Puisque les archives d’une certaine période de la guerre d’Algérie s’ouvrent actuellement aux « spécialistes », mais sur une certaine période seulement (1954/1957), celle concernant plus particulièrement « La bataille d’Alger », dans l’objectif, bien entendu, de signaler uniquement les « tortures » et les « exécutions » subies par les valeureux combattants du FLN et les traîtres français qui leur ont prêté aide et assistance, physique et financière, par les « paras » du général Massu, sur ordre du gouvernement de l’époque, et que les soi-disant historiens, à l’exemple d’un Benjamin Stora, puisse poursuivre leur désinformation en toute liberté, nous exigeons que toutes les archives soient, enfin, portées à la connaissance de toute la population française afin qu’elle prenne conscience de la lâcheté et du déshonneur d’un chef de l’État, d’un gouvernement et d’une armée qui n’était plus française, puisqu’aux ordres d’un gouvernement et non plus de la République.
culture et histoire
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Algérie : les archives s’ouvrent, exigeons la vérité sur les crimes du FLN
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Canon Français : les hyènes d’extrême gauche n’empêcheront pas le banquet

Il y avait déjà eu en Bretagne ces derniers temps plusieurs problèmes causés par la gauche contre des initiatives qu’elle juge inacceptables et dont elle demande à chaque fois l’interdiction. Il y eut le 13 mars 2025 l’interdiction de la réunion organisée pour voir et débattre du film Silenced du journaliste anglais Tommy Robinson, celui qui organisa récemment à Londres la manifestation contre l’invasion migratoire qui a réuni plus d’un million de personnes. En tête des censeurs bretons, on trouvait notamment Murielle Lepvraud, députée LFI des Côtes-d’Armor. Ces mêmes individus liberticides tentèrent d’empêcher une autre projection ultérieurement à Saint-Brieuc, en vain. L’annonce de la date de Saint-Brieuc était une fausse nouvelle et les censeurs se sont retrouvés comme des crétins à tenter de faire interdire une projection qui eut lieu dans un autre endroit le même jour avec une centaine de participants.
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Une découverte archéologique révèle la naissance de l’art chez les Néandertaliens, il y a 70 000 ans.

Un crayon ocre néandertalien de Crimée révèle les premières formes d’art symbolique
Les crayons de forme irrégulière et réutilisés, les motifs gravés et les marques d’outils suggèrent que certains matériaux ocre ont été intentionnellement utilisés pour des activités symboliques.
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[REPORTAGE] Bardella en dédicace à Nîmes : Marseillaise contre drapeau palestinien
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La France décérébrée

Un quatorzième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui, de Maurice Barrès… dans lequel il montre les terribles ravages produits dans les intelligences par une tragique situation : la division et la dissociation des forces naturelles de la nation
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La conquête de l’Algérie, pourquoi ?
« Le pays occupé par les Français sera, à l’avenir, désigné sous le nom d’Algérie. Les dénominations d’ancienne régence d’Alger et de possessions françaises dans le nord de l’Afrique cesseront d’être employées dans le cadre des correspondances officielles… »
(Circulaire du ministère de la Guerre, 14 octobre 1839)Tous les ans, dès qu’arrive le mois de mars, j’ai une pensée pour les funestes accords d’Évian, signés – unilatéralement – le 18 mars 1962 pour application le lendemain. Ces accords signifiaient l’abandon pur et simple de notre belle Algérie française aux égorgeurs du FLN (1).
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17 octobre 1893 : mort du président Mac-Mahon, dernier espoir du retour du roi
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Bien avant Halloween : ces monstres bien de chez nous
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Chocs du monde avec Rémi Bernier - Forces spéciales : la vraie histoire du 1er RPIMa

Pour ce nouvel épisode de "Chocs du monde", le magazine des crises et de la prospective internationales de TVL, Edouard Chanot reçoit le lieutenant-colonel Rémi Bernier.
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Le massacre des Arméniens par les Turcs à Adana, en 1909

Des malheureux par milliers étaient traqués à coups de fusils, de haches, de bâtons, si bien que dans certaines rues, il y avait des murailles de corps entassés et des fleuves de sang, écrit dans une lettre d’Adana, en date du 8 nov., M. Léopold Favre, le philanthrope genevois qui a visité le théâtre du sinistre pour y faire une enquête et distribuer aux survivants les secours du comité philarmène helvétique.


