Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 882

  • « Fils de socialiste » : bientôt une insulte ?

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) - L’hebdomadaire Valeurs Actuelles révèle que le fils de la première concubine de France a subi plusieurs interpellations, pris en flagrant délit alors qu’il cherchait à s’acheter de la drogue.

    Il aurait été attrapé par la BAC (Brigade anti criminalité) dans une zone de sécurité prioritaire (ZSP) située à Saint-Ouen (93) alors qu’il essayait de se procurer du cannabis pour son anniversaire. Il aurait ensuite échappé à la procédure policière. Le rapport de police indique clairement, selon Le Point, qu’il aurait bénéficié d’une clémence particulière.

    Le fils de Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a récemment été condamné à trois ans de prison ferme pour extorsion de fonds, quant à Thomas Fabius fils du ministre des Affaires étrangères, il fait l’objet d’une information judiciaire pour « faux », « escroquerie » et « blanchiment » dans l’affaire d’un appartement parisien acheté 7 millions d’euros alors qu’il ne paie pas d’impôts.

    « Fils de socialiste » : bientôt une insulte ?

    http://fr.novopress.info/

  • Libé fête ses 40 ans mais ne rappelle pas son soutien aux khmers et aux pédophiles

    LQuarante ans de Libé, ça se fête, et en musique ! Le 13 décembre au Centquatre à Paris, Libération organise une série d'événements avec en point d'orgue un grand concert, de 19h30 à 2h du matin.

     

    Curieusement, à Libé, personne ne rappelle que ce quotidien a soutenu les Khmers rouges...

     

    "Le 18 avril 1975, tandis que les Khmers rouges commencent à déporter l'entière population de Phnom Penh, Libération choisit de saluer avec enthousiasme l'entrée de ses frères « révolutionnaires » dans la capitale cambodgienne. Etrangement, on ne trouve aucune trace de cette une historique - « Phnom Penh : sept jours de fête pour une libération » - dans le livre collectif que Flammarion publie pour les 40 ans du journal. Qu'importe ! On sait tous que Libé a toujours raison, même lorsqu'il écrit une chose et son contraire, ou qu'il troque le maoïsme sénile de Sartre pour le sweat-capuche de Demorand."

     

    Libération avait également milité pour la légalisation de la pédophilie.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/

  • Manuel Valls tente de faire disparaître cette vidéo !

  • Réprimer les dérapages verbaux ne règle rien…

     

    « Roms, l’unique objet de mon ressentiment », semblent dire les uns après les autres les maires de Cholet, de Croix ou de Roquebrune-sur-Argens. Ces « dérapages » verbaux, épinglés par les médias et sanctionnés ou au moins désavoués par les partis de rattachement, sont faciles à stigmatiser.

    Il est plus intéressant d’analyser le processus dans lequel ils se situent. La présence inopportune, non souhaitée et dérangeante des Roms est de plus en plus mal supportée par les riverains des campements insalubres dans lesquels ils s’installent illégalement, en suscitant de nombreux soupçons sur leurs activités et l’origine de leurs ressources. Les élus locaux, parfois détenteurs de mandats nationaux, sont souvent dans la situation schizophrénique de tenir des discours « politiquement corrects », c’est-à-dire hypocrites dans leurs interventions officielles, et de se laisser aller à des boutades démagogiques dans la chaleureuse ambiance des réunions de proximité : un bon mot, un excès de langage ou un coup de colère qui rencontrent l’adhésion de l’assistance par le rire ou les applaudissements sont des tentations difficiles à éviter.

    La liberté d’expression est un indicateur de l’opinion qu’il faut prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard.

    Cette question est celle de la tolérance. Lorsque la passivité à l’égard de l’illégalité, voire de la délinquance, accompagne la répression de la parole indignée contre elles, alors c’est la société qui dérape et devient injuste aux yeux de la plupart des citoyens. Spinoza écrivait : « Il est impossible d’enlever aux hommes la liberté de dire ce qu’ils pensent. » Si on les en empêche, ils n’en penseront pas moins, jusqu’au moment où la pression de l’inacceptable deviendra telle que faute de parole, on passera aux actes.

    La liberté d’expression est donc à la fois une libération salutaire, une « catharsis » et un indicateur de l’opinion qu’il faut prendre en compte avant qu’il ne soit trop tard. Une sorte de désobéissance civile « à blanc ». Toutes les désobéissances ne se valent pas. Lorsqu’une poignée de farfelus estiment posséder la vérité qui leur donne le droit de saccager un magasin ou un champ expérimental d’OGM, c’est doublement inacceptable, puisqu’aucune censure ne frappe leur discours et que leurs victimes sont dans la plus parfaite légalité. En revanche, comme le dit encore Spinoza : « Une mesure provoquant l’indignation générale a peu de rapport avec le droit de la Cité. » Autrement dit, lorsque l’opposition à une situation, même protégée par le droit, soulève les foules, comme on le voit en Bretagne, il est nécessaire de lui trouver une solution politique et non judiciaire.

    Les dérapages verbaux ne sont que des signaux annonciateurs. Les réprimer aveuglément revient à casser le thermomètre lorsque la fièvre monte. Actuellement, les Roms sont nombreux à venir et à revenir en France, à s’y installer dans des conditions déplorables, à se livrer pour certains à la mendicité et à des activités délictuelles. Ils seront plus nombreux demain si l’on intègre leurs pays d’origine – assez incertains, comme l’affaire Leonarda l’a montré – dans l’application du traité de Schengen. La lenteur de la justice, la volonté et les moyens de l’État, le droit et l’idéologie de l’oligarchie européenne irritent davantage encore l’indignation. Comme beaucoup d’autres en ce moment, il faut l’écouter, entendre un peuple qui pense à 88 % que les gouvernants ne s’intéressent pas à ses problèmes.

    Christian Vanneste dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/reprimer-les-derapages-verbaux-ne-regle-rien_92477.html#more-92477

  • Face à la répression de la Manif pour Tous, la résistance s'organise

  • Répression politique contre les Mères Veilleuses

    Pour faire suite aux photos, la vidéo :

  • L'agenda qui va donner des cauchemars à Taubira en 2014

     

    Grégoire Boucher, le directeur des éditions TerraMare, explique à l'Homme Nouveau les raisons qui ont conduit à proposer cet agenda militant :

    A"Notre objectif depuis l’origine, il y a cinq ans, avec l’agenda Benoît XVI, était de nous opposer aux médias du système qui déversaient chaque jour des tombereaux d’ordures et d’injures sur l’Église et sur le Saint-Père. Cela devenait intolérable et il fallait réagir, afin d’apporter la contradiction par les faits et par les textes, d’éclairer les esprits et les consciences et convertir les sceptiques, les ignorants ou les opposants. Avec cet Agenda pour tous 2014, la démarche reste la même : militante et apostolique. Toucher les cœurs restés froids depuis un an, malgré tous nos efforts, ou réchauffer les cœurs qui se seraient refroidis, par fatigue ou découragement.

    À qui s’adresse-t-il ?

    À tous ! Tous ceux qui ont besoin de se nourrir pour ne pas se décourager, ceux qui vont l’utiliser pour faire de l’apostolat auprès de ceux qui n’ont pas encore compris l’importance de ce combat pour notre civilisation de la vie contre la culture de mort que veulent nous imposer tous ces croque-morts qui nous gouvernent.

    Comment s’est opéré le choix des contributeurs ?

    De manière totalement subjective ! Nous avons choisi de donner la parole aux acteurs dont l’action ou la réflexion a contribué, pendant l’année 2013, à éclairer les consciences et à faire grandir cette petite fille Espérance partout en France. Nous nous sommes interdits tout parti pris, volontairement, pour être fidèles à l’esprit de ce grand mouvement populaire qui n’appartient à personne. Dans cet esprit, nous avons même sollicité Virginie Tellenne, alias Barjot, dont le rôle est indéniable, malgré ses derniers dérapages, mais elle a décliné l’invitation. À l’inverse, nous nous sommes refusés à y convier ceux qui avaient trahi leurs engagements ou pire, leur parole, comme Jean-François Copé ou Hervé Mariton et tous les champions de la récupération politique et du retournement de veste.

    « On ne lâchera rien, jamais » est un engagement sérieux et définitif, qui s’adresse à ceux pour qui une parole donnée a un sens. Beaucoup d’appelés, peu d’élus…

    Comment analysez-vous cette année 2013 ?

    C’est une année historique qui aura, à terme – long ou court – un poids aussi considérable, mais a contrario, que Mai 68. Il y a cinquante ans, les fils de la révolution marxiste, matérialiste et individualiste ont gagné une bataille, dont nous subissons encore les derniers soubresauts. Toutes les lois mortifères sur l’avortement, la peine de mort, le divorce, le quotient familial, l’ouverture des frontières, la perte des pouvoirs régaliens, l’euthanasie, la marchandisation des cellules souches et des embryons, l’extermination des enfants atteints de maladies génétiques, le pourrissement planifié et obligatoire de nos enfants dès la maternelle, voulu tant par les très sarkozistes Luc Chatel ou NKM que par l’idéologue Peillon ; sans oublier l’ouverture de salles de shoot et le projet de dépénalisation de la drogue… tout cela n’est pas seulement dans le roman prophétique de George Orwell, c’est devenu l’effrayante réalité imposée en France et partout dans le monde par les valets d’une mondialisation destructrice de la nature humaine, et qui veut faire de l’être humain un objet, un bien de consommation. Mais ce château de cartes va s’effondrer, comme se sont toujours effondrées les idéologies mortifères. Et 2013 marquera dans l’Histoire cet élan de vie, de survie même, qui une fois de plus sera issu de notre belle terre de France et aura été porté par un « peuple de géants ». [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • [Moulins] CR de la conférence du Printemps Français du 7 décembre à Moulins

    "Comme annoncé, Résistance Bourbonnaise à tenu ce weekend, à Moulins, sa première conférence sur le thème de la Résistance. Nous pouvons nous féliciter tant de la qualité des interventions de Béatrice Bourges et de Frédéric Pichon que de la forte mobilisation du public (70 personnes). D’autres conférences sont d’ores et déjà programmées. "

    Résistance Bourbonnaise

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Moulins-CR-de-la-conference-du

     
  • L’Histoire de France à la poubelle

    Les Soviétiques n’avaient pas fait pire que ce qu’a entrepris depuis des décennies ce qu’il est convenu de nommer l’Éducation nationale de France : dilapider l’héritage de ‘’notre’’ histoire, la découper en tranche et rejeter ce qui ne correspond pas à la vision idéologique qu’elle cherche à imposer à la jeunesse française, tout autre chose que la simple vérité.

    Car l’histoire de la France, notre patrie, ne lui appartient pas : elle ‘’nous’’ appartient’’, elle est l’âme de ce peuple que nous sommes, comme l’est également sa langue. Notre droit à notre histoire est absolu et la ‘’massacrer’’ – comme l’écrit Fabrice Madouas dans Valeurs actuelles de cette semaine – est à la fois un viol et une sorte de génocide culturel. (La nullité de l’enseignement général comme de la langue française en particulier participe au même crime dont l’État français est responsable ‘’et’’ coupable.) [...]

    Dominique Daguet - La suite sur France Catholique

  • Serge Dassault : voyou, gâteux, ou les deux ?

    Serge Dassault, 88 ans, se plaint d’être « harcelé et racketté par une bande de voyous ».

    On ne sait si l’on doit en rire ou en pleurer. Serge Dassault, 88 ans, se plaint d’être « harcelé et racketté par une bande de voyous ». C’est dans Le Journal du Dimanche et sur deux pages. Deux pages d’autojustification, dégoulinant de bons sentiments, d’aveux de crapuleries évidentes et de clameurs d’innocence assourdissantes de bêtise.

    Jamais, au grand jamais, l’héritier de son papa n’a acheté le moindre suffrage pour se faire élire maire de Corbeil-Essonnes en 1995. Ni réélire en 2008. Juré craché, foi de l’adolescent qui a connu pendant la guerre « l’humiliation et l’incertitude d’être exécuté le lendemain »… Un p’tit coup de nostalgie des heures les plus noires de son histoire ? Pas seulement, c’est aussi toute une éducation : « À la prison de Montluc à Lyon, enfermé par la Gestapo [...] j’ai appris à avoir le contact avec tout le monde… » Quelques décennies après, cela lui a sans doute servi avec René Andrieu qui « l’a aidé un peu en 1995 » et qu’il a aidé à l’époque : « J’avais essayé de le faire travailler, de lui proposer des emplois. En 1997, il a été arrêté avec plusieurs kilos de drogue dans sa voiture. » C’est ballot, tout de même… « Je l’ai aussitôt viré de mon entourage et il a quitté la ville », poursuit le corniaud de l’Essonne. Mais pour mieux y revenir, quelques années plus tard…

    Lire la suite...