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culture et histoire - Page 1631

  • En Colombie aussi, les parents se mobilisent contre l’intrusion LGBT dans les écoles

    lgbt-colombie-MPI

    Il n’y a pas qu’en France, loin s’en faut, que l’intrusion de la propagande LGBT dans les écoles suscite controverses et mobilisations.

    En Colombie, ce sont des milliers de parents qui adressent une pétition au ministre de l’Education en lui demandant de quel droit il pense pouvoir endoctriner les enfants.

    Quantité de parents s’inquiètent que le Ministère de l’éducation du district de Bogota fasse entrer des représentants d’associations LGBT dans les écoles et enseigne l’idéologie homosexuelle dans les salles de classe.

    Ici aussi, il est question d’éducation sexuelle, de chasse aux stéréotypes et d’idéologie de genre.

    Pour beaucoup de parents colombiens, c’est une atteinte à la liberté d’éducation et aux droits parentaux.

    Un nouvel ordre mondial sexuel tente de s’imposer partout. Il est essentiel d’en prendre conscience et de ne plus conserver aucune confiance dans les médias du système, complices de ce plan machiavélique.

    http://medias-presse.info/en-colombie-aussi-les-parents-se-mobilisent-contre-lintrusion-lgbt-dans-les-ecoles/6564

  • Carl Schmitt actuel

    Tel est l’intitulé qu’Alain de Benoist vient de donner à son nouvel opus. Sous-titré « guerre juste, terrorisme, état d’urgence, ‘‘nomos de la terre’’ », l’ouvrage se propose, effectivement, d’interpréter l’Histoire du monde contemporain, notamment depuis un certain “11-Septembre”, à la lumière des concepts inventés par Carl Schmitt à une époque elle-même soumise à de grands bouleversements politiques et géopolitiques.
    Idées à l’endroit
    Si Marx a été l’un des grands idéologues des XIXe et XXe siècles, Schmitt pourrait être le philosophe du XXIe. Tel serait le présupposé implicite de ce Carl Schmitt actuel. Cette assertion n’est pas sans risques et les contempteurs haineux comme les thuriféraires fanatiques de Schmitt, tous ignorants de sa pensée, ont, depuis longtemps, pris conscience de l’impact de cette argumentation et de sa réversibilité.
    Alain de Benoist ne s’y trompe guère, qui commence par remettre quelques idées à l’endroit, singulièrement en ce qui concerne l’influence réelle ou supposée de Leo Strauss dans les milieux néoconservateurs américains. « L’idée générale était que Schmitt aurait été un penseur ‘‘nazi’’, que Leo Strauss, complice de Schmitt, aurait propagé à sa suite les mêmes idées ‘‘nazies’’ en Amérique, et que l’entourage de George W. Bush, influencé par la pensée de Leo Strauss, se rattacherait par son intermédiaire aux idées de Schmitt et donc au nazisme. » Cette thèse, évidemment délirante, demeure pourtant tenace, bien qu’il soit fermement établi sans que le doute ne soit plus permis, sauf chez les ignares et les dogmatiques, que « le lien entre les deux hommes [fut] plutôt ténu » et qu’il a été démontré « l’incompatibilité radicale existant entre la théologie politique de Schmitt et la philosophie politique de Strauss ».
    De ce point de vue, l’argumentaire d’Alain de Benoist est absolument convaincant. Une vision par trop monolithique du monde conduit inexorablement et tout uniment les adversaires et les tenants de Schmitt, qu’ils se recrutent au sein des atlantistes ou des anti-américains, à ne pas voir que les libéraux européens sont plus à droite que les libéraux outre-Atlantique (plus à gauche) et que les néoconservateurs américains sont plus proches de ceux-là que de ceux-ci. Dès lors, en toute logique, Schmitt devrait être honni tant par les néoconservateurs américains que par les libéraux européens. Les notions schmitiennes du politique, de l’ordre concret, de l’état d’exception sont, en effet, aux antipodes des conceptions bushistes ou humanitaro-kouchnériennes de criminalisation de l’ennemi, d’”Axe du mal”, de “guerre juste” ou d’antiterrorisme messianique.
    Nouveau Nomos
    De Benoist montre très clairement, en définitive, que Schmitt, des deux côtés de l’Atlantique, n’ayant été ni lu, ni compris, n’a pu être appliqué. Au contraire, depuis le “11-Septembre”, la réponse proprement politique, inhérente au jus publicum europeanum, s’est muée en ce que Schmitt redoutait par-dessus tout, comme négation du politique, en réponse théologique, c’est-à-dire totalitaire. La métaphysique universaliste informée par une vision religieuse des droits de l’Homme a, de manière assez horrifique, supplanté la métaphysique réelle, autrement dit la physique traditionniste des sociétés politiques. Au « Nomos concret du droit international public classique se substitue ce que Schmitt appelait un ‘‘ordre mondial universel’’ et abstrait. Assurément (et malheureusement), l’on assiste à l’émergence d’un nouveau Nomos que Schmitt enfermait dans cette alternative : “grands espaces contre universalisme” ».
    À ce propos, Alain de Benoist nous explique que selon Schmitt, cette nouvelle catégorie juridique de “grand espace” (« Graußraum ») « est appelée à se substituer à l’ancien ordre étatique national entré en crise dès les années trente et aujourd’hui devenu obsolète ». Le « Graußraum » par excellence serait constitué par les empires qui « pourraient bien devenir les principaux acteurs des relations internationales ». Il convient d’être prudent et de se garder de toute dérive nominaliste face à ce type d’analyse qui ferait prendre un constat visionnaire pour une conviction profonde de Schmitt qui, subitement, serait hissé au panthéon des pères fondateurs de l’Europe actuelle.
    Si Alain de Benoist ne prend pas explicitement position sur cette question, on sent bien que ses préférences inclinent vers une rhétorique peu favorable à l’État-nation. C’est oublier que Schmitt, dans Le nouveau Nomos de la terre, étude publiée en 1955, ménageait l’hypothèse d’une réactivation de l’ancien ordre juridique européen, certes différent du premier, mais prenant appui sur le paradigme étatique, fût-il le fruit d’un redécoupage géopolitique. À l’instar de toutes les sociétés humaines, les nations évoluent et se transforment au gré des circonstances et des aléas de l’Histoire. C’est dire, en tout cas, que la pensée de Carl Schmitt ne se laisse pas appréhender facilement, la subtilité d’approche étant préférable à une lecture hâtive.
    L’“exécutif unitaire”
    Quoi qu’il en soit, cette actualisation des concepts schmittiens intervient à point nommé, à un moment où l’on parle de plus en plus de la théorie dite de “l’exécutif unitaire” (« unitary executive »), très en vogue aux États-Unis, d’où elle est originaire, mais également en France où elle commence à faire des émules. Nicolas Sarkozy est ainsi loin d’y être insensible à telle enseigne qu’il n’a pas hésité à rencontrer le 16 juillet 2007 le président de la Cour suprême américaine, John G. Roberts (nommé par George W. Bush, le 19 juillet 2005). Ce dernier, inconnu des européens non spécialistes des questions juridiques, passe pour être un membre influent de la Federalist Society, sorte de réservoir de pensée qui défend, entre autre, l’idée selon laquelle le président des États-Unis, contre la lettre de la Constitution elle-même, peut étendre indéfiniment ses pouvoirs, y compris jusqu’à ceux dévolus au Congrès et sans qu’une autorité judiciaire, quelle qu’elle soit, ne puisse s’opposer à cette expansion. Partant, le président des États-Unis, notamment par la pratique des “déclarations de signatures” (« signing statements ») réécrit et livre sa propre interprétation des lois.
    La justification de cette concentration des pouvoirs réside dans la lutte contre le terrorisme international et contre tout ennemi des États-Unis et de ses intérêts internes et externes. Les détentions arbitraires sur le site de Guantánamo, la torture des détenus, le “Patriot Act” (24 octobre 2001), le “Military Order” (13 novembre 2001), la volonté de l’administration Bush-Cheney-Rice de s’affranchir des conventions internationales sont directement inspirés de ces juristes, tenants de “l’exécutif unitaire”.
    Depuis la nomination, le 31 janvier 2006, de Samuel Alito, la Cour suprême des États-Unis compterait désormais en son sein cinq juges sur neuf qui seraient membres de la Federal Society. Doit-on voir dans ces redoutables déviations du pouvoir une application de la “dictature souveraine” de Schmitt ? Certainement pas, car là où Schmitt se préoccupait de vouloir rétablir un “ordre” (« ordnung ») mis en péril par un état d’exception (« ausnahmefall »), Bush et ses juristes cherchent d’abord à consolider leur hyperpuissance. Le “11-Septembre” a, de ce fait, constitué l’accélérateur autant que le parfait alibi pour asseoir un peu plus leur « hégémonie bienveillante » (« benign hegemony »).
    Le drame est que la France, par les voix irresponsables de Nicolas Sarkozy et de Bernard Kouchner, veuille adhérer à cette doctrine dangereuse, apatride et si peu conforme à ses intérêts. La guerre en Iran est pour bientôt et la France, hélas, n’y sera pas étrangère...
    aleucate@yahoo.fr L’Action Française 2000 du 1 er au 14 novembre 2007
    * Alain de Benoist : Carl Schmitt actuel. Éd. Krisis, 164 pages, 19 euros.

  • Créationnisme contre Darwinisme

    Pour expliquer combien les "fondamentalistes" religieux sont obscurantistes, nos zélites qui nous gouvernent prennent rapidement l’exemple du créationnisme. Et là, même le bon chrétien pouffe en disant qu’il ne faut pas exagérer, et "qu’on n’est plus au Moyen-Âge", et que personne de sérieux ne peut contester l’évolution. Or, il existe trois bonnes raisons d’être créationnistes.

    1. Un mythe n’a pas besoin d’être réel pour être vrai: le gros avantage du créationnisme, au-delà de la véracité scientifique, c’est qu’il nous a donné la Genèse. Une explication du monde où l’on parle de Dieu, de l’homme, de la femme, de leur dignité égale mais aussi de leur différence, du bien et du mal qui passe en chacun de nous, du meurtre, du remords, etc. Là-dessus, le darwinisme est un peu court
    2. Notre époque donne trop d’importance à la science: "La grave erreur commise par l’Eglise ne fut pas de condamner Galilée, mais d’attribuer de l’importance au problème qu’il traitait" (Nicolas Gomez Davila).
    3. Le Darwinisme porte la lutte du tous contre tous: le plus faible, le moins adapté, est condamné à mourir. L’homme de Néanderthal n’est pas devenu l’Homo Sapiens, il s’est fait remplacer par l’Homo Sapiens. Par exemple, s’affairer à lutter contre le Grand Remplacement serait donc une lutte d’arrière garde, il faudrait s’abandonner aux délices du mouvement darwiniste du monde.

    Je suis donc créationniste, non pour raison scientifique, mais pour raison poétique. La vision de l’Homme portée par chacune de ces théories ne me laisse guère d’autre choix.

    http://droitedavant.wordpress.com/2014/02/18/creationnisme-contre-darwinisme/

  • Pas une allusion aux Harkis lors du discours pour l’inauguration du mémorial des soldats musulmans morts pour la France

    Hier, François Hollande s’est rendu à la mosquée de Paris pour inaugurer le mémorial des soldats musulmans morts pour la France. Il a déjà beaucoup été dit sur cet acte qui n’est sans doute pas moins une façon de se réconcilier avec la communauté musulmane française après les démêlés avec l’Education Nationale suite à son opposition à la théorie du genre. Ce qui pourrait quand même le plus choquer, c’est la totale absence des Harkis et des musulmans engagés au côté de la France pendant la guerre d’Algérie.

    Cette plaque ne comprenait que les deux conflits mondiaux et on se demande pourquoi ce mémorial, censé rendre hommage à des soldats musulmans morts pour la France, ne fait pas allusion aux unités harkis qui ont combattu en Algérie de 1957 à 1962.

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  • Vidéos de la conférence de presse sur l’interdiction de la théorie du genre à l’école

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  • « 1983-2013 : Années noires de la peinture » de Aude de Kerros, Marie Sallantin, Pierre-Marie Ziegler

    « Preuves à l’appui, l’ouvrage démontre la façon dont ces inspecteurs de la Création ont prétendu imposer leur vision du monde… »
    Poursuivant son œuvre de démystification de l’art contemporain, Aude de Kerros apporte une nouvelle pierre à son édifice avec ce recueil consacré aux années noires de la peinture. Dans ce livre écrit à six mains avec Marie Sallantin et le peintre Pierre-Marie Ziegler (1950-2013), elle revient sur la mainmise des services du ministère de la Culture devenu, du temps de Jack Lang, un « ministère de la Création » dont les séides ont tout fait pour faire disparaître la peinture en tant qu’art au bénéfice des « installations » et autres « happenings ».
    L’ouvrage n’est pas d’une lecture très aisée car il juxtapose des essais dus à la plume rigoureuse de Aude de Kerros, un recueil de citations plus ou moins délirantes tirées malheureusement de très sérieux et officiels colloques, et quelques graphiques.
    Preuves à l’appui, l’ouvrage démontre la façon dont ces inspecteurs de la Création ont prétendu imposer leur vision du monde de l’art non pour des motifs désintéressés mais avec l’espoir de faire monter les prix des « artistes » sélectionnés. C’est d’ailleurs un des points forts du livre que de montrer que cette politique s’est soldée par un échec cuisant et la marginalisation de Paris parmi les grandes places de l’art international. Reste que cette vision très noire en effet de cette triste période passe sous silence des contre-exemples pourtant heureusement réels ; un Gérard Garouste, notamment, a su trouver une véritable notoriété tout en restant fidèle à des idéaux artistiques hérités d’une certaine tradition. On pourrait donc nuancer le propos, ce qui n’enlève rien à sa pertinence ni à la force de l’analyse.
    La dénonciation de cette culture, ou plutôt contre-culture, d’un art contemporain officiel fortement teinté d’idéologie, ayant la vocation de dynamiter l’art jusque-là considéré comme académique tout en monopolisant l’argent public, montre bien les mécanismes pernicieux de la transformation du ministère de la Culture sous l’impulsion de Jack Lang.
    Jean-Claude Hulot, 14/02/2014
    Aude de Kerros, Marie Sallantin, Pierre-Marie Ziegler, 1983-2013 : Années noires de la peinture, édition Pierre Guillaume de Roux, 2013, 210 pages.
    http://www.polemia.com/1983-2013-annees-noires-de-la-peinture-de-aude-de-kerros-marie-sallantin-pierre-marie-ziegler/

  • L’homme présent en Angleterre, il y a 800.000 ans

    LONDRES (Bulletin de réinformation) - Les paléontologues et préhistoriens ont longtemps été convaincus que l’homme n’avait pas mis le pied en Europe du Nord avant 600.000 ans avant notre ère. C’est un nouveau démenti qui vient de leur être apporté par une découverte sur la côte est de l’Angleterre. À la faveur d’une grande marée, les chercheurs ont découvert dans des sédiments des traces de pas humains. Or ces sédiments ont été datés de 1 million d’années à 780.000 ans avant notre ère. La présence de l’homme dans cette contrée d’Europe du Nord à l’âge glaciaire, alors que la Manche n’existait pas encore, est donc fort ancienne.

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