"Nous continuerons à espionner"
Chems Eddine Chitour*
Ex: http://metamag.fr
Le dernier discours d'Obama a fait l'objet d'une analyse par de nombreux pays et médias. Si les pays occidentaux amis peuvent être «rassurés qu'ils ne seront plus espionnés,» ils ne peuvent faire autrement que d'y croire. Les autres, tous les autres savent à quoi s'en tenir. Ils continueront à être espionnés sans d'ailleurs savoir qu'ils sont espionnés. En fait, l'espionnage américain est sélectif. S'agissant des nations développées technologiquement, cela sera surtout un espionnage économique et technologique. En dehors des pays industrialisés occidentaux à qui Obama promet la paix, il reste les pays émergents au premier rang desquels la Chine qui est particulièrement surveillée à la fois sur le plan économique mais aussi sur le plan militaire. Tout est bon pour la déstabiliser... en vain.
Les révélations de Snowden
Tout est parti des révélations d'un transfuge de la CIA. «Edward Snowden, à l'origine des fuites sur le programme de surveillance américain Prism, a dérobé environ 1,7 millions de documents secrets relatifs aux opérations de renseignement menées par les forces armées états-uniennes, rapporte l'agence Associated Press se référant au Pentagone. La plupart des documents dérobés par le lanceur d'alerte contiennent des informations sur les opérations courantes de l'armée de Terre, de l'US Air Force et de l'US Navy, est-il indiqué dans un rapport secret du département militaire américain. (...) Début juin [2013], Edward Snowden, informaticien a révélé à deux quotidiens, le Guardian et le Washington Post, l'existence d'un programme informatique secret baptisé PRISM. Ce programme permet à la NSA et au FBI d'accéder à des données concernant des personnes vivant hors États-Unis via neuf géants de l'Internet, dont AOL, Apple, Facebook, Google, Microsoft, PalTalk, Skype, Yahoo! et YouTube et Verizon.
Ce fut un tollé en Occident! Les Etats-Unis n'ont-ils pas confiance dans leurs alliés les plus proches ? Les Européens s'en remettent au bon coeur des Américains, pensant naïvement qu'ils avaient un statut privilégié. Ils s'aperçoivent qu'en face de l'Empire, c'est encore et toujours des vassaux
Les rodomontades de l'Europe en face de la détermination américaine
Sacrifiant à un rituel qui tient plus de l'amour-propre blessé que d'une réelle opposition à laquelle eux-mêmes n'y croient pas, les Européens décident de «réagir». Nous lisons: «La commission du Parlement européen chargée d'enquêter sur les programmes de surveillance de la NSA en Europe a réagi assez négativement au discours du président Obama sur la réforme des activités des services de renseignements américains, vendredi 17 janvier. L'un de ses rapporteurs, le travailliste britannique, Claude Moraes, a réaffirmé les exigences européennes: «Les autorités américaines doivent mettre fin au système actuel de discrimination, dans lequel les citoyens européens ont moins de droits que les citoyens américains en matière de protection de la vie privée, y compris devant les tribunaux américains. Nous aurions préféré entendre un message plus rassurant sur ces questions.»
«Selon lui, le discours du président Obama est d'autant plus décevant que l'Union européenne négocie depuis des mois avec les Etats-Unis sur ces points précis - notamment le droit pour un citoyen européen de porter plainte devant un tribunal américain pour violation de sa vie privée. (...) Par ailleurs, le 9 janvier, la commission avait décidé, par 36 voix contre 2, de solliciter le témoignage d'Edward Snowden, (...) L'audition se ferait par liaison vidéo entre Bruxelles et la Russie - en différé, pour des raisons de sécurité.»
Nous sommes à peu près sûrs que cela ne se passera pas, et que cette menace est de fait un coup d'épée dans l'eau. On ne menace pas l'Empire, on demande humblement d'être adoubé par lui, quand bien même il est sur le déclin, sa capacité opérationnelle est intacte «En attendant, poursuit le journaliste, la commission d'enquête a publié un rapport préliminaire préconisant la suspension de plusieurs accords d'échange de données personnelles entre l'Europe et les Etats-Unis, le développement d'un «cloud» européen souverain, de nouvelles lois assurant une meilleure protection des lanceurs d'alerte, et la promotion de l'usage du cryptage et des logiciels libres. Le rapport final devrait être adopté fin janvier, puis soumis au vote de l'assemblée plénière à la fin du mois de février.»
On le voit, l'Europe est en plein combat d'arrière-garde, elle menace sans trop grande conviction donnant le temps à Obama de leur donner une réponse un peu crédible. Obama prévient que la NSA va continuer à espionner les étrangers
Les Etats-Unis persistent et signent : « C'est notre devoir d'espionner tout le monde. »
Après avoir annoncé une réforme limitée des opérations de surveillance américaines, le président Barack Obama a enfoncé le clou, samedi 18 janvier, dans une interview à la télévision publique allemande ZDF. «Nos agences de renseignement, comme les agences allemandes et toutes les autres, vont continuer à s'intéresser aux intentions des gouvernements de par le monde, cela ne va pas changer.» Il a toutefois assuré que la chancelière Angela Merkel n'avait «pas à s'inquiéter» de cette surveillance, alors qu'un de ses téléphones portables aurait été écouté par l'agence de renseignement NSA, ce qui a fait scandale en Allemagne. Et il a insisté sur «la relation d'amitié et de confiance» qui lie selon lui les deux pays.»
«Mais loin de lui l'idée de renoncer à des pratiques dont la révélation l'an dernier par l'ancien consultant de la NSA Edward Snowden a profondément entaché la relation transatlantique. La collecte de données par le renseignement américain, est «au service de nos objectifs diplomatiques et politiques», a expliqué le président. «Et ce n'est pas la peine d'avoir un service de renseignement s'il se limite à [collecter] ce qu'on peut lire dans le New York Times ou dans Der Spiegel. La vérité c'est que par définition le travail du renseignement est de découvrir: que pensent les gens? Que font-ils ?»
Les Etats-Unis promettent la fin des écoutes des dirigeants alliés
Dans son discours, le président américain Barack Obama a détaillé, vendredi 17 janvier, les premières modifications qu'il entend apporter à certaines des activités de surveillance controversées de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine, sept mois après le début des révélations contenues dans les documents d'Edward Snowden. La quasi-intégralité de la liberté d'action de la NSA en matière de surveillance est préservée, seule une petite partie des 46 propositions remises en décembre par un comité d'experts ayant été avalisées. M.Obama a annoncé qu'il allait demander à la communauté du renseignement d'arrêter d'espionner les dirigeants de pays alliés, «à moins que notre sécurité nationale soit en jeu». «Les dirigeants étrangers alliés doivent être sûrs qu'ils peuvent nous faire confiance» a-t-il expliqué, ajoutant que les citoyens du monde entier devaient savoir que la NSA ne les surveillait pas sauf s'ils «menacent la sécurité nationale».
«Une annonce à laquelle s'est empressée de réagir Viviane Reding, vice-présidente de la Commission européenne: «La Commission européenne a demandé en novembre de mettre en oeuvre des actions pour restaurer la confiance. Les déclarations du président Obama sont un pas dans la bonne direction. Je suis encouragée par le fait que les citoyens non américains vont pouvoir bénéficier de protection contre l'espionnage, mais j'attends de voir ces engagements se concrétiser avec des lois.»
Le principal changement concerne le programme de collecte de métadonnées téléphoniques (qui appelle qui, où et quand), la première révélation et celle qui a le plus frappé outre-Atlantique. M.Obama a reconnu que sans «garde-fous suffisants, les risques pour la vie privée étaient réels» et que ce programme n'avait jamais fait l'objet d'un «véritable débat public». Mais, désormais, la NSA devra obtenir une autorisation de la justice à chaque fois qu'elle voudra acquérir ces métadonnées. Actuellement, une seule et unique ordonnance secrète de la justice autorise une collecte massive de ces données.»
D'autres changements concernent la publication de décisions de justice secrètes importantes, une évaluation annuelle des pratiques d'interceptions électroniques, ainsi que la création d'un poste de diplomate spécialisé dans les questions de renseignement. «Le monde attend de nous que le numérique soit synonyme de progrès, pas de contrôle gouvernemental. Le monde est exigeant envers les Etats-Unis. Grâce à la force de notre démocratie, nous ne devons pas avoir peur de ces attentes», a conclu M.Obama à l'issue d'un discours sans surprise ni véritable changement en profondeur des pratiques de la NSA. Ces changements ne concernent en effet qu'une partie minime des programmes de la NSA. Outre le programme Prism, qui permet d'aller piocher dans les serveurs de certains géants du Web, Barack Obama n'a rien dit par exemple du programme Bullrun, qui vise à affaiblir les technologies de chiffrement grand public utilisé par des centaines de millions d'internautes au quotidien.»
Les prouesses de la NSA
La NSA intercepte 200 millions de SMS quotidiennement. Non contente d'espionner d'une façon traditionnelle, la NSA innove. On rapporte que l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) intercepte quotidiennement jusqu'à 200 millions de textos par jour dans le monde, écrit le quotidien britannique Guardian, se référant aux documents fournis par l'ex-agent de la CIA Edward Snowden. En avril 2011, les services spéciaux américains interceptaient quelque 194 millions de textos par jour. Le programme spécial qui a pour nom de code «Dishfire» leur permettait d'obtenir des informations sur la localisation de l'expéditeur, ainsi que sur ses contacts et ses transactions financières, ajoute le Guardian. « Les SMS : une mine d'or à exploiter », révélant que le programme a permis de collecter en moyenne 194 millions de textos par jour en avril cette année-là. (...) « La NSA travaille à expurger les données superflues (concernant les citoyens américains, Ndlr), ainsi que celles des innocents citoyens étrangers aussi tôt que possible dans le processus » de collecte, s'est défendue l'agence américaine dans un communiqué ».
Par ailleurs, selon un document fourni par Edward Snowden, l'agence de renseignement a piraté un réseau Internet français pour accéder aux données du câble. L'Agence de sécurité américaine, la NSA, a réussi à pirater en février 2013 le réseau informatique d'un groupe de sociétés qui gère un gros câble informatique reliant la France, l'Afrique et l'Asie, apprend-on lundi 30 décembre 2013.
De plus, l'agence de renseignements américaine a pu installer un logiciel espion sur près de 100.000 ordinateurs à travers le monde, créant ainsi un réseau utilisable pour des opérations de piratage. Dans la plupart des cas, le programme en question a été introduit via des réseaux informatiques, mais la NSA a également eu recours à une technique secrète qui permet d'accéder aux machines non-connectées, rapportait le New York Times, citant des membres de l'administration, des experts en informatique et des documents divulgués par Edward Snowden. Exploitée depuis 2008 au moins, cette technique fonctionnerait à l'aide de fréquences radiophoniques émises par des circuits imprimés ou des cartes USB insérées secrètement dans les machines cibles. Parmi les cibles principales de ce programme baptisé Quantum, figurent certaines unités de l'armée chinoise, que Washington accuse de cyber espionnage, toujours selon le New York Times. Des programmes mouchards auraient également été implantés dans des réseaux de l'armée russe, de la police mexicaine et des cartels de narcotrafiquants, des institutions européennes chargées des échanges commerciaux ou d'alliés tels que l'Arabie Saoudite, l'Inde et le Pakistan.
Enfin, pour le futur, l'Agence nationale de sécurité américaine (NSA) cherche à créer un ordinateur quantique à même de décrypter presque n'importe quel code de sécurité, selon le Washington Post qui cite des documents divulgués par l'ancien consultant Edward Snowden. (...) En 2009, des informaticiens avaient certes réussi à découvrir les clés de cryptage d'un chiffre de 768 bits en utilisant des ordinateurs classiques. Mais il leur a fallu presque deux ans et des centaines de machines pour y parvenir, rappelle le Washington Post. Selon les experts, il est encore bien trop tôt pour dire quand un ordinateur quantique opérationnel pourra voir le jour et beaucoup doutent que la NSA soit sur le point de réussir toute seule dans son coin.» (Nouvel Observateur 15 janvier 2014)
Et maintenant ?
Le processus d'espionnage des «faibles» va reprendre dans l'ombre. Aux Etats-Unis, même avec le nouveau cadrage qui gère plus la forme que le fond, les rapports vont se construire sous la pression de l'opinion publique pour préserver avant tout et exclusivement la vie «privée» des citoyens américains. Si aux Etats-Unis avec les lois de plus en plus contraignantes Big Brother arrivera à savoir tout sur vous. Last but not least pour tous les autres, c'est la «liberté du renard dans le poulailler». les Européens protestent, les pays émergents tentent de trouver la parade, les autres, tous les autres ne savent même pas qu'ils sont espionnés. Personne ne croit à cette réforme cosmétique de la NSA qui est un état dans l'état. Julian Assange, leader de WikiLeaks, a dénoncé la vacuité du discours d'Obama. En gros Barack dit: «C'est notre intérêt de vous espionner donc on continuera au nom des Droits de l'Empire sur les vassaux et sur les esclaves. Exit les Droits de l'homme». De plus et comme le disait Jacques Chirac, "les promesses n'engagent que ceux qui y croient". Les Européens peuvent-ils faire autrement ? La question reste posée.
*Ecole Polytechnique enp-edu.dz
http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/01/29/temp-413460ba15609a5e0ee5331c97e13adb-5284833.html
anti-national - Page 843
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LES ETATS-UNIS PERSISTENT ET SIGNENT
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PMA, théorie du genre : la Manif pour tous reprend le combat
Né de la lutte contre le mariage pour tous, le mouvement, qui défile dimanche à Paris et à Lyon, met en garde le gouvernement avant la discussion de la future loi famille.
Plus d'un millier de bénévoles, un service d'ordre renforcé, une quinzaine d'«avocats médiateurs» et même deux huissiers de justice. Pour ce premier grand rassemblement de sa «saison II», la Manif pour tous a tout prévu pour «créer l'atmosphère la plus sereine possible». Au terme d'un long bras de fer avec la Préfecture de police de Paris, le collectif a obtenu, vendredi matin, «un parcours qui réunit les conditions maximales de sécurité pour nos manifestants», se félicite Albéric Dumont, coordinateur général. À Paris, le rendez-vous est fixé à 13 heures place de l'École-Militaire, pour rejoindre la place Denfert-Rochereau. Au même moment, une «manifestation jumelle»se tiendra à Lyon.
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La Manif pour tous, édition 2014 : c'est parti pour le direct !
(Rafraîchissez régulièrement la page pour suivre le direct. Vous pouvez envoyer photos, vidéos et infos à tudylsb@gmail.com ou via twitter @LouiseTudy)
Près d'un an après la manifestation monstre du 13 janvier 2013, la Manif pour tous est de nouveau dans la rue. La loi Taubira est passée, mais les manifestants ne lâchent rien. Ils viennent de toute la France à Paris et à Lyon :
- Pour demander l'abrogation de l'inversion du mariage
- Pour dire NON à la fabrication d’enfants délibérément privés de père (PMA pour les paires de femmes). Et peu importe l'avis que rendra le Conseil consultatif national d'éthique.
- Pour dire NON à la légalisation des mères porteuses (GPA). Pas de marchandisation de la femme et de l’enfant !
- Pour dire NON à l’enseignement et la diffusion de l’idéologie du gender. Une vraie menace que les nombreux démentis médiatico-politiques de cette semaine ne parviendront pas à masquer.
- Pour dire NON à l’asphyxie fiscale des familles.
- Pour dire NON à la réduction du congé parental et oui OUI la liberté des parents dans ce domaine !
11h00 - place Bellecour à Lyon - premiers préparatifs pour un départ prévu à 14h :
Pendant ce temps, à l'Ecole militaire à Paris : conférence de presse de Ludovine de la Rochère et Albéric Dumont :
La suite ici => http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/02/la-manif-pour-tous-%C3%A9dition-2014-cest-parti-pour-le-direct-.html
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La Belgique a sa LICRA
La LBCA ( Ligue belge contre l’antisémitisme) vient de faire son apparition en Belgique. Elle a été lancée officiellement ce lundi 27 janvier. On peut sans aucun doute faire le rapprochement avec la médiatisation forcenée de l’affaire Dieudonné. D’ailleurs on ne peut pas s’y tromper, il suffit de regarder la page d’accueil. On a un dossier exclusif : « Grand angle sur le député antisémite Laurent Louis » ou bien encore « Alain Soral, ennemi public n°2 » ou « le pitoyable bouffon Dieudonné ». Bref on a Dieudonné, Soral et quenelle. Son objectif est de lutter « contre toute forme d’antisémitisme ». Pour se faire, elle entend bien s’inspirer de ce qui s’est fait en France sous l’impulsion de Manuel Valls avec Dieudonné : « Dans l’exercice de sa mission, la LBCA agira sur le plan préventif en favorisant le dialogue et la pédagogie. Le dialogue est sans doute le meilleur des antidotes contre l’ignorance qui féconde la haine et l’exclusion. Mais quand la liberté d’expression sert impunément à discriminer, injurier et inciter à la haine, il faut alors recourir aux outils légaux mis à disposition à cet effet par l’État de droit. Ainsi, lorsque cela sera nécessaire, la LBCA agira également sur le plan répressif en sollicitant auprès de la justice l’application de la loi de 1981 contre la racisme et la xénophobie et la loi de 1995 contre le négationnisme. » Cette ligue a un comité d’honneur qui peut se composer de personnalités étrangères. Nous retrouvons l’imam Hassen Chalghoumi mais aussi sans surprise Beate Klarsfeld.
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Provocations de la police politique : une mise en garde du Printemps Français ... Et le refus de la transparence de la part du Gouvernement
Pas dupe de la police politique
Le Printemps Français met en garde, au regard des expériences que nous avons connues le printemps dernier et encore dimanche dernier, sur toutes les provocations policières qui pourraient avoir lieu demain, à l’occasion de la Manif Pour Tous à Lyon et à Paris.
Le Printemps Français dénonce les débordements qui sont le fait de groupes de policiers en civil présents dans la manifestation contre le mariage pour tous, qui étaient présents aussi dimanche dernier et qui s’en sont pris à des manifestants pacifiques.
Les consignes du Printemps Français sont extrêmement claires. Nous ne tolérerons aucun débordement et aucune mise en cause de l’intégrité des manifestants. Face aux débordements que nous avons connus dimanche dernier mais aussi à ces atteintes à la liberté d’expression et même à la liberté d’aller et venir dont est victime Béatrice Bourges depuis une semaine, la détermination doit prévaloir. Il n’y aura sur ce point aucune ambiguïté de la part de ceux qui se réclament des valeurs de la famille et du mariage.
Dernière minute : Manif pour tous : la justice annule la présence d’huissiers dans le cortège
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Provocations-des-barbouzes-une
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Gender : l'ABCD d'une imposture
par Claude Wallaert
Vincent Peillon doit être déçu : lui qui appartient à un « genre » de politicien qui fonde tout sur l’idéologie et le mépris de ceux à qui il veut la faire ingurgiter, voici que les parents des enfants qu’il espère un jour prochain transformer en Komsomols d’un genre moderne se rebiffent un peu partout :...
...sa prétendue pédagogie ABCD ne trompe que ceux qui ne demandent pas mieux, et depuis plusieurs jours dans des centaines d’écoles, des parents retirent leurs enfants de l’école, le temps d’une journée symbolique, affirmant par là leur prééminence de droit dans le domaine de l’éducation !
Mentant solennellement, ce ministre de subversion affirme : « l’école de la république n’enseigne absolument pas la théorie du genre. Elle enseigne l’égalité de tous les points de vue. » Cette tartufferie fait écho à celle de son premier ministre, qui affirmait la main sur le cœur lors d’un entretien avec « La Croix » le 30 septembre dernier : « il n’est pas question d’introduire je ne sais quelle idéologie à l’école ! Il n’est pas question d’un temps d’enseignement sur la théorie du genre... » En réalité, nombreux sont maintenant les parents qui peuvent témoigner de l’insidieux endoctrinement qui sourd plus ou moins ouvertement dès l’école maternelle et qui procède directement des préjugés contenus dans la théorie du genre et qui vise à détruire les fameux « stéréotypes familiaux et sexistes »...Une sénatrice ne proclamait-elle pas voici peu : « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, mais appartiennent à l’Etat » ? Et nous avons tous entendu parler de ce charmant livre proposé aux écoliers : « J’ai deux papas qui s’aiment ». [...]
La suite sur Politique Magazine
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Gender-l-ABCD-d-une-imposture
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Qui sont les Français qui partent combattre en Syrie? - leJDD.fr
Il sont près de 700 Français ou résidents en France à avoir été répertoriés par les services français pour leur implication dans le conflit syrien. Un phénomène jugé particulièrement “inquiétant” par le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Récit de plusieurs destins de ces jeunes partis en Syrie combattre contre le régime de Bachar el-Assad.
"Un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe"
C’est leur histoire qui a véritablement médiatisé la problématique des jeunes Français partant combattre dans des groupes djihadistes opposés au régime syrien. Deux lycéens de 15 ans et 16 ans, habitant dans la région de Toulouse, ont laissé tomber leurs études pour tenter de rejoindre la Syrie. Radicalisé par Internet, l’un des deux adolescents était pourtant décrit par son chef d’établissement comme "un élève sans histoire, plutôt bon élève, délégué de classe, investi". Les deux élèves ont finalement été retrouvés en Turquie dimanche et lundi avant d’être placés en garde à vue mercredi.
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Gender : 200 000 Allemands contre l’idéologie arc-en-ciel !
Près de 200.000 personnes viennent de signer une pétition contre l’enseignement de la « diversité sexuelle » dans le Bade-Wurtemberg.
Malgré les menaces et les intimidations du ministre de l’Éducation nationale, certains parents continuent délibérément de ne pas envoyer leurs enfants à l’école. Le même ministre s’obstine à nier que l’on veuille imposer en France la loi du genre, comme on tente pourtant de le faire un peu partout en Europe, en Suisse et en Allemagne notamment. Mais les parents d’élèves, outre-Rhin, ne se laissent pas faire : le 18 janvier dernier, ils avaient organisé à Cologne une manifestation publique contre les cours obligatoires d’éducation sexuelle, version gender.
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Ça se dispute i-TELE 31 Janvier 2014 1/7 (Zemmour vs Domenach)
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Les manifestants sont excédés en voyant les "casseurs" mettre des brassards de police