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anti-national - Page 846

  • Pourquoi tant de haine M. Valls ?

    Qui pouvait en douter ? Selon le dernier baromètre mensuel réalisé par Ipsos, François Hollande n’a pas convaincu après l’annonce de sa conversion au sociale-libéralisme: il chute de trois points avec 21 % d‘opinions favorables et parvient à gagner…un nouveau record d’impopularité avec 76 % d’opinions défavorables (+ 2 points), dont 43 % « très défavorables » (+ 3 points). Jean-Marc Ayrault évolue logiquement dans les mêmes eaux avec 22 % de bonnes opinions (- quatre points). La surprise pour un certain nombre de commentateurs vient de la rapidité et de l’ampleur de la dégringolade de la cote de popularité de Manuel Valls. Certes il n’est pas le seul? puisque sur 37 personnalités mesurées par cette enquête Ipsos, 29 sont à la baisse, dont 18 d’au moins trois points. Marine Le Pen est une des rares à progresser gagnant un point avec 30 % de bonnes opinions. Le ministre de l’Intérieur qui expliquait sur France 2 la semaine dernière qu’il «(regardait) les sondages avec intérêt» mais pas «en permanence», perd 11 points sur deux mois. Il reste en tête du baromètre – avec 48 % de bonnes intentions -, mais avec seulement  un point d’avance sur Bertrand Delanoë… contre dix points à la fin de l’automne. Ce dévissage de M. Valls dans l’opinion est confirmé par Harris Interactive ou il chute de neuf points,  mais aussi dans le baromètre mensuel BVA  (-6 points), pour l’institut YouGov (-7 pts) et OpinionWay (-12 points)

     Ce désaveu qui frappe aussi très largement les autres ténors des partis du Système comme le rapporte le sondage Ipsos cité plus haut, fait peur à beaucoup. Jean-François Doridot, de ce même institut, explique que «Cela n’augure rien de bon à un mois et demi des municipales. On ne peut pas vraiment dire que les deux camps se mobilisent. Ça s’annonce difficile pour tout le monde, y compris pour le Front National » croit-il savoir.

     Il faut en effet rappeler à nos compatriotes, comme le fait inlassablement Bruno Gollnisch, que l’on ne peut pas ébranler le Système en faisant la grève du vote, bien au contraire on le conforte en agissant ainsi. L’abstentionnisme est un allié de revers de l’euromondialisme. C’est en déposant un bulletin FN dans l’urne que l’on peut faire bouger les lignes et préparer l’alternative, la politique restant encore et toujours une question de rapport de forces. A bon entendeur…

     Rapport de force que Manuel Valls, a voulu engager contre une partie des Français et qu’il paye comptant dans les sondages, malgré le soutien médiatique bien réel dont dispose ce membre du club Le Siècle. A l’évidence son très médiocre bilan dans le domaine de la lutte contre la délinquance, laquelle touche tous les Français, de gauche comme de droite, les catégories les plus modestes, explique cette forte décrue de bonnes opinions.

     Mais au  delà, son bras de fer contre Dieudonné est aussi une des causes de sa dégringolade dans les sondages .Notamment auprès des électeurs franco-afro-maghrébins, des populations musulmanes de la France des banlieues, considérés jusqu’alors comme une clientèle électorale captive de la gauche et du PS en particulier. A tort ou à raison, le ministre de l’Intérieur  est apparu dans ce dossier comme le défenseur des intérêts d’une communauté tout en fustigeant à longueur de discours officiel  le communautarisme au nom de la république et de la laïcité…

     Dans le domaine des atteintes à la liberté d’expression, il n’est pas anodin non plus que les autorités françaises soient les championnes du monde lorsqu’il s’agit de demander la suppression de tweets. Selon les statistiques rapportées par Le Monde, entre juillet et décembre 2013, des pays comme l’Inde, le Royaume-Uni et la Russie ont demandé respectivement les suppressions de six, huit et quatorze tweets. Or, via  les autorités administratives et ses partenaires, en l’occurrence un certain nombre d’officines subventionnées, gardiennes du dogme progressiste et des luttes contre les discriminations, 306 demandes de censure ont été formulées dans le même laps de temps par le France !  

     Manuel Valls paye aussi «à droite» ses saillies contre la radicalisation de cette frange de l’électorat comparé au tea party américain ont expliqué quelques observateurs. Il révulse aussi nombre de Français par son soutien implicite  à l’activisme anticatholique.  Un tropisme socialo-maçonnique, qui est symbolisé dans un autre domaine par le  très militant Vincent Peillon au sein du ministère de l’Education « nationale» qui couvre de son autorité, entre autres,  une entreprise de lavage de cerveau des enfants avec les  ABCD de l’égalité.

     Nos compatriotes sont excédés plus largement par le règne du deux poids deux mesures, les atteintes à leur foi, et croyants ou non, les coups portés à une religion catholique consubstantielle à notre civilisation française et notre culture nationale.

     Si l’AGRIF (l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) a su mobiliser avec succès samedi  dernier à Paris pour demander la dissolution des Femen, M. Valls a octroyé un passeport français à la dirigeante ukrainienne des Femen, Inna Schevchenko, dont la tête orne un  timbre de  la  république ( !!!). Il a donné son accord pour que  ce  groupuscule d’activistes ciblant notamment les  églises puisse s’installer sur le territoire  national.

     Le ministre de l’Intérieur, nous l’avions souligné, n’a émis qu’une protestation bien molle, de pure forme, devant la dernière profanation en date de ces dernières, en  l’église Sainte-Odile à Paris. Faut-il y voir un lien de cause à effet,  M. Valls est membre  (également de « manière éternelle, quand même » ?)  comme Alain Bauer,  de la loge « L’infini maçonnique » affilié au Grand Orient.

     Cette affiliation est à prendre en compte à la lumière de sa détestation des idéaux portés par le Mouvement national et de sa volonté d’associer le FN à l’extrémisme. Cela explique en partie que les groupuscules d’extrême gauche, éternels idiots utiles d’un Système qu’ils prétendent combattre, soient instrumentalisés par le pouvoir, comme on l’a vu à Rennes cette fin de semaine, avec la manifestation anti-FN qui a dégénéré en scènes d’émeute.

     Il s’agit d’associer, par capillarité en quelque sorte remarque Bruno Gollnisch, le FN à des images de violence, pour faire peur. Les milices anti frontistes sont bien utilisées pas le pouvoir avec beaucoup de cynisme et de malignité. Encore faut-il le savoir.

     Et ne pas se tromper sur la nature des regards  noirs que M.  Valls réservent dans ses  conférences de presse à l’évocation du FN  et dans les  débats à  Marine Le Pen ou dernièrement  sur France 2 à Florian Philippot. Comme le notait finement le cardinal de Mazarin dans son « bréviaire des politiciens», « Si quelqu’un te manifeste sa haine, sache que ce sentiment est toujours authentique : à la différence de l’amour, la haine ignore l’hypocrisie»…

    http://gollnisch.com/2014/02/11/pourquoi-tant-de-haine-m-valls/

  • L’Education nationale française pourrit par la tête !

    Il y a deux périodes bénies dans la vie où le sexe nous fout la paix, la vieillesse (enfin je l’espère, je n’y suis pas encore arrivé, mais je fais des progrès notables)… et l’enfance.
    Quand j’étais enfant, avant que le traumatisme de la puberté ne m’atteigne, je courais derrière un ballon, je montais aux arbres, je mettais des claques à mon frère qui me les rendait avec beaucoup d’allégresse, je lisais tout ce qui me tombait sous la main en n’en comprenant pas la moitié, bref c’était le bonheur total surtout pendant les vacances qui duraient une éternité. Le seul point noir dans ma vie étant qu’il fallait aller à l’école pour y être enfermé dans le but tout à fait incompréhensible d’essayer de m’apprendre quelque chose. L’avantage de l’école était qu’aux récréations, je retrouvais toute une série de copains et que l’on pouvait se mettre des claques, grimper aux arbres, courir derrière un ballon (voir plus haut).
    Pour plus de détails sur ma petite enfance, relire « Le Petit Nicolas » de Sempé et Goscinny, ou « Le château de ma mère » de Marcel Pagnol.
    De l’autre côté de la rue, il y avait une autre école, réservée à une autre sorte d’enfants, habillées différemment, qui en général terminaient la journée aussi propres qu’elles l’avaient commencée et dont on nous disait qu’elles s’appelaient « des filles ». Je savais que cette autre sorte d’enfants existait puisque j’avais deux grandes sœurs plus âgées que moi à la maison, mais dans l’ensemble les relations entre les deux écoles étaient ténues et les invitations croisées dans les goûters d’anniversaire assez rares en ces temps anciens. Mais je peux assurer le lecteur que s’il y avait une chose qui ne nous préoccupait pas, c’était « le sexe ». En fait, la puberté commençant à roder, l’un de mes copains me raconta un jour sous le sceau du secret comment cela se passait entre un homme et une femme. Je sortis de cette conversation complètement certain que mon copain racontait n’importe quoi pour se rendre intéressant.
    Etait-ce bien ? Etait-ce mal ? Je n’en sais rien, mais en tout cas je ne changerais pas mon enfance pour celle des petits garçons ou des petites filles actuels (ou devrais-je écrire actuelles ? Grave question, après tout le masculin doit-il toujours grammaticalement l’emporter sur le féminin ?).
    Et avoir une enfance heureuse est de loin le plus beau cadeau que des adultes puissent faire à un enfant.
    En effet, dans « la fabrique de crétins » qu’est devenue l’Education nationale, une série d’obsédés sexuels et de pédophiles enragés a, à l’évidence, pris le pouvoir au ministère et veut à tout prix « informer » les pauvres gamins sur ce qui sera sans aucun doute la grand histoire de leur vie, le sexe. Le fait qu’une grande partie de nos enfants arrivent en sixième en ne sachant ni lire, ni écrire, ni compter ne les préoccupe guère en revanche.
    L’essentiel c’est d’être certain, vraiment certain, qu’à 12 ans aucun d’entre eux n’ignore rien de l’homosexualité, du kamasutra et de tous ces choix qui s’offrent à eux. Certes, on a les priorités qu’on peut… Et cette volonté de ne rien laisser ignorer aux enfants des « choses de la vie « , je l’assimile à de la pédophilie éducationnelle.
    Qu’est-ce donc que la pédophilie, la vraie ?
    Apparemment un certain nombre d’adultes ne supportent pas cet « âge de l’innocence » et cherchent à imposer leurs fantasmes sexuels à ces innocents. Et les petites victimes en sortent abîmées à jamais. Et cela est monstrueux.
    La pédophilie éducationnelle est bien sûr différente. La relation physique n’est pas le but recherché. L’idée ici est d’introduire dans l’esprit de l’enfant des informations appartenant au monde des adultes de façon à ne rien lui laisser ignorer de ce qui l’attend plus tard.
    Mais l’horrible chose est que l’enfant n’est pas équipé physiquement pour « traiter » cette information. Etre mis au courant de faits sur lesquels on n’a aucune prise ne peut être que générateur d’angoisses et de troubles.
    Ce que les pédophiles font souffrir au corps des enfants, les pédophiles « éducationnels » le font souffrir à leur esprit. Et cela est monstrueux également, comme le Christ nous le dit, sans ambages : « Mais, si quelqu’un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. » Mathieu 18.6.
    Mais qui donc sont ces pédophiles éducationnels ?
    Aussi curieux que cela paraisse, ce ne sont pour ainsi dire jamais des enseignants « du terrain ». Ils ne voient que fort rarement un enfant. Les enfants ne les intéressent pas. Ce qui les passionne, c’est de transformer la nature profonde de ceux que leurs parents sont bien forcés de leur confier, leurs enfants.
    Ce sont la plupart du temps des « intellectuels », des politiques, des syndicalistes appartenant à l’administration de l’Education nationale, des « chercheurs » à l’Université ou au CNRS, qui vont de comité Théodule en comité Théodule, de congrès international en congrès international où ils retrouvent ceux qui pensent comme eux et où l’on parle non pas d’éducation ou d’enseignement, mais de « changer la nature humaine », ambition totalitaire par excellence, qui a déjà fait des centaines de millions de morts depuis le XVIIIe siècle où cette idée bizarre est apparue pour la première fois.
    Parler de liberté en envoyant ceux qui ne sont pas d’accord au goulag a toujours été la caractéristique de ceux qui veulent faire le bonheur du genre humain en changeant la nature de l’homme.
    Nos pédophiles éducationnels font donc partie d’une longue lignée « de gauche », qui commence avec les massacres de la Convention pour se terminer avec le Cambodge ou la Corée du Nord, en passant par Marx, Staline…
    Il est rare que nos pédophiles aient des enfants eux-mêmes, et s’ils en ont , comme l’illustre Bourdieu qui a écrit de multiples livres sur l’école comme moyen de transmission du pouvoir par la classe dominante, ils les font inscrire à Henri IV à Paris, la matrice de l’élite par excellence, ce que ce lycée ne pouvait lui refuser puisqu’il était professeur au Collège de France.
    Leur dieu philosophique est Rousseau, qui a beaucoup écrit sur l’éducation à donner aux enfants, tout en abandonnant ceux qu’il avait fait à sa domestique aux bons soins de l’assistance publique, alors gérée par l’Eglise catholique, dont il disait le plus grand mal. Faire des enfants, les abandonner, dire du mal de ceux qui les ont recueillis tout en écrivant des traités sur l’éducation, on comprend que la gauche adore Rousseau. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais…
    Quelle est la solution va me demander le lecteur ? Elle est simple. Comme le dit le proverbe chinois, « le poisson pourrit toujours par la tête ».
    Et donc quand une structure est centralisée, si des forces mauvaises en prennent le contrôle, le pouvoir immense que permet cette centralisation peut créer des dégâts gigantesques, comme on l’a vu avec l’Union soviétique, l’Allemagne nazie, et maintenant avec l’Education nationale française.
    Partons de deux constatations :
    1. La tête de notre système éducatif est pourrie comme jamais.
    2. La changer est impossible politiquement.
    Il faut donc non pas couper cette tête, mais en faire une tête parmi d’autres et créer de très nombreuses autres têtes pour permettre de vraies expériences. Il faut donc décentraliser notre Education nationale pour que ces gens en perdent le contrôle et rendre le contrôle du système éducatif à ceux qui ont des enfants, c’est-à-dire aux parents, par l’intermédiaire du chèque éducation comme cela a été le cas en Suède qui a fort bien réussi cette transformation.
    Et les parents pourront, s’ils le veulent, mettre leurs enfants dans les écoles qui suivront les idées de mes pédophiles éducationnels. Je ne doute pas de leur succès.
    Charles Gave
    http://francelibre.tumblr.com/post/76312404816/leducation-nationale-francaise-pourrit-par-la-tete#.Uvn2AfYsRXY

  • SOS Racisme veut s’en prendre à la mémoire du 6 février et sombre dans le ridicule

    sos7.jpgL’association antifrançaise SOS-Racisme a organisé une petite manifestation, le 6 février, place de la Concorde, en profanant ainsi ignoblement la mémoire des patriotes français morts ce jour-là.
    Ce rassemblement fut un bide et le vent s’est chargé de détruire la banderole, les ridiculisant et les empêchant de tenir leur pitoyable réunion !

    On notera la différence de traitement, encore une fois, avec les nationalistes.
    Ces gauchistes peuvent venir manifester et déployer une grande banderole dans une action de pure provocation, place de la Concorde. Mais quand ce sont les nationalistes du Renouveau français qui se retrouvent pour un hommage solennel et discret sur cette même place quelques heures plus tard, une horde de CRS hystériques leur tombe dessus !

    http://www.contre-info.com/

     

  • Exemple d’une association dégénérée venant bourrer le crâne des élèves

    couleurs.jpgIl y a des partisans du gouvernement pour dire que les tenants de la théorie du genre et de la propagande homosexuelle ne viennent pas dans les classes s’en prendre aux cerveaux des jeunes.

    Sur le tract (visible ici) que l’association (financée par les impôts) communautaire homosexualiste, militante LGBT « Couleurs gaies » [sic] envoie aux établissements de la région Lorraine, on peut lire :
    Depuis 2008, Couleurs Gaies est agréée par l’Académie de Nancy-Metz pour de telles interventions.

    Ces dernières sont construites en référence aux objectifs fixés par les différentes circulaires du ministère de l’Education nationale qui préconisent la lutte contre toutes les formes de discriminations. Au cours de l’année scolaire 2011/2012, notre association a sensibilisé près de 2000 élèves, de la 4ème à la Terminale. [...] Nos interventions font la part belle aux techniques de pédagogie active.

    L’homophobie est la clef d’entrée pour réaliser un travail plus large de déconstruction des stéréotypes et d’analyse critique des phénomènes discriminatoires. [...]
    Nous sommes très sollicités, surtout au cours des mois de janvier, février, mars et avril.
  • Quand l'UMP s'attaque à un document sur la théorie du genre qu'elle a elle-même diffusé...

     

     

    L'UMP en est persuadée : le gouvernement cherche à effacer les preuves de sa promotion de la "théorie du genre". Tellement persuadée que l'un de ses délégués généraux, le député Sébastien Huyghe, a signé un communiqué le 4 février affirmant ceci : Le gouvernement, pris la main dans le sac sur la théorie du genre, essaye désespérément de faire disparaître les pièces à conviction qui l'accusent.
    Cette "pièce à conviction" est un tableau mis en ligne par le site Ligne Azur, une filiale de l'association Sida info service travaillant en partenariat avec l'Education nationale et proposant un service d'écoute téléphonique à destination des lycéens. Le tableau et le site ont pour vocation d'aider ces lycéens se posant des questions sur leur orientation sexuelle. Sauf que depuis le 3 février, le site ne répond plus.
    Il n'en faut pas plus à l'UMP pour accuser le gouvernement de faire tomber volontairement le site, pour cacher ce document, qui explique par exemple que les pratiques sexuelles ne sont pas "nécessairement connectées à la façon dont [on] définit [son] orientation" sexuelle. Une véritable promotion du "genre"à l'école selon l'UMP, que le gouvernement voudrait désormais faire disparaître.
    A un détail près, que Sébastien Huyghe ne semble pas avoir relevé, contrairement à la rubrique Désintox de Libération qui s'est penchée sur la question : le partenariat entre les lycées et Ligne Azur existe depuis 2009. Il été lancé et promu par le ministre UMP Xavier Darcos dans une volonté de "lutte contre l'homophobie", puis reconduit avec le même enthousiasme par Luc Chatel.
    Quant au tableau incriminé, il est en ligne depuis plus de deux ans, avant que la gauche n'arrive au pouvoir. Najat Vallaud-Belkacem ou Vincent Peillon n'ont donc aucun lien avec sa diffusion. L'Etat n'est de toute façon pas censé interférer avec le contenu du site, selon le partenariat qui le lie à Ligne Azur, explique également Libération.
    La formule "identité de genre", qui hérisse le poil de beaucoup à l'UMP, a toujours été présente, même sous l'ère Darcos et Chatel, affirme enfin le rédacteur en chef de Ligne Azur, Alain Miguet. 

     

    Mais ça, Sébastien Huyghe ne l'avait pas relevé à l'époque.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • La charia officiellement enseignée dans un lycée français…

    Qui a dit que l’intégration, ça ne marchait pas ? Au Qatar, ça galope ! Enfin, pour ce qui est de l’intégration des Français à l’islam.

    Qui a dit que l’intégration, ça ne marchait pas ? Au Qatar, ça galope, même ! Enfin, pour ce qui est de l’intégration des Français à l’islam, en tout cas. Au lycée Voltaire de Doha, « certains problèmes » sont donc réglés après l’accord signé entre la France et le Qatar : entre autres, la séparation des sexes au niveau du secondaire et l’enseignement de la religion musulmane. Ici, le mariage ; là-bas, la charia… pour tous !

    Ali Ben Fetais al-Marri, procureur général du Qatar et président du conseil d’administration du lycée Voltaire, l’affirme : « Il y a trois questions qui sont importantes pour les Qataris et les Arabes qui fréquentent cette école, et ce sont l’enseignement de la charia islamique, de la langue arabe et de la séparation entre garçons et filles à partir d’un certain âge… » Qu’à cela ne tienne. « Nos amis français se sont montrés compréhensifs, car l’essentiel pour nous est d’avoir des Qataris francophones attachés à leur langue et leur religion. »

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  • ILGA, exemple de cette internationale LGBT qui vit de subventions

    Peu de gens osent aujourd’hui remettre en question la pertinence, l’influence internationale et le pouvoir économique des organisations politiques LGBT. Il est pourtant bien utile de s’intéresser par exemple au rôle de l’Association lesbienne et gay internationale (ILGA).
    Ce lobby est-il influent en raison de sa représentativité sociale ou de sa force économique donnée par ses membres, affiliés et sympathisants ? La réponse est non, et son apparente force sociale est un montage artificiel dénué de toute représentativité.

    D’où vient le pouvoir économique de l’homosexualisme politique ?
    La réponse à cette question peut être envisagée à travers l’exemple de l’ILGA, qui regroupe environ 356 organisations LGBT en Europe, avec un budget en 2013 de 2.032.400€ selon les données du «registre de transparence» de l’ILGA-Europe, publiées par l’Union européenne.

    Cependant, loin de ce qu’on pourrait attendre d’une organisation qui se prétend représentative et affirme disposer de millions de sympathisants, près des trois quarts du budget de l’organisation, à savoir 69,28%, sont couvert par des subventions publiques de l’ Union européenne mais aussi des États membres.

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  • Les milices antifas s'en prennent à une librairie parisienne

    67886_588698804542859_1187992041_nCe dimanche 9 février, une manifestation des antifas était autorisée par la préfecture de police de Paris. La librairie a été attaquée vers 16h, les deux grandes vitres sont brisées en dépit d'une grille et d'un rideau de fer. Coût : environ 4 000 euros. La nouvelle porte blindée a résisté. 

    Cette librairie, tenue par Emmanuel Ratier, avait déjà été attaquée (bris de glace, peinture rouge avec compresseur, 900 livres détruits) dans la nuit du 8 au 9 décembre 2013.

    Pas un mot sur cette attaque dans les gros médias alors que les journalistes étaient présents.  

    Michel Janva

  • Historique des études sur le coût de l’immigration

    Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, attention à « l’économiquement correct ! »
    À la suite d’un entretien donné par François de Closets au « Figaro Magazine » du 27 décembre 2013 à propos du coût annuel de l’immigration, André Posokhow, qui s’est déjà exprimé à ce sujet sur le site de Polémia à plusieurs reprises, nous a remis un Historique, actualisé, des études sur le coût de l’immigration que nous articulons pour nos lecteurs en trois volets : Présentation de l’Historique – Historique des études – Tableau récapitulatif des études sur le coût de l’immigration.
    Polémia
    I Présentation de l’Historique des études sur le coût de l’immigration
    Une critique hautaine mais mal inspirée
    Dans le Figaro Magazine du 27 décembre 2013, François de Closets, interrogé sur le programme du Front national, s’en est pris au chiffre du coût annuel de l’immigration cité par la présidente de ce parti : 70 Mds€, qui est à peu près celui auquel est arrivé Yves-Marie Laulan lors du colloque de l’Institut de géopolitique des populations en février 2012. Selon le journaliste « le chiffre avancé est purement fantasmatique, les études sérieuses, donc certaines, avancent des chiffres très inférieurs : aux alentours de 10Mds€, gagnés pour certains auteurs, perdus pour certains autres ». Quelle assurance et quel mépris ! Et quel ralliement à l’économiquement correct !
    Des auteurs qualifiés
    Si Monsieur de Closets s’était informé il saurait que depuis 1990, année au cours de laquelle Pierre Milloz, docteur en droit, ancien élève de l’ENA et inspecteur général du ministère de l’Industrie, fit paraître un rapport sur le coût de l’immigration réitéré en 1997, plusieurs auteurs se sont penchés sur cette question. Ces auteurs ont pour la plupart des références qui mériteraient une écoute plus attentive.
    Rappelons que notre unique prix Nobel d’économie, Maurice Allais, avait pris une position très critique sur ce sujet (*).
    D’autres économistes de haute stature : Jacques Bichot, professeur des universités et membre honoraire du Conseil économique et social, et Gérard  Lafay, professeur émérite à Paris II, ont, au début des années 2000, dans le cadre de l’Institut de géopolitique des populations, affiché des montants de coûts annuels supérieurs à 30Mds€.
    Le spécialiste en migrations, Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, a fait paraître depuis 2008 plusieurs monographies pour Contribuables associés dont la dernière, monographie n° 27, a été consacrée à ce thème en novembre 2012.
    Jean-Yves Le Gallou, ancien élève de l’ENA et haut fonctionnaire, s’inspirant de Maurice Allais, a calculé le coût additionnel des 200.000 entrées annuelles d’immigrants.
    Enfin, trois études sont parues en 2012 et 2013. Ce sont celles de Yves-Marie Laulan, démographe, géopoliticien, ancien économiste du FMI et de la Banque mondiale, déjà citée, de Polémia sous la plume d’André Posokhow, ancien de Sciences Po Paris, expert-comptable diplômé et consultant international, et enfin de Gérard Pince, docteur en économie du développement et ancien consultant auprès du FMI et de la Banque mondiale. Ces trois dernières études chiffrent le coût annuel de l’immigration pour les finances publiques françaises entre 65Mds€ et 85Mds€. Certes, les choix opérés par les auteurs, les hypothèses, les modalités de calcul peuvent prêter à discussion ou à la critique. Il est bien évident qu’il s’agit d’estimations ; elles sont d’ailleurs souvent présentées comme telles. Parfois les études se succèdent et se corrigent d’autant plus que, comme l’a souligné Madame Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés, les instruments statistiques offrent une fiabilité faible et font ressortir « une certaine préférence pour l’ignorance ». Mais les travaux n’ont rien de fantasmatique et s’affinent d’année en année face à une situation dramatique et qui s’aggrave constamment. Nous y reviendrons.
    Monsieur Chojnicki n’a pas traité le sujet du coût de l’immigration
    François de Closets parle d’études sérieuses qui avancent des chiffres très inférieurs. Il ne les nomme pas mais celle qui est le plus souvent citée est celle de Xavier Chojnicki, de l’Université de Lille 2, et Lionel Ragot, de l’Université d’Evry, commandée par trois ministères et parue en 2010 et qui a été résumée dans leur livre paru à la fin de 2012 : L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ?.
    X. Chojnicki et son équipe évaluent la contribution nette budgétaire positive des immigrés sur une base statique et leur contribution future aux agrégats macroéconomiques futurs de la France selon la méthode dynamique de la « comptabilité générationnelle ».
    Les médias, qui se réfèrent à leurs études dès que cette question du coût de l’immigration est évoquée, ont accueilli avec soulagement le résultat chiffré de l’étude de 2010 qui annonçait une contribution budgétaire nette positive de 12Md€. Or, deux ans après, le livre réduisait ce solde positif à 3,9Md€ sans qu’une explication claire soit donnée.
    D’une manière symptomatique les médias se sont abstenus de relever que les auteurs ont présenté des constats bien connus mais qui n’en prennent que plus de relief :
        – En plus de la perspective de revenus, « la protection sociale doit dans tous les cas être intégrée à l’analyse des motifs de migration » ;
        – X. Chojnicki souligne la surreprésentation des immigrés pour certains risques de la protection sociale : RMI puis RSA, chômage, logement, famille ;
        – Les auteurs notent, comme Michèle Tribalat, que l’intégration de nouvelles générations d’immigrés « rencontre aujourd’hui de réelles difficultés qui ne doivent pas être occultées ».
    La méthode de détermination de ce solde positif fait ressortir des choix de fond qui sont contestables :
        – Les auteurs ne prennent en compte que les immigrés directs au nombre de 5,2 millions ;
        – Affirmer que la France est un pays d’immigration relativement modérée sur la base d’un solde migratoire de 75.000 personnes revient à assimiler l’émigration des Français autochtones aux flux de retour d’immigrés et à ne pas tenir compte de l’immigration irrégulière. Il s’agit au moins d’une erreur ;
        – Les données statistiques auxquelles se réfèrent les auteurs sont anciennes : la date de référence des travaux est l’année 2005 ;
        – Une autre lacune est d’avoir borné l’examen individualisé des dépenses aux prestations à caractère social dont certaines, comme la santé ou l’éducation, apparaissent comme significativement sous-évaluées. Les autres coûts budgétaires sont répartis au prorata du pourcentage des immigrés dans la population française, soit environ 8% selon les auteurs, ce qui aboutit à une sous-estimation.
    L’immigration, ce n’est pas seulement les immigrés tels que Xavier Chojnicki les définit, à savoir les individus étrangers nés à l’étranger et immigrant légalement en France. Ce sont également leurs descendants qui forment la deuxième génération. Ce sont aussi les immigrés clandestins et les descendants de ceux-ci, nés en France. Or les auteurs n’en ont délibérément pas tenu compte.
    Cette cible restreinte, certaines méthodes employées et le choix de ne pas retenir une surreprésentation de l’immigration dans les autres dépenses que les prestations sociales conduisent à considérer le chiffre positif de 3,9Mds€ du livre de Xavier Chojnicki ainsi que les conclusions de l’étude dynamique comme ne reflétant pas la réalité du poids de l’immigration sur nos finances publiques.
    En définitive, Xavier Chojnicki et Lionel Ragot n’ont traité qu’une partie du coût d’une partie de la population immigrée et d’une partie de ses coûts et non celui de l’immigration comme les médias l’ont apparemment cru et annoncé. En fait, les auteurs n’ont pas traité le sujet de l’immigration et de son coût. A ce titre leurs conclusions ne sauraient être considérées comme la référence de cette problématique et ne méritent pas l’enthousiasme que les médias ont manifesté.
    Des études récentes qui montrent un coût gigantesque et ruineux pour la France et les Français
    Revenons aux études récentes qu’un examen attentif peut qualifier de sérieuses et qui sont résumées dans le tableau ci-après (IIIe volet).
    Il est loisible de constater que ces études et les auteurs qui se sont penchés sur cette problématique sont peu nombreux. Il paraît difficile de comprendre que l’INSEE et l’Institut national d’études démographiques (INED) ne se soient pas livrés à cet exercice. C’est plus qu’un oubli, c’est une lacune que l’on est bien obligé de considérer comme délibérée.
    Comme l’a constaté J.P. Gourévitch et dénoncé M. Tribalat dans son livre Les yeux grands fermés, l’appareil statistique est peu fiable, les chiffres incertains ou absents, l’ignorance volontaire.
    Cet état de choses est à relier au faible écho médiatique qui accueille leurs travaux contrairement à ce qui a été le cas pour les études de X. Chojnicki et de L. Ragot. Il n’y a ni discussion sur le fond, ni critique argumentée : seulement la dérision ou la réprobation.
    Les auteurs ayant travaillé dans des cadres distincts et à des dates différentes, leurs écrits reflètent des choix de méthode divers et parfois sensiblement différents.
    C’est le cas, par exemple, pour l’identification  de la population cible des études et de son estimation chiffrée. J.Y. Le Gallou et G.Pince visent, le premier, le contingent annuel d’immigrés arrivant en France, le second, la seule population immigrée venant des pays du tiers-monde.
    J.P. Gourévitch distingue les dépenses qui sont des coûts de celles qui sont des surcoûts ou des investissements. G. Pince intègre les dépenses régaliennes : défense, culture, etc., dans l’ensemble des dépenses qui constituent la base de calcul des coûts affectés aux immigrés. Enfin, J.P. Gourévitch, à partir de ce qu’il considère comme des investissements, calcule leur rentabilité d’ailleurs négative pour l’ensemble des immigrés à hauteur de 15,3Mds€.
    Cependant il est loisible de constater que les études successives, parfois chez le même auteur, apportent des avancées dans la connaissance de ce phénomène de l’immigration massive et montrent une convergence sur plusieurs points importants.
    La première étude de notre champ d’analyse, celle de Pierre Milloz, a posé le cadre de travail qui est généralement annuel et budgétaire. Ce cadre a été repris par J.P. Gourévitch, Polémia et G. Pince.
    La macroéconomie apparaît chez J.P. Gourévitch au travers du calcul de la rentabilité des investissements et chez Y.M. Laulan. G. Pince, dans le chapitre 5 de son livre paru en 2013, a montré l’impact négatif de l’immigration sur le PIB et surtout sur le PIB par habitant débouchant ainsi sur un appauvrissement drastique et, à terme, sur la ruine des Français.
    J.P. Gourévitch a introduit la notion de coûts sociétaux, de fraude fiscale et sociale et a montré les conséquences chiffrées de ces dérives. Citée par Y.M. Laulan, cette notion a été reprise et développée par l’étude Polémia. On peut argumenter qu’elle correspond plus à un manque à gagner qu’à des coûts réels. Si c’est le cas du travail illégal, ça ne l’est pas pour ce qui concerne la fraude aux prestations sociales. L’estimation récente d’une économie informelle à hauteur de 10% du PIB ne peut que renforcer cette démarche.
    Si les études de Y.M. Laulan et de G. Pince abordent la question, c’est Polémia qui insiste le plus sur l’impact de l’immigration massive sur la dette française.
    La plupart de ces études sont fondées sur des calculs complexes et explicités par leurs auteurs, comme celles de P. Milloz, J.P. Gourévitch, Polémia ou G. Pince, même si elles pâtissent des faiblesses de l’information statistique.
    Au bout du compte, les auteurs, à l’exception de J.P. Gourévitch, convergent vers des estimations élevées du coût annuel de l’immigration sur les finances publiques de la France. P. Milloz l’estimait déjà en 1997 à 42Mds€, soit 55Mds€ en euros 2013. De G. Pince, qui l’évalue à 65Mds€, mais seulement pour ce qui concerne les immigrés des pays tiers, à Polémia, qui conclut à 84Mds€, en passant par Y.M. Laulan, qui cite le chiffre de 73Mds€, la fourchette « sérieuse » est haute et ruineuse pour la France et les Français.
    Et pourtant, en dépit de leur niveau impressionnant et consternant, ces chiffres mériteraient encore des approfondissements et des recherches complémentaires concernant l’impact de l’immigration sur l’économie informelle et la fraude, les dépenses régaliennes et les finances des collectivités territoriales.
    André Posokhow, 3/02/2014

    II Historique des évaluations du coût de l’immigration en France, version PDF, en cliquant ICI

    III Tableau récapitulatif des études sur le coût de l’immigration, en version PDF, en cliquant ICI

     Note :

    (*) « Il faut mettre fin à l’inconscience totale qui a caractérisé jusqu’ici la politique d’immigration de la France » : Maurice Allais, Nouveaux Combats pour l’Europe, 1995-2002 : Un aveuglement suicidaire. Pour une autre Europe, éditions Clément Juglar, 2002 :

    Voir du même auteur :
    84 milliards : coût budgétaire de l’immigration selon le rapport Posokhow
    « L’immigration coûte cher à la France. Qu’en pensent les économistes ? » de Xavier Chojnicki et de Lionel Ragot
    16 milliards d’euros : coût sécuritaire de l’immigration pour le budget français

    http://www.polemia.com/historique-des-etudes-sur-le-cout-de-limmigration/

  • Pour la gauche, le comble du fascisme, c'est le peuple

    Après avoir décrit les étapes de la conversion de la gauche au libéralisme, qu'il fait remonter à l'affaire Dreyfus, Eric Zemmour décrypte ainsi la période actuelle dans Figarovox :

    "Le prix à payer pour la soumission définitive de la gauche au libéralisme économique, c'est effectivement la marche en avant totalitaire vers un libéralisme sociétal. Comme on peut le voir à travers la politique de Najat Vallaud-Belkacem, qui reprend aujourd'hui les programmes que l'inter LGBT promeut depuis 15 ans, ou à travers le rapport sur l'intégration qui prône le retour du voile à l'école, la gauche brûle aujourd'hui ses vaisseaux sociétaux. Elle le fait pour deux raisons assez simples.

    Premièrement, comme on l'a déjà dit, pour masquer sa conversion au libéralisme mondialisé.

    Deuxièmement, parce qu'elle sent qu'il y a «un retour de bâton» dans le pays réel comme le montrent les sondages. Tout l'électorat de droite, de l'UMP au FN, fait désormais bloc sur les thématiques sociétales, immigrationnistes et sécuritaires, mais désormais la moitié de l'électorat de gauche les rejoint également. Il y a une donc une volonté idéologique de la part de la gauche de briser ce qui leur apparaît comme le comble du fascisme : le peuple français. Celui-ci est à leurs yeux, racistes, xénophobe et homophobe. Et les lobbys pourtant ultra minoritaires, qui dictent leur loi au gouvernement, veulent profiter du quinquennat de François Hollande pour imposer leur vision de la société de manière irrémédiable. Il s'agit ni plus ni moins d'une déclaration de guerre."

    Louise Tudy