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anti-national - Page 851

  • La police de l’opinion en quelques lois

    Un excellente synthèse du Salon Beige

    A l’occasion de l’affaire Dieudonné, certains ont critiqué le retournement de jurisprudence décidé par le Conseil d’Etat sous l’impulsion de Manuel Valls, en affirmant qu’il aurait suffi d’appliquer la loi existante.

    L’occasion de rappeler qu’il existe en effet tout un arsenal législatif liberticide en France, sur lequel peut s’appuyer la police de l’opinion actuelle. Pour pouvoir un jour les abroger, il peut être utile de connaître ces lois réprimant la liberté d’expression. Petit tour d’horizon :

    1881- 1972 : un siècle de liberté d’expression

    La France fait l’expérience pendant près d’un siècle d’une libre expression publique, grâce à la loi de 1881 sur la presse. Preuve, selon le philosophe Philippe Nemo, dans son ouvrage "Les deux Républiques françaises", qu’un juste équilibre est possible :

    "Promulguée après de vives luttes pour la liberté d’expression, elle avait réussi à supprimer toute censure, sauf pour certaines restrictions concernant l’ordre public, notamment la diffamation, l’injure et l’incitation à l’émeute. Elle autorisait l’expression publique de toute opinion, y compris des hostilités verbales entre divers courants idéologiques, considérées comme élément essentiel d’une vraie démocratie. (...) Les idées les plus farfelues s’exprimaient librement, sans que la France ne soit devenue ni nazie, ni communiste, ni antisémite ni plus homophobe ou xénophobe qu’auparavant."

    La loi Pleven de 1972 sur le racisme : les sentiments et les propos deviennent des délits

    Mais en 1972, la majorité de droite fait adopter la loi Pleven, qui modifie en profondeur la loi de 1881 à plusieurs points de vue : [...]

    La suite ici

  • Info trafic (suite) : pas de train depuis Bordeaux

    Vraiment curieux cet hasard, il n'y a pas de train le dimanche 2 février au matin au départ de Bordeaux :

    L

    Michel Janva

  • Le dessous des ONG, une vérité cachée : Amnesty International

    Si au premier abord, les ONG poursuivent des objectifs louables s’orientant vers la défense des droits de l’Homme et de la dignité humaine, de plus en plus d’éléments démontrent que pour certaines de ces organisations ce constat est à relativiser. Infiltrées par des représentants des gouvernements, prenant part à certains conflits, passant sous silence d’autres ; en filigrane se dessinent les contours d’une stratégie qui est le reflet de la politique des départements des affaires étrangères.
    Par l’AEGE
    Certains gouvernements, comme les États-Unis, ne se cachent d’ailleurs pas de cette instrumentalisation des Organisations « non-gouvernementales ».
    Ainsi, l’ancien secrétaire d’État Colin Powell, dans un discours adressé aux ONG au début de l’Operation Enduring Freedom(l’invasion de l’Afghanistan), en octobre 2001, déclarait :
    «Les ONG sont un démultiplicateur de force pour nous, une partie tellement importante de notre équipe combattante.»1
     
    L’ONG Amnesty International a été créée par le britannique Peter Benenson. Avant d’exercer le métier d’avocat, il a travaillé au bureau du ministère de l’information et de la presse britannique lors de son service pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il a ensuite travaillé au Bletchley Park qui était le centre de décryptage anglais, où il était affecté à la «Testery». Peter Brenenson était chargé de déchiffrer les codes allemands.
    « En 1960, Benenson est choqué par un article de journal qui relate l’arrestation de deux étudiants condamnés à sept ans de prison pour avoir porté un toast à la liberté pendant la dictature de Salazar. Révolté, il lance dans le journal l’Observer (dont le rédacteur était David Astor) un appel en faveur « des prisonniers oubliés » dans lequel on a utilisé pour la première fois la notion de « prisonnier d’opinion ».
    L’avocat reçoit alors des milliers de lettres de soutien. L’appel, repris dans les journaux du monde entier, demandait aux lecteurs d’écrire des lettres pour protester contre l’arrestation des deux jeunes hommes. Pour coordonner cette campagne, Benenson fonde en juillet 1961 l’association Amnesty International avec l’aide, entre autres, de Sean MacBride et d’Eric Baker. » (2)
    Depuis, Amnesty s’est vu reconnaître le caractère d’organisme à voix consultative auprès de l’ONU,auprès, notamment, de son Conseil économique et social, de l’UNESCO, de l’Europe et de l’Organisation des États américains. Elle jouit également d’un statut d’observateur auprès de l’Union Africaine. Par plusieurs actions, l’organisation s’est illustrée par sa partialité.
    A ce titre, la critique de l’intervention de l’armée française au Mali, trois semaines après son commencement, reposant sur une étude « exhaustive » de dix jours, illustre bien l’attention que l’organisation accorde à ce sujet. Amnesty International est une ONG qui prône son indépendance financière grâce aux dons faits par une majorité d’anonymes. Cependant un doute plane quant à la nature des financements de l’organisme.
    C) Le financement.
    En premier lieu nous pouvons voir que l’ONG dispose de plusieurs strates. Amnesty International est la première façade mais derrière nous retrouvons Amnesty International Charity Limited qui est une association enregistrée comme charitable et c’est par celle-ci que passe les financements d’États et de groupes corporatistes. Georges Soros, milliardaire notamment accusé de délit d’initiés en France par la Société Générale est à la tête de la fondation Open Society Institute, qui promeut la démocratie, est l’un des plus gros donateurs d’Amnesty International Charity Limited.
    Il a déjà investi plus de 100 millions de dollars au sein de l’ONG. (Peut-être dans un souci de conscience et de transparence vis à vis des États) Il y a deux ans, un autre « scandale » financier éclaboussait l’ONG. L’ancienne directrice d’Amnesty, Irene Khan, s’est vue octroyer une indemnité de départ de plus de 600 000€, étrange venant de cette femme qui avait activement lutté contre la pauvreté dans le monde (3)
    .
    Amnesty international se prévaut de l’acte Transparency International, ce dernier est un indice de perception de la corruption. Mais il n’y a aucun détail des dons. Un don peut être un don d’Etat ou de particulier. Où sont ces détails ? Pourquoi ne sont-ils pas déclarés officiellement ? Peut-on se considérer comme transparent dans ces moments là ? Toutes ces questions laissent planer des doutes au-dessus de l’ONG.
    D) Amnesty, une indépendance relative.
    Après s’être penché sur l’indépendance financière douteuse, les financements opaques d’Amnesty International, il paraît primordial d’analyser la partie influence et collusions qu’entretient l’ONG avec certaines entités (pays, entreprises, autres ONG). De cette « indépendance », aussi bien politique que financière dont elle s’est fait le porte-parole, Amnesty International apparait, par certains égards, être le contraire de ce qu’elle prône. En effet, comment ne pas voir un conflit d’intérêts lorsque Suzanne Nossel, Directrice d’Amnesty International USA de 2012 à 2013 a été l’assistante personnelle d’Hillary Clinton aux affaires étrangères américaines ?
    Cette même personne est à l’origine de la création du terme « Smart Power », soit la conjugaison entre une manière douce (soft) d’influencer, d’imposer sa puissance et une manière dure (hard) par la puissance militaire. Le « Smart Power » est dorénavant le cheval de bataille de l’administration Obama. Après son passage d’une année à la tête d’Amnesty International USA, Suzanne Nossel a pris la direction de l’association PEN American Center (4).
    Certains détracteurs internes d’Amnesty International lui ont reproché des orientations stratégiques trop proches de la politique étrangère américaine. Mais que ces détracteurs se rassurent Franck Jannuzi a été choisi pour assurer l’intérim de Suzanne Nossel. Le choix d’Amnesty International USA de M Jannuzi pour le poste de directeur exécutif adjoint à Washington DC est d’ailleurs étonnant, lorsque l’on s’intéresse à sa carrière.
    M Jannuzi a travaillé pour le bureau du renseignement et recherche en tant qu’analyste politico-militaire sur la région d’Asie de l’est. Ce dernier est maintenant chargé d’établir des orientations stratégiques adaptées à l’évolution de la politique étrangère américaine pour Amnesty International USA (5).
    Mais cette solution est-elle si récente entre le gouvernement américain et Amnesty International ? Deux cas prouvent que ce lien existe depuis plus d’une vingtaine d’années. Avant le début de la première guerre du Golfe, l’administration américaine relayait une information décrivant des soldats irakiens, arrivés dans un hôpital koweïti, vidant plus de 300 couveuses qui abritaient des enfants prématurés.
    Les enfants étaient jetés à même le sol, les couveuses rapatriées en Irak. Cet évènement a été prépondérant dans le retournement de l’opinion publique américaine, au départ non favorable à une intervention au Moyen-Orient. Amnesty International a joué un rôle clé en se faisant l’écho du gouvernement américain tout au long de l’opération.
    Plus récemment, Amnesty International a lancé une campagne publicitaire pour soutenir l’intervention de l’OTAN en Afghanistan « Enduring Freedom » avec un engagement majoritaire des forces américaines. Amnesty International a publié lors du sommet de l’Otan en mai 2012 des affiches stipulant :
    « Droits humains pour les femmes et les jeunes filles en Afghanistan : OTAN, continuez les progrès ! ».
    Les chiffres des pertes civiles durant le conflit en Afghanistan sont pourtant sans équivoque, à la fin du mois d’août 2009, le nombre de victimes civiles était estimé à 9 500 tués (6).
    A ce titre, il est étonnant que le conflit en Afghanistan n’ait pas suscité les mêmes critiques que l’intervention française au Mali.
    Ces interventions sont pourtant toutes les deux destinées à combattre le terrorisme et la répression de population par les islamistes.
    Où est passée la ferveur d’Amnesty International à rétablir la vérité, à dénoncer les auteurs de ces crimes, de ce non-respect des droits humains ?
    Ainsi lorsqu’Amnesty International part enquêter sur le bien-fondé de l’intervention française au Mali, à peine une semaine après le début de l’offensive : doit-on y voir une démarche louable soucieuse de défendre les droits de l’Homme ou une manœuvre subversive visant à nuire à l’image de l’armée française et malienne ?
    Au regard de la participation de personnes liées au gouvernement américain au sein de la direction d’Amnesty International, on peut légitimement se questionner quant à l’indépendance et l’impartialité de cette organisation.
    Au-delà de la défense des droits de l’Homme et de la dignité humaine comme objectif premier, ne faut-il pas un voir un objectif second qui vise à devenir le relais de l’influence culturelle américaine ?
    Ceci, afin d’installer sur le long terme un terreau qui serait favorable aux ambitions stratégiques américaines ?
    Notes
    (1) Michael Mann, Incoherent Empire, Verso, 2003
    (2) http://fr.inforapid.org/index.php?search=Peter%20Benenson
    (3) http://www.dailymail.co.uk/news/article-1358537/Revealed-Amnesty-Internationals-800-000-pay-offs-osses.html#ixzz1EdIXunkv
    (4) http://www.pen.org/press-release/2013/01/16/pen-american-center-names-suzanne-nossel-executive-director
    (4) http://www.amnestyusa.org/
    (6)http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/8143196.stm&title=[41]

  • Valls, l’intégriste laïciste, dénonce le « danger » catholique !

    Ce gouvernement de francs-maçons, de sans-culottes et de “tricoteuses” a déclaré la guerre aux chrétiens. Manuel Valls ne l’a pas dissimulé, mercredi dernier, lors d’une « rencontre sur la laïcité » organisé par le groupe socialiste de l’Assemblée nationale. Aux armes citoyens ! À moi les Fils de la Veuve ! : la laïcité est en danger ! La première menace vient, selon lui, « des intégristes de l’ultradroite catholique, rejoints par une partie de la droite » qui osent, crime irrémissible, se battre contre le “mariage” et l’avortement “pour tous”… « Il faut mener un combat parce qu’il y a danger », a-t-il martelé. Nous voilà prévenus…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/christianophobie-fr/valls-lintegriste-laiciste-denonce-le-danger-catholique_97603.html#more-97603

  • Info trafic : pas de train le jour des manifs

    Par un curieux hasard :

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  • Mesures d'urgences : l'UMP "oublie" la famille

    Le conseil national de l’UMP doit arrêter aujourd'hui les grandes mesures d’urgence pour l’alternance. Or, pas une seule ne concerne la famille. Hervé Mariton explique

    "J’ai proposé que nous fassions état de nos propositions sur la famille, de notre vision du modèle familial. Mais je me suis incliné devant le sentiment majoritaire : l’UMP a considéré qu’il ne fallait pas cliver trop fort, trop tôt, que la question n’était pas suffisamment stabilisée pour que nous l’abordions dès ce conseil national. Mais nous y reviendrons, je m’y engage. Les sujets liés aux valeurs sont centraux dans le débat politique. L’UMP est trop prudente sur ces questions : j’assume par exemple le mot «abrogation»de la loi Taubira. Je manifesterai le 2 février avec «La manif pour tous», car plus François Hollande donnera le sentiment d’être aimable à l’égard des entreprises, plus, en contrepartie, il offrira sur les questions sociétales des gages à EELV, à la gauche du PS et à l’ultragauche."

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  • Le communautarisme vient de faire son entrée dans le sport !

    Une équipe féminine de basket va disputer son premier match revêtue du voile islamique !

    Il y avait bien eu, ici ou là, des projets de compétitions féminines auxquelles devaient participer des sportives voilées, mais ils avaient tous échoué : le bon sens tenait bon. Hélas ! le bon sens vient de lâcher prise : une équipe féminine de basket va disputer son premier match revêtue du voile islamique !

    Pour une première, c’est une première, mais ce n’est pas une première sportive : c’est une première communautariste, la pire de toutes, celle qui bafoue ouvertement l’esprit du sport lui-même, puisque le sport transcende toute religion 1.

    Évidemment, les naïfs verront dans cette extension du voile les progrès du « vivre-ensemble », alors que les lucides auront compris qu’il s’agit d’un pas supplémentaire dans la course à l’islamisation de notre pays. Quant aux inconditionnels de la « différence », ils se réjouiront de cette initiative, vu qu’ils ne condamnent pas ceux qui bafouent les lois de la République dès lors qu’ils sont d’obédience musulmane.

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  • Le ministre de l'Intérieur complice de la violence des milices antifas

    Question n° 38866 : du :01/10/13 du député Yannick Moreau :

    "M. Yannick Moreau alerte vivement M. le ministre de l'intérieur sur la question des groupuscules d'extrême-gauche, surnommés "antifas", qui se sont encore manifestés violemment cette semaine. "Les fascistes de demain se feront appeler anti-fascistes" disait Winston Churchill. Effectivement, les méthodes de ces bandes qui parcourent nos rues encagoulées, parfois armées de battes de baseball, de couteaux ou de barres de fer, hurlant des slogans haineux et terrorisant les habitants ne sont pas différentes de celles de certains autres groupuscules. Le 14 septembre 2013, une dizaine de ces activistes antifascistes, cagoulés, s'en sont pris violemment à des jeunes gens attablés à la terrasse d'un café du XVe arrondissement qui fut complètement saccagée. Plusieurs plaintes ont été déposées. Jeudi 19 septembre 2013, un attroupement massif de ces extrémistes tentait de récidiver vers ce même café, autour duquel d'importants moyens policiers avaient été déployés. Trente-huit individus ont été interpellés et conduits au poste de police. Les Français ne comprennent pas pourquoi ces groupuscules, qu'il est quasiment impossible de distinguer de prime abord de ceux qui ont été à ce jour dissous, peuvent encore troubler l'ordre public et se livrer à de tels actes de violence dans nos rues. Ces groupes sont un terreau de haine et de violence inadmissible, dont les conséquences peuvent se révéler tragiques comme l'a tristement rappelé une rixe mortelle en juin 2013. C'est pourquoi il réclame avec insistance que ce deux poids deux mesures cesse et que la dissolution de ces groupuscules dangereux soit étudiée dès le prochain conseil des ministres."

    Réponse récente du ministre :

    "Le Conseil constitutionnel a érigé la liberté d'association au rang des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République (décision n° 71-44 DC du 16 juillet 1971) ; de même, la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales protège les libertés d'expression et de réunion (articles 10 et 11), auxquelles la Cour européenne des droits de l'homme porte une grande attention (CEDH, 24 juillet 2012, Farber c. Hongrie). Ce n'est donc qu'à titre exceptionnel, en cas de risque grave de trouble à l'ordre public, que le Président de la République peut procéder, par décret en conseil des ministres, à la dissolution administrative d'une association sur le fondement de l'article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure, issu de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et les milices privées. Une telle atteinte aux libertés de réunion et d'expression doit être strictement proportionnée à la menace importante pour l'ordre public que représente l'association ou le groupement en cause. C'est ainsi au vu de graves troubles à l'ordre public, notamment liés à leur propagation de la haine raciale et de l'antisémitisme, que le Président de la République a prononcé, par décrets en conseil des ministres des 12 et 25 juillet 2013, la dissolution administrative des groupements de fait « Jeunesses nationalistes révolutionnaires », « Troisième Voie » et des associations « Envie de rêver », « Jeunesses Nationalistes », « OEuvre française ». Les conditions de déroulement des manifestations des 14 et 19 septembre 2013 ne permettent pas de satisfaire aux conditions juridiques exigées pour envisager une dissolution administrative. D'une manière générale, le ministre de l'intérieur condamne fermement toute atteinte aux valeurs et aux lois de la République et attache une grande importance à la lutte contre l'extrémisme sous toutes ses formes, qu'elle soit le fait d'un individu ou d'une organisation."

    Un poids deux mesures.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/le-ministre-de-lint%C3%A9rieur-complice-de-la-violence-des-milices-antifas.html

  • L’Europe du côté des criminels : la justice britannique réexamine la perpétuité

    La Cour d’appel britannique a commencé aujourd’hui à examiner le cas de deux détenus condamnés à perpétuité, après un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qualifiant de "traitement inhumain" les peines incompressibles de prison à vie.

    Dans un arrêt définitif, la Grande Chambre de la CEDH avait donné raison en juillet à trois détenus britanniques condamnés à la réclusion à perpétuité pour meurtre. Elle avait souligné que toute condamnation à la prison à vie devait être assortie d’un mécanisme permettant au détenu de demander sa libération ou au moins un réexamen de son cas au bout d’un certain temps, par exemple 25 ans. [...]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Europe-du-cote-des-criminels-la

     
  • Gender : l'Education nationale s'inquiète de la contre-offensive

    Suite à l'action nationale lancée par Farida Belghoul, proposant de retirer les enfants des écoles durant une journée, pour protester contre l'enseignement de l'idéologie du gender, différentes académies ont réagi. Par exemple, voici celle de Versailles :

    "Nous sommes alertés par l’activisme du mouvement  « journée de retrait de l’école » (le 24 janvier voire le 27) porté notamment par Farida Belghoul dans plusieurs communes du département : Bagneux, Asnières, Nanterre, Gennevilliers et Villeneuve-la-Garenne. Des parents reçoivent un texto qui met en cause l’Education nationale au motif qu’elle promeut la théorie du genre. [...]

    Nous vous recommandons de signaler ce type de démarche, notamment lorsqu’elle survient sur la voie publique, à votre correspondant de la police nationale. Il serait utile d’informer les directeurs d’école de ces manœuvres dans la mesure où des familles peuvent s’inquiéter de ce qui est effectivement enseigné par l’école.

    Je vous remercie de bien vouloir nous transmettre toutes informations relatives aux agissements de ce mouvement et de leurs incidences sur le fonctionnement des écoles."

    On ne lâche rien.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/