Enregistrement vidéo du message d’Alain Escada, président de Civitas International, à la suite de la constitutionnalisation du “droit” à l’avortement par la république française.
avortement et euthanasie - Page 7
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Alain Escada : la république française est un Moloch
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Panthéonisation, constitutionnalisation, guignolisation
Le vote du Congrès de Versailles , le 4 mars, constitutionnalisant l’IVG, a quelque chose de fascinant du point de vue de l’observateur. Acquis par 780 voix contre 74, les superlatifs n’ont pas manqué: emblématique, historique, une page de l’histoire, la France renoue avec l’universalité, un événement bouleversant, un tournant dans l’histoire de l’humanité etc.
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La constitutionnalisation, pour quoi faire ?
Alfa
Le 30 janvier dernier, l’Assemblée nationale a voté un projet de loi visant à inscrire le droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution, faisant ainsi suite à la loi de mars 2022 qui avait étendu les délais de grossesse de 12 à 14 semaines et éliminé le délai de réflexion après un entretien psychosocial – évolution qui inclut des changements tels que l’extension du délai pour l’avortement médicamenteux en dehors des établissements de santé et l’autorisation des sages-femmes à pratiquer des avortements instrumentaux –, le 28 février dernier les sénateurs ont voté de même….
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Avortement : la mort programmée de la liberté de conscience
Ils préparent déjà les esprits à la phase suivante. Le député des Bouches-du-Rhône Manuel Bompard (LFI) a déclaré :
«Inscrire le droit à l’IVG dans la Constitution c’est fondamental, mais ensuite la bataille continue pour faire en sorte que ce droit soit effectif».
Et de demander «la suppression de la clause de conscience» des professionnels de santé. Manuel Bompard estime que la double clause de conscience constitue
«une entrave à faire en sorte que ce droit [à l’IVG], qui est désormais reconnu dans la Constitution, puisse être effectif».
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Congrès : LR et RN ont offert sur un plateau d’argent sa victoire à Emmanuel Macron
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“Ce qui est menacé dans notre pays, ce n’est pas l’avortement, c’est le droit de naitre”
Discours de Nicolas Tardy-Joubert, président de la Marche pour la vie, hier à Versailles :
Notre banderole de tête de cortège de la MPLV indiquait en janvier à Paris,
IVG : oui à la prévention, non à la constitutionnalisation.
Car il faut réduire le drame de l’avortement, pas augmenter la peine et la sentence pour les enfants à naître. Il n’y pas hélas dans notre pays de volonté d’aller dans ce sens, d’accompagner les femmes enceintes avec des politiques adaptées. Au contraire il faut en faire toujours plus pour faciliter l’accès à l’avortement.
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Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents
Source Le Salon beige cliquez ici
Alors que 49 élus RN sur 91 (46 députés et 3 sénateurs) ont voté en faveur de la constitutionnalisation de l’avortement (mais seulement 11 contre, 20 se sont abstenus et quelques uns comme Laure Lavalette ont déserté), Olivier Frèrejacques, président de Liberté Politique, écrit :
[…] Ceux qui pestent contre l’immigration mais défendent l’avortement sont inconséquents. Une civilisation existe par la vitalité de sa population. Une population qui ne veut pas se reproduire est condamnée à mourir, à être remplacée. Refuser l’élan vital et le risque qu’il implique sont le lot d’une société qui meurt et qu’il convient peut-être même d’achever.
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OTAN - Russie : les masques tombent ? - JT du lundi 4 mars 2024
A la Une ce soir, nous reviendrons sur les tensions face à la Russie. De récentes révélations ont montré l’hostilité des Occidentaux à l’égard de Moscou. De quoi offrir une nouvelle lecture aux propos délirants d’Emmanuel Macron sur l’envoi de troupes en Ukraine.
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IVG : la pensée obligée sacralisée
La « France des Lumières » s’obscurcit. Les libertés s’éteignent, telles des lampions, les unes après les autres. La chute s’accélère depuis sept ans, avec l’assentiment hébété du monde politico-médiatique. Ainsi, ce lundi, les parlementaires réunis à Versailles en Congrès confirmeront vraisemblablement l’inscription de l’IVG dans la Constitution, vœu initial de LFI. Le gouvernement se flatte de cette « première mondiale ». Elle inscrira dans le marbre « la liberté garantie à la femme » d’avoir recours à l’avortement. Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, ému, parle de « vertige de l’histoire ». Or ce droit sacralisé était déjà acquis, et nullement remis en question.
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“Depuis la loi Veil, la France a un déficit démographique de 10 millions d’anges”
Bernard Monot fut député FN au Parlement européen à l’occasion des élections européennes de 2014. En 2018, il quitte le FN, dont il était membre depuis 1989, pour rejoindre Debout la France. Aujourd’hui il tweete :