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culture et histoire

  • Patriotes français, défendez notre langue ! Le faire c’est défendre notre identité [L’Agor

    J’ai honte, oui j’ai véritablement honte pour mon pays et pour ce peuple auquel j’appartiens quand je constate l’indifférence des pouvoirs publics, des industriels, des négociants, des fonctionnaires d’autorité, des médias, des commentateurs et de nombreux autres, à l’égard de notre langue. Je pense à mes aïeux, à mes ancêtres, si fiers d’appartenir à un peuple d’exception et faisant les plus grands efforts pour s’exprimer, à l’écrit comme à l’oral, dans un français pur et élégant plutôt qu’en catalan, employé partiellement dans un usage domestique. Ils ne l’utilisaient jamais devant moi. Mon grand-père maternel me faisait faire mes premiers pas dans l’histoire de France et ma grand-mère, institutrice pendant la Première Guerre mondiale, corrigeait mes premiers récits. À cette époque mon père se battait pour la France en Indochine. Ils m’ont transmis cet amour de la France, de sa langue et de sa civilisation.

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  • Le Puy du Fou : œuvre géniale d’un amoureux fou de la France et de sa Vendée

    Gardé par un fou

    Gardé par le temps

    Le vieux Puy du Fou

    Est fait de sable émouvant.

    Didier Barbelivien

    On a tendance à oublier que dans ce monde de fous, cet amoureux de la France qui rêve de voir la jeunesse de son pays s’approprier avec amour son récit national a été le souffre-douleur, le paria, des Guignols de l’info et cela, dès son arrivée, rue de Valois, au ministère de la Culture en 1986. Une cicatrice jamais refermée, nous dit-il.

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  • Sports de l’extrême : nous avons écouté le dernier album d’Aya Nakamura !

    Capture d'écran Aya Nakamura
    Capture d'écran Aya Nakamura
    Certains prétendent que les journalopes ne sont que des jean-foutre. Et pourtant, si les lecteurs savaient le dévouement qui anime certains d’entre nous - dont l’auteur de ces lignes au premier chef -, ils baisseraient d’un ton. Ainsi, comment nommer la conscience professionnelle du plumitif écoutant d’une seule traite Destinée, le dernier album d’Aya Nakamura ? Du dévouement, pardi ! Mieux que Reporters sans frontières, c’est Dévouement sans limite.

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  • « Raconter une histoire des Européens qui ne se résume pas à violence, racisme et conquête, c’est aller à contre-courant » Audrey Stéphanie (Héros d’Europe) [Interview]

    Avec Héros d’Europetreize modèles d’hier pour aujourd’hui publié aux Éditions du Royaume, Audrey Stéphanie signe un ouvrage captivant et salutaire, qui devrait figurer dans chaque bibliothèque familiale. En treize portraits fouillés, portés par une plume rigoureuse et vibrante, l’auteure redonne vie à ces hommes d’action qui ont façonné l’histoire européenne, de Léonidas à Don Juan d’Autriche, en passant par William Wallace ou Jules Brunet. Rien, dans ce livre, n’est inventé : tout est vrai, puisé aux meilleures sources, raconté avec fougue pour éveiller l’admiration et transmettre l’héritage.

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  • Sans société point d’hommes

    Un dix-huitième texte de notre rubrique « Souvenez-vous de nos doctrines » est à retrouver aujourd’hui de Léon de Montesquiou…

    Il est clair que pour faire un « tout » l’homme doit travailler d’abord à chaque partie de ce tout. Le statuaire ne peut faire une statue qu’en sculptant successivement chaque partie de la statue. Le menuisier commence par façonner les diverses parties d’une chaise, et il ne forme le tout, la chaise, qu’en réunissant ensuite ces diverses parties. Si, donc, la société est l’ouvrage de l’homme, évidemment la société ne pourra être formée qu’ainsi : l’homme s’inquiètera tout d’abord des parties, les hommes. Les réunissant ensuite, il formera le tout, la société. De sorte que l’ordre se trouvera être celui-ci : le créateur ou la cause, l’homme ; les moyen, les hommes ; l’effet : la société. Conclusion : la partie est avant tout, l’homme est avant la société.

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  • Seconde Guerre Mondiale: dix faits étonnants sur la bataille de Berlin

    par Boris Egorov

    Quelle armée a pris d’assaut la capitale du Troisième Reich aux côtés des troupes soviétiques? Comment se fait-il que la marine soviétique ait combattu à Berlin?

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  • Seconde Guerre Mondiale – Les États-Unis continuent leurs efforts pour réécrire l’histoire d’un monde global

    La déstabilisation générale des États et des rapports internationaux est une excellente période pour reprendre du terrain géopolitique, pendant que tous les regards sont forcés de se focaliser dans une seule direction, pendant que les pays tournent en rond au fond d’une impasse glauque. Cette année marque le 75e anniversaire de Victoire de la Seconde Guerre Mondiale, qui devait être l’occasion de cérémonies grandioses. Notamment à Moscou, puisque l’URSS est un pays-clé de la victoire contre le nazisme et le fascisme. « Par chance » pour le clan atlantiste, ces cérémonies n’auront pas lieu le 9 mai, ils ne seront pas obligés de venir et de devoir refuser de venir, ils purent applaudir avec soulagement la décision de report des cérémonies du 9 mai, qui ne seront donc pas des cérémonies du 9 mai, à Moscou. Le symbole ne leur sera pas imposé. Il n’y aura pas de symbole. Et pendant ce temps-là, les États-Unis travaillent. Ils ouvrent un programme de financement en Hongrie, permettant une individualisation de l’histoire et sa réécriture contre le rôle de l’URSS dans la Seconde Guerre Mondiale au profit des alliés américains. Bref, pendant que certains pays ont été mis à l’arrêt, la vie continue, le monde global renforce ses positions.

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  • [BIENVENUE CHEZ LES WOKE] Haro sur les fachos !

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    Vous les avez peut-être déjà repérés sur les réseaux sociaux. Hilarants, les sketchs du cinéaste, réalisateur et scénariste Laurent Firode, dont Marc Baudriller faisait le portrait ici même, malmènent les wokistes et autres progressistes hors-sol.

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  • La pravda américaine – Comprendre la Seconde Guerre Mondiale

    À la fin 2006, Scott McConnell, rédacteur en chef de The American Conservative (TAC), m’a contacté pour me dire que, faute d’une importante injection financière, son petit magazine allait devoir fermer ses portes. J’étais en bons termes avec McConnell depuis environ 1999, et j’ai beaucoup apprécié le fait que lui et ses co-fondateurs du TAC aient été un point focal d’opposition à la politique étrangère calamiteuse de l’Amérique du début des années 2000.

    Dans la foulée du 11 septembre 2001, les Néo-cons centrés sur Israël avaient plus ou moins réussi à prendre le contrôle de l’administration Bush tout en prenant le contrôle des principaux médias américains, purgeant ou intimidant la plupart de leurs critiques. Bien que Saddam Hussein n’ait manifestement aucun lien avec les attaques, son statut de rival régional possible d’Israël l’avait désigné comme leur principale cible, et ils ont rapidement commencé à battre les tambours de la guerre, les États-Unis lançant finalement leur invasion désastreuse en mars 2003.

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