culture et histoire
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IDÉE RECUE N°5 : AVANT LA RÉVOLUTION, LES FEMMES N'ÉTAIENT RIEN ?!
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Sports de l’extrême : nous avons écouté le dernier album d’Aya Nakamura !
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« Raconter une histoire des Européens qui ne se résume pas à violence, racisme et conquête, c’est aller à contre-courant » Audrey Stéphanie (Héros d’Europe) [Interview]

Avec Héros d’Europe, treize modèles d’hier pour aujourd’hui publié aux Éditions du Royaume, Audrey Stéphanie signe un ouvrage captivant et salutaire, qui devrait figurer dans chaque bibliothèque familiale. En treize portraits fouillés, portés par une plume rigoureuse et vibrante, l’auteure redonne vie à ces hommes d’action qui ont façonné l’histoire européenne, de Léonidas à Don Juan d’Autriche, en passant par William Wallace ou Jules Brunet. Rien, dans ce livre, n’est inventé : tout est vrai, puisé aux meilleures sources, raconté avec fougue pour éveiller l’admiration et transmettre l’héritage.
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Sans société point d’hommes

Un dix-huitième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui de Léon de Montesquiou…
Il est clair que pour faire un « tout » l’homme doit travailler d’abord à chaque partie de ce tout. Le statuaire ne peut faire une statue qu’en sculptant successivement chaque partie de la statue. Le menuisier commence par façonner les diverses parties d’une chaise, et il ne forme le tout, la chaise, qu’en réunissant ensuite ces diverses parties. Si, donc, la société est l’ouvrage de l’homme, évidemment la société ne pourra être formée qu’ainsi : l’homme s’inquiètera tout d’abord des parties, les hommes. Les réunissant ensuite, il formera le tout, la société. De sorte que l’ordre se trouvera être celui-ci : le créateur ou la cause, l’homme ; les moyen, les hommes ; l’effet : la société. Conclusion : la partie est avant tout, l’homme est avant la société.
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Seconde Guerre Mondiale: dix faits étonnants sur la bataille de Berlin

par Boris Egorov
Quelle armée a pris d’assaut la capitale du Troisième Reich aux côtés des troupes soviétiques? Comment se fait-il que la marine soviétique ait combattu à Berlin?
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Seconde Guerre Mondiale – Les États-Unis continuent leurs efforts pour réécrire l’histoire d’un monde global

La déstabilisation générale des États et des rapports internationaux est une excellente période pour reprendre du terrain géopolitique, pendant que tous les regards sont forcés de se focaliser dans une seule direction, pendant que les pays tournent en rond au fond d’une impasse glauque. Cette année marque le 75e anniversaire de Victoire de la Seconde Guerre Mondiale, qui devait être l’occasion de cérémonies grandioses. Notamment à Moscou, puisque l’URSS est un pays-clé de la victoire contre le nazisme et le fascisme. « Par chance » pour le clan atlantiste, ces cérémonies n’auront pas lieu le 9 mai, ils ne seront pas obligés de venir et de devoir refuser de venir, ils purent applaudir avec soulagement la décision de report des cérémonies du 9 mai, qui ne seront donc pas des cérémonies du 9 mai, à Moscou. Le symbole ne leur sera pas imposé. Il n’y aura pas de symbole. Et pendant ce temps-là, les États-Unis travaillent. Ils ouvrent un programme de financement en Hongrie, permettant une individualisation de l’histoire et sa réécriture contre le rôle de l’URSS dans la Seconde Guerre Mondiale au profit des alliés américains. Bref, pendant que certains pays ont été mis à l’arrêt, la vie continue, le monde global renforce ses positions.
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[BIENVENUE CHEZ LES WOKE] Haro sur les fachos !
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La pravda américaine – Comprendre la Seconde Guerre Mondiale

À la fin 2006, Scott McConnell, rédacteur en chef de The American Conservative (TAC), m’a contacté pour me dire que, faute d’une importante injection financière, son petit magazine allait devoir fermer ses portes. J’étais en bons termes avec McConnell depuis environ 1999, et j’ai beaucoup apprécié le fait que lui et ses co-fondateurs du TAC aient été un point focal d’opposition à la politique étrangère calamiteuse de l’Amérique du début des années 2000.
Dans la foulée du 11 septembre 2001, les Néo-cons centrés sur Israël avaient plus ou moins réussi à prendre le contrôle de l’administration Bush tout en prenant le contrôle des principaux médias américains, purgeant ou intimidant la plupart de leurs critiques. Bien que Saddam Hussein n’ait manifestement aucun lien avec les attaques, son statut de rival régional possible d’Israël l’avait désigné comme leur principale cible, et ils ont rapidement commencé à battre les tambours de la guerre, les États-Unis lançant finalement leur invasion désastreuse en mars 2003.
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Little Big Horn, un désastre devenu légende

Depuis l’indépendance des États-Unis, le 4 juillet 1776, jusqu’à la défaite du dernier chef apache Géronimo en 1886, les guerres indiennes restent la facette la plus controversée de la Conquête de l’Ouest.
Fabuleuse épopée pour les uns, génocide impardonnable pour d’autres, les guerres indiennes et le sort réservé aux tribus d’Amérique du Nord n’ont pas fini de faire débat.
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Américains, Anglais et Russes n’avaient pas pour objectif de libérer la France
Poutine s’est montré assez irrité de constater que les États-Unis de Donald Trump s’appropriaient tous les bénéfices de la victoire sur les « nazis », en 1945, lors des toutes récentes cérémonies commémoratives du 8 mai.
Il n’est pas question de minimiser le courage, la bravoure, l’abnégation des soldats de toutes les nationalités qui ont participé à la libération du territoire national et des dizaines de milliers qui sont tombés face à l’ennemi.


