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anti-national - Page 884

  • Ce que taisent les médias et les politiciens sur le rapport PISA sur l’éducation

    La France se classe parmi les pays de l’OCDE où la discipline est le moins respectée…

    Le PISA 2013 vient de livrer ses résultats, largement commentés par les médias. Cette étude comparative du niveau scolaire des jeunes de 15 ans issus des pays membres de l’OCDE est publiée tous les trois ans. Polémia avait déjà commenté le bilan du PISA 2010 (*) : il n’était pas glorieux. Hélas, comme on pouvait le redouter, la version 2013 ne rachète pas la cuvée précédente.
    Cette année, les résultats sont tout aussi médiocres : l’évaluation des compétences de nos potaches en mathématiques, en compréhension de l’écrit et en sciences place la France au 25e rang sur les 65 pays qui participent à l’enquête et au 18e rang parmi les 34 pays de l’OCDE.
    Curieusement, cette année, les médias, plutôt que s’intéresser aux causes de ces tristes résultats, se livrent à une analyse sociologique et, sans mettre en cause les acteurs de l’enseignement et de l’éducation, préfèrent mettre en évidence l’incapacité de notre système à faire réussir les élèves.
    Le site fdesouche.com a extrait du rapport PISA 2013 quelques phrases significatives à lire ci-après.
    Polémia

    Les phrases suivantes sont extraites sans aucune modification du dernier rapport PISA qui est disponible ici : rapport PISA France On y parle d’immigration, de discipline et des genres garçon fille…

    Performance en mathématiques :

    L’écart de performance en mathématiques entre les garçons et les filles en France (9 points) se situe légèrement en dessous de la moyenne des pays de l’OCDE (11 points) et est resté stable depuis 2003, masquant en fait un recul similaire des résultats des garçons et des filles.

    Performance en compréhension de l’écrit et en sciences :

    En France, l’écart de performance en compréhension de l’écrit entre les sexes s’est creusé entre les cycles PISA 2000 et PISA 2012, passant de 29 à 44 points de différence en faveur des filles.

    Les améliorations en compréhension de l’écrit sont principalement dues aux résultats des filles. Ainsi, entre 2000 et 2012, la proportion d’élèves très performants a augmenté de 6 % chez les filles (contre seulement 2 % chez les garçons), alors que dans le même temps, la proportion d’élèves en difficulté a augmenté de 6 % chez les garçons (contre seulement 2 % chez les filles).

    L’égalité des chances dans l’apprentissage :

    Les élèves issus de l’immigration sont au moins deux fois plus susceptibles de compter parmi les élèves en difficulté. La proportion d’élèves issus de l’immigration se situant sous le niveau 2 en mathématiques lors du cycle PISA 2012 ne dépasse pas 16 % en Australie et au Canada, mais atteint 43 % en France [...]

    Même après contrôle du milieu socio-économique, en France, les élèves issus de l’immigration accusent des scores inférieurs de 37 points   à ceux des élèves autochtones, soit presque l’équivalent d’une année d’études (contre 27 points, en moyenne, dans les pays de l’OCDE).

    En France, les élèves issus d’un milieu socio-économique défavorisé  n’obtiennent pas seulement des résultats nettement inférieurs, ils sont aussi moins impliqués, attachés à leur école, persévérants, et beaucoup plus anxieux par rapport à la moyenne des pays de l’OCDE.

    L’environnement pédagogique et l’engagement et la  motivation des élèves :

    En France, le climat de discipline est resté à peu près stable entre 2003 et 2012. Cependant, la France se classe parmi les pays de l’OCDE où la discipline est le moins respectée, et ceci même si la plupart des élèves en France bénéficient de classes disciplinées.

    Échelle de culture mathématique :

    En France comme dans la moyenne des pays de l’OCDE, la proportion de garçons et de filles dans le groupe des élèves en difficulté est à peu près identique (22 %), mais la proportion de garçons dans le groupe des élèves les plus performants est bien plus élevée que celle des filles (15 % pour les garçons, contre 11 % pour les filles)

     Échelle de compréhension de l’écrit :

    Les filles devancent les garçons en compréhension de l’écrit dans tous les pays et économies ayant participé au cycle PISA 2012, avec un écart de performance entre les sexes de 38 points, en moyenne, dans les pays de l’OCDE, et de 44 points en France.

    L’égalité des chances dans l’apprentissage et l’équité du rendement de l’apprentissage :

    Le manque d’équité du système français se traduit, en termes de classement dans l’enquête PISA, par un écart de 20 places si l’on compare les performances des élèves issus des milieux les plus favorisés à celles des élèves issus des milieux les plus défavorisés.

    Les élèves issus de l’immigration représentent en France 15 % des élèves testés dans la cadre des épreuves PISA 2012 et sont au moins deux fois plus susceptibles de compter parmi les élèves peu performants.

    Les élèves issus de l’immigration sont nettement plus susceptibles (1.7 fois, en moyenne) de compter parmi les élèves peu performants dans de nombreux pays de l’OCDE. Au Mexique, en Autriche, en Belgique, au Danemark, en Suède, en Finlande, en Espagne, en  France  et en Suisse, les élèves issus de l’immigration sont au moins deux fois plus susceptibles d’être peu performants que les élèves autochtones (2.3 fois en France).

    La proportion d’élèves issus de l’immigration qui n’a pas atteint pas le niveau 2 en mathématiques lors du cycle PISA 2012 ne dépasse pas 16 % en Australie et au Canada, mais atteint plus de 40 % en Autriche, en Finlande, en  France (43%) [...]

    Même après contrôle du milieu socio-économique, en France, les élèves issus de l’immigration accusent  des scores en mathématiques inférieurs de 37 points   à ceux des élèves autochtones, soit presque l’équivalent d’une année d’études (contre un écart de 21 points, en moyenne, dans les pays de l’OCDE).

    En France, le score en mathématiques des élèves issus de l’immigration est inférieur de 67 points à celui des élèves autochtones.  Même après contrôle du milieu socio-économique, les élèves issus de l’immigration accusent un score en mathématiques inférieur de 37 points à celui des élèves autochtones (contre un écart de 21 points, en moyenne, dans les pays de l’OCDE).

    Cependant, la performance en mathématiques s’améliore de 23 points en France (contre 10 points, en moyenne, dans les pays de l’OCDE) si l’on compare les performances  des élèves immigrés issus de la première et de la seconde génération.

    En moyenne, dans les pays de l’OCDE, les élèves immigrés de la première génération accusent des scores inférieurs de 45 points à ceux des élèves autochtones (contre un écart de 83 points enFrance). Toutefois, les élèves immigrés de la deuxième génération accusent des scores inférieurs de 30 points à ceux des élèves autochtones, en moyenne, dans les pays de l’OCDE (contre un écart de 60 points en France)

    La France se classe parmi les pays de l’OCDE où la discipline est le moins respectée…

    Parmi les pays de l’OCDE, l’indice PISA du climat de discipline le plus élevé (c’est-à-dire les pays où la discipline est le  plus respectée) s’observe au Japon (suivi d’Israël, de l’Autriche, de l’Estonie et de la Corée). En revanche, c’est en Finlande et en France (suivies du Chili, de la Grèce et de la Suède) que l’indice PISA du climat de discipline est le moins élevé

     Publié par Quake
    4/12/2013

     Note :

    (*) PISA 2010

    http://www.polemia.com/ce-que-taisent-les-medias-et-les-politiciens-sur-le-rapport-pisa-sur-leducation/

  • Bedos, fin de chantier…

    Comme Fourest ou Libé, Bedos ne fait plus rire depuis longtemps.

    Bedos, le mec qui est mort il y a 30 ans, voudrait « un permis de vote » parce que, selon lui, « il y a des gens qui ne savent pas voter »… Il y a 30 ans, je vous disais.

    Certes, « l’âge est un naufrage », mais avec le comique zombie déterré des seventies, ça tourne au Titanic !

    Présent lundi à la mirobolante et flopante soirée contre le racisme, le croque-mort du rire nous a sorti, en plus de son envie de « permis de vote » pour les électeurs qui pensent mal, une stupéfiante analyse politique. Selon Bedos, Marine Le Pen ferait en ce moment « la campagne d’Hitler », parce que – voyez-vous – « nous sommes dans la même crise que dans les années trente, et que [le FN veut] jeter les arabes et les nègres à la mer ». La suite de l’interview fait peine à voir. On sent que la fin du pauvre homme est proche, et on n’a pas envie de tirer sur le panzer en carton-pâte.

    Lire la suite....

  • Gabrielle Cluzel : "La famille est porteuse de valeurs aujourd'hui réputées détestables"

    La journaliste Gabrielle Cluzel répond aux questions de Medias Presse Info :

    "Avec toutes les mesures sociétales et fiscales comme la baisse du quotient familial, peut-on dire que ce gouvernement ne fait rien pour les familles ?

    Non, on ne peut pas le dire, car il ne fait pas «rien »… Il  fait pire que rien ! Il les persécute. A travers le mariage dit pour tous, c’est la famille dont on a cherché à ébranler les fondations.  Et les autres mesures, fiscales notamment, sont encore des coups de butoir supplémentaires. Et pourquoi s’acharner sur la famille ?  Parce que l’entité traditionnelle qu’elle représente est porteuse de valeurs aujourd’hui réputées détestables. Elle est un lieu de hiérarchie et d’autorité, entre les parents et les enfants.  Elle est un  lieu d’identité, de traditions communes. Elle est un lieu de transmission,  transmission d’un patrimoine génétique, matériel, culturel, civilisationnel même.  Elle est par essence un lieu, disons le mot même s’il est un peu provocateur,  d’exclusion, d’amour exclusif, où les liens filiaux, les liens du sang priment sur les autres. J’ose le dire, je préfère mes enfants à ceux des autres et je défie n’importe quelle mère  de prétendre le contraire…

    Après le vote de la loi Taubira, Hollande et son gouvernement ne comptent pas s’arrêter là. On a évoqué la PMA et la GPA. Croyez-vous qu’après plus d’un an de manifestations, le gouvernement se montrera plus prudent et qu’il faudra donc davantage se méfier ?

    Le brouillage des cartes, la fragmentation de la parentalité que sont la PMA et la GPA  (qui atteint son summum avec dissociation, dans le cas de la GPA, entre mère porteuse et mère biologique  pour éviter qu’une mère porteuse, déchirée de laisser la chair de sa chair, change d’avis et s’avise de vouloir garder le bébé…), induits par le mariage pour tous, viennent la ronger de l’intérieur faute de pouvoir totalement l’abattre par des réformes extérieures.

    Le gouvernement se montrera-t-il plus prudent ? Oui, sans doute. C’est pour cela qu’il a mis pour le moment de côté la PMA et la GPA. Mais cela reviendra tôt ou tard. D’abord parce que ce gouvernement nous a montré, que chez lui l’idéologie finissait toujours par avoir le dessus sur la plus élémentaire prudence politique. Ensuite, parce que le mariage dit pour tous ne trouve pleinement son sens qu’à travers la PMA et la GPA. On commencera par la PMA, plus facile à gober. Puis on viendra naturellement à la GPA, car sinon il y aurait discrimination patente entre les lesbiennes qui ont la chance d’avoir été dotées à la naissance d’un utérus et les gays, brimés par la nature, qui n’ont tiré qu’une prostate à la loterie de la vie. Elisabeth Badinter et Najat Belkacem ont déjà parlé du concept de « GPA éthique ». Un oxymore qui passera rapidement dans le langage courant. Il y aura au préalable un tir d’artillerie nourri, entre émotion (avec une instrumentalisation de cas particuliers qui nous tireront les larmes), et stigmatisation des opposants (« racistes », « fachos », « homophobes »…pas besoin de vous faire un dessin, je pense ?).

    Divorce, avortement, mariage homosexuel et adoption, maintenant la PMA. Peut-on parler d’un processus de destruction de la famille ?  Ne fait-on pas tout pour casser les liens qui peuvent unir les membres d’une même famille ?

    Oui, c’est évident. La famille devient  une espèce de puzzle compliqué, dont les pièces finissent par s’éparpiller. L’euthanasie sera rendue plus facile, Les liens seront tellement distendus…

    Peut-on penser que certains partis ont compris le poids électoral « Manif Pour Tous » comme on peut le voir avec le rapprochement  de Nicolas Dupont-Aignan avec Frigide Barjot ? Doit-on en profiter pour agir auprès des candidats pour les municipales et les européennes ?

    Les sentinelles et les veilleurs dans les rues doivent devenir des « sentinelles «  et des veilleurs dans les urnes. Ils doivent faire comprendre aux candidats qu’ils les tiennent à l’œil, qu’ils n’accorderont pas leurs suffrages sans certaines garanties. Deux écueils néanmoins : celui d’être instrumentalisé par tel ou tel parti et celui d’imaginer que l’on pourra créer soi-même un parti politique, reposant sur les seules questions éthiques, ce qui serait un peu réducteur.  

    Pour en revenir au sujet de la loi Taubira, n’a-t-on pas perdu pour avoir privilégié le nombre et manqué d’un discours clair et ferme politiquement ?

    C’est l’éternel dilemme quant à la stratégie à adopter… On est sur une ligne de crête. Faut-il privilégier le nombre comme vous dites en cherchant un dénominateur commun qui «ratisse large », mais  qui se révèle tellement petit in fine que l’on peut avoir perdu de vue  l’essentiel de la substance du message initial, ou au contraire par détestation de la compromission, rester entre soi, au risque de rester très «confidentiel », ce qui est moralement et intellectuellement séduisant, mais potentiellement assez stérile. L’arbitrage, en conscience, est compliqué. Si compliqué que je ne me permettrais de juger ni les uns ni les autres. Peut-être, au fait, la juxtaposition des deux points de vue par des combats parallèles, n’est-elle pas mauvaise ?  Les uns et les autres se servant mutuellement de garde-fou, de modérateur. A condition qu’ils ne perdent pas leur temps et leur énergie à se tirer mutuellement dans les pattes, évidemment.

    Le fait de dire qu’on est « contre la loi Taubira » ne donne-t-il pas un aspect négatif au combat au lieu de dire qu’on est « pour la famille » ?

    Il ne faut pas avoir peur d’être dans l’opposition, en signifiant clairement l’objet de son opposition. Et puis être « pour la famille » est un peu vague, non ? Le  gouvernement aussi prétend être pour la famille, sauf que ce qu’il appelle famille n’en est plus une.

    Justement pour plus de clarté, n’aurait-on pas intérêt à revenir aux bases et à redéfinir plus clairement ce qu’est la famille et son bien-fondé ?

    Vaste chantier ! Mais vous avez raison. Quand il n’y a plus qu’un champ de ruine il faut se retrousser les manches et rebâtir pierre par pierre. Avec patience et persévérance. Et surtout sans écouter les bonnets de nuit qui prétendent que tout est foutu."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Plainte contre Laurent Fabius pour complicité de crimes commis en Syrie

    Par le Collectif international d’avocats pour la paix en Syrie
    – Exclusivité E&R

    Le Collectif international d’avocats pour la paix en Syrie organise un rassemblement pour dénoncer la responsabilité du ministre des Affaires étrangères dans les crimes commis en Syrie le dimanche 8 décembre, à 16h00 place Saint-Michel à Paris

    « Un ministre doit toujours répondre de ses actes. »
    François Mitterrand

    Trois victimes civiles syriennes portent plainte contre Laurent FABIUS, qui s’est rendu complice, par abus d’autorité, d’exactions commises en Syrie.

    Les plaignants estiment qu’à plusieurs reprises le ministre des Affaires étrangères de la France, Monsieur Laurent Fabius, a abusé de l’autorité qui émanait de ses fonctions de ministre, en promettant une intervention armée en Syrie et la livraison d’armes à la rébellion, en disant que le Front Jabhat Al-Nosra, organisation classée comme terroriste, « faisait du bon boulot », et en allant jusqu’à dire que le Président Bachar Al-Assad « ne mériterait pas d’être sur la Terre ».

    Ce faisant il provoquait la commission d’exactions en Syrie, parce qu’il œuvrait à faire perdre toute légitimité et à rejeter même dans l’illégalité tous ceux, qui, sur place, luttent contre le terrorisme, tout en tendant formellement à légitimer et même à rendre légales les exactions commises par la prétendue rébellion. Il a ainsi provoqué aux crimes et aux délits que des bandes armées ont commis ensuite en Syrie.

    Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim ont été victimes, à Damas et ailleurs, de faits très graves, ils ont perdu des proches, morts ou enlevés. On rapporte des cas de crânes écrasés, d’un cadavre brandi par les tueurs qui en parlent comme d’un porc, d’enfants agressés. Les cas figurent en annexe de ce communiqué.

    C’est pourquoi les plaignants, assistés d’un collectif international d’avocats, portent plainte contre Laurent Fabius pour complicité de menaces de mort, de violation de domicile, de dégradation et de destruction, de mutilation, d’assassinat, de séquestration, d’enlèvement, de détention et d’atteinte à l’intégrité du cadavre à raison de sa supposée non-appartenance à une religion déterminée.

    Madame Al-Kassem, Messieurs Al-Ibrahim et Salim déposent plainte devant la Commission des requêtes de la Cour de justice de la République. Cette procédure a été instaurée à l’époque du scandale du sang contaminé, précisément pour permettre à des particuliers de faire entendre le préjudice qu’ils subissent du fait d’un ministre dans l’exercice de ses fonctions.

    Pétition : http://www.petitions24.net/appel_pour_la_paix_en_syrie

    Contact : appeldu1ermars2013@outlook.com

    Annexe 1. Le cas AL-KASSEM

    Madame Joumana AL-KASSEM est mère de famille. Elle a eu six garçons : deux d’une première union : Mohammed et Morhaf TANBAKJI ; et quatre de son second mariage : Mohamad Yazan, Yaman, Moumen, et Rayan CHAMIYEH. Ils vivaient tous ensemble, ses enfants et son mari, dans une maison de Koudsaya Jamiyat, un quartier de Damas.

    Au début des évènements leur position était claire : ils étaient pour l’État syrien et contre toutes destructions, sachant qu’aucun d’entre eux n’était en relation avec l’État ou n’était fonctionnaire ou employé de celui-ci. Ils participaient à toutes les manifestations et évènements de soutien à leur pays et à leur Président. Le plus jeune fils de Madame AL-KASSEM, Rayan, âgé de quatre ans, qui est surdoué et très éveillé, répétait tous les mots d’ordre et retenait rapidement toutes les chansons patriotiques. Et il les chantait, ce qui attirait l’attention des partisans comme des opposants.

    Une année après le début des évènements, ils commençaient à recevoir des menaces. Certaines par Internet, d’autres par des écriteaux sur les murs de leur maison. Ils ne leur prêtaient aucune attention, pensant qu’on ne leur ferait de mal, puisqu’ils ne faisaient de mal à personne.

    Le 19 juin 2012, à 3 heures du matin, un groupe d’une dizaine de terroristes, au milieu de tirs massifs, envahissait leur maison, dégradants meubles et murs. Les militaires du check point voisin accouraient, les terroristes arrêtaient de tirer et s’enfuyaient. C’est alors que l’on découvrait que le fils de Madame AL-KASSEM, Mohammad Yazan CHAMYIEH, était gravement blessé. Ils le transportaient à l’hôpital le plus proche (celui d’Al-Badr).

    Mais à l’entrée de l’hôpital, les terroristes s’attaquaient à eux à nouveau en ouvrant le feu. Un deuxième fils de Madame AL-KASSEM, Morhaf TANBAKJI, était blessé. Ils restaient assiégés à l’intérieur de l’hôpital, les terroristes étant à l’extérieur, jusqu’à l’arrivée des soldats qui leur permettaient de sortir. Mohamad Yazan CHAMIYEH succombait à ses blessures. Et à peine sortie de l’hôpital Madame AL-KASSEM apprenait qu’il en allait de même de son fils Morhaf TANBAKJI.

    Madame AL-KASSEM et sa famille étaient exposés une troisième fois à des tirs d’arme à feu, lors des obsèques de ses deux fils.

    En mai 2013 les terroristes se sont encore attaqués à leur voiture, qui a été complètement détruite. Madame AL KASSEM et sa famille sont toujours menacés, en particulier le plus jeune de ses fils, Rayan CHAMYIEH. Ils vivent dans la peur et l’angoisse.

    Annexe 2. Le cas AL-IBRAHIM

    Le 10 septembre 2013, à Maksar al-Hisan, la mère, le frère, la belle-sœur et les deux neveux de Mohammed AL-IBRAHIM étaient réveillés en pleine nuit par de violents tirs d’armes à feu. Le village subissait, ainsi que les villages voisins, l’attaque des hordes de Jabhat Al-Nosra.

    Yahia AL-IBRAHIM, le frère de Mohammed AL-IBRAHIM, et Jinane TAKLA, sa belle-sœur, cachaient leurs enfants Habib Yahia, âgé de onze ans, et Ali Abib, âgé de dix ans, dans le grenier, et leur demandaient de ne plus bouger.

    Les terroristes envahissaient la maison qu’ils arrosaient de tirs. Dans l’une des pièces, ils trouvaient la mère de Mohammed AL-IBRAHIM, Fatima, une femme très âgée. Ils l’abattaient froidement.

    Ils fouillaient la maison et s’approchaient de la cuisine, où se tenaient enfermés le frère et la belle-sœur de Mohammed AL-IBRAHIM. Ils leur demandaient de sortir, leur disant qu’ils seraient en sécurité. Le frère de Mohammed AL-IBRAHIM leur répondait comment, alors qu’ils venaient d’abattre sa mère. Ils fracturaient la porte et tuaient les deux parents. Les enfants pouvaient assister à la scène depuis le grenier.

    Après ce massacre, un membre du groupe soulevait le corps du frère de Mohammed AL-IBRAHIM et demandait à un comparse de « le prendre en photo avec ce porc ».

    Les enfants restaient dans leur cachette, terrorisés, jusqu’au soir où l’Armée arabe syrienne les découvrait.

    Outre les membres de la famille de Mohammed AL-IBRAHIM, ce jour-là furent massacrés : Mohamad Hassan Alali, 80 ans, paysan ; Mahmoud Yahia Al Khalil, 70 ans, enseignant retraité ; Ali Kamel Al Jouhni, 35 ans, ouvrier ; Mohammed Ibrahim Al-Johni, 70 ans, retraité ; Matira Ahmed Ghanoum, 70 ans, femme au foyer ; Kamal Mahmoud Al-Khalil, 20 ans, étudiant ; Mounzer Mahmoud Al-Khalil, 25 ans, ouvrier ; Mohamed Rachid Al-Ibrahim, 20 ans, étudiant ; Rabih Rachid Al-Ibrahim, 25 ans, ouvrier ; Khaled Nemr Al-Chebeili, 32 ans, ouvrier ; et Mia Al Ahmad, 54 ans, femme au foyer. Furent enlevés : Khalifé Khaled Al Jallab, 75 ans, retraité et Hazem Khalifé Al Jallab, 16 ans, étudiant.

    Annexe 3. Le cas SALIM

    Monsieur Talal SALIM est citoyen syrien, diplômé de l’École des bibliothécaires et des systèmes d’information. Il demeurait avec sa femme Awatef Maarouf et ses quatre enfants (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), à DAMAS (Syrie), dans le quartier Mezzeh 86.

    Il y a près de deux ans des tirs de mortiers commençaient à pleuvoir sur le quartier Mezzeh 86, avec des explosions de voitures piégées un peu partout. Le 6 décembre 2012, une voiture piégée a explosé sous son appartement à Mezzeh Madraseh. Toutes les fenêtres et certains murs ont explosé. Ce qui l’a poussé à transférer toute sa famille vers Lattaquié, fuyant la mort ambulante.

    Les groupes armés qui opéraient ces explosions pratiquaient toutes sortes de terrorisme intellectuel et matériel contre les alaouites pour les contraindre à quitter Damas, et retourner dans leurs villages. Toutes sortes d’exactions étaient commises contre eux, assassinat, vol, viol, encouragées et payées par les pays du Golfe et par la France.

    Le 4 août 2013 à 4h30 du matin, des bandes djihadistes salafistes armées jusqu’aux dents envahissaient le village de la commune de Lattaquié où Monsieur Talal SALIM et sa famille avaient trouvé refuge (trois autres villages de la même commune étaient envahis au même moment). Ils mettaient à mort les habitants, femmes, enfants, vieillards, hommes jeunes et moins jeunes, de manière absolument horrible, par égorgement, par découpage de membres, par écrasement des crânes, en commettant de terribles mutilations.

    Étaient ainsi mutilés et tués de la manière la plus ignoble le père de Talal SALIM, Badih SALIM, trois de ses frères, Nazem SALIM, Kasser SALIM, Jassem SALIM, sa tante non-voyante, ses cousins et cousines.

    La propre épouse, Awatef MAAROUF, et les quatre enfants de Talal SALIM (Loujaïn, Hanin, Joy et Wajd), étaient kidnappés. On est resté sans nouvelles d’eux.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/plainte-contre-laurent-fabius-pour-complicite-de-crimes-commis-en-syrie_92105.html#more-92105

  • Laïcité : Thibaud Collin à L’AF : "La laïcité est un régime de fermeture"

    Nos lecteurs connaissent bien Thibaud Collin : il nous avait déjà fait l’amitié de nous accorder un entretien sur son précédent livre : Les lendemains du mariage gay (Editions Salvator). Nous sommes revenus à lui pour qu’il nous présente, dans le cadre d’un dossier de L’AF "Pour en finir avec la laïcité", son dernier ouvrage : Sur la morale de Monsieur Peillon (Editions Salvator, 14,50 euros).

    L’AF 2875 : Vincent Peillon veut remettre à l’honneur la « morale laïque ». Or sa laïcité n’est-elle pas surtout une contre-religion ?

    Thibaud Collin : Notre Ministre est philosophe de métier. A ce titre, il a une connaissance approfondie de la tradition républicaine. Il a écrit sur Edgar Quinet, l’un des premiers théoriciens de l’école laïque, sur Jaurès, sur Ferdinand Buisson, celui qui a dirigé l’enseignement primaire pendant des années et a mis en œuvre les orientations de son ministre, Jules Ferry. Or que nous disent ces auteurs sur la laïcité en général et sur l’école et la morale laïque en particulier ? Ils tiennent en fait un discours à double-fond. Le premier consiste à dire que la laïcité est une forme juridique rendant possible la coexistence pacifique de citoyens ayant des croyances religieuses différentes (ou pas de croyances religieuses du tout). La laïcité se présente alors comme la propriété d’un régime politique et de sa législation par laquelle la question religieuse est mise entre parenthèses. Mais il existe une autre dimension de la laïcité qui la rapproche de fait d’une religion (en l’occurrence une contre-religion ou une irréligion), c’est que la laïcité contient une dogmatique par laquelle elle prétend correspondre à la vérité et au bien humain.

    Elle s’identifie alors au régime mental et institutionnel des peuples enfin « autonomes », qui ont su « se libérer » de la tutelle des institutions autoritaires, au premier chef de l’Eglise catholique et de la monarchie. Il y a donc une dimension de « libération » spirituelle et morale dans la laïcité qui de facto la place au même niveau que la croyance religieuse. Les républicains de la Troisième hier ou Vincent Peillon aujourd’hui auront beau jeu de dire que la laïcité n’est pas anti-religieuse, qu’elle respecte les croyances individuelles, leur lutte contre ce qu’ils nomment le « cléricalisme » n’est pas seulement mue par la reconnaissance d’une juste distinction entre le temporel et le spirituel. La laïcité est ici vraiment « un nouveau pouvoir spirituel ». D’ailleurs Peillon désigne ainsi l’école de la République. La volonté d’être la matrice englobant et accueillant la diversité des croyances religieuses lui attribue, qu’on le veuille ou non, une position transcendante.

    « Quelle morale dispenser dans une société laïque ? », demandez-vous. L’Etat seul ne devrait-il pas être laïque ?

    Oui, bien sûr. Comme je viens de le dire la laïcité adéquatement prise ne concerne que l’Etat et non pas la société civile qui comme telle est le lieu d’expression de toutes les dimensions de l’être humain, et donc au premier chef de cette recherche de la vérité sur le bien ultime. Cependant aujourd’hui la laïcité est de plus en plus vue comme une norme exigeant de la part des individus une privatisation de leur croyance religieuse et de ses implications sociales et culturelles. Cette dualité est à interroger. C’est la personne dans son unité qui adhère à une doctrine ou à une personne comme étant vraie et cela engendre une conversion dans la manière de vivre, de se rapporter à soi-même et aux autres.

    Vous soulignez, à l’encontre de la pensée dominante, que « la laïcité est essentiellement fermeture ». Pourquoi ? [...]

    Propos recueillis par François Marcilihac

    La suite de l’entretien et du dossier "Pour en finir avec la laïcité" dans L’AF 2875 :

    - Entretien avec Thibaud Collin
    - "Retrouver l’identité nationale" par Elie Hatem
    - "Affaire Baby-Loup : un imbroglio juridique" par Elie Hatem
    - "Le procès du voile intégral" par Grégoire Dubost

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laicite-Thibaud-Collin-a-L-AF-La

     

     

  • Les Mères Veilleuses interpellent Dominique Bertinotti

    Communiqué des Mères Veilleuses :

    "Non à la promotion de tous les types de « familles » oui à l’aide à la famille durable

    Inquiètes de l’état d’esprit dans lequel s’élabore le projet de loi familles, les Mères Veilleuses se réuniront lundi 9 décembre à 12 heures devant le mur de la Paix, sur le Champ de Mars à Paris, puis apporteront une lettre au ouverte à la ministre déléguée à la famille.

    Après la loi Taubira, qui a pour conséquence de priver délibérément certains enfants de leur père ou de leur mère, les Mères Veilleuses s’inquiètent du projet de loi familles, qui vise à ériger en modèles équivalents pour l’enfant toutes les formes de familles, comme l’a exprimé Dominique Bertinotti : « Si nous avons besoin d’une loi famille, ou plutôt d’une loi familles, ce n’est pas pour être dans la défense la famille, mais pour garantir la promotion de toutes les familles. » Les Mères Veilleuses respectent et accueillent toutes les formes de familles, mais estiment que la famille fondée sur l’altérité sexuelle et la filiation naturelle doit demeurer la référence, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant.

    Il est ainsi incompréhensible d’entendre la ministre vouloir faire la promotion de la famille monoparentale, quand on sait les difficultés et les souffrances que connaissent bien souvent les mères ou les pères seuls, ainsi que leurs enfants !

    Les Mères Veilleuses s’inquiètent en outre d’un projet élaboré sans les associations familiales, mais offrant des tribunes à nombre de personnalités marquées par une idéologie des plus libertaires en matière de filiation. Elles demandent à être reçues par Dominique Bertinotti, afin de contribuer à l’élaboration du projet de loi, et veulent l’assurance que ce dernier n’ouvrira pas aux couples homosexuels la PMA et la GPA, afin que jamais une femme ne soit amenée à louer son ventre.

    Les mères veilleuses vous donnent rendez-vous le lundi 9 décembre au Mur de la Paix, sur le Champde- Mars à Paris, pour un point presse à 12h30. Elles seraient heureuses d’y rencontrer les médias, afin de faire entendre, loin des clichés véhiculés, leurs voix de mères qui souhaitent défendre l’égalité des enfants. Elles porteront ensuite à Madame Bertinotti une lettre ouverte.

    Né le 21 avril 2013, le collectif des Mères Veilleuses rassemble plus de 1000 femmes dans toute la France. Chaque première semaine du mois, elles proposent dans plusieurs villes des espaces de rencontres et d’échanges en profondeur. Ce qui les réunit, c’est leur détermination à protéger pacifiquement le plus faible, l’enfant. Elles défendent le droit de l’enfant à connaître ses parents biologiques et, chaque fois que c’est possible, à être élevé par eux."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Quand « Marianne » manipule…

    « La journaliste ne présentera pas ses excuses. C’est étranger à la tradition de la presse française. »

    Le 22 septembre dernier, on pouvait lire dans l’hebdomadaire Marianne, sous la signature de Lisa Vignoli, les quelques lignes suivantes : « Alain Soral est passé de mode. Mais il reste Dieudonné, Robert Ménard et Thierry Meyssan […] « Ces porteurs d’idéologie profitent et entretiennent la détestation selon une stratégie bien déterminée », analyse le chercheur en philosophie Vivien Hoch […] Leurs diverses provocations, leur entretien de l’idéologie antisémite et leur ironie constante devraient les écarter du débat public. » Rien de moins.

    Il se trouve que Robert Ménard n’est pas antisémite. (Ni fasciste, ni raciste). Il se trouve que cette imputation assassine était une pure (si l’on peut dire) et simple invention de Lisa Vignoli. Il s’est trouvé qu’à peine avait-il pris connaissance des affabulations de cette dernière, M. Vivien Hoch, justement indigné, démentait les propos qui lui avaient été faussement prêtés et prenait même la peine d’adresser à Robert Ménard le texte dont s’autorisait Lisa Vignoli, et qui disait tout le contraire. Non seulement Robert Ménard n’y était pas cité parmi les « porteurs d’idéologie » en question, mais il y était écrit en toutes lettres qu’il « tente de s’exprimer sincèrement, sans stratégie invisible, et en cela mérite un écho dans le débat public ».

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  • Acte II de l’offensive contre l’embryon en Europe (résolution Estrela) le 10 décembre

    Les députés français sont appelés à s’y opposer !

    Le débat en séance sur la résolution Estrela aura bien lieu…

    Dans notre précédent message nous vous informions que la résolution Estrela pouvait être présentée au vote en séance plénière le 10 décembre au Parlement européen.

    Malheureusement, ce sera le cas. Les vices de procédures qui entachent ce texte n’ont pas été pris en compte, du coup, ce vote n’est pas reporté. Il faut donc se mobiliser jusqu’au 10 décembre pour interpeller tous les parlementaires français européens afin qu’ils se mobilisent contre ce texte.

    Il est encore temps de se mobiliser !

    Tout est encore possible car le résultat du vote s’annonce serré. D’après des observateurs européens, plusieurs parlementaires ne se sont pas encore prononcés sur ce texte. Trois demandes à formuler aux députés européens pour contrer la résolution Estrela :

    - 1/ Voter le renvoi en commission (la résolution Estrela étant présentée comme un nouveau texte, les députés peuvent bien demander son renvoi en commission).
    - 2/ Si ce renvoi n’est pas voté, il faut demander aux parlementaires de voter l’un des deux projets alternatifs portés par le PPE et l’EFD (si ces projets alternatifs sont adoptés, la résolution Estrela est annulée).
    - 3/ Si ces projets alternatifs ne sont pas adoptés, demander aux parlementaires de rejeter l’intégralité de la résolution Estrela.

    Il faut donc montrer aux parlementaires que les citoyens européens sont majoritairement opposés à ce texte. Pour cela, vous pouvez mener 4 actions :
    - Interpeller tous les parlementaires français européens pour leur formuler les 3 demandes ci-dessus. Vous trouverez en cliquant ici le tableau avec les contacts (adresse électronique et téléphone) ;
    - Placer en copie Martin Schulz, Président du Parlement européen, pour qu’il se souvienne que ce texte ne relève pas de la compétence de l’Union martin.schulz@europarl.europa.eu ;
    - Demander à Joseph Daul, président du parti PPE, de se prononcer publiquement pour souligner les vices de procédure qui entachent la réputation du Parlement européen : joseph.daul@europarl.europa.eu ; +33(0)3 88 17 55 25.

    Si vous avez le courage et le temps, vous pouvez doubler vos envois par des appels téléphoniques. Voici le numéro du standard du Parlement : +33 (0)3 88 17 40 01.

    Il y a urgence à se mobiliser d’ici le 10 décembre.

    Un très grand merci à tous.

    L’équipe UN DE NOUS France

    Pourquoi se mobiliser contre la résolution Estrela ?

    En raison de ses implications politiques sur UN DE NOUS.

    L’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS demandait à l’UE de cesser le financement communautaire des activités liées à l’avortement et à la recherche sur l’embryon, en respectant la jurisprudence européenne (C-34/10 Brüstle c. Greenpeace). Le rapport Estrela s’oppose à cet objectif politique précis. Sur le plan administratif, les deux procédures sont bien distinctes : une initiative citoyenne européenne n’est pas un rapport d’initiative du Parlement européen. Toutefois, par le contenu politique et le calendrier de sa mise en œuvre, le rapport Estrela (s’il était adopté) interviendra avant même que UN DE NOUS ne soit officiellement reconnu par la Commission européenne. La mise en œuvre ultérieure des demandes formulées par UN DE NOUS sera donc politiquement neutralisée en raison d’une résolution du Parlement européen. Avant d’être une question procédurale ou juridique, les implications pour UN DE NOUS sont d’ordre politique. C’est pourquoi les députés européens doivent rejeter le rapport Estrela.

    UN DE NOUS est porté en France par quatre structures : Alliance Vita, Fondation Jérôme Lejeune, AFC, CPDH.

    * 1 exemple de message électronique :

    Madame, Monsieur le député,

    Le rapport Estrela sur la santé et les droits sexuels et génésiques (SDSG) va être voté en séance plénière le 10 décembre prochain.

    Ce texte ne relève pas de la compétence de l’Union, comme il en a déjà été décidé précédemment : “compte tenu de la dimension éthique, sociale et culturelle de l’avortement, il appartient aux États membres d’élaborer et de faire appliquer leurs politiques et leur législation en la matière. La Commission n’entend pas compléter les politiques nationales de santé publique dans ce domaine.” (Réponse du Commissaire à la santé Dalli du 30 avril 2012).

    Par ailleurs, la résolution Estrela soutient le financement de programmes détruisant l’embryon humain. Or, 2 millions de citoyens européens ont signé l’Initiative Citoyenne Européenne UN DE NOUS pour demander précisément l’arrêt du financement par l’Union européenne des programmes menaçant l’être humain déjà conçu. En tant que député européen, vous ne pouvez ignorer cette mobilisation citoyenne massive à travers toute l’Europe, et inédite sur le sujet.

    Je vous demande donc de voter le renvoi en commission de la résolution Estrela, comme ce fût le cas le 22 octobre dernier. Si ce renvoi n’est pas adopté, je vous demande de voter pour les 2 motions de résolution alternative portées par le PPE et l’EFD, qui rappellent une décision de la Cour de Justice de l’Union européenne (C-34/10) sur l’obligation de protection de l’embryon au nom de son humanité. Ils rappellent également le droit fondamental à la liberté de conscience et à l’objection de conscience.

    Si malgré tout, les motions de résolution alternative ne passent pas, je vous demande de rejeter le rapport Estrela.

    Confiant dans votre souci de l’intérêt général, je vous prie de croire, Madame, Monsieur le député à l’expression de ma considération.

    SIGNEZ ICI !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Acte-II-de-l-offensive-contre-l

  • Et si nous faisions l’Union sacrée contre le racisme anti-blanc ?

    Nos gouvernants veulent voir disparaître notre histoire, chassée des manuels scolaires, remplacée par celle des empires africains.

     
     

    Nous avons touché le fond de la haine anti-Français, de la haine anti-blanc, la semaine dernière quand un certain Joyce, se disant surveillant en école primaire, a tweeté sa jubilation parce que, systématiquement, il punit les petits « babtous » (toubab, en verlan, comprendre « tout blanc », mot originaire d’Afrique de l’Ouest).

    Résistance républicaine n’aura les 5 ans requis pour porter plainte au tribunal contre le racisme qu’en 2015 : nous avons donc signalé la chose au procureur de la République.

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