégant et subtil hashtag « Balance ton porc » est islamophobe. Tout au contraire, il vise à empêcher toute dénonciation de musulman, dont la religion interdit qu’il puisse être traité de porc.

    En réalité, cette hystérie de dénonciation des « harceleurs sexuels » n’est rien d’autre qu’un enfumage (mais celles qui tombent dans le panneau seraient tout étonnées si elles s’en rendaient compte), au moment où le gouvernement et le Parlement concoctent une loi contre le « harcèlement de rue ». Sans jamais le dire, les promoteurs de cette loi savent pertinemment que la quasi totalité des coupables ne sont pas des Français de souche (et que c’est l’immigration qui a fait surgir le phénomène, de façon encore plus criante depuis la vague des « réfugiés »). Ce qu’il faut à tout prix cacher, autant que possible. D’où cette campagne de stigmatisation à destination exclusive de ces immondes gros porcs de Français de souche qui sont légion…"

    Pour mémoire cette chronique d'Eric Zemmour, après les agressions sexuelles à Cologne par des immigrés : Z

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/10/balancetonporc-avec-les-musulmans-%C3%A7a-marche-aussi-.html

  • PAUVRETÉ : TOUT CE QUE MACRON NE DIT PAS…

    En France, la pauvreté de masse devient un phénomène structurel. Emmanuel Macron, à l’instar de ses prédécesseurs, lance donc un énième plan sur le sujet.

    Ainsi, la population française compterait 14 % de pauvres, à en croire les chiffres. Ce qui nous mettrait dans la moyenne européenne, toujours selon les mêmes chiffres. ATD Quart Monde, ici porte-parole de ce qu’il est convenu de nommer le « monde associatif », prévient : « Sans des moyens financiers à la hauteur, cette concertation débouchera sur des vœux pieux ou sur des actions à faible portée dont les plus pauvres ne bénéficieront pas. »

    Mais les chiffres ne sont pas tout et, comme à l’accoutumée, ce n’est que d’argent qu’on parle. Pas de celui que les pauvres n’ont pas, mais de celui qu’il faudrait dépenser pour qu’ils le soient moins. Un peu comme les syndicats de l’Éducation nationale qui, devant la dégringolade du niveau scolaire, assurent qu’il ne s’agit que d’une question de « moyens ».

    Il est à mettre au crédit d’Emmanuel Macron d’aborder la question d’un peu plus haut : « Il nous faut investir socialement pour que les enfants qui sont pauvres, parce qu’ils sont dans des familles pauvres, ne soient pas les pauvres de demain, et éviter les facteurs de reproduction. »

    Tout cela passe, évidemment, par l’Éducation nationale plus haut évoquée, mais dont la préoccupation du moment semble plutôt être l’écriture inclusive, la théorie du genre, l’apprentissage sur tablettes et autres tartes aux chardons. Pourtant, l’illettrisme est un éminent facteur de pauvreté, puisque fermant la porte à la quasi-majorité des emplois, même les plus modestes. Cette réflexion semble connaître le début du commencement d’une ébauche d’éventuelle mise en œuvre. Il était temps. 

    Mieux, voilà qui soulagerait les finances de l’État et, par la même, celles du contribuable : un cahier et un crayon, une ardoise et une craie, un manuel de français et un autre d’arithmétique coûteront fatalement moins cher que tous les coûteux bidules informatiques à la mode. À propos de mode, le retour de l’uniforme à l’école – tel que cela se pratique en Martinique – ferait mieux que d’aider à y rétablir l’ordre, il soulagerait le budget de nombre de familles modestes : ce ne sont pas les plus riches qui se ruinent en fringues de marque… 

    Paradoxalement, nos actuels dirigeants, forts de leur seule vision économique de la politique, semblent ignorer ce que leur politique et la pauvreté structurelle qui en découle doivent à cette même vision économique. En d’autres termes, ils pleurent les effets dont ils chérissent les causes. En effet, combien de nos compatriotes perdent leurs emplois à cause de frontières ouvertes aux quatre vents, de concurrence déloyale et de dumping social. Le néolibéralisme a un coût et ce sont les travailleurs pauvres qui s’en acquittent le plus souvent. Pas eux…

    Mais il y a encore une autre forme de pauvreté qui n’est pas ici évoquée, la perte d’un trésor inchiffrable, lui : celui de l’appartenance à une société et un destin communs. Comme si, exclus du monde du travail, les pauvres, confrontés à une immigration de masse – dont le moins qu’on puisse prétendre est qu’elle ne soit pas tous les jours une chance pour la France -, étaient de plus condamnés à se trouver exclus de leur propre pays. Une autre forme de double peine, en quelque sorte.

    Dans « la France qui gagne » et qui l’a élu, on peut se permettre de promouvoir la culture gadget destinée à épater un bourgeois blasé depuis belle lurette, parce que de la culture « classique », on possède les fondamentaux. On peut se toquer de familles recomposées et autres fantaisies, c’est si plaisant dans ces films « choraux » se déroulant dans les beaux quartiers de Paris. Mais quid de ceux dont les mariages finissent par voler en éclats, trop-plein de misère et de frigos vides obligent ? Eux dont on raille le manque d’ouverture à l’autre, alors que les seuls problèmes d’immigration connus par certains se limitent au personnel de maison marocain qu’il faut sans cesse houspiller.

    Ces pauvres, de plus en plus nombreux, ce n’est pas que de l’argent qu’ils demandent, mais aussi la dignité retrouvée. Ils ne sont peut-être pas citoyens du monde, et alors ? Ils veulent simplement se sentir un peu chez eux, en France. Ces choses-là n’ont pas de prix.

    http://www.bvoltaire.fr/pauvrete-macron-ne-dit/