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anti-national - Page 851

  • Les forces de police ont l’ordre de ne fouiller ni interpeller les extrêmistes de gauche

    Lu ici :

    "Depuis que Manuel Valls est ministre de l’Intérieur, les réseaux d’extrême gauche  bénéficieraient-ils de passe-droit lorsqu’il s’agit d’agresser tous ceux qu’il désigne comme des « ennemis de la République »? Une vidéo publiée samedi par l’agence Info Libre  semble  le démontrer .

    Cette vidéo montre en effet un journaliste venu couvrir une manifestation pro avortement à Paris le 1er février dernier. On le voit se faire menacer et  voler son vélo par un groupe de militants. Ils appartiennent à l’extrême gauche radicale parisienne. On y aperçoit surtout un policier en civil « extraire » le journaliste de la manifestation. Il lui explique qu’il ne peut pas rester là, car il risquerait d’y perdre son intégrité physique, voire sa vie, tant les personnes qui l’ont molesté sont dangereuses. (voir la vidéo). [...] Mais le plus stupéfiant de cette vidéo, filmée en caméra cachée, ce sont les consignes énoncées par le policier, qui ignorait qu’il était enregistré. Il affirme en effet que les forces de police reçoivent l’ordre de leur hiérarchie – donc du ministère de l’Intérieur - de ne  fouiller ni interpeller ces militants d’extrême gauche, y compris si ces derniers sont « outillés» (armés). Expliquant être en « sous-effectif » – ce qui n’était manifestement pas le cas le lendemain pour la LMPT – le policier demande donc au journaliste de quitter les lieux « car sa sécurité ne peut pas être assurée ». [...]"

    Michel Janva

  • Béatrice Bourges a-t-elle réussi à faire trembler l’Élysée ?

    Elle n’a pas accepté que le président fasse de son quinquennat une révolution dont le but est de détruire la millénaire structure familiale.

    Huit jours après avoir entamé son jeûne, Béatrice Bourges a emporté une première victoire. Elle a, lundi après-midi, au lendemain de la Manif pour tous, arrêté de jeûner et l’a annoncé sur la place Édouard-Herriot, devant l’Assemblée nationale qui l’avait vue assise sur un banc, souvent entourée de nombreux policiers et de très peu de journalistes. 

Le cas de cette pasionaria n’a pas attiré l’intérêt de la presse française.

    Quelques courageux députés (Jacques Bompard, Thierry Mariani, Marion Maréchal-Le Pen, etc.) sont venus la saluer, et nombreux furent les internautes à l’avoir rejointe sur son banc pour l’encourager, la féliciter, la remercier tout au long de la semaine, malgré les barrières mises en place tout autour d’elle et une présence policière totalement disproportionnée : jusqu’à 35 policiers, jeudi dernier, et le bus des gardes à vue, comme si le préfet de police voulait l’intimider, la dissuader, la déstabiliser.

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  • Rapport Lunacek : un sommet d’hypocrisie !

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch
    Député européen

    À la suite du rapport de Mme Ulrike Lunacek, et afin d’en assurer l’adoption à coup sûr, les groupes politiques suivants se sont mis d’accord sur un texte commun : Communistes (GUE), Socialistes (S & D), Écologistes, Libéraux (ALDE), et…. « Parti populaire européen » (PPE), autrement dit les prétendus « démocrates chrétiens » dont font partie tous les députés UMP !

    C’est donc explicitement en leur nom que ce texte a été proposé au vote.

    C’est en leur nom que :

    Sous couvert de non-discrimination, les paragraphes 1, 2 et 3 érigent en nouvelles valeurs de l’Europe l’homosexualité masculine, le lesbianisme, la bisexualité, la transsexualité, etc…

    Le paragraphe 4 fixe les étapes d’un processus totalitaire à cet effet :

    • Mobilisation à cet effet de toutes les agences payées par les contribuables européens (au point A3) ;
    • Propagande auprès de la jeunesse dans l’éducation (au point D i)) ;
    • Imposition du mariage homosexuel à tous les États membres (au point H iv)) ;
    • Liberté de promotion de l’homosexualité, « gay pride » et autres (au point I) ;
    • Criminalisation de toute critique rebaptisée « discours de haine » (au point H) ;
    • Droit d’asile politique accordée aux LGBTI non-européens (au point K).

    Cependant, au moment du vote, courageux mais pas téméraires, impressionnés par les courriels reçus, les députés UMP ont finalement voté contre le texte qu’ils avaient présenté.

    Puisse ce cas de cynique duplicité ouvrir les yeux des électeurs, et spécialement de ceux qui ont défilé dimanche dernier par centaines de milliers pour défendre la famille.

    http://gollnisch.com/2014/02/04/rapport-lunacek-sommet-dhypocrisie/

  • Pour ceux qui trouvent qu'on exagère un peu...

    Florilège de citations 
    "Ce qui est cause, c'est l'hétérosexualité en tant que norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait pas normale." 
    Eric Fassin, sociologue, promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale Supérieure.
    "Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents." 
    Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission Ce soir ou jamais.
    "Le but de la morale laïque est de permettre à chaque élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel"
    (Vincent Peillon, Le Figaro, 2/9/2012)
    "Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l'Eglise"
    (Vincent Peillon, Une religion pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
    "Il faut donc à la fois déraciner l'empreinte catholique qui ne s'accomode pas de la République et trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de substitution qui arrive à inscrire jusque dans les moeurs, les coeurs, la chair, les valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les institutions républicaines sont des corps sans âme qui se préparent à tous les dévoiements"
    (Vincent Peillon, ibid, p. 34)
    "La laïcité française, son ancrage premier dans l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l'école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la république".
    (Vincent Peillon, ibid, p. 48)
    "Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques."
    La réalisatrice du film Tomboy a propos de son film projeté en classes de primaire. 
    "Je suis pour la GPA accessible à tous les couples."
    Jean Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte de loi sur le mariage pour tous au sénat. 
    "Des parents, un géniteur, une gestatrice peuvent permettre ensemble la venue au monde d'un enfant."
    Najat Vallaud Belkacem, porte parole du gouvernement.
    "Il faut en finir avec la filiation biologique."
    Erwan Binet, député PS et rapporteur de la loi Taubira
    "Une femme doit pouvoir avoir accès à la PMA parce qu'elle ne souhaite pas avoir de relations avec un homme."
    Francois Hollande
    "Il s'agit de substituer a des concepts  tels que "le sexe" ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les différences entre le différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se construisent autrement."
    Julie Sommaruga, député PS
    « Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste. » 
    idem
    "Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence? C'est faire un distinguo qui est choquant"
    Pierre Bergé au Figaro
    « Admettre la différence des sexes c’est admettre la complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et l’aliénation de la femme » 
    Judith Butler, philosophe féministe du genre
    « Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a pas de sexe… » 
    Daniel Borillo, Sénat
    « La famille est une construction sociale créée par les hommes pour dominer les femmes. » 
    Roselyne Bachelot, janv 2013
    « Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements républicains »
    « Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour transformer en profondeur la société. » 
    Réjane Sénac, chercheure au CNRS affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF), enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3, source rapport du SNUipp, page 24-25
    « Je pense qu’en matière du lien de filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi. »
    Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi Famille
    « Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante ».
    Caroline Mécary, Avocate au barreau de Paris, festival « Mode d’emploi » à Lyon, nov 2013
    « Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés.» 
    Caroline Mécary, avocate au barreau de Paris, spécialiste des droits des homosexuels, Festival mode d’emploi à Lyon, novembre 2013
    source

  • Peillon ou la tentation totalitaire

    Une chronique d'Ivan Rioufol :

     

    "Au delà de la théorie du genre, qui trouve son application en primaire avec les ABCD de l’égalité, c’est aussi la prétention de l’Etat (et de l’Europe) à intervenir jusque dans la sphère privée qui est refusée par les opposants au gouvernement. Car il existe une volonté politique de soustraire l’enfant à ses parents, afin de l’élever dans l’idéologie "républicaine" du moment. Ce mercredi, Le Canard Enchaîné dénonce la "citation travestie" prêtée à la sénatrice socialiste, Laurence Rossignol : "Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents. Ils appartiennent à l’Etat". L’hebdomadaire démontre, de manière convaincante d’ailleurs, que la deuxième phrase n’est pas d’elle. Mais cela ne change rien au désir de déposséder les familles de leurs responsabilités éducatives, selon le vieux procédé totalitaire destiné à construire "l’homme nouveau". Il suffit de lire Vincent Peillon. Voici ce que le ministre de l’Education écrit, dans "La Révolution française n’est pas terminée" (Seuil) (pages 17-18) : "C’est à elle (l’école) qu’il revient (…) d’être la matrice qui engendre en permanence des républicains (…). L’école doit opérer ce miracle de l’engendrement par lequel l’enfant, dépouillé de toutes ses attaches pré-républicaines, va s’élever jusqu’à devenir le citoyen, sujet autonome. C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi", etc.
    Danton expliquait : "Il est temps de rétablir ce grand principe qu’on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d’appartenir à leurs parents". Un même robespierrisme est reproduit par l’actuel ministre de la Rééducation quand il dit aussi, avec l’aval des socialistes, vouloir "arracher l’élève à tous les déterminismes". Peillon vient d’être appuyé, dans sa promotion expérimentale de l’identité du genre en primaire,  par le parlement européen qui a approuvé hier le rapport Lunacek, qui reprend à son compte les exigences des minorités Lgtb (lesbiennes, gays, bi et trans). Ce mercredi, dans Le Figaro, l’américaine Shéhérazade Semsar décrit les absurdités produites par les revendications sur le genre aux Etats-Unis. Cette inscription sur une porte, par exemple, dans une école de Californie : "Si tu te considères comme un garçon, ce sont tes toilettes". Comme le remarque Chantal Delsol (Le Monde du 1 er février) : "On dirait bien que deux totalitarismes ne nous ont pas encore déniaisés, ni découragés de vouloir prendre la place du créateur". La colère de la société civile ne va pas s’apaiser de si tôt, contre cet Etat qui ne respecte plus la sphère familiale et qui transmet aux enfants une idéologie déstructurante, à défaut d’un savoir."

    Louise Tudy  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Coup de force marxiste au Figaro !

    Les collectivistes de tout poil sont affolés par l’effondrement de la Sécurité sociale et par les cohortes chaque jour plus nombreuses de Français qui la quittent.

    Le front le plus chaud est celui du Régime social des indépendants (RSI), dont l’hémorragie est devenue telle qu’il a tenté une manœuvre désespérée pour essayer de la ralentir. Et ce sont les marxistes de la rédaction du Figaro qui ont prêté main forte à l’opération.

    Un journaliste de ce quotidien enquêtait sur l’action du MLPS, qui conduit depuis plus de vingt ans le mouvement de combat contre la pieuvre sociale, et sur ceux qui y participent. C’est ainsi qu’il m’a longuement interviewé et que je lui ai fourni toute la documentation qui lui était nécessaire pour étayer son article. Plusieurs « libérés » ont également été interrogés et ont raconté leur expérience.

    C’en était trop pour les collectivistes, qui savent très bien que seul le silence médiatique préserve encore la Sécurité sociale de l’issue fatale. Ils ont donc monté, en s’appuyant sur leurs complices infiltrés depuis longtemps à la rédaction du Figaro, une opération consistant à reprendre à leur compte les critiques unanimes des affiliés de force au RSI pour les rendre réceptifs au message qu’ils voulaient leur transmettre, à savoir que, si critiquable et odieux que puisse être le RSI, il est illégal de le quitter. De la pure technique marxiste, digne de la Pravda !

    Le message a été répété dans chacun des trois articles consacrés à ce sujet. Dans l’article de tête, il est indiqué que « la désaffiliation « sauvage » prônée par le groupuscule les « libérés » est totalement illégale ». Dans l’interview du directeur général du RSI, celui-ci déclare que «  les personnes qui se radient en continuant d’exercer en indépendant ou qui refusent de s’acquitter de leurs cotisations sociales s’exposent à de lourdes amendes, voire à des sanctions pénales ». Enfin, dans l’article comportant les témoignages d’affiliés au RSI, la journaliste fait dire à l’une d’entre elles qu’ « elle regarde avec envie ces quelques indépendants qui se désaffilient du RSI pour prendre une caisse d’assurance privée. Mais ne franchit pas le pas, car c’est totalement illégal ».

    Du marxisme au petit point, on vous le dit. Tout y est, de l’ennemi forcément « groupusculaire » à la menace pénale envers les dissidents qui fuient ce qu’on n’ose plus appeler le « paradis socialiste » et qui ne survit plus que par ses barbelés.

    Les questions qu’on se pose sont forcément les suivantes. Comment le premier quotidien de droite français en est-il arrivé à se faire la voix du communisme ? Comment ce journal peut-il tromper à ce point ses lecteurs en ne leur révélant pas que le monopole de la sécurité sociale a été définitivement supprimé par un arrêt du 3 octobre 2013 de la Cour de justice de l’Union européenne, et que les sanctions pénales, ce sont les directeurs des caisses de sécurité sociale qui les encourent ? Comment Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, peut-il négliger ses fonctions au point de laisser son journal militer pour le collectivisme ? Et comment Serge Dassault, propriétaire du Figaro, peut-il laisser ce titre glorieux se vautrer dans la pire des propagandes marxistes ?

    Le Figaro n’est que Le Figaro, et aujourd’hui l’histoire se fait sans lui. Les Français veulent en finir avec le collectivisme, ils le disent tous les jours et le manifestent dans la rue. Et ils se moquent éperdument de la désinformation pratiquée par la presse officielle. Mais pour le démocrate que je suis, il n’était pas possible de laisser passer sans réagir la grave dérive d’un quotidien que je lis depuis des décennies et qui, aujourd’hui, trahit son histoire et, comme on dit maintenant, ses valeurs.

    Dr Claude Reichman

    http://francelibre.tumblr.com/post/75639384966/coup-de-force-marxiste-au-figaro#.UvJv1fYsRXY

  • Rumeur persistante : 2000 études qui n'existent pas

    Le CNRS a répertorié 2000 études sur ce qui n’existe pas. Les actes sonores du colloque du 8 mars 2012 au siège du CNRS à Paris « Recherches Genre, un défi au-delà de la parité. Recensement, bilan et perspectives », sont disponibles en libre écoute sur le site de la Mission pour la place des femmes au CNRS, dans la rubrique Recherches et approches genre.

    "Un défi au-delà de la parité": il s'agit donc bien de l'idéologie du genre, et non de l'égalité des sexes.

    Tout ça pour un truc qui n'existe pas : le gouvernement doit dissoudre le CNRS.

    Michel Janva

  • Intervention de Bruno Gollnisch à propos du rapport Lunacek.

  • Manif pour tous, renvoi de la loi (anti)famille : la gauche semble vaciller

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - Une première victoire de la Manif pour tous de ce dimanche : la gauche ne présentera pas cette année son projet de loi sur la famille

    C’est ce qui est ressorti hier des différentes déclarations, parfois contradictoires et comme souvent cafouilleuses, de nos ministres socialistes.

    Tout à commencé hier matin sur RTL. Manuel Valls a précisé que le gouvernement ne donnera pas son accord à des amendements parlementaires ouvrant l’accès à la PMA lors de l’examen du projet de loi sur la famille. Puis Matignon a annoncé que le gouvernement ne présenterait finalement pas son projet de loi sur la famille en 2014.

    Manuel Valls avait qualifié dimanche les manifestants de la Manif pour tous comme appartenant à « une droite conservatrice et réactionnaire ». Autrement dit, dans le jargon socialo trans genre : des gens infréquentables.

    La droite reste divisée sur la PMA et la GPA

    Au Front national, Marion Maréchal‑Le Pen, députée du Vaucluse, a défilé, mais son parti n’a pas appelé les manifestants à rejoindre le cortège. Quelques élus UMP ont également défilé comme Henri Guaino et Hervé Mariton.

    La droite libérale tente de récupérer le mécontentement des Français de la Manif pour tous notamment avec les interventions de Jean‑François Copé qui à déclaré « La prochaine grande manifestation sera l’élection municipale, l’occasion pour les Français de dire stop à François Hollande ».

    Les Français n’ont pas oublié que l’UMP lorsqu’il était au pouvoir avait déjà prévu la mise en place de la théorie du genre.

    L’Humanité, le journal le plus sponsorisé par nos impôts titre « La bourgeoisie lyonnaise en rose et bleu pour la Manif pour tous ».

    Ce journal reprend de manière exemplaire les propos méprisants et mensongers tenus par plusieurs ministres à propos des Français qui ont manifesté dimanche dernier. Ils accusent les manifestants « D’alimenter les fantasmes sur l’enseignement de la théorie du genre ou la procréation médicalement assistée et la gestation pour autrui ». On pourrait presque croire devant autant de mauvaise fois que la théorie du genre n’a jamais existé…

    http://fr.novopress.info/155270/manif-renvoi-loi-antifamille-gauche-semble-vaciller/#more-155270

  • Dans le jusqu’auboutisme de Manuel Valls, la preuve de son échec…

    Entretien avec Philippe Bilger

    Les préfets, dans une note confidentielle révélée par Le Canard enchaîné, ont exposé le ras-le-bol de la police qui estime que l’institution judiciaire sabote son travail. Comprenez-vous cette exaspération ?

    Je la comprends, même si cette hostilité et cette réclamation ne sont pas nouvelles. Pour n’importe quel citoyen, l’état du pays est morose et le pessimisme que dénoncent les policiers ne fait que refléter un sentiment général de délitement et d’exaspération civique. Bien sûr, on peut s’en prendre à certaines pratiques judiciaires, mais je ne crois pas que les policiers aient raison de focaliser sur les magistrats. Tout simplement car les magistrats eux-mêmes sont insérés dans un tissu de délitement judiciaire et pénal considérable. C’est le grand problème depuis 20 mois : on a, d’une part, une absence de politique pénale véritable (et celle de Christiane Taubira est inexistante) et, d’autre part, des propositions parlementaires extrêmement dangereuses car elles ne visent qu’à favoriser l’État de droit au service des transgresseurs quand on aurait pu espérer que l’État de droit soit aussi perçu comme une arme au service de la majorité honorable.

    L’Europe est animée par la même mansuétude humaniste dangereuse et, au fond, la France est sur cette même ligne cohérente et infiniment néfaste. En ce qui concerne le ministre de l’Intérieur, les policiers n’ont pas tort de contester son action puisque, en dépit de sa volonté d’étouffer administrativement Dieudonné – ce qui n’était ni urgent ni capital –, son bilan est très mauvais pour 2013

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