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culture et histoire - Page 1628

  • Pas une allusion aux Harkis lors du discours pour l’inauguration du mémorial des soldats musulmans morts pour la France

    Hier, François Hollande s’est rendu à la mosquée de Paris pour inaugurer le mémorial des soldats musulmans morts pour la France. Il a déjà beaucoup été dit sur cet acte qui n’est sans doute pas moins une façon de se réconcilier avec la communauté musulmane française après les démêlés avec l’Education Nationale suite à son opposition à la théorie du genre. Ce qui pourrait quand même le plus choquer, c’est la totale absence des Harkis et des musulmans engagés au côté de la France pendant la guerre d’Algérie.

    Cette plaque ne comprenait que les deux conflits mondiaux et on se demande pourquoi ce mémorial, censé rendre hommage à des soldats musulmans morts pour la France, ne fait pas allusion aux unités harkis qui ont combattu en Algérie de 1957 à 1962.

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  • Vidéos de la conférence de presse sur l’interdiction de la théorie du genre à l’école

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  • « 1983-2013 : Années noires de la peinture » de Aude de Kerros, Marie Sallantin, Pierre-Marie Ziegler

    « Preuves à l’appui, l’ouvrage démontre la façon dont ces inspecteurs de la Création ont prétendu imposer leur vision du monde… »
    Poursuivant son œuvre de démystification de l’art contemporain, Aude de Kerros apporte une nouvelle pierre à son édifice avec ce recueil consacré aux années noires de la peinture. Dans ce livre écrit à six mains avec Marie Sallantin et le peintre Pierre-Marie Ziegler (1950-2013), elle revient sur la mainmise des services du ministère de la Culture devenu, du temps de Jack Lang, un « ministère de la Création » dont les séides ont tout fait pour faire disparaître la peinture en tant qu’art au bénéfice des « installations » et autres « happenings ».
    L’ouvrage n’est pas d’une lecture très aisée car il juxtapose des essais dus à la plume rigoureuse de Aude de Kerros, un recueil de citations plus ou moins délirantes tirées malheureusement de très sérieux et officiels colloques, et quelques graphiques.
    Preuves à l’appui, l’ouvrage démontre la façon dont ces inspecteurs de la Création ont prétendu imposer leur vision du monde de l’art non pour des motifs désintéressés mais avec l’espoir de faire monter les prix des « artistes » sélectionnés. C’est d’ailleurs un des points forts du livre que de montrer que cette politique s’est soldée par un échec cuisant et la marginalisation de Paris parmi les grandes places de l’art international. Reste que cette vision très noire en effet de cette triste période passe sous silence des contre-exemples pourtant heureusement réels ; un Gérard Garouste, notamment, a su trouver une véritable notoriété tout en restant fidèle à des idéaux artistiques hérités d’une certaine tradition. On pourrait donc nuancer le propos, ce qui n’enlève rien à sa pertinence ni à la force de l’analyse.
    La dénonciation de cette culture, ou plutôt contre-culture, d’un art contemporain officiel fortement teinté d’idéologie, ayant la vocation de dynamiter l’art jusque-là considéré comme académique tout en monopolisant l’argent public, montre bien les mécanismes pernicieux de la transformation du ministère de la Culture sous l’impulsion de Jack Lang.
    Jean-Claude Hulot, 14/02/2014
    Aude de Kerros, Marie Sallantin, Pierre-Marie Ziegler, 1983-2013 : Années noires de la peinture, édition Pierre Guillaume de Roux, 2013, 210 pages.
    http://www.polemia.com/1983-2013-annees-noires-de-la-peinture-de-aude-de-kerros-marie-sallantin-pierre-marie-ziegler/

  • L’homme présent en Angleterre, il y a 800.000 ans

    LONDRES (Bulletin de réinformation) - Les paléontologues et préhistoriens ont longtemps été convaincus que l’homme n’avait pas mis le pied en Europe du Nord avant 600.000 ans avant notre ère. C’est un nouveau démenti qui vient de leur être apporté par une découverte sur la côte est de l’Angleterre. À la faveur d’une grande marée, les chercheurs ont découvert dans des sédiments des traces de pas humains. Or ces sédiments ont été datés de 1 million d’années à 780.000 ans avant notre ère. La présence de l’homme dans cette contrée d’Europe du Nord à l’âge glaciaire, alors que la Manche n’existait pas encore, est donc fort ancienne.

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    http://fr.novopress.info/

  • Avons-nous une doctrine de l’action politique ? Question d'actualité

    Jean Ousset  dans un Avant-propos roboratif de son livre « l’Action » nous invite à travailler l’efficacité de l’action (extraits)  :

    O« L’efficacité dans l’action est-elle réservée aux seuls révolutionnaires ? 

    Ce qui est en question… C’est de savoir si nous sommes définitivement réduits à combattre sans espoir de vaincre. … C’est de savoir ce que nous pensons de nous-mêmes.

    Sommes-nous une arrière-garde chargée de permettre au gros de la troupe déjà repliée, de démobiliser aux moindres frais ?

    Cherchons-nous à conserver le droit, qui nous reste encore, de proclamer d’énergiques refus, de solennelles exhortations ?

    Notre ambition se borne-t-elle à cultiver un souvenir ; à constituer un certain nombre de groupes où seront conservés et transmis, pour la consolation d’une minorité, les éléments d’une doctrine dont personne ne veut plus ? …

    Et c’est là, finalement, ce qui est en question. Comment se peut-il que tant de travaux, tant d’efforts, n’aient pas abouti à meilleur résultat ? …

    Est-il normal que la vérité soit si continuellement stérile, le mensonge si continuellement triomphant ?

    Sont-ce là, au moins, questions que nous tendons à nous poser ?…

    « On veut combattre le mal à la place où il se montre, faisait observer  Goethe. Et l’on ne s’inquiète nullement du point où il prend son origine, d’où il exerce son action. [...]

    D’où la brusquerie des réactions :hâtives, violentes,… 

    Ainsi certains qui n’ont jamais rien fait ; qui n’ont jamais réagi – ou si peu – devant la progression du mal ; qui l’ont peut-être favorisé dans son principe, accepté dans ses premières démarches, s’insurgent brusquement, estimant intolérable que l’incendie qu’ils ont vu allumer sans intervenir menace désormais leur confortable hébétude….

    N’est-il pas ridicule d’imaginer que le salut puisse être obtenu à petits frais, sans préparation convenable ? …

    Possédons-nous une doctrine de l’action ?

    Sommes-nous préoccupés d’en avoir une ? Autrement dit : y pensons-nous sérieusement ? Nous mettons-nous en peine de l’apprendre pour mieux agir ?  [...]

    Jamais, peut-être, le salut de la société n’a tenu à l’effort d’un aussi petit nombre de gens. »

    Lire dans son intégralité l’Avant propos de l’Action de Jean Ousset

    Au moment où des français se lèvent pour défendre la dignité de toutes les personnes et de toute la personne, en particulier des plus fragiles, que faire pour une action durable ? Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. Action de personne à personne et actions multiformes en réseau, ses intuitions sont mises en oeuvre magnifiquement dans l'utilisation d'internet. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige