Et qui sont signé la tribune pleine de contre-vérités de Jean-Louis Touraine.
avortement et euthanasie - Page 40
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Liste des 156 députés qui veulent légaliser le crime de l'euthanasie
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40 Days for Life : plus de 100 bébés sauvés de l'avortement
Le cap symbolique des 100 bébés sauvés de l'avortement a été franchi le lundi 26 février.
Nous vous invitons à rejoindre cette chaîne de prière “de l’arrière” à tout moment : signalez que vous voulez y participer en confirmant votre adhésion à daniel.hamiche@gmail.com qui coordonne depuis des années cette chaîne de prière.
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Donald Trump veut un Planning familial sans avortement
De Jeanne Smits sur RITV :
"Le département de la santé de l’administration Trump vient d’annoncer la mise en place d’une nouvelle ligne budgétaire de 260 millions de dollars pour financer les organismes de planning familial qui ne fournissent pas d’avortement – mais qui proposent entre autres des moyens de contraception « artificielle ». Les modalités de cette subvention excluent de facto la fédération américaine du Planned Parenthood, principal pourvoyeur d’avortements aux Etats-Unis.
En cela c’est une bonne nouvelle, signe de la volonté effective de Donald Trump de ne plus participer au financement public de l’avortement. Le plan prévoit notamment de faciliter l’accès à ces subventions de la part d’organismes éligibles en limitant le nombre de dossiers à déposer même en cas de fourniture de services dans plusieurs zones géographiques des Etats-Unis.
Les organismes concernés sont ceux qui fournissent un « éventail large » d’informations, de formations et de conseils relatifs à la planification familiale, l’aide aux couples infertiles et la formation à la régulation naturelle des naissances. [...]
Reste la question fondamentale, cependant : la contribution de l’Etat à la fourniture de la contraception en tant que telle, qui empêche activement la conception d’un nouvel être humain, n’est en réalité pas plus « éthique » que le remboursement de l’avortement – qui détruit une vie humaine au lieu de l’empêcher délibérément d’exister, deux grands maux. [...]"
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40 Days for Life : 57 bébés sauvés
La coordination internationale des 40 Days for Life annonce que 57 bébés à naître ont été sauvés de l’avortement au 6ème jour de la campagne de Carême.
Nous vous invitons donc à rejoindre cette chaîne de prière “de l’arrière” : signalez que vous voulez y participer en confirmant votre adhésion à daniel.hamiche@gmail.com qui coordonne depuis des années cette chaîne de prière.
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40 Days for Life : 29 bébés à naître sauvés de l'avortement
La coordination internationale des 40 Days for Life indique qu'au lundi 19 février, 29 bébés à naître ont été sauvés de l’avortement au 6ème jour de la campagne de Carême.
Cette campagne, lancée le mercredi des Cendres, se déroule en 354 lieux différents aux États-Unis et aussi dans 24 autres pays.
Pendant les quarante jours du Carême, des milliers de cœurs purs se réunissent devant des avortoirs, 24 h sur 24 et 7 jours du 7 pour prier afin de faire reculer l’avortement et obtenir que des mamans enceintes renoncent à y recourir.
Depuis le lancement des campagnes des 40 Days for Life, en 2007, les responsables estiment que plus de 14 000 enfants à naître ont été sauvés de l’avortement.
Depuis des années, Riposte Catholique s’associe à ces campagnes par des “prières de l’arrière” : prier chaque jour une dizaine de chapelet aux intentions de la campagne et pendant toute la durée du Carême. Près de 1 000 personnes déjà prient en France à ces intentions. Signalez-nous que vous voulez y participer en confirmant votre adhésion à daniel.hamiche@gmail.com qui coordonne depuis des années cette chaîne de prière.
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Délit d'entrave à l'IVG : Laurence Rossignol reconnait avoir voulu "déstabiliser” les associations pro-vie
Un an après l'adoption de cette loi, aucune plainte n'a été déposée, preuve que ce délit n'existe pas et que le but recherché était de faire pression sur les association pro-vie qui aident les femmes en difficulté :
La loi, promulguée fin mars, punit de deux ans d’emprisonnement et 30.000 euros d’amende les auteurs de sites internet poursuivis par une femme estimant avoir reçu “des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation” pour l’empêcher d’avorter. Douze mois plus tard, aucune plainte n’a été déposée, selon les informations recueillies par l’AFP. Ivg.net, avortement.net, SOSbébés, afterbaiz, testpositif… Ces plateformes accusées par les institutions de délivrer de “fausses informations”, parfois “sous une apparence officielle” ou via des numéros d’écoute gratuits, figurent en bonne place sur les moteurs de recherche.
Pour Alba Horvat, juriste bénévole à la Fondation des femmes, la loi n’a pas eu d’effet car elle est “trop complexe”. “Le délit est écrit de telle manière qu’il est difficile à démontrer”, explique-t-elle à l’AFP. "Pour prouver l’entrave, on doit être en présence d’une femme qui cherche à s’informer sur l’IVG, qui subisse des menaces ou pressions assez graves pour qu’elle s’en rende compte, qu’elle en soit suffisamment affectée pour aller porter plainte, et qu’elle garde des preuves de ce qu’elle a subi".
Cette fondation féministe voudrait porter une première action en justice. Un processus “long” qui se heurte à des difficultés pour trouver des victimes et collecter des preuves (factures de téléphone, échanges de messages, etc.), reconnaît Mme Horvat. “Le texte est difficile car il est contraint par les principes généraux sur la liberté d’expression”, défend la sénatrice socialiste Laurence Rossignol, à l’époque ministre des Droits des femmes (...)
De fait, pour éviter qu’elle soit invalidée par le Conseil constitutionnel, saisi par des parlementaires au nom de la liberté d’expression, elle avait été réécrite “deux ou trois fois”, se souvient Catherine Coutelle, ancienne présidente de la Délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale. "On ne ferme pas les sites des pro-vie, on dit que les personnes qui ont été abusées ont le droit de porter plainte" poursuit la rapporteure de la loi (...)
Chez ivg.net, site créé en 2008 qui était encore l’an passé mieux référencé que le site gouvernemental (...), on réfute “toute accusation d’entrave”, défendant “la liberté des femmes” de s’informer. "Je ne vois pas comment on pourrait avoir une plainte dans la mesure où on répond à une démarche personnelle" dit à l’AFP Marie Philippe, directrice de cette publication d’une trentaine d’écoutantes et modérateurs, discrète sur ses positions sur l’avortement. “C’est une loi d’idée, pas applicable”, estime Emile Duport, porte-parole du mouvement anti-IVG Les Survivants qui possède plusieurs sites, affirmant en avoir été “peu inquiété”. “Au contraire, ça nous a médiatisés”, poursuit-il.
Reste que depuis un an, ces plateformes disent recevoir davantage de faux témoignages ou d’appels de femmes cherchant, selon eux, à les “piéger”. “Le but était aussi de déstabiliser”, poursuit Laurence Rossignol," Si aujourd’hui ces sites se sentent épiés, sous surveillance, et qu’ils font plus attention à ce qu’ils disent, c’est qu’on a un peu réussi".
Cela s’appelle le harcèlement démocratique.
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Le racisme chromosomique battu en brèche
"Ce n’est pas la première fois qu’un enfant ou un jeune atteint du syndrome de trisomie 21 vole la vedette aux autres. Cette année, c’est au jeune Lucas Warren que revient l’honneur de représenter la marque mondialement connue Gerber, filiale américaine de Nestlé spécialisée dans la fabrique d’aliments pour enfants. Grand gagnant des 140.000 bébés candidats au « Gerber Baby Photo Search », ce blondinet au sourire craquant sera présent toute l’année 2018 sur les réseaux sociaux de la marque et ses fans pourront suivre ses premiers pas. Le PDG de l’entreprise assume parfaitement son choix : « Chaque année, nous choisissons le bébé qui correspond parfaitement à notre marque et, cette année, Lucas correspond parfaitement. »
Message explicite pour promouvoir une plus grande diversité ? Certainement, à en croire les parents de Lucas qui, le premier effet de surprise passé, avouent leur espoir de « faire changer le regard des gens sur le handicap ».
Gerber n’est pas la première entreprise à donner une chance aux personnes atteintes de trisomie : Seb en 2012, Clara en 2015, Asher en 2016 et d’autres ont, eux aussi, été choisis pour représenter de grandes marques en Angleterre, en Espagne et ailleurs, comme Marks & Spencer, Bel & Soph et OshKosh B’Gosh.
Chez nous, le 14 mars dernier, Mélanie Ségard présentait la météo sur France 2, histoire de prouver aux téléspectateurs « qu’une personne porteuse d’un handicap peut réaliser son rêve dans notre société ». Avant elle, il y avait eu Laura Hayoun, 19 ans, jeune trisomique sur BFM TV.
Belle revanche pour la fondation Jérôme-Lejeune, connue pour son action en faveur des personnes atteintes de déficiences intellectuelles d’origine génétique. Victime de la censure du CSA en juillet 2014 pour son clip « Chère future maman »coupable d’être « susceptible de troubler la conscience des femmes enceintes », la frimousse de jeunes trisomiques déclarant à leur mère tout le bonheur d’être au monde n’a plus eu le droit de paraître sur les chaînes de télé.
Et le voilà bien là, le fil rouge à ne pas franchir en France, leader européen de l’élimination des fœtus diagnostiqués trisomie 21. Quelques « coups de com’ » médiatiques pour donner la parole à de jeunes handicapés ne suffiront pas à masquer la réalité. Chez nous, le dépistage systématique des femmes enceintes s’intensifie chaque année grâce au nouveau « dépistage prénatal non invasif »(DPNI) destiné à détecter la moindre anomalie du fœtus, et particulièrement celle de la trisomie. Or, détecter, c’est éliminer, puisque plus de 96 % des fœtus soupçonnés d’être porteurs de la trisomie sont ainsi avortés… Il faut lire et relire l’ouvrage de Jean-Marie Le Méné Les Premières Victimes du transhumanisme pour bien comprendre que les laboratoires pharmaceutiques sont les grands gagnants de cette élimination programmée par les pouvoirs publics sous couvert d’humanisme. Curieuse trahison, pour ces médecins et chercheurs qui ont fait le serment d’Hippocrate et choisissent d’éradiquer plutôt que de soigner. Lors des débats parlementaires pour la révision des lois de bioéthique de 2011, le triste sire Noël Mamère se payait le culot de déclarer : « La mère et la famille sont libres de considérer qu’un enfant trisomique est un cadeau du ciel. »
Aux États-Unis, il n’y a pas que la famille de Lucas qui a pris cette liberté, même de grandes marques montrent l’exemple, avec quelques années d’avance sur la France, semble-t-il. D’autres pays reviennent sur leur politiques eugéniste ; le Japon en 1996 et, ces jours-ci, c’est au tour de la Pologne de prévoir d’interdire l’avortement des bébés porteurs de handicap. De quoi redonner un peu d’espoir."
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Carl Lang : "La protection de la vie doit être une mission sociale prioritaire de la conception à la mort naturelle"
Carl Lang, qui était présent lors de la dernière Marche pour la Vie, répond dans son livre-entretien à la question de l'avortement, de la politique familiale et sur la PMA et GPA :
Le rôle d'un Etat digne de ce nom est de mettre en place une politique d'accueil de la vie.
Les défenseurs de l'IVG nous parlent toujours "du libre choix, du libre choix, du libre choix!". En réalité, il n'y a pas de réel libre choix aujourd'hui puisque l'Etat n'offre pas aux femmes qui veulent avorter une alternative économique et sociale protectrice et crédible. Sue cette question de l'IVG, il me semble qu'il y a deux niveaux distincts de responsabilité. La responsabilité individuelle et la responsabilité politique. je laisse le domaine de la responsabilité individuelle à la conscience de chacun.
Pour ce qui est de la responsabilité politique, le rôle d'un Etat national est de mettre en place une politique d'accueil de la vie, une politique de protection de la mère et de l'enfant en créant un statut de la mère de famille. Ce statut implique la mise à disposition de ressources financières d'une protection sociale, d'une facilité d'accès au logement ainsi que le droit à la retraite le moment venu. La protection de la vie doit être une mission sociale prioritaire de la conception à la mort naturelle.
Cela s'inscrit, de plus, dans la mise en place d'une politique de la famille et de soutien à la natalité française. Il y a eu dans certains Etats d'Europe des politiques familiales qui furent très efficaces en termes de natalité, en particulier en Scandinavie dans les années 80. Une vraie politique familiale est efficace en matière démographique. Il va sans dire que cette politique n'est envisageable que dans le cadre du patriotisme social. L'attribution des aides sociales doivent se faire exclusivement au profit des familles françaises. La famille, dans sa conception traditionnelle. Ainsi, le mariage basé sur l'union d'un homme et d'une femme forme le socle de l'organisation sociale. Cela devrait être une évidence pour tous (...)
La GPA n'est rien d'autre que la marchandisation du corps, une abomination qui piétine la dignité humaine et souille les valeurs les plus essentielles de l'homme, et ce, quelles que soient les croyances religieuses. C'est de la traite d'enfants. Une abjection.
La PMA me parait d'une autre nature. C'est la recherche de la vie, pas le commerce de l'enfant. Elle ne me parait concevable que dans le but de bâtir une famille basée sur l'union d'un homme et d'une femme. Je suis donc hostile à la PMA pour tous.
Ce sont là des choix éthiques qui sont liés à nos valeurs humaines et à nos valeurs de civilisation. Nous croyons que la vie humaine est sacrée et que l'on ne peut tuer ni l'innocent ni le juste. Nous croyons au droit inviolable de tout être innocent à la vie et nous sommes attachés au respect de la dignité des personnes. Nous croyons aussi à la loi morale naturelle et au sens moral. Non, la personne humaine et l'enfant à naître ne sont pas des marchandises."
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Les méthodes répugnantes du lobby pro-mort
Utiliser les photos d’une enfant handicapée, sans l’aval de ses parents cela va de soi, pour promouvoir l’extermination des indésirables, c’est le procédé pour le moins répugnant utilisé par le lobby pro-mort. L’information a été donnée par Le Salon Beige dans son édition du 6 février.
Natalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett, une maladie génétique extrêmement rare qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères. Elle tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l’avortement. Sur Twitter, elle réagit : « Cette fois, c’est trop. Cette personne n’a pas le droit d’utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d’aussi horrible ». Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l’ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l’origine du post. Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l’insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d’être traités comme tous les enfants. Natalie partage d’ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.
On voit tout « l’humanisme » des partisans du lobby pro-mort, prêts à n’importe quelle récupération, au mépris des souffrances des familles, pour promouvoir leur culte kalinais. Y compris s’approprier des photos de famille.
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/les-methodes-repugnantes-du-lobby-pro-mort/87576/
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12 février : conférence de Ludovine de La Rochère à Marseille