avortement et euthanasie - Page 43
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La Marche Pour La Vie répond à Marlène Schiappa.
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Quand les avorteuses parlent de Civitas
Le site des avorteuses d’extrême gauche Pro choix, celui-là même où sévit notre petite pingouine préférée Caroline chérie, a besoin de boucs émissaire comme toute bonne idéologie totalitaire. Une dénommée Catherine Hervé, mondialement connue de sa concierge, s’en prend donc à Civitas dans un article du 7 janvier 2018 qui montre que le monde est mal fait… Elle est bien plus drôle qu’une Foresti ou une Aram, et pourtant, on ne l’entend pas sur Rire & Chansons.
« Le 24 mars 2018 aura lieu à Rungis la deuxième édition de la « Fête du Pays Réel » de l’association Civitas, devenue parti politique depuis 2016. L’expression « pays réel » a été popularisée par le monarchiste Charles Maurras, en opposition au « «pays légal » honni, c’est à dire le gouvernement occupé par « quatre États confédérés »: « juifs, protestants, maçons et métèques ».
Sont annoncés à la Fête du Pays Réel :
l’abbé Xavier Beauvais, ancien curé de la paroisse intégriste Saint Nicolas du Chardonnet, qui officie désormais à la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X (FSSPX) de Marseille. En 2013, lors d’une manifestation de Civitas contre la « christianophobie », il avait lancé « Y’a bon Banania, Y’a pas bon Taubira » en référence à la loi Taubira sur le mariage pour tous.
Pierre Hillard, écrivain sur le « mondialisme » ainsi que sur le thème conspirationniste du « nouvel ordre mondial », il est édité chez Kontre Kulture, maison d’édition d’Alain Soral.
Marion Sigaut, ancienne militante d’extrême-gauche, désormais figure de la complosphère française et membre d’Egalité & Réconciliation. Ses ouvrages sur le monarchisme et contre les droits sexuels sont également édités chez Kontre Kulture.
Valérie Bugault, ancienne avocate qui se présente comme « analyste de géopolitique économique »
Olivier Wyssa, ancien conseiller régional FN et secrétaire départemental FN de l’Ain. Démissionné par son parti, il a par la suite soutenu Carl Lang.
Carl Lang, ancien directeur du Front National de la Jeunesse, conseiller régional FN et animateur de la campagne 2002 de Jean-Marie Le Pen. Opposant à Marine Le Pen, il créé en 2009 le Parti de la France avec l’aile dure des anciens du FN tels que Bernard Anthony, Jean-Claude Martinez ou Roger Holeindre.
Alain Escada, Président de Civitas depuis 2012.
Lors de sa première édition l’an dernier, Jean-Marie Le Pen avait fait le déplacement pour intervenir sur le thème « Immigration, submersion, destruction d’une civilisation ».
Depuis l’adoption de la loi Taubira pour l’ouverture du mariage aux couples de même sexe, l’activité de Civitas semble être assez mince. Le 2 décembre 2017, Civitas tente un coup de force dans l’église Saint Irénée de Lyon où se déroulait une cérémonie œcuménique avec des protestants qualifiée de « réunion sacrilège », mais la police intervient rapidement. Le plus gros coup d’éclat récent de Civitas reste certainement sa manifestation le 18 novembre 2012 sous le slogan de « La France a besoin d’enfants, pas d’homosexuels », où des militantes FEMEN ainsi que l’essayiste Caroline Fourest avaient été rouées de coups.
Civitas avait tenté de revenir dans le débat public en se présentant dans quatorze circonscriptions aux élections législatives 2017, avec des résultats oscillants entre 0,2 et 1,1%. Étaient candidats pour le parti catholique intégriste Marie d’Herbais de Thun, ex-compagne de Frédéric Chatilon, ainsi que Alexandre Gabriac, ancien leader des Jeunesses nationalistes, d’inspiration pétainiste, exclu du FN en 2011 après la révélation publique d’une photo où il effectuait un salut nazi. Civitas, se présentant sous sa propre bannière, faisait partie d’un cartel nommé l’Union des Patriotes regroupant les Comités Jeanne, le PDF, le SIEL, la Ligue du Sud et l’Alliance Royale. Ce cartel a reçu le soutien officiel de Jean-Marie Le Pen. En novembre 2017, Alexandre Gabriac devient finalement secrétaire national aux fédérations, chargé de l’implantation de Civitas sur le territoire. »
Caroline Fourest et des FEMENS rouée de coups… On voit que l’extrême gauche n’hésite pas à recourir à la mythomanie, quand ce n’est pas le délire pure et simple. Bien entendu, cet article a un relent de mauvais fichier de police politique. C’est simple, on le croirait rédigé par les blaireaux de la Horde (notons une similitude dans les obsessions et dans l’invention de prétendues agressions). Ceci dit, nous remercions chaudement Catherine Hervé de l’excellente publicité faite à Civitas, ce qui est toujours bon à prendre. Se confronter à l’autre permet de revenir sur ses préjugés. Tenez, jusqu’à ce que je lise leur prose, je pensais que les harpies de Prochoix étaient des sous-développées du cortex. Et bien, maintenant, après ample lecture, j’en ai acquis la certitude…
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/quand-les-avorteuses-parlent-de-civitas/86657/
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Message de La Marche pour la Vie à Emmanuel Macron.
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« On s'indigne de l'injustice qui prive chaque année 220 000 enfants de voir la lumière du jour »
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Et moi, et moi et moi – Concert à la Marche Pour La Vie 2018.
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Reportage : Une Marche pour la Vie revendicative, par Marie de L’Isle
Dès 14 heures, sous une pluie qui n’a pas faibli durant tout l’après-midi, plusieurs milliers de personnes se sont réunies porte Dauphine, dans le XVIe arrondissement, à l’occasion de la 12e Marche pour la Vie. Le service communication, cette année, avait choisi des couleurs fluo pour faire passer plusieurs messages, inscrits sur des pancartes comme « Vivre est un droit, pas un choix », « Sédation définitive = euthanasie active », « Protéger le faible, ça c’est fort » ou encore « L’avortement est un poids, pas un choix ». Tout au long du cortège, plusieurs chars rappelant la Manif pour tous diffusaient de la musique, Le diable s’habille en prada de Soprano, mais aussi Résiste de France Gall, Allumer le feu et L’envie de Johnny Hallyday. On était frappé par la présence significative de 16-25 ans (notamment parmi les nombreux bénévoles en K-way jaune), sans doute la catégorie d’âge la plus représentée dans le cortège.
Alors que la loi punissant le délit d’entrave à l’avortement a été votée l’an dernier, l’organisation qui en réclame la suppression revendique d’avoir un discours factuel et cohérent sur plusieurs plans : scientifique, moral, social et philosophique.
La révision de la loi bioéthique
L’année 2018 sera marquée par la révision de la loi bioéthique, qui s’ouvre lors de ce mois de janvier avec les Etats généraux de la bioéthique. Ceux-ci mettent en place une consultation citoyenne qui se manifestera par l’organisation d’espaces de réflexion éthique dans chaque région. Or les participants de la Marche pour la Vie entendent bien peser dans ces débats. Et le message est bien passé auprès des militants, qui justifient l’importance de leur venue par ces enjeux d’actualité. C’est le cas de Julien et Albéric, 21 ans, étudiants en économie et en histoire. « Nous sommes venus défendre la vie afin que le gouvernement et l’opinion publique prennent conscience du fait qu’une partie de la population tient fermement cette ligne. Notre présence prend particulièrement sens en cette année, alors que sera révisée la loi de bioéthique, ce qui aura une incidence sur l’extension de la PMA et sur la légalisation de la GPA », expliquent-ils.
Outre les familles, sont présents quelques religieux – des abbés en soutane, quelques religieuses en habit mais aussi des orthodoxes. Et des élus ceints d’une écharpe tricolore, comme Jean-Yves Denis, conseiller municipal de Vernouillet (Yvelines), adjoint au maire chargé des finances. « Mes revendications sont ni plus ni moins celles de toutes les autres personnes présentes dans cette manifestation. Mais je suis venu avec l’écharpe tricolore pour témoigner du soutien de certains élus à cette cause de défense de la vie. Je suis engagé depuis longtemps dans ce combat et subis les critiques régulières d’opposants, mais j’en fais mon affaire, » témoigne-t-il.
Prises de parole
Arrivés au Trocadéro vers 17 heures, les manifestants se sont rassemblés vers l’estrade pour entendre plusieurs témoignages dont celui de Madeleine, infirmière. Celle-ci a fait part à l’assemblée de deux expériences en tant que stagiaire puis professionnelle dans un bloc opératoire en maternité-gynécologie, partageant « l’horreur » ressentie à la vue d’un « enfant mort dans un grand seau blanc ». « Je n’ai jamais fait d’IVG mais mes collègues qui en ont fait souffrent mais ne le disent pas », a-t-elle assuré. « Il faut libérer la parole, dire que ça ne fait pas souffrir que les mamans », a-t-elle dit.
« La génération des rescapés de l’avortement est en train de grandir et de se lever. Notre corps ne nous appartient pas. Nous sommes notre corps, et ce corps peut accueillir un autre corps, une autre vie. Nous sommes nés après l’avortement, et nous avons compris qu’il n’est pas un droit, qu’il n’est pas une liberté mais une pression, une contrainte qui s’abat désormais sur les futurs parents, » a déclaré Victoire De Jaeghere, porte-parole de la manifestation, pour qui « chaque enfant rescapé de l’avortement est une victoire du combat pro-vie ».
Nicolas Sévillia, quant à lui, a proclamé avec force à la tribune : « Vous n’êtes pas venus défendre une opinion ou une conviction. Vous êtes venus défendre la vérité : un enfant n’est pas un amas de cellules, il est le petit de l’homme, il est un homme petit. Le mensonge, l’obscurantisme, le fascisme c’est eux. La vérité, la lumière, l’amour, c’est nous », ciblant l’enfant, la mère, la famille et la société comme étant les victimes de l’avortement. Pour Jean-Marie Le Méné, l’année 2018 est celle de « tous les dangers » puisque, tous les cinq ans, la révision de la loi de bioéthique, au prétexte de tenir compte des avancées de la technoscience, régularise les transgressions. « La loi est censée poser un cadre autour des dérives. En réalité, elle met un cadre autour des dérives et ensuite dérive avec le cadre, » a dénoncé celui qui a également dénoncé une « conspiration contre la vie ».
Discrétion médiatique
Le traitement médiatique de cet événement a été particulièrement discret – hormis sur l’épiphénomène concernant les perturbations organisées par une demi-douzaine de Femen. Le quotidien La Croix a pris de gros risques en matière de chiffres en écrivant qu’il y avait « plus d’un millier d’opposants ». Le chiffre de la police, qui me paraissent sous-évalués au vu de ce que j’ai pu voir en remontant tout le cortège, est de 8 500. Les organisateurs avancent celui de 40 000. Sans prétendre à l’objectivité pure, il me semble qu’il y avait au moins de 15 000 à 20 000 personnes. Patrick Cohen, dans sa matinale du 22 janvier sur Europe 1, a également évoqué le chiffre parfaitement malhonnête du millier de manifestants.
Marie de L’Isle
Article paru dans Présent daté du 23 janvier 2018
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SI LA NATALITÉ FRANÇAISE EST EN BAISSE, C’EST D’ABORD PARCE QUE L’AMOUR DES ENFANTS EST EN BAISSE
« L’inquiétant déclin de la natalité française » a suscité beaucoup d’analyses qui, pour l’essentiel, s’en tiennent à des données économiques, sociales ou professionnelles. Les couples n’auraient plus assez de revenus, l’État n’aurait pas une politique suffisamment généreuse à l’égard des familles et les femmes seraient souvent obligées de trancher en faveur d’une vie active à l’extérieur de leur foyer. C’est sans doute en partie vrai.
Sans tomber dans une approche aussi prosaïque, il est patent que le désir d’enfant devient une donnée infiniment relative qui est soumise, pour sa concrétisation, à des éléments qui pèsent davantage que le bonheur de la procréation elle-même.
Le droit à l’enfant n’est, paradoxalement, que le dévoiement d’un désir d’enfant en renvoyant l’attente généreuse et altruiste de celui-ci vers une exigence narcissique et capricieuse qui ne le concerne plus ou à peine.
Pour ne pas évoquer la gestation pour autrui, qui est tout simplement « un marché de la personne humaine » face auquel les féministes de tous bords devraient s’indigner si elles étaient cohérentes. Quand le droit à l’enfant conduit à répudier l’humanisme même le plus basique, on a le devoir, pour le moins, de questionner ce droit.
Je provoque, mais si l’on consacrait la même énergie, la même intelligence à rendre hommage à la procréation qu’on en met pour défendre toutes griffes dehors l’avortement, cela pourrait s’appeler un progrès ou, au moins, un rapport plus équilibré entre la naissance et l’effacement.
L’enfant roi qui pourrait laisser croire à l’existence de parents tellement épris de l’enfance et de sa liberté qu’ils lui laisseraient faire, par amour, à peu près n’importe quoi est lui-même une dénaturation d’un authentique désir d’enfant.
L’enfant réclamé par des adultes pour leur seul bénéfice ou l’enfant petit potentat, deux manières qui dégradent la magie de l’enfance, quand on l’espère et qu’elle vous comble par avance grâce à ce qu’elle a d’unique et de puissant.
Je ne suis pas davantage convaincu par les humanistes hypocrites qui prétendent ne pas faire venir au monde des enfants pour leur bien. Cet univers serait trop dur pour qu’on puisse y jeter un enfant ! En traduisant, quelle incommodité, quelle gêne qu’un petit bout d’être qui viendrait mordre un peu sur notre destin personnel !
Il n’est vraiment pas nécessaire, pour faire « scientifique », de s’aventurer dans des justifications sociologiques. Il suffit de comparer hier avec aujourd’hui, les attitudes passées avec celles de maintenant. Combien de fois ai-je remarqué le changement radical qui s’est opéré chez beaucoup de parents au fil des années, dans le métro ! Au lieu qu’il y ait entre eux et les tiers jetant un tendre regard sur leur progéniture de quelques mois une complicité délicate, dorénavant c’est au mieux de l’indifférence, voire pire, presque de l’hostilité, comme si l’intérêt affectueux d’autrui était une menace.
Je tire de ces évolutions, de cette moindre consécration de l’enfance qui n’apparaît plus comme un trésor à partager d’une certaine manière par tous mais tel un bien à privatiser, que les temps ont changé et que, si la natalité française est en baisse, cela tient d’abord à ce que l’amour des enfants est lui-même en baisse. Je m’en désole d’autant plus que, depuis toujours, je fonds devant les bébés, qui représentent un quatrième âge si merveilleux de grâce et d’innocence.
Il n’y a à jeter la pierre à personne – la liberté est une valeur trop précieuse pour ne pas bénéficier même à ceux pour qui seul leur avenir compte -, mais qu’on ne vienne pas cependant décourager ceux qui croient à la vie, donc à l’enfant, et ne répugnent pas à mettre de la douceur là où on en manque. Il faudrait surtout les féliciter.
Au nom de tous.
Extrait de : Justice au Singulier
http://www.bvoltaire.fr/natalite-francaise-baisse-cest-dabord-lamour-enfants-baisse/
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ET SI ON PARLAIT DU BUS RENNAIS DE LA MARCHE POUR LA VIE QUE LES ANTIFAS ONT ATTAQUÉ, BLOQUÉ ET MANQUÉ D’INCENDIER ?
Puisque les « fake news » sont un sujet à la mode, on pourrait décider d’en faire la typologie, non ? Il en est une catégorie extrêmement finaude et efficace, qui prolifère totalement incognito et sans qu’on la voie – et pour cause – dans la grande presse. On pourrait aussi l’appeler la « no news », la « circulez-y-a-rien-à voir » : la « fake news » par omission. Et par tri partial de l’information. Si chaque « fake news » s’apparente à une thèse complotiste, elle procède, elle, d’une conspiration bien connue : celle du silence.
Un cas d’école ? L’attaque, dimanche matin, du car affrété par les Associations familiales catholiques de Vannes et de Rennes, pour rejoindre la Marche pour la vie, tout juste laconiquement relayée par la presse locale.
Un témoin raconte à Boulevard Voltaire : il est 8 heures, sur le parking derrière l’université de chimie du campus de Rennes. Des familles ont pris place dans le car quand, dans l’obscurité, surgissent des antifas, des militants LGBT, des « jeunes communistes » (mais si, ça existe encore…). Ils constelleront le bus d’autocollants comme autant de signatures !
Le visage masqué par une cagoule ou un foulard, ils tentent, hurlant des injures et des obscénités, de monter dans le bus. L’un d’entre eux jette, par le marchepied, un fumigène incandescent… qu’un passager a heureusement la présence d’esprit de relancer à l’extérieur. Mais le fumigène a eu le temps de brûler son vêtement et le pull d’une jeune fille, ainsi qu’un siège. L’un des occupants du bus – certains ont 75 ans -, incommodé par les fumées, fait un malaise. Un petit garçon de 9 ans et une fillette de 12 ans sont terrifiés. Des hommes, à l’avant, parviennent à repousser les assaillants vers les barrières que ceux-ci ont dressées tout autour du bus pour le bloquer. Mais ils constatent avec inquiétude qu’une liste avec les noms des passagers a été arrachée et emportée au passage…
Quatre policiers présents sur les lieux tentent de parlementer sans succès : ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir, disent-ils, et doivent attendre les renforts. Il va ainsi s’écouler trois heures, trois heures durant lesquelles une cinquantaine de « marcheurs pour la vie », interdits de manifester, resteront confinés dans le bus, sous les quolibets et les insultes… pris en photo malgré eux, comme dans un zoo. Ils ne pourront reprendre la route qu’à 11 h 30, sous escorte policière jusqu’à la rocade.
On imagine le tollé, la déflagration, la bombe atomique dans la presse si un bus rempli de familles musulmanes, de vieillards, d’enfants, en partance pour une marche pacifique et autorisée vers la capitale, avait fait l’objet d’une telle attaque de la part d’identitaires cagoulés et surexcités. Si les vêtements de certains avaient été brûlés. Si l’un d’eux, pris d’un malaise, avait dû être sorti du bus. S’ils avaient dû rester parqués comme des bestiaux durant trois heures, la police se révélant incapable de disperser les trublions. Si les agresseurs étaient repartis tranquillement, sans être inquiétés… Et cette vague d’indignation unanime serait, bien sûr, infiniment légitime.
Mais le traitement de l’information, en France, n’est pas fonction de la nature des faits mais de celle des victimes. Et il se trouve que les catholiques n’ont, en soi, aucune importance, les informations les concernant aucun caractère de gravité. Sauf, bien sûr, si on peut y trouver matière à les charger, d’une pelletée supplémentaire, de tous les malheurs du monde.
Et ce sentiment d’impunité est si vrai que les Jeunes communistes 35 ont revendiqué benoîtement leur « action » sur Twitter, se permettant même de corriger au fluo jaune réprobateur, comme une maîtresse d’école, un article du Télégramme de Brestévoquant l’embuscade.
Pour Marlène Schiappa, les marcheurs pour la vie sont « moyenâgeux et obscurantistes ». Ce ne sont pas eux, pourtant, pour filer le poncif, qui tentent de brûler les sorcières des temps postmodernes.
Gabrielle Cluzel Ecrivain, journaliste Son blog -
La Marche pour la Vie brave la pluie - Journal du Lundi 22 Janvier 2018
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Retrouvez les discours tenus lors de la Marche pour la vie
Voici les vidéos des interventions à la Marche pour la vie. D'abord au départ :
Victoire de Gubernatis, porte parole : « Nous voulons défendre la vie humaine. »
Marek Jurek, député polonais : « La résistance contre la culture de la mort est toujours actuelle. »
Tugdual Derville : La majorité des Français souhaite éviter l’avortement
Jérôme Triomphe : « La vie est un combat de civilisation, c’est notre combat ! »
Cécile Edel : La loi Veil suscite toujours autant de contestation.
Frédéric Espieux lance la Marche pour la vie 2018 :
Puis à l'arrivée :
Témoignage d’une infirmière en bloc obstétrical sur les conditions des avortements :
Appel pour courir au semi-marathon de Paris 2018 pour la fondation Jérôme Lejeune
Jean-Marie Le Méné : Les dangers de la loi sur la bioéthique
Nicolas Sevillia : La Marche pour la vie c’est la défense de la vérité.
Frédéric Espieux : « Notre combat est un combat de civilisation ! »