Il y a tout juste un an, en octobre 2020, le député Albane Gaillot présentait à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant, au lendemain de la crise sanitaire, à allonger le délai de l’avortement de 12 à 14 semaines.
« J’ai été alertée par de nombreuses femmes ainsi que par le Planning familial sur les difficiles conditions d’accès à l’IVG pendant l’épidémie de Covid-19 expliquait-elle à l’époque, nous nous sommes rendues compte que le problème n’était pas conjoncturel mais structurel ».
Validée par l’Assemblée, cette proposition de loi avait ensuite été présentée par la socialiste Laurence Rossignol au Sénat avant d’être rejetée.