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anti-national - Page 886

  • Au cabinet de Christiane Taubira et chez le lobby homosexuel, c’est la panique !

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    C’est la panique au cabinet de Christiane Taubira et dans les permanences des associations LGBT ! Le gouvernement a laissé filé les délais légaux pour prendre les ordonnances qui devaient suivre la promulgation de la loi autorisant le mariage de personnes de même sexe.

    Selon l’article 14 de la loi du 17 mai 2013 ouvrant le mariage et l’adoption à tous les couples, le gouvernement disposait de six mois à compter de la promulgation pour prendre des ordonnances concernant l’adaptation de certaines dispositions législatives. Cela concernait notamment le remplacement des termes «mari et femme» et «père et mère» par «époux» et «parents» dans différents codes, ainsi que les adaptations nécessaires à l’application de la loi dans les Dom Tom. Mais arrivé au 18 novembre dernier, aucune de ces ordonnances n’avait été prise par le gouvernement.

    Maintenant que le délai de six mois est dépassé, «L’habilitation donnée par le législateur au gouvernement ne vaut plus », a rappelé Dominique Rousseau, professeur de droit à l’Université de Paris Panthéon-Sorbonne.

    Le gouvernement est donc forcé de redemander au législateur l’autorisation de prendre les ordonnances qu’il souhaite.

    Mercredi 4 décembre, lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines et président du Parti chrétien-démocrate, a interpellé le ministre de la Justice Christiane Taubira

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  • Les largesses du gouvernement pour ses copains de l'Humanité

    Le gouvernement efface, par un amendement au projet de loi de finances rectificative pour 2013, la dette du journal L'Humanité, soit plus de 4 millions d'euros. Explication :

    "la Société nouvelle du journal L’Humanité ne peut faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l’État (...), sur le capital et les intérêts, parce que ses résultats financiers sont très faibles et qu’elle ne possède plus d’actifs. Par conséquent, il est nécessaire d’abandonner cette créance détenue par l’État sur cette société."

    Curieusement, les créanciers de la France ne s'approprient pas ce genre de raisonnement.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/les-largesses-du-gouvernement-pour-ses-copains-de-lhumanit%C3%A9.html

  • Taubira : "Ce ne sont pas anti-mariage, ce sont des antidémocrates et des antirépublicains"

    Invitée de Guillaume Durand, ce matin, Christiane Taubira a expliqué qu'elle n'avait "rien à dire" à ceux qui s'opposent à la dénaturation du mariage :

    Christiane Taubira n'aimant visiblement pas la contradiction, elle y exclut un autre interlocuteur, le Figaro (qui a annoncé qu'elle voulait dépénaliser l'usage du cannabis) :

    "Je ne veux pas commenter un journal qui a rompu avec l'information. Et qui se veut organe de propagande."

  • Répression antinationaliste : agitation en Allemagne

    images.jpgSale temps pour les partis anti-système.

    Alors que les manifestations de soutien à l’Aube Dorée et les sondages grecs viennent contredire la propagande occidentale, un nouveau parti nationaliste européen est dans l’œil du cyclone.

    En effet, le NPD allemand (Nationaldemokratische Partei Deutschland – die Volksunion) se voit visé par une demande d’interdiction pour « lien avec une organisation criminelle », déposée par les états régionaux allemands.

    Le procédé est identique à celui utilisé par le gouvernement français suite à l’affaire Clément Méric.

    Pour mémoire, en 2011, une « organisation criminelle d’extrême droite » a été découverte. Clandestinité national-socialiste (NSU) est accusée d’avoir assassiné 10 personnes, en majorité des Turcs.

    Alors que l’affaire n’a pas été jugée, les partis au pouvoir en Allemagne ont décidé de retenter leur chance après un premier échec d’une demande similaire contre le NPD en 2003.

    Évidemment, la chancelière allemande s’est fendue d’un communiqué de circonstance :

    « Le NPD est de notre point de vue un parti antidémocratique, xénophobe, antisémite et contraire à la Constitution, un parti que nous devons tous combattre avec détermination. »

    La logique est toujours la même : Pas de liberté pour les ennemis de la liberté !

     Source  http://www.contre-info.com/

  • Des immigrants de deuxième génération « laïques et parfaitement intégrées »

    ... habitant la France, l'Allemagne, la Suède et la Belgique, sont partis en Syrie combattre aux côtés des rebelles.

    Qu'est-ce que cela aurait été si ces individus n'avaient pas été intégrés à notre société laïque.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/des-immigrants-de-deuxi%C3%A8me-g%C3%A9n%C3%A9ration-la%C3%AFques-et-parfaitement-int%C3%A9gr%C3%A9es-.html

  • Immigration : "Nous sommes à l’heure d’une barbarie qui ne dit pas son nom"

    Malika Sorel-Sutter a été membre du collège du Haut Conseil à l’intégration (HCI) et de sa mission « Laïcité ». Elle a publié deux ouvrages remarqués sur l’immigration et l’intégration. Elle répond à La Nef :

    "Pour quelles raisons l’intégration culturelle a-t-elle échoué ?

    Pour de nombreuses raisons. Je vais en citer quelques-unes. Les Français l’ignorent, mais sur le flux transalpin de 1870-1940, seul un Italien sur trois s’est finalement intégré, alors même que les Italiens sont très proches des Français en raison des nombreuses pages d’histoire qu’ils partagent. La religion participe aussi de la culture. Elle a largement façonné les mentalités au long des siècles. Il en va de même pour l’héritage grec, romain, la Renaissance, les Lumières, les révolutions populaires ; toutes ces pages ont nourri les peuples européens, en ont fait ce qu’ils sont devenus. Toute distance culturelle se traduit par une différence de systèmes de principes et de valeurs qui sous-tendent les identités. Plus la distance culturelle est conséquente, plus le processus d’intégration sera difficile. Il était irresponsable de laisser croire que des extra-européens pourraient mieux s’intégrer que des Italiens. Les élites ont menti sur ce point, mais elles ont de surcroît créé les conditions qui ont rendu l’intégration quasi impossible : importance des flux migratoires qui ont abouti à la reconstitution des sociétés d’origine sur la terre d’accueil ; évolution des programmes scolaires pour les adapter à l’arrivée massive d’élèves de cultures non européennes quand il eût fallu, au contraire, intensifier la transmission de la langue française, des principes et valeurs, de l’histoire ; adoption d’une posture morale de repentance et de culpabilisation qui a enlaidi, aux yeux des migrants et de leurs enfants, l’image de la France. Peut-on s’intégrer à une France affublée des pires tares ? Non.

    En quoi le fait que l’immigration actuelle soit majoritairement musulmane change-t-il le problème ?

    Comme je l’ai évoqué précédemment, la distance culturelle est centrale. Si l’immigration de masse avait été d’origine indienne, l’intégration aurait été tout aussi ardue. Les Indiens sont très éloignés des Français ; cela s’observe aussi bien au travers du statut des femmes dans les familles que dans le cloisonnement entre leurs différentes couches sociales. L’intégration des musulmans est un défi difficile à relever parce que les musulmans sont issus de peuples qui ne partagent guère d’héritage culturel avec les Français de souche européenne. Quant aux pages d’histoire commune, elles ont souvent été conflictuelles et n’ont pas été surmontées. La distance culturelle se traduit au quotidien par une conception différente des principes de liberté, d’égalité et de fraternité. Quant à la laïcité, elle n’est pas un principe organisateur des sociétés sources de l’immigration, sauf pour la Turquie il fut un temps. Au HCI, nous avons été alertés par l’inquiétude des acteurs de terrain suscitée par la poussée de revendications, que ce soit dans les entreprises, les hôpitaux ou les universités. La citoyenneté partagée aura du mal à perdurer en l’absence d’une communauté de principes et de valeurs. Le propos n’est pas de hiérarchiser entre les systèmes de principes et de valeurs, mais seulement de comprendre que l’intégration ne peut être obtenue sans l’adhésion des concernés. [...]

    Comment expliquez-vous que l’on ne fasse rien pour relancer notre démographie déclinante ?

    Une part importante de nos élites (politiques, médias, intellectuels, monde des affaires…) agit, et ses actes le démontrent, comme si l’être humain se réduisait à sa part matérielle – son enveloppe charnelle. Lorsqu’un migrant se déplace, nos élites ne voient ni l’esprit, ni l’âme, seulement un corps, et les corps sont perçus comme interchangeables. C’est la raison pour laquelle le déclin démographique est le cadet de leur souci. Pour elles, il suffit d’importer des migrants et le problème de la natalité européenne est réglé. Je m’en suis rendu compte dans des réunions auxquelles j’ai pu assister, y compris en présence de responsables d’instances politiques européennes. Malgré les apparences, notre époque a tourné le dos aux Lumières et à leur humanisme. Nous sommes à l’heure d’une barbarie qui ne dit pas son nom, qui ne se voit pas car elle n’est pas sanguinaire, qui réduit l’homme à l’état d’objet dénué de sensibilité, et vierge de toute l’histoire qui l’a précédé et dont il peut être l’héritier.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Immigration : l'UE ignore la culture européenne

    Michèle Tribalat, directrice de recherches à l’Institut national d’études démographiques (INED), spécialiste des questions d’immigration, est interrogée dans La Nef. Extraits :

    Ne"Après le choc pétrolier de 1973, la plupart des pays d’immigration d’Europe ont cherché à limiter les entrées. La France l’a fait en suspendant le recrutement de travailleurs et même le regroupement familial. L’arrêt du regroupement familial a été désavoué par le Conseil d’État, ce qui a contraint le gouvernement d’alors (Giscard d’Estaing) à mettre noir sur blanc les conditions du regroupement familial. Celui-ci a toujours existé et ce n’est pas Giscard d’Estaing qui l’a soudain permis, contrairement à la légende. Fondée principalement sur des droits, la politique migratoire a été de plus en plus encadrée par des Cours de justice interne (Conseil d’État) ou externes (Cour européenne des droits de l’homme et Cour de justice européenne). L’espace politique pour envisager une politique de baisse des flux s’est considérablement réduit car elle revient à poser des conditions à l’exercice de droits. Les alternances ont généralement produit des inflexions restrictives à droite et de sens inverse à gauche, cette dernière gardant cependant souvent l’essentiel de ce qui avait été décidé avant elle. La politique migratoire est, depuis le traité de Lisbonne, une compétence partagée avec l’Union européenne.

    Peut-on dire que la France et l’Union européenne (UE) ont opté pour un modèle multiculturaliste ?

    Bien que l’intégration ne soit pas encore une compétence européenne, les pays de l’UE se sont mis d’accord, lors du Conseil du 19 novembre 2004, sur onze principes de base communs, qui les engagent. L’intégration dont il est question ne reconnaît aucune asymétrie entre les sociétés d’accueil et les nouveaux venus. Aucun privilège n’est accordé aux Européens ou à leur héritage. Toutes les cultures ont même droit de cité. On ne reconnaît pas de culture européenne substantielle qu’il pourrait être utile de préserver. C’est une conception horizontale du lien social, c’est-à-dire entre les présents. Sa dimension verticale, pourtant essentielle, avec le passé semble désormais superflue. Les valeurs sont souvent invoquées, mais elles paraissent par ailleurs négociables. L’UE en est à fixer comme but unique de l’intégration un but moral – la tolérance et le respect – sans qu’elle aperçoive clairement comment y parvenir ou comment le perpétuer. [...]

    Comment l’islam a-t-il changé le problème de l’assimilation ?

    C’est alors que l’assimilation rencontrait des difficultés – avec l’importance croissante de la population musulmane – que nous avons changé de pied et opté pour un discours victimisant à outrance les immigrés et plus récemment les musulmans. Ils sont les représentants de la diversité tellement désirable et bénéfique. C’est l’intolérance des « autochtones » que l’on surveille désormais comme le lait sur le feu. Si les gens ordinaires attendent toujours une adaptation plus profonde aux modes de vie (voir les sondages du CSA pour la Commission nationale consultative des droits de l’homme), les élites politiques et culturelles passent leur temps à soigner la popularité de l’islam et des musulmans, souvent au prix du mensonge. [...]

    Comment expliquer que l’UE favorise très officiellement l’immigration pour combler notre déficit démographique, plutôt que d’encourager la natalité via la famille ?

    La politique familiale n’est pas une compétence communautaire. Les institutions européennes sont persuadées que l’immigration massive est le destin démographique de l’Europe. Les projections de populations d’origine étrangère réalisées par Eurostat (l’institut statistique de la Commission) donnent, dans certains pays, ces populations majoritaires en dessous de 40 ans dans moins de 50 ans. Ces anticipations démographiques expliquent pourquoi l’UE vante tellement la diversité, la tolérance et le respect."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Drogue, invasion, chômage ? La peur de l’Union « européenne » : les nationalistes

    « J’ai vraiment peur que ces partis sortent renforcés des élections au Parlement européen et qu’ils aient ensuite une véritable influence sur les députés. […] Certains de ces partis existent depuis longtemps, d’autres sont plus récents et grossissent en profitant de la crise » déclarait hier le commissaire européen chargé des Affaires intérieures, Cecilia Malmström, évoquant les « xénophobes, racistes, fascistes ».

    Elle a dénoncé par ailleurs les conditions de rétentions de milliers d’immigrés qui tentent d’envahir l’Europe par la Grèce, où elle séjournait. Elle ne s’est en revanche pas exprimée sur la détention de plusieurs députés de l’Aube dorée sans le moindre élément de preuve à charge, ni sur l’assassinat politique de deux jeunes Européens par des terroristes d’extrême gauche le 1er novembre 2013.

    Source

    http://www.contre-info.com/drogue-invasion-chomage-la-peur-de-lunion-europeenne-les-nationalistes

  • Le parti socialiste contre les salariés

    Le gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault veut une nouvelle fois s’attaquer aux salariés. Le rapport remis au premier ministre par l’ancien patron de La Poste Jean-Paul Bailly ce 2 décembre 2013, vise à élargir encore un peu plus le travail le dimanche. Et pourtant, comme le note le rapport, ce sont déjà 6,5 millions de salariés qui travaillent le dimanche.

    Les arguments sont toujours les mêmes : apporter plus de souplesse pour mieux payer les salariés et favoriser l’économie. Deux arguments entièrement faux pour les raisons suivantes :

    -         on sait que si les salariés travaillant le dimanche sont dans un premier temps un peu mieux payés, très vite, une telle disposition disparaît et le travail le dimanche devient même, dans beaucoup de cas, une contrainte et une obligation sous peine, soit de ne pas être embauché, soit même d’être licencié.

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