Cité à vingt-sept reprises dans une déclaration du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW)[1], l’avortement est présenté comme le facteur le plus important du développement et du bien-être des jeunes filles.
avortement et euthanasie - Page 7
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L’avortement : une « nécessité » pour réussir sa vie selon un rapport de l’ONU
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« Vive la mort ! »
L’éditorial de François Marcilhac
Emmanuel Macron a le sens des priorités, surtout lorsque ce messager international de la paix, que personne n’écoute, daigne se pencher sur les affaires intérieures. Courageusement absent de la réforme des retraites, pourtant la seule mesure phare de son programme de 2022, toutes affaires cessantes, il vient de décider que la « liberté » (plutôt que le « droit ») d’avorter — la formulation courageusement trouvée au Sénat afin d’obtenir le consensus du pays légal — doit être inscrite « le plus tôt possible » dans la Constitution afin de la rendre « irréversible ».
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En 20 ans, 30% des maternités ont fermé et le nombre d’avortements n’a jamais été aussi élevé
Macron veut faire entrer l’avortement dans la Constitution et continue de fermer des maternités. Prochainement, celle des Lilas dans le 93.
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La légende du roi Arthur
Le Livre « La légende du roi Arthur » de Martin Aurell analyse la littérature arthurienne, qualifiée de « matière de Bretagne », au cours des années 550 à 1250, dans un voyage menant du Pays de Galles à la France du Nord, du paganisme celtique à l’ascétisme chrétien.
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Les femmes n’avortent pas “librement et par choix”
Réaction d’Alliance Vita à l’annonce du président de la République :
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IVG dans la Constitution : quand l’idéologie vient contaminer notre norme suprême
Guillaume Drago *
Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.
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Le droit à la vie est de plus en plus menacé en France
Communiqué de la Marche pour la vie :
Les chiffres viennent d’être publiés, l’année 2022 a compté 234 300 avortements.
234 300 enfants à naître à qui on a retiré le droit de vivre : 234 300 drames.
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Le gouvernement n’aide pas la femme qui n’a pas les moyens d’avoir un enfant à avoir une autre option que celle de l’avortement
Aliette Espieux, porte-parole de “La Marche pour la Vie”, est interrogée sur Boulevard Voltaire, concernant le triste record en 2022 du nombre d’avortements pratiqués en France.
Il n’y a jamais eu autant d’avortements en France depuis 1990. À quoi attribuez-vous l’explosion du nombre d’avortements ?
Cette explosion est assez dramatique et je l’attribue à plusieurs choses. On se rend compte de l’hypocrisie des parlementaires qui nous expliquent que le droit à l’avortement est menacé en France, or ce n’est pas le cas. En réalité, la question que l’on doit se poser derrière ce chiffre record depuis 1990, est de savoir pourquoi c’est aussi compliqué pour une femme en France de garder un enfant. En réalité, quand on discute avec une femme qui a avorté, elle vous dit qu’il y avait une raison, elle est souvent dans une situation de forte précarité, elle n’a pas les moyens, elle subit une pression sociale. Aujourd’hui, globalement, cela concerne les personnes entre 20 et 29 ans, qui commencent à travailler. Il faut se poser des questions. Pourquoi, en France ,en 2023, une femme n’a-t-elle pas la possibilité de garder son enfant ? La France est un pays qui se tiers-mondise de plus en plus et je pense que cette hausse du nombre d’avortements en est une preuve directe.
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Plus d’avortements et d’immigration, moins de naissance : le grand remplacement s’accélère
Dans un rapport publié ce jeudi 28 septembre, l’Insee dresse un tableau alarmant de la natalité dans l’Hexagone.
- En 2022, 726 000 bébés sont nés en France, soit le plus faible nombre depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
- L’Insee recense 24 400 naissances de moins lors des six premiers mois de 2023 par rapport à la même période l’année dernière, soit une chute de 7 %.
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21 janvier 2024, rendez-vous à la Marche pour la vie
Comment peut-on accepter 220 000 avortements tous les ans, sans rien dire ni rien faire ?
Depuis un an, par un soi-disant débat démocratique qui n'est qu'une mascarade, le gouvernement envisage de légaliser l’euthanasie et le suicide assisté. Début 2024 devrait avoir lieu l’examen au Parlement d’un projet de loi « Fin de vie ». Nous demandons 100 % de soins palliatifs, mais 0 % de ce qu'ils appellent "l'aide à mourir". L'interdit de tuer doit rester absolu !