avortement et euthanasie - Page 10
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Retour sur la manif du 24 : Pour Une Europe Qui Protège
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Le Complot inconscient (Jean-Pierre Aussant)
Jean-Pierre Aussant, ancien étudiant en théologie, dénonce « les deux pierres angulaires de la culture de mort » : la « déculpabilisation-normalisation » de l’avortement et de l’homosexualité.
Dans cet essai, l’auteur analyse en quelques pages notre société moderne mortifère qui hait Dieu, fait l’éloge de l’avortement, promeut l’homosexualité, vante une spiritualité mondialiste écolo-new âge, encourage le multiculturalisme et diabolise tous ceux qui refusent de se soumettre aux mots d’ordre imposés via un matraquage médiatique.
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18 établissements de “santé” retenus pour tuer des bébés
Dix-huit établissements de santé sont retenus pour participer à l’expérimentation portant sur la réalisation des avortements instrumentaux par les sages-femmes, selon un arrêté publié vendredi au Journal officiel.
Communiqué du ministère de la “santé” :
Le cadre de l’expérimentation a été posé par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2021. Un décret et un arrêté parus fin 2021 définissent les conditions requises en termes d’organisation des établissements de santé, de formation et d’expérience des sages-femmes pour assurer la sécurité des actes et la qualité de leur réalisation.
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[Tribune] Macron et la transition démographique : confusion et trahison
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Le médecin la déclare en « fin de vie », elle se réveille et le poursuit en justice
Cinq ans après les faits, le Conseil d’État vient de rejeter une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par la famille de Linage. Elle poursuit le médecin chef du service de réanimation de l’hôpital de la Roche-sur-Yon pour « faute déontologique » suite à la façon dont il a traité Amélie de Linage, mère de cinq enfants.
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Pendant 30 ans dans le même état que Vincent Lambert, elle milite aujourd’hui contre l’euthanasie
Une patiente en état pauci-relationnel (comme Vincent Lambert, assassiné par la justice française) pendant trente ans a été sortie de son mutisme imposé par des techniques thérapeutiques de haut niveau en Suisse. Elle peut désormais s’exprimer et milite contre l’euthanasie.
Un fil Twitter partage son histoire :
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Les électeurs chiliens décident de garder la constitution établie sous Pinochet (1973-1990) à une écrasante majorité et rejettent ainsi un prétendu droit à l’avortement
Alors que les bureaux de vote ont fermé il y a deux heures au Chili, le résultat du référendum ne fait déjà plus aucun doute.
Les électeurs avaient le choix entre « Je refuse » et « J’approuve » la nouvelle constitution.
Après le dépouillement de 88,1% des bureaux de votes (34 139 sur 38 757), « Je refuse » avait 2 688 261 suffrages d’avance sur « J’approuve » alors qu’il ne reste que 1,55 million de votes à compter. Le résultat est pour l’instant de 6 944 426 « Je refuse » et de 4 256 165 « J’approuve ».
Le « Je refuse » a pour l’instant 62% des suffrages exprimés et restera probablement au delà de 60%.
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Le nombre des avortements pratiqués légalement en Pologne a été dix fois moindre en 2021 qu’en 2020
C’est le fruit de la nouvelle législation qui protège davantage la vie de l’enfant à naître. Selon le ministère de la santé, le nombre d’avortements est tombé à 107 (cent-sept) l’année dernière. En France c’st 230 000…
Fin octobre 2020, le Tribunal Constitutionnel (TC) polonais a jugé que l’avortement eugénique était inconstitutionnel. Jusqu’à la publication de l’arrêt du 22 octobre 2020, le droit polonais prévoyait que le droit à la vie était protégé dans la phase prénatale, à l’exception de 3 circonstances décrites dans la loi sur la planification familiale.
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USA : Clarence Thomas, le juge de la Cour suprême qui terrorise l’establishment
Le silencieux Clarence Thomas fait actuellement couler beaucoup d’encre, outre-Atlantique. Depuis le 24 juin, en effet, et l’abrogation de l’arrêt Roe v. Wade par la Cour suprême des États-Unis, le juge conservateur est désigné comme bouc émissaire par la bien-pensance américaine, ayant subi la disgrâce. En siège depuis plus de trente ans, il ne fait pourtant pas partie des récents sages nommés par Donald Trump. Pourquoi, alors, cet intérêt soudain pour le juge de 74 ans, doyen de la Cour, au point de désormais surnommer cette dernière « The Thomas Court » ?
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Avant de donner un avenir à nos enfants, donner des enfants à notre avenir, par Jean-Frédéric Poisson
Le 5 mai dernier, un texte en projet de la Cour suprême des Etats-Unis (désormais majoritairement conservatrice) visant à renverser l’arrêt Roe vs Wade a été diffusé par Politico [1]. Cet arrêt, voté en 1973, établit une protection fédérale constitutionnelle au « droit à l’avortement », et fait depuis jurisprudence. Cette interprétation de la Constitution américaine est la seule base juridique fédérale sur l’avortement : le Congrès n’a jamais réussi à voter de loi régulant ou bannissant l’accès à l’avortement. Si le projet est mené à bout, on reviendra alors à la situation de 1973 où chaque Etat légiférait indépendamment sur ce sujet. Environ la moitié des Etats américains pourrait alors restreindre considérablement l’accès à l’avortement.