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anti-national - Page 830

  • Irreal politik

    Real politik : être contre. Tel est l’un des principaux critères du bien-penser. Il s’accompagne d’ordinaire de la condamnation de la politique gaullienne. Par une fine dialectique, le refus hautain de la real politik se fit au nom de la réalité qui convenait à la classe dirigeante : celle d’une France toute petite, qui avait vécu « au-dessus de ses moyens ».

     

    Valéry Giscard d’Estaing lança cette thématique ; elle fut reprise par une gauche qui voulait recycler son internationalisme et son pacifisme dans l’Europe des traités. La gent socialiste broda sur « l’Etat modeste », les droits de l’homme, le droit d’ingérence humanitaire contre « l’égoïsme national » – sans oublier « l’Europe qui doit parler d’une seule voix ». C’est cet assemblage de sous-produits idéologiques qui tient lieu de doctrine dans les relations avec l’étranger. L’oligarchie française s’est imprégnée de la religiosité étatsunienne, de la « guerre morale » du Bien contre le Mal, en vue de la démocratie par l’économie de marché. L’échec est total : les conséquences de l’irreal politik ont été cent fois pires que les froids compromis de la real politik.

    Après l’opposition à la croisade américaine en Irak clairement exprimée par Jacques Chirac et Dominique de Villepin en 2003, les gouvernements français n’ont plus rien empêché et ont fini par tout admettre. Le dénigrement de la Russie est une activité officielle. Après avoir stupidement participé à la « guerre morale » pour le Kosovo, la France n’a plus eu de politique dans les Balkans livrés aux potentats locaux, aux proconsuls occidentaux et à la corruption endémique. Nous venons d’abandonner l’Afghanistan à son épouvantable sort. Avec l’Arabie saoudite et le Qatar, les principes moraux et démocratiques ont été sacrifiés sans l’ombre d’un scrupule à des accords commerciaux rentables et à des pactes infâmes dont les historiens nous livreront le détail. En Syrie, François Hollande et Laurent Fabius ont levé l’étendard de la lutte contre le despotisme et fourni des armes au Front al-Nosra, succursale d’Al-Qaida, contre le dictateur de Damas. Lorsque le projet de frappes sur Damas a été bloqué par le vote du Congrès des Etats-Unis, des interrogations majeures auraient dû surgir. Tel n’a pas été le cas. L’aviation française bombarde Daech en Irak de manière supplétive et sans effets marquants. Nous décidons de bombardements en Syrie, au mépris du droit international, tout en continuant de militer pour le départ de Bachar el-Assad ; François Hollande ne voit pas que les Etats-Unis vont s’entendre avec la Russie et s’accommoder du régime syrien faute de solution alternative. [.....]

    La suite sur le blog de Bertrand Renouvin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Irreal-politik

  • Brest : manif contre la mosquée salafiste, l’extrême-gauche soutient l’imam

     

    Les mouvements ADSAV (parti du peuple breton) et Résistance républicaineont manifesté samedi pour exiger la fermeture de la mosquée salafiste Sunna. Face à eux, les « antifas », soutiens objectifs de l’imam intégriste.

    Près de 300 personnes (150, selon la police), mobilisés par les mouvements ADSAV(parti du peuple breton) et Résistance républicaine se sont réunis au cri de « on est chez nous » et de la Marseillaise pour exiger la fermeture de la mosquée Sunna. Celle-ci est dirigée par l’imam Rachid Abou Houdeyfa. Pur représentant du salafisme, cet imam prêche naturellement pour le voile islamique, la soumission de la femme et le caractère incompatible de la Charia avec les lois de la république. L’imam en question a récemment défrayé la chronique avec la diffusion d’un se ses prêches auprès des enfants, portant sur la musique
    « Allah n’aime pas la musique parce que c’est le diable qui l’aime », ajoutant que « ceux qui chantent, le prophète dit qu’ils seront engloutis sous la terre, transformés en singes ou en porcs ».

    Nous assistons à un endoctrinement des enfants, comme dans des sectes, le préfet et le procureur doivent réagir !

    a affirmé lors d’une prise de parole Ronan Le Gall, porte-parole d’ADSAV. Interrogé le 30 septembre sur l’antenne de France Bleu Breizh Izel, Anouar Kbibech, nouveau président du Conseil français du culte musulman, avait jugé « ahurissant » le fait de tenir de tels propos devant des enfants, ajoutant que cette affaire « posait la question de l’habilitation des imams en France ».

    Fidèles à leurs réflexes pavloviens, les mouvements d’extrême-gauche ont organisé une contre-manifestation rassemblant quelques dizaines de personnes (une centaine selon la police). Exercice toujours délicat pour eux de s’opposer à « l’extrême-droite » sans pour autant paraître cautionner les salafistes, ils disent « ne pas cautionner les propos de l’imam », mais se positionner « contre l’instrumentalisation raciste et islamophobe qui en est faite ». De fait, par leur refus de condamner et combattre l’obscurantisme islamique (alors qu’au nom de la « laïcité », ils combattent avec virulence toute expression catholique dans l’espace public) ils jouent les idiots utiles de l’islamisation.
    Les deux rassemblements se sont retrouvés face-à-face dans une ambiance tendue, échangeant slogans et insultes, mais un cordon de CRS et de policiers a empêché tout contact entre les groupes opposés.


     

     

     

    http://fr.novopress.info/

  • Propagande sur l'avortement : Choisir la vie contre-attaque

    Virginie Mercier, responsable de la communication de l’association, a répondu à Anne Isabeth dans Présent à propos de la dernière campagne pro-avortement lancée par le gouvernement :

    "Ce qui nous a frappés est la déshumanistation totale des visuels. Vous avez remarqué que l’on ne voit aucun visage ? Pas un seul visage de femme, alors que le gouvernement revendique se battre pour le droit des femmes. On ne voit que des bouts de peau tatouée « mon corps, mon choix, mon droit ». Un tatouage n’est rien en comparaison de cette cicatrice qu’est l’avortement. Et, bien évidemment, l’enfant est absent de ce visuel. La campagne ne parle que de droit, de liberté. Passant sous silence la liberté de ces enfants à naître, niant la réalité de l’avortement, réalité physique et psychologique.

    Que comptez-vous faire ?

    Nous avons choisi de répliquer en lançant notre propre campagne de visuels. Mais celle-ci montrera des visages d’enfants avec cette phrase : « Ma liberté de vivre, mon corps, mon choix. » Et puis, nous continuons de dénoncer l’acharnement idéologique – parce que c’en est un ! – du gouvernement à promouvoir toujours plus l’avortement, face à un nombre d’avortements qui ne baisse pas. Aujourd’hui, le site du gouvernement ne donne pas accès à la réalité objective de l’avortement. [...]

    Quand aura lieu la prochaine Marche pour la vie ?

    Le 24 janvier prochain à Paris. Nous l’axerons sur la vérité de ce qu’est l’avortement. Plusieurs femmes, qui ont avorté et le regrettent, viendront donner leur témoignage. Il y aura aussi beaucoup de médecins. Venez nombreux. Et venez nous aider : nous aurons besoin de bénévoles pour la sécurité et la logistique le jour de la Marche."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • "Tuer mon enfant, c'est mon droit"

    Marisol Touraine, ministre de la Santé et du meurtre légal de l'enfant à naître, a annoncé le lancement d’un numéro de téléphone pour informer « de manière objective » les femmes sur l'interruption volontaire de grossesse.

    Yves Daoudal rappelle que c'est un mensonge :

    "ce n’est déjà pas objectif de parler d’interruption de grossesse. C’est un mensonge patent, puisque ce qui est interrompu peut être repris, alors que l’avortement est définitif, et définitivement un meurtre."

    Et avorter n'est pas « un droit depuis un peu plus de 40 ans ». En 1975, l’avortement était seulement dépénalisé.

    Soyons objectifs comme le demande le ministre : plutôt que d'écrire "L'IVG c'est mon droit", écrivons : "Tuer mon enfant, c'est mon droit". Ou à la place de "Mon corps m'appartient", écrivons : "la vie et la mort de mon enfant m'appartiennent".

    I

    Michel Janva

  • Le leader kurde syrien: la chute d’Assad serait "une catastrophe pour tous"

    Le président du PYD, le parti kurde syrien, Salem Muslim explique que, sans être un soutien féroce de Bachar el-Assad, l'avancée de Daesh sur Damas représente une bien plus grande menace que celle de l'armée syrienne.

    «Si le régime s'effondre en raison des salafistes [islamistes fondamentalistes] ce serait une catastrophe pour tout le monde» a déclaré Salem Muslim, le leader kurde de Syrie, au journal britannique The Indepedent.

    Une affirmation qui a d'autant plus de poids que le PYD (le parti kurde de l'union démocratique) et son président font partie des citoyens syriens qui réclamaient le départ du président Bachar el-Assad et son remplacement par une alternative «plus acceptable».

    L'homme perçoit comme «un grand danger» l'avancée du groupe terroriste Daesh sur Damas, une menace plus grande que celle que peut représenter l'armée syrienne pour son peuple. D'ailleurs, lors d'une récente attaque du groupe terroriste sur la ville de Hassaké, dans le nord du pays, les unités de protection du peuple (YPG) -bras armé du parti kurde- se sont retrouvées sous le feu de Daesh aux côtés des soldats loyalistes.

    «Notre objectif principal est la défaite de Daesh. Nous ne pouvons pas nous sentir en sécurité dans notre maison aussi longtemps qu'il y aura des combattants de Daesh encore en vie» affirme Salem Muslim.

    Ce dernier estime d'ailleurs que la menace ne vient pas seulement des adeptes du Califat de al-Bagdhadi et de citer les groupes terroristes affiliés à Al-Qaïda tels que le Front al-Nusra ou Ahrar al-Sham (soutenu par l'Arabie Saoudite) car dit-il: «ils ont tous la même mentalité».

    Les Kurdes sont devenus en quelques mois des acteurs essentiels de cette guerre civile syrienne -reprise de la ville de Kobané mettant fin à un siège de quatre mois et demi- un peuple qui lutte aussi contre Daesh en Irak. Certaines femmes yézidies ayant même décidé de prendre les armes aux côtés des Pershmergas irakiens.

    Aussi, si Salem Muslim affirme qu'il veut toujours le départ de Bachar el-Assad, il est aussi très clair qu'il n'est plus son ennemi numéro 1.

    La crise syrienne a mis sur les routes des millions de personnes et de familles. Des réfugiés qui tentent coûte que coûte de gagner l'Europe pour échapper à la barbarie terroriste. Depuis maintenant près d'une année la coalition internationale, menée par les Etats-Unis, tente de stopper Daesh en bombardant le territoire syrien de manière ciblée.

    Une position dénoncée par la Russie, qui estime ces efforts vains et contre-productifs. Moscou estimant en effet nécessaire et urgent d'associer le Président el-Assad et son armée dans ce combat.

    source , Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuuFFkpFAyXyLVBjdN.shtml

  • Le TGI de Nantes fait payer le contribuable pour la GPA

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    "Dans une décision rendue hier, le TGI (tribunal de grande instance) de Nantes a validé une nouvelle fois la retranscription à l'état civil français d'actes de naissance d'enfants nés de gestation pour autrui à l'étranger« Pourtant, la pratique des mères porteuses est interdite par la loi française » rappelle Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. Confronté à des couples ayant agi à l’encontre de la loi française, le TGI a non seulement validé la GPA par cette décision mais il même été jusqu'à octroyer 1000 euros de dédommagement aux couples concernés ! « C’est donc le contribuable qui est mis à contribution pour financer les auteurs d’un délit grave qui consiste à exploiter la femme et réduire l’enfant au rang d’un simple produit que l’on peut acquérir. C’est invraisemblable ! » poursuit-elle.

    La Manif Pour Tous constate et déplore qu’il n’est malheureusement pas possible de connaître les détails de cette affaire : il est impossible de savoir ce qu'il en est de la réalité de la filiation entre ces enfants nés de GPA et les couples demandeurs de ces retranscriptions à l'état civil français. Cette information manquante est pourtant essentielle : comme le précisait lui-même l'arrêt de la Cour de cassation, il n'est pas envisageable d'inscrire une filiation qui n'existe pas à l'état civil. Autrement dit, le TGI ne peut s’appuyer sur la décision de la Cour de Cassation que si et seulement si la mère, c’est à dire celle qui a porté ces enfants pendant 9 mois, figure bien sur l’acte de naissance.

    La Manif Pour Tous tient à souligner que Maître Caroline Mécary, avocate des couples demandeurs, déclare que l'arrêt de la cour de cassation du printemps 2015 autorisait la retranscription à l'état civil français "sans conditions":  cette affirmation est absolument inexacte, la Cour de cassation ayant au contraire précisé que l'acte de naissance devait être conforme à la réalité (article 47 du code civil) et que son arrêt ne concernait pas les autres cas (mère porteuse non inscrite sur l’acte de naissance). Voilà qui est pour le moins étonnant pour cette avocate également conseillère régionale EELV en Ile de France. Maître Caroline Mécary, qui récemment encore sur les réseaux sociaux, se permettait d'insulter certaines associations alors même qu'elle a déjà eu un rappel au serment des avocats, continue de confondre plaidoirie et militantisme.

    La manif pour tous regrette et condamne cette décision qui marque une nouvelle avancée de la GPA (Gestation Pour Autrui) sur le territoire français, synonyme d'asservissement de la femme et de chosification de l'être humain. La définition d’un plan internationale d’action contre la GPA sera au cœur des débats de l’université d’été de La Manif Pour Tous qui se tient ce week-end à Quiberon (Morbihan) autour du thème : « La famille, patrimoine mondial de l’humanité »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Soumission mondialiste ou Résistance nationale ?

    Pour désamorcer la révolte et la colère, ô combien légitimes, des agriculteurs Français, Manuel Valls a fait hier,  lors  de leur manifestation parisienne et à l’issue de sa réunion avec les syndicats agricoles,  l’étalage de toute la démagogie, de l’impuissance d’un gouvernement qui n’est plus   capable d’agir qu’à la marge  sur le réel. Au-delà de son « message d’amour » bien hypocrite  au monde paysan, le Premier ministre a annoncé quelques  mesures  (« année blanche » sur les dettes bancaires pour les agriculteurs en difficulté, volume d’aides porté à trois milliards d’euros sur trois ans…) qui ne résolvent rien sur le fond. Il  se contente de refiler, s’il a un peu de « chance »,  le mistigri de la mort de dizaines de milliers de nos exploitations  agricoles à son successeur. Le très décrié Xavier Beulin, président de la FNSEA, a été copieusement sifflé quand il est venu enjoindre les agriculteurs place de la nation de se féliciter de cet accord…qui fait pourtant l’impasse sur  la question cruciale de la baisse des prix ! France Info a diffusé sur son site  le témoignage poignant de la femme d’un éleveur de porcs du Finistère,  Béatrice Sévère, qui constatait hier lors de la manifestation  que « rien ne va revenir aux paysans » des aides  annoncées. « Les gens de peuvent plus manger,  payer leurs factures, les gens se suicident » « et  on nous dit  de retourner crever dans nos fermes »,   «qu’est-ce que c’est que cette France? ».

    Cette France, de moins en moins française,  c’est celle  qui est voulue et engagée sur la voie du progrès  depuis des décennies par les partis euromondialistes. Une France à qui est intimé l’ordre de se paupériser encore un  peu plus en accueillant  sur son sol  toujours plus d’immigration.

    On se souvient des rapports récurrents de l’ONU, publiés notamment par la Division de la population des Nations Unies, préconisant l’accueil dans les pays de l’UE de  millions  d’immigrés chaque année pour luter contre le déclin  démographique de la vieille Europe.  Ce qui aurait pour effet de voir plusieurs pays Européens passer ou frôler  en 2050 la barre de 50% de la population d’origine immigrée.

    Dans le même ordre d’esprit le haut-commissaire de l’ONU pour les réfugiés (HCR), Antonio Guterres, a exigé hier qu’au moins  200 000 migrants demandeurs d’asile dans l’Union européenne soient installés et répartis dans tous les pays de l’UE.

    «L’Europe est confrontée à son plus grand afflux de réfugiés depuis des décennies» a-t-il dit. «Les personnes qui ont une demande de protection valide (…) doivent ensuite bénéficier d’un programme de réinstallation de masse, avec la participation obligatoire de tous les Etats membres de l’UE. Une estimation vraiment préliminaire semble indiquer le besoin potentiel d’accroître les opportunités de réinstallation à 200.000 places», a encore écrit M. Guterres dans un communiqué.

    La chancelière allemande Angela Merkel et François Hollande se sont empressés d’accueillir cette annonce avec enthousiasme rapporte Le Figaro «en lançant une  initiative commune pour organiser l’accueil des réfugiés et une répartition équitable en Europe. Si le président François Hollande n’a pas repris l’expression de quotas contraignants utilisée par la chancelière Angela Merkel, il a accepté l’idée d’un mécanisme permanent et obligatoire».

    Le Figaro faisait état également la veille d’un sondage  Elabe pour BFMTV publié mercredi, relevant que «l’opinion publique française reste majoritairement (à 56 %) opposée à l’accueil de migrants et de réfugiés sur le territoire français.» « Les sympathisants Europe Ecologie/Les Verts sont les plus favorables à un accueil (73 %), suivis des électeurs socialistes (68 %) et du Front de Gauche (56 %). L’opposition la plus marquée se trouve chez les électeurs Front National (91 %), suivis par les sympathisants UMP/Les Républicains (67 %).»

    « Ces chiffres sont particulièrement élevés si on les compare à l’accueil réservé aux chrétiens d’Orient à l’été 2014. Selon un sondage IFOP, 54 % des Français y étaient favorables. En effet, la distance culturelle joue beaucoup. La bienveillance envers les migrants dépend de l’idée qu’on se fait de leur capacité d’intégrer la société, explique Jérôme Fourquet (directeur du Département Opinion et Stratégies d’Entreprise de l’Ifop, NDLR). L’aspect confessionnel joue, ce qui explique que les chrétiens d’Orient soient mieux perçus. L’appartenance supposée ou réelle des migrants à la religion musulmane expliquerait la moindre bienveillance des Français à leur égard ». Français qui savent en effet  d’instinct, par connaissance de l’histoire  ou pour le vivre déjà  dans leur vie quotidienne,  que les sociétés  multiculturelles sont toujours  multiconflictuelles.

    Un point de détail pour les différents lobbies immigrationnistes  qui instrumentalisent  avec un cynisme écœurant  les drames de l’immigration.  Car pour les relais d’un mondialisme  qui s’exprime à plein  dans les instances de l’ONU comme au sein de l’UE, il s’agit de préparer la France,  l’Europe, le Monde d’après, ou les frontières, les races, les ethnies, les sexes seront abolis, les religions et les cultures fondues dans un fourre-tout syncrétiste. Le tout  au nom de cette utopie planétarienne  qui anime un certain nombre de cerveaux malades mais extrêmement persévérants…

    Cette soumission de nos « élites françaises » aux dogmes mondialistes,  éclate actuellement dans les  négociations en cours sur le marché transatlantique, est illustrée pareillement plus largement par  notre inféodation aux  diktats bruxellois et atlantistes,   comme  aux mots d’ordre des officines onusiennes sur  la question migratoire.

    Que ce soit  par veulerie, résignation, démission  ou choix délibéré, l’attitude des dirigeants libéraux de gauche ou de droite  des principaux partis du Système  fait écho à la réflexion d’un  Léon Daudet notant voici  déjà un siècle, avec sa verve habituelle,  que « le libéral est le genre d’individus qui ouvre la porte à son ennemi, de peur que celui-ci ne fasse du tapage en la défonçant. »

    Alors oui, affirme Bruno Gollnisch, la raison d’être du FN est bien d’être, lui, le mouvement de la Résistance française, ce grain de sable qui enrayera cette machine  à tuer les peuples et les nations enracinés.

    http://gollnisch.com/2015/09/04/soumission-mondialiste-ou-resistance-nationale/

  • Projet de loi contre les discriminations : Manuel Valls n’avait rien de plus urgent à faire ?

    Avec le coup de menton énergique qu’on lui connaît, il n’a pas hésité à déclarer " les discriminations du fait de l’origine, de la couleur de peau, de la religion, de l’orientation sexuelle, par ce que l’on est une femme, sont des humiliations quotidiennes."

    Pour nos dirigeants, éternels auto-satisfaits de leur action, la France va si bien qu’elle doit se pencher sur des problèmes qui, en d’autres temps, seraient passés à l’arrière-plan au profit d’une politique énergique contre le chômage, l’invasion migratoire, l’état de ses comptes publics, ou sa souveraineté nationale.

    C’est la raison pour laquelle il est urgent de prendre des mesures de lutte contre les discriminations. On sait que c’est là une obsession nationale : les collectivités locales, les entreprises, et jusqu’à l’Eglise estiment indispensable de soigner cette plaie qui pourrit la vie quotidienne de nos compatriotes.

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  • François de Rugy quitte EELV et dénonce "une dérive gauchiste"

    Le député écolo annonce quitter Europe Ecologie Les Verts après y avoir passé vingt ans. Il ne digère pas les orientations prises par son parti. Côté PS, Jean-Marie Le Guen serait "heureux qu'il puisse bientôt nous rejoindre".

    Jean-Vincent Placé avait déjà menacé de le faire la semaine dernière, furieux qu'EELV puisse nouer des partenariats avec le Front de gauche aux régionales. C'est finalement François de Rugy qui saute le pas. Dans une longue interview accordée au Monde ce jeudi, le co-président du groupe écolo à l'Assemblée nationale annonce que pour lui, "EELV c'est fini".

    S'il quitte la formation politique où il a grandi et a passé vingt ans, c'est parce qu'il veut reprendre "sa liberté de parole et d'action". "Aujourd'hui, on n'arrive plus à avoir les débats, ni de fond, ni stratégiques, au sein d'un parti qui s'enfonce dans une dérive gauchiste. A reporter sans cesse le moment de la clarification, on s'enlise, au mieux dans une position illisible, au pire dans un repli sectaire", déplore François de Rugy. 

    Dans le même temps, l'homme politique sort un livre, Ecologie ou gauchisme, il faut choisir (éditions de l'Archipel). Selon L'Obs, la décision de l'écrire serait née d'un événement qu'il n'a "toujours pas digéré": la sortie du gouvernement de Cécile Duflot. Fraçois de Rugy estime qu'elle a relevé d'"un choix personnel qui s'est imposé à tous".

    Aujourd'hui, l'écolo critique en particulier, comme Jean-Vincent Placé, le rapprochement entre EELV et le Front de gauche. Il reproche également à sa formation politique de "défendre des positions systématiquement protestataires", un esprit qui serait, selon lui, contradictoire à celui d'ouverture prôné par Daniel Cohn-Bendit en 2009. Une figure historique d'EELV qui a, lui aussi, claqué la porte du parti en décembre 2012. "...] EELV est en train de se marginaliser à vitesse grand V", observe encore François de Rugy.

    Quant à l'avenir, le député n'entend pas créer dans l'immédiat un nouveau parti politique ou rejoindre un autre. N'en déplaise au PS Jean-Marie Le Guen, secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement, qui serait "heureux qu'il puisse bientôt nous rejoindre", décrivant un "homme de talent" depuis RMC.

    Tout juste François de Rugy entend-il "fédérer les écologistes réformistes" dans un cadre qui reste à définir. François de Rugy veut en revanche rester au sein du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, affirmant que celui-ci ne regroupe pas que des élus encartés (Noël Mamère, par exemple).

    Enfin, l'élu observe avec pessimisme une éventuelle candidature de Cécile Duflot, personne pour laquelle il a des divergences d'opinions, à la présidentielle de 2017. "Cette candidature se présente comme l'exact remake de celle de 2012 avec le résultat que l'on connaît. On ne sait d'ailleurs pas bien si ce serait une candidature de la gauche de la gauche ou une candidature rouge et verte." 

    LEXPRESS.fr , publié le 27/08/2015

    http://lagauchelaplusbetedumonde.hautetfort.com/

  • Fuites : comment le milliardaire Georges Soros tire les ficelles US en Ukraine

    Ex: http://www.arretsurinfo.ch

    Une lettre de Georges Soros au président Porochenko et au premier ministre Iatseniouk, daté du 23 décembre 2014, créé par Douglas York, assistant personnel de Georges Soros

    GEORGE SOROS 23
    23 décembre 2014
    Son Excellence Petro Poroshenko
    Président de l’Ukraine

    Kiev -UKRAINE

    Son Excellence Arseniy Yatsenyuk

    Premier Ministre de l’Ukraine

    Kiev – UKRAINE

    M. le Président, M. le Premier ministre, Mes chers amis,

    Je veux vous appeler à vous rassembler derrière les réformateurs au sein de votre gouvernement pour apporter votre soutien enthousiaste à une approche du type “big bang”. Ce qui signifie une approche où les contrôles administratifs seraient supprimés et où l’économie passerait au “prix de marché” rapidement plutôt que graduellement.

    Comme vous le savez, je n’ai pas ménagé ma peine, lors du dîner du sommet européen du 18 décembre, pour susciter un soutien à une aide financière plus importante. Vous avez vu dans le communiqué final que je n’ai guère eu de succès, même si les présidents Tusk et Juncker ont été de bonne volonté. Le sentiment le plus répandu était que le gouvernement ukrainien manque de coordination et n’est pas vraiment décidé en faveur de réformes radicales. Hier matin, j’ai parlé à Christine Lagarde, qui a clairement soutenu mes arguments, et elle a exprimé une opinion similaire.

    Voilà qui met en péril la “nouvelle” Ukraine qui s’oppose avec vigueur à la “vieille” Ukraine avec sa corruption endémique et son gouvernement impotent. Les gens sont prêts à s’accommoder d’un certain niveau de sacrifices pour une Ukraine nouvelle, mais il lui faut un soutien financier plus important que les 15 milliards de dollars actuellement envisagés pour contenir la baisse du niveau de vie à un niveau tolérable. Et pour justifier un soutien plus important, il faut que le gouvernement présente un budget convaincant avec des économies significatives. Le nombre de fonctionnaires doit être réduit de bien plus de 10% ; et Naftogaz doit être réorganisé avec un “big bang” qui remplace les subventions cachées fournies par Naftogaz par des aides directes pour les plus faibles. Comme Youri Vitrenko me l’a expliqué, cela pourrait fonctionner en assurant aux gens que leurs demandes d’aide seraient garanties la première année, qu’ils y aient droit ou pas (en utilisant la pression sociale pour décourager les demandes abusives) et en ne leur demandant pas de payer plus que l’année précédente. Cela donnerait une année aux autorités pour organiser une transition ordonnée des subventions cachées aux aides explicites. Voilà pourquoi je vous exhorte à adopter l’approche “big bang”.

    Vous avez la chance d’avoir nommé trois “nouveaux Ukrainiens” ministres et plusieurs locaux qui s’investissent dans cette approche. Ils pourraient réorganiser leurs ministères, y réduire les effectifs à une fraction de leurs tailles actuelles tout en augmentant les salaires des fonctionnaires restants. Ce qui pourrait constituer un exemple à suivre pour les autres ministères. Les ministres qui ont entrepris des réformes radicales pourraient être tenus responsables en cas d’échec, mais on doit leur donner leur chance de réussite en les laissant choisir leurs adjoints.

    Quand j’ai demandé au conseiller diplomatique du président Juncker ce qu’il avait en tête en évoquant le manque de progrès, étonnamment il a souligné les réformes constitutionnelles. De fait, l’Ukraine connaît un moment unique où le public s’intéresse passionnément aux problèmes constitutionnels et il ne faut pas laisser passer ce moment. La société civile doit être effectivement engagée dans ces discussions. Ce qui soulève la question du rôle du Conseil National de la Réforme que j’espère vous clarifierez entre vous deux.

    Comme vous le savez, j’ai demandé à Andrès Velasco, un éminent économiste qui a très bien réussi comme ministre des finances du Chili de 2006 à 2010, de visiter Kiev où il a rencontré le Premier ministre ; le Président étant à Varsovie à ce moment-là. Velasco en est revenu avec une vision très sombre de la situation financière. La Banque Nationale d’Ukraine n’a pratiquement plus de réserves en devises. Ce qui signifie que la hryvnia n’a plus d’ancrage. En cas de panique et d’effondrement de la monnaie, comme il y en a eu en Russie, la Banque Nationale d’Ukraine ne pourrait pas stabiliser le taux de change, même temporairement comme l’a fait la Russie en injectant 90 milliards de dollars.

    Votre première priorité doit être de reprendre le contrôle sur les marchés financiers – dépôts bancaires et taux de change. Sinon vous n’aurez aucun moyen de vous lancer dans des réformes plus profondes. Je crois que la situation pourrait être stabilisée en obtenant du Conseil Européen qu’il s’engage sur le principe d’accorder ce nouveau paquet de 15 milliards de dollars que le FMI exige pour libérer la prochaine tranche du paquet d’origine à la fin de janvier 2015. Sur la base de cet engagement, on pourrait demander à la Réserve Fédérale de prolonger pour trois mois son accord de swap de 15 milliards de dollars avec la Banque Nationale d’Ukraine. Ce qui rassurerait les marchés et éviterait la panique.

    Je crois que le communiqué de Bruxelles et les commentaires des présidents Tusk et Juncker ont un effet apaisant pour les marchés. C’est à vous de décider si vous considérez le danger de panique financière suffisamment réel pour prendre des mesures préventives. Si c’est le cas, vous devriez appeler la Chancelière Merkel pour lui demander un engagement sur le principe du paquet de 15 milliards de dollars. Je suis prêt à appeler le secrétaire d’état au Trésor US, Jack Lew, pour essayer de connaître ses intentions sur cet accord de swap.

    Je dois partir en Asie le 27 décembre et j’aimerais discuter avec vous de cette question par téléphone, ou mieux par Skype, avant de partir. Je vais devoir réduire l’intensité de mon implication en Ukraine pour les trois prochaines semaines. Je prévois de passer à Kiev après Davos. Mon adjoint Chris Canavan est prêt à venir plus tôt si nécessaire.

    En vous renouvelant nos vœux de succès

    Un document d’assistance militaire à Kiev, non daté, rédigé par Yasin Yaqubie de l’International Crisis Group

    Nous partageons la vision du Président Obama sur ce qui se joue en Ukraine, mais nous pensons que la situation nécessite que les États-Unis en fassent davantage. Le Président a dit la chose suivante à Tallinn :

    Malgré cela, aujourd’hui même où nous nous retrouvons, nous savons que cette vision est menacée par l’agression russe contre l’Ukraine. C’est une attaque éhontée contre l’intégrité territoriale de l’Ukraine – une nation européenne souveraine et indépendante. Cette attaque remet en cause le plus fondamental des principes de notre système international : que l’on ne redessine pas les frontières aux canons des fusils ; que les nations ont le droit de décider de leur propre avenir. Elle ébranle un ordre international dans lequel les droits des peuples et nations sont respectés et dont ils ne peuvent tout simplement pas être privés par la force brute. Voilà ce qui se joue en Ukraine. Voilà pourquoi nous nous tenons aux côtés du peuple ukrainien aujourd’hui.

    A la lumière de ces faits, il faut empêcher la Russie d’user de force militaire et de menaces militaires pour imposer davantage de changements en Ukraine. Nous apprécions qu’un cessez-le-feu soit en place. Malgré tout, nous demeurons sceptiques sur le maintien du cessez-le-feu sur le long terme par les Russes et leur marionnettes séparatistes, ou sur leur consentement à un règlement politique qui préserverait l’intégrité territoriale et politique de l’Ukraine.

    Pour dissuader les Russes de reprendre le combat ou d’exiger que Kiev ne donne son accord à des conditions inacceptables, il faut plus que des sanctions et autres actions directes des États-Unis et de leurs alliés de l’OTAN. Il faut également former et équiper en matériel les forces militaires ukrainiennes, afin qu’elles puissent neutraliser les séparatistes soutenus et renforcés par des forces russes clandestines. Le Président Obama devrait maintenant faire clairement comprendre à Poutine la détermination des États-Unis à engager des actions dans ce sens. Cela encouragerait Poutine à prolonger le cessez-le-feu et à ne pas reprendre l’escalade car la Russie sait qu’elle ne peut surenchérir sur les États-Unis en matière de sophistication des armements.

    Ainsi donc :

    • L’Ukraine devrait bénéficier d’une dotation militaire en armes létales, ce qui lui permettrait de résister à la puissance militaire écrasante de la Russie. Sinon Poutine atteindra ses objectifs par l’usage de la force armée.
    • Les États-Unis devraient doter l’Ukraine d’armes défensives aussi sophistiquées que les forces adverses. En termes de poker, les États-Unis doivent “suivre, non pas surenchérir”.
    • Les forces ukrainiennes devraient être entraînées hors de l’Ukraine, par exemple en Roumanie, ainsi les militaires américains ne seraient pas visibles et il n’y aurait pas de force de l’OTAN en Ukraine.

    Un projet de “stratégie globale à court et moyen terme pour la nouvelle Ukraine”, daté du 12 mars 2015, créé par Tamiko Bolton, troisième épouse de Georges Soros

    Draft Non-Paper / v14

    Stratégie globale à court et moyen terme pour la nouvelle Ukraine

    Court terme : les trois à cinq prochains mois

    Moyen terme : les trois à cinq prochaines années

    Lire la suite