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avortement et euthanasie - Page 42

  • VGE – Chirac : Ni oubli, ni pardon possibles

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    Bernard Plouvier

    Alors que l’un de ses enfants s’est fait agresser à Paris par deux Romanichels, ce qui a coûté quelques centaines d’euros à ce monsieur qui n’est guère dans le besoin, il semble que l’ex-Président Giscard estime que, tel qu’il fut appliqué, le décret de regroupement familial fut une erreur.

    D’abord, il serait temps que ce funeste politicien comprenne que cela ne fut pas une « erreur », mais un crime et une forfaiture. Un crime contre la Nation française et une forfaiture car, lorsqu’on hypothèque l’avenir du peuple souverain, l’on prend au moins son avis. Quand y-a-t-il eu un referendum sur l’immigration de masse d’origine extra-européenne dans la VRépublique Française ?

    Contrairement à ce que plaide le vieillard au bord de la tombe, ce ne fut pas « une mesure juste et généreuse ». Ce fut un décret publié le 29 avril 1976, sans débat parlementaire, donc à la sauvette, et non par « générosité », mais parce que la consommation intérieure française baissait en raison de l’inflation et du chômage et que grognaient les pontes de la distribution, aux bénéfices amoindris.

    Ce décret 76-383, qui marqua le début du désastre pour la Nation, n’exigeait du migrant qu’une durée de séjour d’une année et rien ne l’empêchait d’amener toute sa smala au titre du « regroupement », les vieux parents et les femmes justifiaient l’implantation d’une multitude d’enfants, mais aussi de jeunes frères et de jeunes sœurs. Ce ne fut pas un regroupement familial, mais une entrée massive de clans, de familles élargies.

    En 2003, devant la prolifération des émeutes raciales et des zones de non-droit dans notre pays envahi, et au lieu de prendre l’avis du seul souverain légitime de l’État : le corps électoral, on allongea simplement à deux années la durée de séjour du migrant avant qu’il puisse exiger son « regroupement familial ». Tout au plus, les hypocrites rédigeant le nouveau décret spécifièrent-ils que le migrant devait faire preuve « d’une bonne intégration dans la société française » !

    Le trafic de haschich, les vols, les viols en tournantes et les émeutes raciales étaient monnaie courante en 2003. Depuis, nous avons connu pire : le terrorisme aveugle et lâche des mahométans djihadistes. Et personne, chez les titulaires des apparences du pouvoir n’envisage de referendum sur l’immigration-invasion.

    De 1976 à 2018, rien n’a changé dans la forfaiture permanente. Les droits fondamentaux du peuple souverain : Sécurité, Préférence nationale en matière d’emploi public (c’était un dogme au temps du Front populaire, même au PCF !), protection des générations à venir, sont toujours bafoués.

    Giscard et Chirac sont coupables d’avoir fait entrer la Nation dans cette spirale infernale. Et il ne faut pas oublier la Loi Veil sur l’avortement de complaisance du 17 janvier 1975, également publiée lors de la présidence funeste de VGE, Chirac piaffant d’impatience à Matignon, entre deux saillies et deux repas pantagruéliques.

    En conclusion, il ne peut et ne doit y avoir ni pardon, ni oubli pour Giscard et Chirac.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/11/vge-chirac-ni-oubli-ni-pardon-possibles-6096086.html

  • Matteo Salvini prêt à porter le sweat (interdit) de La Manif Pour Tous

    Matteo Salvini prêt à porter le sweat (interdit) de La Manif Pour Tous

    Le patron de la Manif Pour Tous Italie a offert un sweat de La Manif Pour Tous à Matteo Salvini en lui disant :

    “Vous savez qu’en France des gens ont été arrêtés parce qu’ils portaient ce sweat?”

    Réponse de Matteo Salvini :

    “Vraiment? … c’est une raison de plus pour le porter! Je le mettrai pour faire mon footing!”

    Matteo SALVINI@SalviniFrance

    Le leader de la Manif Pour Tous Italie offre un sweat à Salvini !
    “Vous savez qu'en France des gens ont été arrêtés parce qu'ils portaient ce sweat?”
    Matteo Salvini : "Vraiment? ... c'est une raison de plus pour le porter! Je le mettrai pour faire mon footing!"

    https://www.lesalonbeige.fr/matteo-salvini-pret-a-porter-le-sweat-interdit-de-la-manif-pour-tous/

  • Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Un acharnement idéologique à nier que l’embryon est un être humain

    Communiqué de Choisir la vie :

    En 2015, alors qu’elle était encore Ministre de la Santé, Marisol Touraine instaurait, le 28 septembre, une Journée mondiale du droit à l’avortement et créait un numéro vert national destiné à informer les femmes sur l’avortement et à en promouvoir toujours davantage l’accès.
    En 2018, si Madame Touraine a quitté ses fonctions, la nouvelle ministre de la santé, Agnès Buzyn, entend bien poursuivre dans cet acharnement idéologique à défendre ce droit à l’IVG et à s’opposer à toute entrave à celui-ci.
    Ainsi, alors même qu’il y a seulement quelques jours, le Docteur Bertrand de Rochambeau, président d’un syndicat de médecins gynécologues, avait le courage affirmer que l’avortement constituait la suppression d’une vie et donc un homicide et rappelait le droit de chaque médecin d’user de la clause de conscience pour refuser de pratiquer cet acte, plus que jamais, Madame Buzyn et Madame Schiappa, secrétaire d’état à l’égalité femmes-hommes, entendent défendre ce droit à l’avortement et rappeler la liberté des femmes à choisir de disposer de leur corps.
    La campagne étatique d’affichage à l’occasion de la journée du droit à l’avortement le 28 septembre, comme chaque année, a passé sous silence les conséquences physiques et psychologiques de l’IVG et a continué de nier que l’embryon est un être humain.
    C’est pourquoi, Choisir la Vie, qui quotidiennement, à travers son antenne d’écoute se place du côté des femmes enceintes en difficulté et des enfants, entend, par sa nouvelle campagne d’affichage, riposter à la campagne étatique en démontrant que l’enfant in utéro n’est “ni une déception, ni une punition, ni une erreur, ni un obstacle mais un être humain”.
  • Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Sur M6, Zone Interdite se penchait sur ces adolescentes qui tombent enceintes et qui décident de poursuivre leur grossesse. L’équipe d’Ophélie Meunier s’est intéressé au choix d’une vie : 2 208 000 téléspectateurs étaient devant la sixième chaîne, soit 10,5% de part de marché.

    Une des jeunes filles a décidé de garder (et donc de sauver) son enfant après “un premier avortement traumatisant à 16 ans”.

    En France, 30000 adolescentes sont enceintes chaque année et un tiers d’entre elles mènent leur grossesse à terme.

    Qu’est-ce qui pousse ces jeunes filles à devenir mères aujourd’hui ? Souvent la seule solution qu’on leur donne, c’est d’avorter.

    Revoir l’émission.
  • "Plus d'Avortements, Moins de Gauchistes" | Le Rendez Vous Dissident #9

  • Zoom – Bernard Antony : Stop au génocide français !

    Invité de TV Libertés, Bernard Antony, président de l’AGRIF, ne mâche pas ses mots. Il lance un appel au refus de la “tsunamigration, à l’islamigration, à la culture de mort”. Il annonce aussi une manifestation le 29 septembre à la Mutualité à Paris.

     
  • La Manif pour Tous continuera et développera encore davantage d’actions, y compris dans la rue

    La Manif pour Tous continuera et développera encore davantage d’actions, y compris dans la rue

    Le patron de la République En Marche, Christophe Castener s’est entretenu devant ses troupes et a rappelé le fervent attachement de la Républque En Marche à la PMA et à la congélation d’ovocytes. Ludovine de La Rochère réagit au micro de Boulevard Voltaire :

  • IVG : la (tardive) prise de conscience de son caractère homicide

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    Bernard Plouvier

    Scandale chez les plus enragées des féministes ! Le 11 septembre 2018, le Président du Syndicat National des Gynécologues-Obstétriciens a osé énoncer une vérité qu’aucun médecin ne peut renier : « Nous ne sommes pas là pour prendre des vies ».

    Il est évident que cette phrase ne condamne pas les (plutôt rares) avortements thérapeutiques, soit une nécessité vitale pour la femme enceinte et qui définit l’Interruption Médicale de Grossesse.

    La déclaration de Bertrand de Rochambeau n’a porté que sur l’avortement volontaire, autrefois jugé criminel et que la Loi Veil du 17 janvier 1975 a dépénalisé. On peut nuancer son propos sur un seul point. L’avortement peut se justifier moralement dans les suites d’un viol : c’est une IMG pour raison d’ordre psychologique et eugénique, laissée à l’unique appréciation de la victime.

    L’IVG est objectivement – pour qui considère la chose de façon éthique, sans la moindre référence à un dogme religieux, politique ou sociologique – un Homicide. À ceci près qu’il est autorisé par la loi, de ce fait banalisé, et même remboursé par la Sécurité Sociale depuis le 31 décembre 1982, François Mitterrand ayant estimée « urgente » cette mesure, repoussée par une majorité de sénateurs.

    En France et chaque année, on assassine – c’est la définition du meurtre avec préméditation –environ 225 000 enfants, privés du droit de naître. Et, pour combler les vides, on importe de l’extra-Européen par million chaque décennie !

    Étant seuls responsables du choix des politiciens qu’ils ont hissés aux apparences du pouvoir, les Français sont coupables des lois immorales, dépourvues de toute référence éthique, concoctées par les honorables « élus du peuple ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La notion de progrès remplace ce qui est juste, ce qui est vrai, ce qui est moral

    6a00d83451619c69e2022ad367530f200c-250wi.pngJean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, déclare dans L'Incorrect :

    "Politiquement, la loi Veil illustre un modèle de violence politique digne d’un dialogue de Thucydide. Les réformes rêvées par une gauche glorieuse, mais réalisées par une droite piteuse, ont précipité le politique sur un chemin de traverse. Il n’y a plus de distinction spécifique du politique, c’est-à-dire de discrimination de l’ami et de l’ennemi, dans la mesure où le vote de l’IVG a brouillé les pistes. Tandis que la gauche et la droite ont affiché une convergence de façade autour de la loi de 1975, s’est construite une relation scabreuse où c’est la gauche qui monte la garde et la droite qui baisse la sienne. Avec le vote de la loi Veil, la droite a «gagné» une liberté sous protection de la gauche. La droite a fait allégeance sur le plan culturel à une gauche qui définit le périmètre d’évolution de la droite et la charge même de faire avancer certains de ses projets. Comme le poisson rouge dans son bocal, la droite est en liberté surveillée, associée à une soumission à la gauche quel que soit le parti au pouvoir. De ce fait, la gauche peut fort bien se dispenser d’être au pouvoir, en pratique elle y est toujours. La droite peut faire ce qu’elle veut pourvu que, sur les questions morales, la gauche donne le cap. Ainsi s’expliquent que ce sont bien les trois premières lois de bioéthique de 1994, 2004 et 2011, votées sous la droite, qui ont posé les bases de toutes les transgressions que nous connaissons et de celles qui arrivent.

    Aujourd’hui où ni la droite ni la gauche ne sont au pouvoir mais une formation hybride qui emprunte le libéralisme de la première et le libertarisme de la seconde, la machine à transgresser fonctionne encore mieux. La valeur suprême est le progrès sous toutes ses formes. Notre droit positif doit en assurer une égalité d’accès à tous, d’où un foisonnement de droits individuels. Et le marché arbitre ce foisonnement, en l’absence de tout critère moral. Dès lors que techniquement une chose est faisable, elle doit pouvoir être faite au profit du plus grand nombre. Tel est la doxa officielle sur la PMA pour toutes, par exemple. Pour aller plus vite, on a recours au procédé des « illégalités fécondes ».

    C'est ainsi que René Frydman, pour plaider en faveur de la PMA pour toutes, a signé dans Le Monde, aux côtés de 130 autres spécialistes, un appel dans lequel tous reconnaissaient avoir violé la loi. Les juges ne punissent plus et la complicité de certains médias permet d’exercer une pression sur le politique. Il suffit de changer la règle, pour être en règle. Et le tour est joué. Cela fait plus de 40 ans que cela dure. Ainsi, depuis l’avortement, toutes les transgressions sont, non pas régulées, mais régularisées par la loi. Telle est le fonctionnement de la démocratie aujourd’hui. Ceux qui gagnent sont ceux qui sont favorables au progrès. La notion de progrès remplace ce qui est juste, ce qui est vrai, ce qui est moral. Il suffit de le savoir. Mais est-il bien raisonnable d’entrer dans ce jeu de dupes ? [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/la-notion-de-progr%C3%A8s-remplace-ce-qui-est-juste-ce-qui-est-vrai-ce-qui-est-moral.html