culture et histoire
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Philippe Égalité, le prince de la Révolution, avec Raphaël Dargent
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Le sauvetage des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, avec Patrick Cabanel
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Légions étrangères de la Wehrmacht : l’Europe au service du Troisième Reich
par Pierre Duval
Les élites de l’UE ont honte de rappeler le rôle de leurs homologues à l’époque du Troisième Reich. Plus le temps passe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus les célébrations grandioses du 8 mai disparaissent de l’espace public. La France, dans le souci de normaliser ses relations de dépendance avec l’Allemagne et Bruxelles, efface le discours victorieux sur l’Allemagne d’Hitler.
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Le Nouveau Passé-Présent - Les 300 derniers jours du IIIe Reich
Du 13 juillet 1944 au 9 mai 1945, l’Allemagne nazie, pourtant en déroute stratégique, a continué de résister avec acharnement, provoquant l’un des prolongements les plus meurtriers du conflit. Pourquoi la guerre ne s’est-elle pas arrêtée plus tôt ?
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C’est quoi cette «guerre» dont vous parlez ?
«La guerre est ce qui arrive quand la parole échoue». ~ Mark Twain
La guerre, semble-t-il, est dans l’air, ou du moins à l’horizon, ou si ce n’est pas le cas, peut-être à venir. Même si nous n’avons aucune idée précise de sa localisation exacte, la «guerre» est apparemment «probable», voire inévitable, entre les États-Unis, Israël ou les deux et l’Iran, ainsi qu’entre les États-Unis et la Chine, même si les causes et la nature d’une telle guerre ne sont pas claires. Les experts s’inquiètent de savoir si le soutien de l’Occident à l’Ukraine signifie que nous sommes «en guerre» avec la Russie. Les hommes politiques insistent sur le fait que ce n’est pas le cas. Depuis plusieurs années, d’autres experts prédisent avec morosité que la crise ukrainienne conduira inévitablement à une guerre nucléaire, peut-être par accident, ou peut-être en raison d’une dynamique inhérente impossible à arrêter et échappant au simple contrôle humain.
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« Clowneries passéistes » : Jean-Luc Mélenchon s’en prend au Puy du Fou
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Il y a 50 ans, Phnom Penh tombait aux mains de Pol Pot : la mémoire sélective de la gauche
Le 17 avril 1975, Phnom Penh tombait aux mains des Khmers rouges. Cinquante ans plus tard, le souvenir du génocide cambodgien orchestré par Pol Pot s’estompe dans le brouillard d’un oubli savamment entretenu par ceux-là mêmes qui, à l’époque, saluaient cette “libération” comme une victoire du peuple. Un demi-siècle plus tard, il est temps de rappeler les faits, et les responsabilités.
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[PEOPLE] Patrick Sébastien, un chanteur trop « vieux », trop « blanc », trop gaulois…
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FACE à PYR avec François Delpla : Hitler et le nazisme par-delà Chapoutot et consort
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Samedi et dimanche à Paris : colloques et Hommages à Sainte Jeanne d'Arc
Samedi : colloque de l'AF avec comme invité l'ancien ministre Charles Millon