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anti-national - Page 845

  • Les Femen, un mouvement sataniste qui dessert la cause des femmes

    Georges Fenech, député du Rhône et président du groupe d’études sur les sectes à l’Assemblée, a saisi la Mission interministérielle de lutte contre les sectes (Miviludes), lundi 10 février. Il explique :

    "Tous les critères sont réunis. Les Femen véhiculent un discours antisocial avec une remise en cause profonde des fondements de la République. Elles portent un message de haine religieuse contraire au principe de laïcité à travers des actes de profanation, comme ce fut le cas à l’église de la Madeleine, mais aussi de dégradation, comme à Notre-Dame ou au Vatican.

    En outre, les Femen soumettent leurs adeptes et les considèrent comme de la chair à canon. Elles exercent une certaine emprise qui a d'ailleurs été récemment révélée par une ex-militante française. Enfin, il existe une certaine opacité sur ce mouvement. Qui le dirige ? Avec quel financement ? En tant que président du groupe d’études sur les sectes à l’Assemblée, j’ai demandé à la Mission interministérielle de lutte contre les sectes (Miviludes) de faire connaître sa position à l’égard de ce mouvement, ainsi que les initiatives qu’elle pourrait prendre. Je souhaite la dissolution de l’association,  au motif de "dérive sectaire". [...]

    Les Femen ne sont pas un mouvement féministe. Au contraire, elles desservent la cause des femmes : bariolées d’inscriptions, dénudées, elles dénaturent le corps féminin. C’est en réalité un groupement sataniste qui désacralise les lieux de culte, qui profane le domaine du sacré et qui dégrade l’autorité religieuse. Elles portent une grave atteinte à la République. Et représentent une menace pour la société."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/les-femen-un-mouvement-sataniste-desservent-la-cause-des-femmes.html

  • L’Europe : « Y a-t-il une vie après la mort ? »

    Les experts de l’OCDE ont rendu le 11 février public le rapport consacré aux principaux aspects de la crise depuis 2007. Les économistes avouent dans le document intitulé « Post mortem » avoir sous-estimé l’ampleur de la crise.

     

    De ce fait, leurs pronostics concernant le relèvement économique des 4 pays membres de l’OCDE : essentiellement européens étaient exagérés. De l’avis des scientifiques et des experts, il est prématuré de constater l’élimination des conséquences de la crise.

    Les aveux sincères des experts de l’institution internationale des plus prestigieuses font penser à une douche froide sur le fond des déclarations optimistes concernant la sortie de l’Europe, en particulier de l’eurozone, de la crise et le début de l’essor économique. L’expert allemand en vue dans le domaine des finances Michael Brückner a averti sur le portail « EU-Infothek » qu’après les élections au Parlement Européen l’Europe aura un « réveil méchant ». Les leaders européens saisissent, selon Brückner, toute occasion pour désarçonner les eurosceptiques qui ont, de l’avis de plusieurs experts, les chances de gagner. Ensuite tous les problèmes liés aux conséquences de la crise qui n’est pas réglée surgiront à nouveau, dit pour conclure Michael Brückner.

    L’analyste principal du groupe financier russe « Brokercreditservice » Maxim Cheine signale toute une série de problèmes qui ne permettent pas faire de déclarations optimistes au sujet du règlement de la crise dans les pays d’Europe unie.

    « Il n’y a pas actuellement d’une nouvelle vague de crise financière ou budgétaire, dit l’expert. L’économie se relèvera graduellement. Or, les indices ne le confirment pas : tout indice est inférieur au pronostic. L’Allemagne se tient, il est vrai, à part. New York n’est pas, dit-on, l’Amérique, Moscou n’est pas la Russie et l’Allemagne n’est pas l’eurozone ». Un faible cours de change de l’euro ferait, peut-être, le jeu de l’économie européenne. »

    Les experts poursuivent les débats acharnés concernant cette dernière thèse. L’écrivaine allemande Ulrike Herrmann, auteur du livre Der Sieg des Kapitals (La victoire du capital) a fait part d’une opinion curieuse sur la crise :

    « On signale toujours la « crise européenne ». Or, il y en a des crises différentes. Premièrement, c’est le problème de la dette en Grèce, en Irlande, en Espagne, au Portugal et, probablement, en Slovénie. La seconde crise réside dans le fait que la Banque centrale européen achetant les obligations « problématiques » n’agit pas comme une banque normale. Troisièmement, c’est la crise de la concurrence, la plupart des pays de l’eurozone ne parvenant pas à faire concurrence à l’Allemagne. Quatrièmement, la crise de l’administration : les politiciens ont fait ces dernières années l’immense quantité de fautes. »

    Une question s’impose : quel réveil attend donc l’Europe après les élections en mai ? Qui a dit, d’ailleurs, qu’elle s’est endormie d’un sommeil convalescent ?

    http://francelibre.tumblr.com/post/76466338056/leurope-y-a-t-il-une-vie-apres-la-mort#.Uvx-ePYsRXY

  • Pressions continues contre les Femen

    Dans la suite des différentes initiatives destinées à faire interdire ce groupuscule extrémiste et violent et à retirer le timbre scandaleux, un groupe Facebook «Pour le retrait du timbre Femen» a été monté et une pétition en ligne sur CitizenGo demandant le retrait du timbre au président du groupe La Poste, Philippe Whal, a déjà récolté près de 18000 signatures.

    Michel Janva

  • Hollande assume son gauchisme libéral-capitaliste

    Par Aristide Leucate

    Jargonnant comme jamais, dans le sabir habituel des communicants apatrides, François Hollande, lors de la conférence de presse du 14 janvier dernier, a proposé aux Français un improbable « pacte de responsabilité » destiné, notamment, à alléger les charges des entreprises, en contrepartie de quoi ces dernières s’engageraient à embaucher.

    En outre, l’ex-conseiller général de Corrèze a décidé la mise en place d’un non moins théodulesque « Conseil stratégique de la dépense » auquel sera assigné l’évaluation mensuelle des politiques publiques. On est évidemment très loin des enjeux et l’auto-proclamation incantatoire de la « social-démocratie » n’est qu’une duperie de plus.

    La double pensée d’Hollande

    Comme le relevait l’essayiste, Eric Dupin, sur slate.fr, « l’expression « social-démocrate » désigne moins une identité idéologique précise qu’elle n’est le signe sémantique d’une inflexion politique. (…) Née de la Révolution française, bercée par le romantisme révolutionnaire, largement coupée du mouvement syndical, la gauche française a toujours eu une fâcheuse tendance à se payer de mots. Elle compense, par sa rigidité doctrinale, les accommodements opportunistes auxquels l’exercice du pouvoir l’obligent régulièrement. Qu’importe que les pratiques trahissent les idées si la religion des mots est préservée » (15 janvier). Tout en feignant de se soucier de « justice sociale » mâtinée de démocratie participative, la gauche se paye de mots ainsi qu’en atteste l’injonction formulée par son « laboratoire d’idées », Terra Nova, l’incitant dorénavant à s’intéresser aux immigrés (ces nouveaux « damnés de la Terre »), aux couches écolo-bobo-progressistes des villes et aux minorités sexuelles.

    Ce faisant, elle pratique ce que Jean-Claude Michéa appelait, à la suite d’Orwell, la double-pensée, laquelle consiste à défendre et soutenir simultanément deux thèses parfaitement antagonistes (et antithétiques), tout en étant convaincu de leurs véracités respectives. Les déclarations de Hollande à la presse sont, de ce point de vue, symptomatique de cette schizophrénie de la gauche qui tout en se réclamant du socialisme des grand ancêtres de Jaurès à Blum, n’en épouse plus aucun des préceptes pour mieux coller aux idéaux libéraux (politiques et culturels) du capitalisme transfrontières. Ce mensonge à soi-même devient, par la force sidérante des mass médias, un mensonge à l’égard de tous, donc une effroyable imposture.

    Social-démocratie ou socio-traitres ?

    On comprend alors pourquoi, le syntagme « social-démocrate » est utilisé à des fins d’habillage sémantique bien commode pour masquer les trahisons successives de la gauche française sur l’autel de l’économisme, autre épithète de l’économie de marché. Friedrich Engels ne s’y trompait pas lorsqu’il affirmait, jadis, que « pour Marx, comme pour moi, il est absolument impossible d’employer une expression aussi élastique pour désigner notre conception propre ». La vérité est que la social-démocratie n’a jamais existé en France, ce depuis le compromis historique (au lendemain de l’affaire Dreyfus) entre les socialistes des origines et la gauche bourgeoise républicaine, la première ayant été d’abord trompée et, in fine, absorbée par la seconde. De là, vient cette rupture incoercible entre la classe ouvrière et un patronat parfois issu de cette néo-bourgeoisie progressiste. D’autre part, ceux qui crient aujourd’hui à la trahison, du côté de chez Mélenchon, quand ceux, rive droite, chez Copé et consorts, hurlent au pillage idéologique, s’engoncent un peu plus dans une (im)posture politicienne qui ne doit plus tromper personne. On attribue à Philippe Séguin, cette formule selon laquelle depuis vingt ans, droite et gauche sont les détaillants du même grossiste, l’Europe. Un tel unanimisme en la matière ne peut déboucher que sur une pensée homothétique, monolithique et dogmatique : la pensée unique.

    Michéa encore lui – qui, par les « récupérations » dont il est l’objet, d’Eric Zemmour à Marine Le Pen, en passant par Alain de Benoist et l’Action Française, est la cible d’attaques particulièrement virulentes de la part de ses « amis » de « gauche », lesquels le taxent de « déviance » néo-droitière, voire populo-réactionnaires – interprétait ainsi « le paradoxe de la ‘‘pensée unique’’ : il n’existe, en effet, aucune contradiction de principe entre la lutte des libéraux économiques pour la mondialisation des échanges et pour l’abolition de toutes les frontières, et celle que les libéraux politiques et culturels ont engagée contre tous les ‘‘tabous’’ arbitraires de la morale et contre ‘‘toutes les formes de discrimination’’ » (La double pensée. Retour sur la question libérale, Flammarion, 2008). Cette incapacité, consciente ou non, à s’affranchir des dogmes du « politiquement correct » oblitère radicalement et définitivement la crédibilité de ceux qui, aujourd’hui, redécouvrent l’eau chaude d’une impuissance politique dont ils ont été les infatigables architectes.

    Aristide Leucate - lactionpolitique.hautetfort.com - L’AF 2879

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Hollande-assume-son-gauchisme

  • L’enseignement du genre n’a pas sa place dans la sphère scolaire

    Communiqué de Versailles Familles Avenir :

    "Versailles Familles Avenir, engagée dans la campagne pour les élections municipales de Versailles, défendra les parents qui s’opposent à l’enseignement de l'idéologie du genre dans les écoles. Les enfants et les familles sont actuellement pris en otage par l’idéologie du gouvernement ; Versailles Familles Avenir s'engage à faire tout ce qui sera en son pouvoir pour défendre le droit à la liberté des familles d’élever leurs enfants.

    Accepter l'enseignement du genre à l’école, c'est ouvrir la porte à toutes les manipulations et exposer les élèves à bien d’autres violences. On ne peut accepter que soient transmis à des enfants, sans même en avertir les parents, des discours qui viennent les remettre en question jusque dans leur personnalité. Une question relevant de l’intimité des individus ne peut être prise en charge par l’Éducation nationale. Celle-ci ne peut interférer dans le discours que les parents tiennent à leurs enfants.

    Comment qualifier un État qui entendrait penser à la place des gens ? Que serait une nation qui se donnerait pour objectif de s’immiscer dans les consciences ? Voici autant de questions à se poser. Nous devons entrer en résistance face à l’intrusion de l’enseignement de l'idéologie du genre sous des formes variées dans les crèches, les écoles maternelles et primaires de Versailles, comme dans les bibliothèques ; Versailles Familles Avenir fera tout ce qui sera en son pouvoir pour lutter aux cotés des professionnels contre elle."

    Michel Janva

  • « La Faillite de Mandela » et « Juan Perón » de Jean-Claude Rolinat

    Note de lecture de Camille Galic
    Trente-huit pages dans « Le Point » réputé « de droite », davantage encore dans les hebdos de gauche, le 5 décembre dernier, le décès – d’ailleurs attendu depuis plus de six mois – de Nelson Mandela a plongé dans l’affliction la planète entière dont les dirigeants ont tenu à se rendre toutes affaires cessantes aux obsèques du « géant ». C’est dire si le livre de Jean-Claude Rolinat, « La Faillite de Mandela » (*), s’imposait après le raz-de-marée d’éloges déversés sur la sépulture de celui que certains ont proposé de sacrer « plus grand homme d’État du XXe siècle ».
    Mandela richissime, la RSA ruinée
    Le 3 février, l’un des exécuteurs testamentaires de « Madiba » faisait savoir que sa fortune personnelle était provisoirement évaluée à 46 millions de rands, soit 3 millions d’euros. Pas mal pour un simple avocat (diplôme obtenu sous le régime honni de l’apartheid, notez bien) : libéré en 1990 après de longues années passées en prison pour entreprise terroriste, il n’aura occupé que cinq ans la présidence de la République sud-africaine, dont l’appauvrissement a, au contraire, été proportionnel à l’enrichissement de son premier président noir, si bien qu’en effet la faillite du pays est avérée. Quelles qu’aient été les intentions pacificatrices de Mandela couronnées par un prix Nobel de la paix également attribué à son complice afrikander Frederik Willem de Klerk, président du Parti national et président de la République d’Afrique du Sud de 1989 à 1994, qui a trahi son peuple au profit de la majorité noire et d’un puissant capitalisme apatride, le résultat n’est pas à la hauteur des folles espérances mises par la mediaklatura dans la « nouvelle Afrique du Sud ». Les chiffres accablants fournis par J.-Cl. Rolinat le prouvent : « Le passage du pouvoir blanc au Black Power » a accouché d’un pays malade.
    Le pays malade d’une « ségrégation de la revanche »
    Aujourd’hui, la République d’Afrique du Sud est malade :
        – malade de la criminalité : 25.000 assassinats par an, 30.000 tentatives de meurtre et 300.000 cambriolages, plus le taux de violence sexuelle le plus élevé au monde ; en 2009, on estimait qu’un Sud-Africain sur quatre avait commis un viol, qu’un enfant était violé toutes les trois minutes et, en 2013, les statistiques avançaient que « 40% des Sud-Africaines seront violées dans leur vie », les Blanches en priorité ;
        – malade du racisme institutionnel : les politiciens noirs flétrissent l’ancien régime et imputent tous leurs échecs au défunt apartheid et aux Blancs ; ceux-ci sont tacitement accusés de saboter les plus beaux projets et vivent dans une telle insécurité physique et professionnelle que le quart d’entre eux a préféré s’exiler ;
        – malade des rivalités tribales : l’appartenance commune à l’African National Congress (ANC au pouvoir) cache mal les haines et les rivalités entre Xhosas, ethnie de Mandela, et Zoulous, ethnie de l’actuel président Jakob Zuma, prévaricateur et fornicateur d’élite ;
        – malade de la « discrimination positive » ou, plutôt, comme le dit notre auteur, d’une « ségrégation de la revanche » : en effet, l’africanisation massive et précipitée de l’administration, du secteur hospitalier, de la police et de l’armée, des services et de l’industrie a mis à mal en moins de vingt ans l’économie la plus florissante du continent noir.
    Comme pouvaient le constater tous les visiteurs des années 1970 et 1980 de l’autre siècle, l’auteur a raison de souligner qu’à certains égards la Republik, qui était aussi moderne et dynamique que les États-Unis, a sécrété un chômage exponentiel, frappant indistinctement toutes les communautés puisque de plus en plus de Blancs sont réduits à la mendicité. Là encore, les chiffres sont éloquents : 23,2% de la population active sont officiellement sans emploi, 40% selon les syndicats, ce chômage étant lui-même générateur de misère. Le nombre de personnes vivant en dessous du seuil d’extrême pauvreté, soit 260 euros par an, a doublé pendant la décennie suivant l’accession de Mandela à la présidence, passant de 1,9 à 4,2 millions d’individus, entraînant une criminalité subséquente.
    « Kill the Boer, kill the farmer ! »
    Entre 1990 et 2005, selon l’indice de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’Afrique du Sud a ainsi reculé de 35 places, et la dégringolade risque de s’accélérer du fait d’un phénomène terrifiant encore qu’il ne semble pas inquiéter nos commentateurs : l’élimination systématique des fermiers blancs, selon l’un des slogans chers à l’ANC, « Kill the Boer, kill the farmer ! ». Plus de 4.000 éleveurs et agriculteurs ont ainsi été assassinés, bien souvent en compagnie de leurs proches et dans des conditions abominables, depuis l’avènement tant attendu de la « nation Arc-en-ciel ». Résultat redouté par J.-Cl. Rolinat : « En 1994, on dénombrait 133.000 fermiers commerciaux. Aujourd’hui, il en reste moins de 40.000. Déficit énorme. Hémorragie dont les statistiques de production se font l’écho… Un processus à la zimbabwéenne avec, à la clé, les conséquences qu’on peut imaginer, chute des ventes, baisse des exportations et, à terme, la famine ! »
    Loin des dithyrambes de la presse occidentale, voilà le véritable héritage de Mandela dont le vrai prénom est Rolihlahla, autrement dit « fauteur de troubles » en bantou : un État, certes, « décolonisé » mais, comme tant d’autres, ruiné par le délire idéologique, le racisme rabique, le revanchisme imbécile mais aussi la rapacité et la corruption de son nouvel Establishment, ces riches politiciens et affairistes bantous dont la surenchère dans le luxe est une insulte à la misère et à la désespérance ambiantes. Le tableau brossé par l’auteur, qui retrace aussi brièvement l’histoire de la RSA, est tristement véridique. Tout au plus peut-on regretter qu’il ne souligne pas le rôle capital joué par une certaine oligarchie financière – très étrangère à la geste des Boers – dans la dérive du Parti national puis la mortifère abdication de De Klerk… dont l’épouse Monika fut elle-même victime en 1998 de la criminalité organisée.
    À l’opposé du mandélisme, le péronisme
    Alors que paraissait ce livre, Winnie Madikizela-Mandela, épouse répudiée de Nelson et jadis surnommée Bloody Winnie, Winnie la Sanglante, pour son goût de la violence, estimait, le 26 janvier dans Le Journal du dimanche, avoir été la véritable opposante à l’apartheid et affirmait avec un certain dédain : « Sans moi, il n’y aurait pas eu de Nelson Mandela. Si je ne m’étais pas battue, il n’y aurait pas eu de Mandela, le monde entier l’aurait oublié. »
    Sans Evita Perón, y aurait-il eu un Juan Perón et, sous ses avatars si divers et souvent si éloignés de l’original, le péronisme aurait-il encore des adeptes, au point que l’actuelle présidente argentine, Cristina Kirchner, s’en réclame, d’ailleurs bien abusivement ?
    C’est toute la question qui sous-tend la monographie que J.-Cl. Rolinat, décidément très productif, publie sous le titre Juan Perón (**). Mais la photo de couverture est celle du couple, vite devenu indissociable tant la jeune et fragile Eva Duarte, actrice de très humble condition mais animée d’une volonté et d’un nationalisme farouches, participa aux conceptions, à l’organisation et au prodigieux succès du parti justicialiste, cette « troisième voie » entre l’URSS et le trop puissant voisin états-unien.
    L’auteur se défend de vouloir faire une icône de cette « femme faite homme dans un corps féminin » (qui finit par la trahir, le cancer ayant emporté l’idole des descamisados alors qu’elle avait à peine dépassé la trentaine). Il conclut : « On ne peut pas parler de Juan Domingo Perón sans évoquer son double, celle qui mit toute son énergie, son talent, son intuition de femme, sa force de caractère et son intelligence au service de la cause du peuple, au service des ambitions de son mari. À un point tel que, à un moment, on pouvait se demander qui était l’inventeur du péronisme. »
    Au contraire du mandélisme, le péronisme avait su redresser l’économie argentine, ramener la cohésion sociale et pratiquement éradiquer la pauvreté.
     Camille Galic 4/02/2014
     (*) J.-Cl. Rolinat, République sud-africaine : la faillite de Mandela, éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, 1/01/2014, 188 pages.
    (**) J.-Cl. Rolinat, Juan Perón, éditions Pardès, Collection Qui suis-je ? 21/12/2013, 128 pages.
    http://www.polemia.com/la-faillite-de-mandela-et-juan-peron-de-jean-claude-rolinat/

  • Nouvel Arbitre était à la manifestation de l’Agrif contre les Femens!

    Ce samedi 8 février se tenait pour la quatrième semaine de suite une manifestation. Cette dernière, organisée par l’AGRIF (Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et Chrétienne), rassemblait place Vauban toutes les personnes souhaitant la dissolution du groupuscule ukrainien Femen.

    Nous y avons retrouvé beaucoup de monde et de nombreux confrères étaient présent (Michel Janva du Salon Beige, Corsaire du Rouge et le Noir, Louis-Benoît Greffe de Politicviso, TV Libertés…) [...]

    La suite sur Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nouvel-Arbitre-etait-a-la

  • Bibliothèques idéologiques (suite)

    La polémique sur les ouvrages idéologiques mis à la portée des enfants dans les bibliothèques se poursuit. Ainsi, l'Association des bibliothécaires de France s'indigne :

    "Ces derniers jours, quelques sites web ont mené des appels au retrait de livres achetés par des bibliothèques municipales, dont la liste est également dressée. Les ouvrages incriminés sont ceux d’une bibliographie proposée par le syndicat SNUipp-FSU de 79 livres de jeunesse pour l’égalité et concernent essentiellement l’égalité femme-homme et l’homosexualité. [...]"

    Le SNUipp a droit à plus de considération que les parents.

    J'apprends aussi l'existence de la Charte des auteurs et des illustrateurs jeunesse, qui défend son beurre, car, soyons honnêtes : si les bibliothèques n'achetaient plus ces ouvrages idéologiques, qui les achèteraient ?

    "[...] La Charte tient d’abord à exprimer sa colère de voir des auteurs, illustrateurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignants et blogueurs de littérature jeunesse mis injustement en cause dans différents faits d'actualité touchant aux questions des genres ou de l’égalité fille-garçon. Nous ne pouvons laisser ces appels à la censure et à la haine passer pour des opinions acceptables. Nous ne pouvons excuser l’ignorance de ceux qui portent ces attaques. [...]

    Le Monde en perd même son français. A force de se concentrer sur une idéologie, on en perd la grammaire :

    MD'autres bibliothèques sont visées désormais par les parents qui s'inquiètent de la propagande faite contre leurs enfants : Loire-Forez (42), Besançon, Lille...

    Michel Janva

  • Rennes : les 4 miliciens antifas ont été relâchés

    Les quatre personnes interpellées samedi soir à Rennes lors de la manifestation violente contre une réunion du Front national ont été relâchées.

    Des policiers avaient été atteints par des jets de pavés, avant de faire usage de gaz lacrymogènes et d’un canon à eau.
    antifa
    Dans un communiqué, le maire PS de Rennes, Daniel Delaveau, a condamné ces violences, tout en portant la responsabilité sur le FN (sic), qui aurait choisi la provocation en organisant la réunion dans un lieu symbolique des luttes sociales à Rennes…

    « Le Front national, qui n’est pas un parti comme les autres, a choisi de tenir un meeting salle de la Cité, avec le sens de la provocation dont il est coutumier. Ses mensonges et son esprit polémique ne sauraient duper personne ».

    Jacques Bompard pose 2 questions écrites au ministre de l’Intérieur et du désordre :
    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur les violences perpétrées par des groupuscules d’extrême gauche à Rennes le samedi 8 février 2014. Ces groupes violents d’extrême gauche dénommés anti-fas ont pris prétexte de l’organisation d’une réunion publique du Front National dans le cadre de la campagne pour l’élection municipale de Rennes pour ravager le centre-ville de Rennes. Il semble que la violence soit autorisée et légitime aux yeux de Monsieur le ministre de l’intérieur lorsqu’elle est le fait de groupes d’extrême gauche, alors même qu’il organise de véritables rafles de manifestants pacifiques lorsqu’il s’agit d’opposants à la politique gouvernementale, que ce soit lors des nombreuses Manif Pour Tous ou lors du Jour de Colère du 26 janvier 2014. A Rennes, des voitures ont été brûlées, des vitrines saccagées, des pavés et des bouteilles ont été jetées sur les forces de l’ordre, dont cinq membres ont été blessés. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur de condamner enfin les groupuscules d’extrême gauche et de mettre fin à l’impunité dont ils jouissent actuellement, et lui demande combien de personnes ont été placées en garde à vue lors de ces incidents de Rennes. »

    « M. Jacques Bompard attire l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur l’attaque subie par la librairie Facta dans le neuvième arrondissement de Paris, vandalisée pour la deuxième fois en moins de trois mois. Cette librairie a été vandalisée en marge d’une manifestation d’extrême gauche autorisée par la préfecture de police. Cette manifestation entendait protester contre la montée de la droite. Monsieur le ministre de l’intérieur a condamné de prétendues violences lors de la dispersion de la manifestation du 26 janvier 2014 organisée par le collectif Jour de Colère  » alors même qu’il n’y a eu à déplorer, lors de cette manifestation, ni voiture brûlée, ni vitrine brisée. Le saccage d’une librairie n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’une atteinte à la culture qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire. Jacques Bompard est surpris que Monsieur le ministre de l’intérieur, si prompt à dénoncer des violences imaginaires lors de la manifestation Jour de colère du 26 janvier dernier et qui avait alors décidé d’arrêter sans motif plusieurs e 250 manifestants pacifiques, n’ait toujours pas condamné les violences en marge de la manifestation d’extrême gauche du 9 février et que les forces de l’ordre n’aient procédé à aucune interpellation malgré cette attaque d’une librairie. M. Jacques Bompard demande à M. le ministre de l’intérieur d’agir contre les milices d’extrême gauche qui font régner la terreur et vandalisent régulièrement les centre-ville de Paris ou d’autres grandes villes, au lieu de s’acharner contre les manifestations pacifiques de La Manif pour Tous ou de Jour de Colère qui, en seize mois, n’ont donné lieux à aucune violence réelle puisqu’on ne dénombre ni vitrine brisée, ni voiture brûlée, ni commerce saccagé, leur seul tort étant de s’opposer à la politique du gouvernement socialiste. »
    Michel Janva dans Le Salon Beige

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/rennes-les-4-miliciens-antifas-ont-ete-relaches_99368.html#more-99368

  • Accueil de 3 ministres à Angers ce mercredi 12 février…

    Jean-Marc Ayrault se rendra à Angers le mercredi 12 février, accompagné de Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, et de Michèle Delaunay, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie.

    Angers Programe :

    •10h10 - Visite d’un L.E.N.A.
    (Logement évolutif pour une nouvelle autonomie)

    •10h50 – Visite de l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »

    •11h15 – Intervention du Premier Ministre à l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »
    16 bis, avenue Jean XXIII – Angers