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anti-national - Page 885

  • Des djihadistes tatars parmi les manifestants euro-atlantistes à Kiev

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    Les manifestations euro-atlantistes sont de toute évidence le fruit de diverses manipulations et de l’implication de puissances étrangères dans une tentative de déstabilisation du régime ukrainien.

    Le gouvernement ukrainien dénonce un plan de coup d’état et souligne la présence parmi les manifestants pro-Union Européenne de plusieurs dizaines de djihadistes tatars de Crimée  revenus depuis le 22 novembre de Syrie via la Turquie pour assurer le service d’ordre des manifestations à Kiev et constituer des groupes de choc destinées à affronter les unités Berkut du ministère de l’Intérieur ukrainien.

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  • Mort du criminel Nelson Mandela : un terroriste marxiste antiblanc

     

    La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
    Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.

    Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).

    Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.

    Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

    Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.

    Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.

    Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.

    Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.

    Ci-dessous une video de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud :

    http://www.contre-info.com/mort-du-criminel-mandela-un-terroriste-marxiste-antiblanc#more-30506

  • Menaces de mort à Lyon

     

    Ce matin les habitants du quartier d'Ainay dans le 2e arrondissement de Lyon ont découvert de nombreux graffitis extrémistes sur les murs de la mairie d'arrondissement et de la salle municipale François Sala où doit se tenir ce soir "La soirée branchée" des Enfants des Terreaux. Des graffitis "antifascistes" et anti-catholiques revendiquant notamment "Enfant des Terreaux, un coup de couteau". Plusieurs plaintes ont été déposées dans la journée et une enquête de police est actuellement diligentée. Les enfants des Terreaux font part de leur stupéfaction face à ces messages de haine. Malgré ces menaces, les Enfants des Terreaux maintiennent leur soirée festive ce soir et rappellent qu'il ne lâcheront jamais rien.

     

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    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

     

  • Comment François Hollande tente de mettre à genoux la famille…

    Que Hollande fasse sauter sur ses genoux toute une crèche n’y changera rien : il aura tout volé à la famille.

     
     

    C’est un sondage IFOP publié dans Le Figaro qui le révèle : les trois quarts des Français jugent injuste la politique familiale du gouvernement. 60 % des Français estiment avoir subi une baisse de leur pouvoir d’achat du fait de ces mesures, et qu’ils soient touchés ou non, 80 % d’entre eux ne croient pas en son efficacité.

    Un sondage inquiétant pour le gouvernement car il n’y a pas meilleur ferment de rancœur qu’une punition perçue comme inique et inutile. Surtout lorsqu’elle vise ce qui a toujours été le recours, l’abri vers lequel vous porte un instinct primitif quand tout le reste fout le camp : la famille.

    Sans doute François Hollande n’a-t-il pas eu besoin de ce sondage pour prendre conscience de l’ornière dans laquelle une fois de plus il s’est fourré, puisqu’il tente d’inverser la vapeur en multipliant depuis quelques jours les signaux en direction des « familles » : il y a eu cette remise de médailles de la famille à l’Élysée, en compagnie de Valérie Trierweiler, le 30 novembre dernier, puis cette opportune photo prise lundi soir, dans les locaux d’une association d’aide aux jeunes parents en difficulté, avec un bébé dans les bras.

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  • Qui peut encore croire au gender ?

    Toute la partie « scientifique » de la justification du gender repose sur l’idée de la plasticité du cerveau. Effectivement il y a cinquante ans, la pensée médicale voyait dans le cerveau un organe fixe qui ne se renouvelait pas. Or l’image par Résonnance Magnétique permet de se situer au plus profond des arcanes du système nerveux. Il existe des appareils qui plongent au 100.000ème par rapport à ceux qui sont utilisés par exemple dans une atteinte de la hanche. Ces appareils détectent les mouvements intercellulaires d’où le nom d’IRM fonctionnelle. Ainsi, il est possible de quantifier la douleur qui passe d’une cellule nerveuse à une autre, de doser les médicaments qui sont prescrits, de prévoir une crise d’épilepsie, de « lire » la dépression. Ce sont les neurosciences. Elles permettent de suivre et d’interpréter le câblage des neurones. Il s’agit d’une véritable cartographie dynamique.

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  • Feu vert pour la libre circulation des turcs en Europe

     

    Communiqué de Bruno Gollnisch
    Député au Parlement européen
    Membre du Bureau politique du Front National

    L’Union européenne vient de conclure un accord avec la Turquie pour la facilitation d’obtention des visas qui doit être signé à Ankara le 16 décembre prochain. Certes, cet accord s’accompagne d’un accord dit « de réadmission » visant à obliger la Turquie à accepter sur son territoire les clandestins qui y auraient transité avant d’entrer sur le territoire de l’UE. Certes également, il est prévu une période d’observation de trois ans sur l’application du second accord, avant d’exempter totalement de visas les citoyens turcs désirant faire de courts séjours en Europe. Certes, l’Union européenne a aussi conclu ce type d’accords avec d’autres pays, l’Albanie, la Bosnie, des républiques d’Asie centrale… dont on sait que les ressortissants ne voyagent que pour le tourisme, les études ou les affaires.

    Mais justement. C’est l’occasion de faire savoir aux citoyens français que le gouvernement ne décide plus vraiment de qui a le droit d’entrer en France. C’est Bruxelles qui négocie ce type d’accords. Les ministres des États membres, réunis au Conseil, doivent les approuver, mais à la majorité qualifiée. Non seulement il n’y a pas de droit de veto, mais n’importe quel Ministre peut faire l’affaire pour signer. Le dernier accord de ce type en date, avec l’Azerbaïdjan, a été approuvé lors d’un Conseil « Jeunesse, Culture et Sports ». En présence de Mmes Filippetti et Fourneyron, et M. Peillon, mais sans M. Valls ! Belle manière de noyer le poisson en même temps que l’information ! Bien sûr, les parlements nationaux ne sont pas consultés : seul le Parlement européen l’est.

    Voilà l’Union européenne ! Des fonctionnaires qui négocient, des ministres qui décident de dossiers qui ne sont pas de leur compétence, et des parlements nationaux réduits au silence !

    Le Front National réaffirme le droit de chaque État à décider souverainement de qui a le droit d’entrer et séjourner sur son territoire, à quelles conditions et pour quelle durée. Ces domaines sont trop sérieux pour les laisser aux eurocrates !

    http://www.gollnisch.com/2013/12/05/feu-vert-pour-la-libre-circulation-des-turcs-en-europe/

  • Le pays légal, on n’en veut plus !

    L’annonce d’une refonte générale de la fiscalité par le Premier ministre n’aura donc pas eu l’effet naïvement escompté : calmer la colère d’un pays réel en proie au ras-le-bol fiscal. Il est même possible que cette annonce n’ait fait que nourrir un peu plus l’inquiétude des Français.

    Car une telle remise à plat pourrait avoir pour seul effet, en élargissant les différentes assiettes, d’augmenter un peu plus encore les ponctions du gouvernement socialiste dans leur porte-monnaie. Ainsi, la fusion de la CSG et de l’impôt sur le revenu pourrait faire 10 millions de perdants.

    Les Français ne sont plus dupes : le prouvent les échecs piteux des tentatives de diversion menées par les différents relais du système. Le 23 novembre dernier, les manifestations, visant à briser la révolte sociale des Bonnets rouges, organisées en Bretagne par sept syndicats, qui tous, ou presque, émargent à la très « jaune » Confédération européenne des syndicats et sont donc pleinement complices de la politique conduite par Bruxelles, n’ont rassemblé que des troupes squelettiques en dépit de la présence de Thierry Lepaon et de Laurent Berger, les deux patrons respectifs de la CGT et de la CFDT. Au contraire, c’est de nouveau par dizaines de milliers que ce sont retrouvés les Bonnets Rouges, ce dimanche 1er décembre à Carhaix dans le Finistère, parallèlement à des manifestations de routiers rejoints par les centres équestres. Pendant ce temps, ce même dimanche, Jean-Luc Mélenchon, qui persévère à jouer les idiots utiles du mondialisme, ne rassemblait qu’une dizaine de milliers de Parisiens rouge-vert. Quant aux manifestations organisées dans le pays le samedi 30 novembre à l’appel de toutes les associations antiracistes rejointes par les partis de gauche et les syndicats, sans oublier l’inusable Inter-LGBT, elles ont fait un flop retentissant : il n’y a eu, pour toute la France, que quelques milliers de benêts à opposer leurs poitrines héroïques au retour de la Bête immonde. Si la gauche n’a pas compris que métamorphoser artificiellement Taubira en icône outragée de la République est insuffisant à détourner les Français des vrais problèmes, alors, c’est que son cas est désespéré — ce dont nous ne nous plaindrons pas. Il n’en reste pas moins qu’en dépit de ses troupes étiques, la police antiraciste continue de faire régner en France la même terreur que la police religieuse en Arabie Séoudite : il suffit simplement d’en appeler à une interprétation très extensive de lois par elles-mêmes déjà liberticides. La LICRA vient ainsi de faire censurer, au mépris à la fois du principe de non rétroactivité et ...du sens même des textes, l’immense Léon Bloy, transformé, à ses mânes défendant, en écrivain antisémite ! Voilà comment ce vice de la pensée qu’est l’idéologie antiraciste conduit à un crime contre l’intelligence dans la sainte alliance du fanatisme et de l’ignorance crasse. Il est néanmoins rassurant de voir la Sorbonne se joindre aux descendants de l’écrivain pour délivrer un bonnet d’âne aux censeurs subventionnés.

    « Rien ne va plus ! » Il ne s’agit pas là de la formule des croupiers même si, à bien des égards, le pays légal semble jouer l’avenir du pays à la roulette. Mais précisément, si rien ne va plus pour nos élites dirigeantes, les jeux ne sont pas faits. Depuis un an la France, ce pays moisi, composé presque uniquement de ringards, de fachos, de néo-cons, de racistes et de beaufs, révèle un dynamisme insoupçonné, une volonté de vivre et de se redresser dont les moins pessimistes n’osaient même pas rêver. Le parti socialiste, englué dans le spectacle cynique de ses reniements, est dépassé par les événements, les écologistes ne se lassent pas de vivre les délices de ces « nouvelles » formes de familles, dont ils font la promotion, en voie permanente de recomposition, et sa lutte permanente d’egos interdit à l’UMP de penser à un projet pour le pays. En revanche, tous se retrouvent dès qu’il s’agit de bâillonner le peuple, comme dans l’affaire de ce référendum d’initiative partagée — ça ne s’invente pas ! —, voulu par Sarkozy et réalisé par Hollande, qui est au référendum d’initiative populaire ce que la politique d’influence est à une diplomatie indépendante : un leurre ...dans lequel les gogos, finalement, sont les politiciens eux-mêmes qui, comme s’ils en avaient besoin, viennent de s’inventer une nouvelle raison d’être méprisés. Non que nous soyons des inconditionnels de la démocratie directe : toutefois, comme les Croates l’ont montré dimanche 1er décembre en refusant à plus de 65% le « mariage » homo, dès qu’on demande au pays réel de se prononcer sur les problèmes de fond, le bon sens peut l’emporter haut la main ! Quant au Front National, d’aucuns nourrissent des espoirs dans un double succès de cette formation aux municipales et aux européennes, annonciateur d’un bouleversement profitable au pays. L’Action française, qui a toujours eu pour objectif de convertir à la solution royale les patriotes républicains, ne peut que souhaiter qu’un parti républicain s’affichant comme défenseur du seul intérêt national soit le plus fort possible, ne serait-ce que pour concourir, dans l’attente de l’héritier, à la préservation de l’héritage dans ce régime de mort qu’est le règne des partis. Encore faut-il que les Français ne placent pas d’espoirs démesurés dans une formation qui, même chez les républicains, n’a pas le monopole du patriotisme et qui doit encore montrer sa capacité à rassembler par-delà des objectifs strictement politiciens. Si le pays légal ne lui pardonne rien et est même capable de le piéger, à quarante ans passés le Front national doit avoir acquis la maturité suffisante pour assumer ses faiblesses. Et les corriger. Sinon, il ne gardera pas longtemps les belles prises récentes que l’état de la France, plus encore que son attractivité propre, lui a amenées. Entre caporalisme, manque de formation intellectuelle et politique des cadres et absence d’esprit d’ouverture — quid de la stratégie de rassemblement national via le Rassemblement Bleu Marine ? —, la montée du Front National risque de s’essouffler.

    Les patriotes, à quelque tradition, républicaine ou royaliste, à laquelle ils appartiennent, ne doivent pas sous-estimer la capacité d’endiguement du pays légal. Certains analystes évoquent complaisamment 1788 pour dessiner la crise que traverse le pays, comparant au passage Hollande à Louis XVI. Or comparaison — insultante — n’est pas raison. La situation de la France est plus critique en 2013 qu’elle ne l’était en 1788, où les bases sociales étaient encore solides et le peuple homogène et maître chez lui. Quant au roi, quelles qu’aient pu être ses insuffisances, il ne prit d’ordre que de sa conscience, jamais d’une oligarchie apatride. Rien ne va plus, disions-nous : mais une élite, une vraie, se réveille ou s’éveille, car elle traverse les générations. Par la qualité de leur formation et leur capacité à mobiliser, les jeunes d’Action française en sont les rameaux les plus prometteurs.

    Français Marcilhac - L’AF 2875

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Editorial-Le-pays-legal-on-n-en

  • Mafia politicienne : des adjoints au maire de Paris (5500 € mensuels) profitent de HLM

    Alors que 140.000 ménages sont inscrits comme demandeurs de logements sociaux à Paris, cinq adjoints du maire Bertrand Delanoë vivent dans des logements sociaux au cœur de la capitale, selon les informations de Mediapart.

    Le Figaro a déjà révélé le cas de Claudine Bouygues, chargée de l’intégration, qui loue un 56 m2 à 700 euros dans le XVIIIe, et  celui de Liliane Capelle, en charge des seniors et conseillère PS du XIe, qui loue un appartement de 1 800 euros pour 100 m2.

    Mediapart en cite trois autres: Jean Vuillermoz conseiller (PCF) de Paris depuis 2011, qui vit seul près du métro Saint-Fargeau (XXe) dans un appartement de 53m2 pour un loyer de 300 euros ! Didier Guillot (PS), adjoint à la vie étudiante depuis 2008, qui vit dans un appartement de 113m2 près du métro Jules Joffrin (XVIIIe) et dit payer 1900 euros par mois; Pierre Mansat, adjoint (PCF) en charge de «Paris Métropole», qui occupe un 75m2 dans le XIIe et dit payer 1100 euros.

    Le site d’information évoque enfin le cas de Catherine Vieu-Charier, adjointe (PCF) chargée de la mémoire et du monde combattant, qui habite un logement de fonction dans une école maternelle dont elle n’est plus directrice depuis 2002.

    Précisons que les adjoints au maire de Paris touchent, rien qu’à ce titre, 5 512 € mensuels !

    A quand une révolution ?!

    http://www.contre-info.com/mafia-politicienne-des-adjoints-au-maire-de-paris-5500-e-mensuels-profitent-de-hlm

  • Parlement européen : Appel au rejet du Projet de Résolution Estrela

    Communiqué de Grégor Puppinck, président du Comité européen de l’Initiative citoyenne « Un de Nous » :

    "Mardi le 10 décembre, le Parlement européen pourrait voter une nouvelle fois sur le projet de Résolution Estrela. Ce texte avait été rejeté une première fois le 22 octobre dernier et renvoyé en Commission pour un nouvel examen.  La tenue d’un vote le 10 décembre prochain reste incertaine car la régularité de la procédure au sein de la Commission est mise en cause, notamment par le service juridique du Parlement européen. En effet, afin d’accélérer la procédure, les députés ont été privés du droit de soumettre des amendements au texte lors de son réexamen en Commission.

    Ce texte radicaldemeure absolument inacceptable ; il porte atteinte notamment :

    • au droit à la vie et à la dignité de tout être humain, car il recommande à l’Union européenne de financer l’avortement à travers le monde ainsi que la recherche destructrice sur les embryons humains en Europe ;
    • à la liberté de conscience des personnels de santé, dont il veut réduire le droit fondamental à l’objection de conscience ;
    • aux droits éducatifs des parents et des enfants, car il veut imposer l’enseignement obligatoire de l’idéologie du genre à tous les enfants ;
    • aux compétences nationales, car l’avortement ne relève pas de la compétence européenne (voir ici) ;
    • et au droit européen, qui d’une part reconnaît que l’embryon humain mérite protection au titre du respect dû à la dignité humaine (arrêt Brustle c Greenpeace), et d’autre part énonce clairement qu’il n’existe pas de « droit de l’homme » à l’avortement (voir ici, ici et ici).

    En outre, ce projet de Résolution vise à faire barrage à l'Initiative Citoyenne « Un de Nous » portée par près de deux millions d’européens. La procédure d'Initiative Citoyenne européenne a été instituée pour démocratiser les institutions européennes en permettant à la population de partager l’initiative législative. L’initiative « Un de Nous » est celle qui à ce jour a obtenu à travers l’Europe le plus grand succès ; elle demande l’arrêt du financement public européen de l’avortement et de la destruction d’embryons humains.

    Les promoteurs de la Résolution Estrela, en essayant de faire obstruction à une Initiative Citoyenne Européenne, manifestent ainsi leur mépris de la démocratie participative et des citoyens européens qui y participent. Si la résolution Estrela devait être adoptée, elle porterait également pour cette raison un discrédit au Parlement européen et à la procédure même d’Initiative Citoyenne Européenne.

    Grégor Puppinck, Président du Comité européen de l’Initiative « Un de Nous », demande en conséquence au Président et aux membres du Parlement européen de rejeter ce projet de Résolution, tant pour ces motifs de fond que de procédure. Il leur demande de respecter le mécanisme d’Initiative Citoyenne Européenne qu’ils ont eux-mêmes adopté en réservant le débat parlementaire sur le financement public de l’avortement et de la recherche destructrice sur l’embryon pour l’examen prochain de l’initiative « Un de Nous ».

    Quelle que soit l’issue de ce vote, la proposition législative de l’Initiative Citoyenne « Un de Nous » sera soumise à la Commission européenne puis au Parlement européen, et ce après les prochaines élections européennes. Contrairement à la Résolution Estrela qui a une portée politique et non pas directement juridique, la proposition législative « Un de Nous » a une portée juridique contraignante.

    Grégor Puppinck invite les signataires de l’Initiative « Un de Nous » à contacter par téléphone et courriel leurs députés (coordonnées ici)  pour leur demander de rejeter le projet de Résolution Estrela, et éventuellement, d’adopter l’une ou l’autre des deux résolutions alternatives proposées par les groupes EFD et PPE."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/