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anti-national - Page 846

  • Atteintes à la liberté et répression policière : Manuel Valls vs Béatrice Bourges

    Communiqué de Jour de Colère :

    WP_20140130_018"Ce jeudi 30 janvier à 12h30, une important intervention de police s'est déroulée dans le 7ème arrondissement de Paris, aux abords de l'Assemblée nationale. Après un bouclage de la place Edouard Hériot par un imposant dispositif policier, un car de la Préfecture de Police de Paris a été amené sur les lieux afin de procéder à des mises en garde à vue.

    Objectif de cette opération : interpeller une femme assise sur un banc. Son nom : Béatrice Bourges. Son crime : avoir entamé depuis 5 jours un jeûne complet pour enjoindre la représentation nationale d'assumer ses responsabilités face à la crise politique que traverse notre pays.

    L'enjeu : permettre la mise en oeuvre de la procédure de destitution du Président de la République pour manquement à l'exercice de ses fonctions, selon les termes de l'article 68 de la Constitution. Cette procédure est en effet aujourd'hui bloquée par une sorte de pacte mafieux entre les parlementaires et le pouvoir, qui prétendent que l'article 68 de la Constitution est inapplicable.

    WP_20140130_006Pour faire taire Béatrice Bourges, le gouvernement a décidé d'employer les grands moyens. Interpellée onze fois dans la seule journée de lundi, alors qu'elle a été rejointe dans son jeûne par une autre femme, elle a également subi des pressions psychologiques et physiques. La police, en particulier, a cherché à la priver de sommeil la nuit, qu'elle passe à proximité du Mur de la Paix sur le Champs de Mars, avant de rejoindre la place Edouard Hériot la journée. Sur cette place, d’innombrable atteintes à sa liberté de mouvement ont pu être constatées par des supporteurs venus la saluer, eux-mêmes victimes des tracasseries de la police.

    Mardi, la police est intervenue une première fois pour l'interpeller sur ordre du Ministre de l'Intérieur, qui se rendait à l'Assemblée pour les questions orales au gouvernement. Le député Guillaume Larrivé a demandé, lors de cette séance, la démission du gouvernement. Jeudi 30 janvier, Béatrice Bourges a de nouveau été interpellée malgré son état de faiblesse intense. Ne voulant pas provoquer, par sa présence dans la rue, un trouble à l'ordre public, elle a résolu de se réfugier temporairement dans un établissement proche. Un policier lui a barré la route, et elle a dû s'asseoir par terre à ses pieds. Des proches se sont alors interposés. Finalement, Béatrice Bourges a été autorisée à subir un examen médical, ce qui lui a évité une arrestation sans motif. Une de ses proches, qui gardait ses effets personnels, a été menacée d'arrestation par une demie-douzaine de policiers en tenues de maintien de l'ordre, qui l'ont finalement laissée partir.

    Jour de Colère rappelle que la liberté d'aller et venir est garantie par l'article 4 de la Déclaration des Droits de l'Homme qui figure au préambule de la Constitution de la Vème République. Jour de Colère condamne avec la plus extrême fermeté les abus flagrants auxquels se livrent des policiers sommés d'obéir à des ordres illégaux par une hiérarchie complice du pouvoir politique. A l'heure où l'opinion découvre que plus d'un millier de jeunes français s'initient au jihad en Syrie, la police du gouvernement Ayrault traite en terroristes deux femmes qui poursuivent un jeûne de protestation pacifique et non violent. Jour de Colère demande qu'il soit mis un terme immédiat à ces agissements, qui ont pour objectif avoué d'empêcher Béatrice Bourges de diffuser son message auprès des députés. Malgré ces intimidations, plusieurs parlementaires sont cependant venus la saluer depuis mardi."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le mirage libéral de François Hollande

    LES ÉLECTIONS approchent, et avec elles leur lot de promesses et de belles paroles. Les vœux présidentiels n’ont pas fait exception aux tentatives hollandiennes de se sortir du gouffre dans lequel les sondages l’ont installé.

    Il fallait donc frapper un coup, ce qu’a cru faire François Hollande et que les médias se sont empressés de relayer comme un « virage libéral ». Mais de quoi parle-t-on au juste ? De baisses de charges pour les entreprises et de baisse d’impôt « à terme ». Il faudra commencer par nous expliquer ce qu’une baisse des charges salariales a de foncièrement libéral. Nos PME et TPE ont cruellement besoin de ces baisses de charges, et François Hollande l’a au moins compris. Le fera-t-il de ma- nière intelligente ? Rien n’est moins sûr, et nous en reparlerons assurément dans les prochains mois.

    Libéral de longue date

    Il faudra ensuite démontrer l’existence du prétendu virage, car si orientation libérale il y avait, il ne s’agirait pas d’un virage pour un homme que l’on sait libéral depuis longtemps– tout au plus d’un coming out. Après Mitterand en 1984 et Jospin en 2000, après l’allégeance du PS à l’UE et à tous ses traités, comment qualifier de virage libéral le discours du président ? Il faudra enfin et surtout arrêter de se moquer des Français. Car après avoir augmenté les impôts pour tous, après avoir pénalisé fiscalement les familles, il est un peu facile de nous dire que ça ira mieux. C’est la méthode hollandienne : je prends dix et je redonnedeux. Nous en saurons plus à l’issue de la conférence de presse du 15 janvier, mais nous avons déjà une certitude : la France n’a pas de marge de manœuvre budgétaire et elle est encore bien en deçà des contraintes fixées par l’UE, autre sujet de promesse des vœux du président (« don- ner plus de force à notre Union »).

    Sauf miracle, il faudra alors que le gouvernement aille chercher ailleurs ce qu’il aura ainsi distribué, ce qui fait à nouveau craindre le pireCette déclaration se révélera donc probablement un mi- rage plus qu’un virage : mirage pour ceux qui croient aux promesses de François Hollande ; mirage pour ceux qui pensent qu’une orientation encore plus libérale serait bénéfique pour notre économie.

    Pierre Marchand - L’AF 2878

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-mirage-liberal-de-Francois

  • Tous à Paris ou à Lyon dimanche 2 février !

    Pour défendre la famille et l'enfant !
    Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris ou à Lyon, dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées dans de multiples domaines :
    Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, etc.
    Alliance VITA, membre du collectif de La Manif Pour tous, soutient cette initiative et invite ses sympathisants à répondre présent à cet appel.
    Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte parole de La Manif Pour Tous, insiste dans son message sur la défense des plus fragiles, des enfants, des sans-voix : « Ils sont notre avenir. C’est pour eux que nous devons tenir et durer. C’est en leur nom que nous descendrons à nouveau dans la rue le 2 février, pour deux manifestations capitales à Paris et à Lyon ! »
    Cette nouvelle journée de mobilisation ne sera pas seulement nationale, puisque d’autres citoyens européens manifesteront dans leur capitale en même temps : Bruxelles, Budapest, Luxembourg, Madrid, Riga, Rome, Varsovie (et même Buenos Aires, Taïwan…).
    Aucune voix ne doit manquer pour défendre les familles !
    Des cars et des trains spéciaux sont organisés depuis tous les départements
    Si vous n'avez pas déjà réservé votre place, rendez-vous sur www.lamanifpourtous.fr

  • Que s'est-il vraiment passé dimanche 26 janvier au Jour de Colère

     Partie 1

    Partie 2 :

  • Quand le slogan « dictature socialiste » prend tout son sens…

    À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements.

    À force de décevoir les uns, d’indigner les autres, François Hollande a réussi l’exploit de coaguler les mécontentements dans un désir de chasser l’intrus. C’était le sentiment qui animait, dimanche dernier, le long défilé hérissé de drapeaux et de banderoles, martelant des slogans vengeurs et soulevé parfois par de vibrantes Marseillaise. Ce qui parcourait la foule avant tout et lui donnait son unité était un besoin de France, d’une France respectée dans le monde parce qu’elle aura réussi à redonner à ses forces vives le goût du travail et la fierté de leurs valeurs.

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  • Ces politiques qui viennent soutenir Béatrice Bourges

    Christine Boutin :

    BMarion Maréchal le Pen :

    MJean-Marie Le Pen :

    JVéronique Besse :

    0Michel Janva

  • Faits et Documents n°370 du 1er au 15 février 2014 – Portrait : Bernard Stirn

    Le nouveau numéro de Faits & Documents du 1er au 15 février 2014 vient de paraître, avec (entre autres) un portrait de Bernard Stirn. Extrait.

    « C’est la revanche de Dreyfus » s’exclama le très germanophobe Charles Maurras, le 28 janvier 1945, lorsqu’il fut condamné (en moins de trois jours) à la réclusion à perpétuité et à la dégradation nationale par la Cour de Justice du Rhône. Le 9 janvier 2014, après que Manuel Valls avait fait appel en référé en début d’après-midi du jugement du tribunal administratif de Nantes autorisant le spectacle humoristique de Dieudonné M’Bala M’Bala, un unique juge du Conseil d’État, par la voix du président de sa section du contentieux, annulait en moins d’une heure (un cas unique dans l’histoire de la République) ce jugement et interdisait ledit spectacle. Un renversement complet de jurisprudence qui recrée la censure a priori. Une défaite pour la liberté d’expression et un recul des libertés noté par tous les juristes. Contestable sur le fond (cf. notre encadré), cette décision est unique : prise en procédure d’urgence accélérée par un juge unique en une heure. Comme l’a écrit par exemple Serge Sur, professeur émérite de droit public à l’université Panthéon-Assas : « Le 10 janvier 2014 (est) un jour de deuil pour la liberté (avec) une ordonnance désinvolte et presque insolente. » Ironie de l’histoire, l’auteur de cet arrêt essentiel est Bernard Stirn, arrière-petit-neveu du capitaine Alfred Dreyfus.

    « L’histoire a confirmé que le bon air ne se respire que dans la liberté. »
    Bernard Stirn, en conclusion de son ouvrage Les Libertés en questions (1996).

    « L’interdiction du spectacle de Dieudonné porte en germe de graves risques pour la liberté d’expression. »
    Jack Lang, ancien ministre socialiste, 10 janvier 2014.

    « La République a gagné. »
    Manuel Valls, 10 janvier 2014.

    « Le Conseil d’État a été confronté à une situation inédite d’articulation entre la liberté d’expression et ses limites nécessaires dans une société démocratique. »
    Jean-Marc Sauvé, vice-président du Conseil d’État (Le Monde, 13 janvier 2014). Adhérent dans sa jeunesse du Groupe d’information et de soutien aux travailleurs immigrés, ce membre du Siècle, a été l’artisan de la mise en oeuvre de la loi liberticide Fabius-Gayssot comme directeur des libertés publiques sous Pierre Joxe (1988-1994).

    « Le juge n’a pas fait prévaloir la liberté d’expression sur l’interdit et c’est une décision qui est lourde de périls (…) Un (nouveau) cadre juridique lourd de conséquences pour la liberté d’expression (…) Surpris que le Conseil d’État puisse se réunir en moins de trois heures et prendre une décision sur quelque chose d’aussi important. »
    Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’homme (soutenu par l’ancien président de la LDH, Me Henri Leclerc), 10 janvier 2014.

    Bernard Stirn est né le 27 août 1952 à Caen (Calvados). Il est le fils de Geneviève Dreyfus, née le 7 juillet 1911 à Belfort (Territoire-de-Belfort) et décédée le 23 octobre 1990 à Paris. Il est donc le petit-fils de Marguerite Lévy (1888-1945) et de Charles Dreyfus, né le 22 mars 1878 à Mulhouse et décédé le 20 septembre 1914 à Valmondois (Val-d’Oise). Ce dernier était le fils de Louise Wimpfheimer (1852-1931) et de Jacques Dreyfus, né le 7 juillet 1844 et décédé le 15 mars 1915 à Belfort. Frère du capitaine Alfred Dreyfus, Jacques Dreyfus était le fils de Jeannette Libman (1817-1886) et de Raphaël Dreyfus (né le 12 mai 1818 à Rixheim et décédé le 13 décembre 1893 à Mulhouse). Bernard Stirn est donc l’arrière-petit-neveu du capitaine Dreyfus, à l’origine de la fameuse « affaire Dreyfus » qui bouleversa les fondements même de la société française à la fin du XIXe siècle (création d’intellectuels en corps constitué, arrivée au pouvoir des francs-maçons, séparation de l’Église et de l’État, démantèlement de l’Armée avant la Première guerre mondiale, etc.).
    Quand le frère de Bernard Stirn, Olivier Stirn, cacique de la Ve République, alors ministre des Transports sera renvoyé pour avoir payé des figurants pour assister à une de ses conférences (…)

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    http://fr.novopress.info/154482/faits-documents-n370-du-1er-au-15-fevrier-2014-portrait-bernard-stirn/#more-154482

  • Référendum sur l’adhésion de la Turquie à l’UE : nous refait-on le coup du traité de Lisbonne ?

    Cela a sonné comme une grande annonce comme si François Hollande voulait rassurer le peuple français qu’il consulterait quand même de temps en temps. Lors de son déplacement dimanche à Ankara, il a assuré que les Français pourraient se prononcer sur l’adhésion de la Turquie si le processus d’adhésion devait se concrétiser. Mais rien ne dit qu’à ce moment-là Hollande sera encore Président de la République. De plus comme le souligne Le Lab, l’article 88-5 de la Constitution française prévoit effectivement en toute lettre qu’un référendum doit être organisé pour l’adhésion d’un nouvel Etat à l’Union européenne …

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