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Antonio Gramsci naît en Sardaigne, en 1891 Bossu et fils d'un modeste fonctionnaire emprisonné pour corruption, il vit une enfance difficile, mais studieuse. En 1911 il obtient une bourse pour l'Université de Turin, où il se spécialise en linguistique.
Du Parti socialiste au Parti communiste
En 1913, il rejoint le Parti socialiste italien (PSI), et écrit bientôt régulièrement dans ses journaux, notamment dans les colonnes d'Avanti. Le jeune Gramsci, bien que révolutionnaire, n'a que mépris pour le déterminisme scientifique des marxistes orthodoxes. En revanche, il admire l'activisme de Georges Sorel, théoricien du syndicalisme-révolutionnaire dont s'inspirera Benito Mussolini, et le spiritualisme néo-hégélien du philosophe Benedetto Croce.
Depuis 1924 le duc de Guise était devenu dauphin suite au décès de Montpensier, frère de Philippe VIII. Considérant problématique la restauration de la monarchie, il s’est tout de même concentré sur l’éducation politique de son fils Henri, qu’il considère amené à succéder à son cousin Philippe VIII, sans postérité. Il est donc surpris en 1926 lorsque le duc d’Orléans meurt du choléra au retour d’un voyage. Longtemps simple cadet de la famille d’Orléans et non préparé a cette charge, Guise déclare pourtant assumer ses devoirs de chef de la Maison de France pour une prétendance qui va durer 14 ans. Jean III hérite alors d’un « capital » royaliste puissant car l’Action française de 1925 a atteint trois objectifs stratégiques fondamentaux
Ce 16 janvier, le chef de l'État présentait aux armées ses vœux pour 2020. Il avait choisi pour cela la base aérienne 123 Orléans-Bricy. Il y annonça que la France s'apprêtait à envoyer au Levant le porte-avions Charles-De-Gaulle et son groupe aéronaval, dont le porte-hélicoptères amphibie Dixmude[1].
Jusqu'en 1946 l'expression Levant français désignait, de façon précise, les deux territoires sous mandat de la Société des Nations. La Syrie et le Liban avaient été confiés à la protection, bien incertaine[2], de Paris par la paix de Versailles, plus particulièrement par le traité de Sèvres (1920) qui fut révisé à Lausanne (1923). De cette paix, on ne mentionne pas beaucoup le centenaire, perdu dans la débauche quotidienne des anniversaires et autres éphémérides.
Vous aurez du mal à trouver cette carte en Français. Les hussards noirs de la République n'entendaient pas voir rappeler à leurs élèves la réalité charnelle des provinces de l'ancien régime....
À Droite ligne nous n'avons rien contre les Celtes la preuve, nous avons décidé d'alimenter le débat sur la nécessaire simplification des échelons administratifs français en exhumant un texte ancien - très ancien même - du Breton (de l'académie française tout de même) Charles le Goffic La preuve que les Français n'ont pas attendu d'être ruinés pour vouloir se débarrasser des départements.
Je sais bien ce qu'on dit : que, coûte que coûte, il fallait détruire le particularisme de l'ancien régime, centraliser, afin d'unifier. Et, si l'on objecte à cela qu'un morcellement en quatre-vingt-trois circonscriptions administratives n'était point nécessaire pour opérer l'unification, que ce morcellement excessif ne pouvait qu'étendre la plaie du fonctionnarisme et grever inutilement le budget, Mirabeau, Duquesnoy, Rabaud Saint-Étienne, Thouret, Gossin et tous les partisans du projet ne laissaient pas d'avoir réponse à l'objection :
C'est à un travail particulièrement sensible et au combien nécessaire auquel s'est attelé le réalisateur polonais Andrzej Wajda. Décrire enfin le massacre d'une nation et de son élite, l'ignominie du mensonge historique et la ferveur patriotique d'un peuple. Un travail historique doublé d'un hommage rendu à son père officier, exécuté à Katyn.
Prendre un tel parti n'est pas sans risque tant une telle approche de l'histoire est une véritable brèche dans la longue litanie des contrevérités distillées par le camp des vainqueurs. Le meilleur des accueils semblait devoir être réservé à ce film en France, nation autrefois amie de la Pologne, s'agissant d'un réalisateur déjà couronné d'une Palme d'or, de deux César et d'un Oscar d'honneur. C'est l'omerta qui fut au rendez-vous. Après une reconnaissance tardive dans les années 90 par les autorités russes de la « paternité » communiste de ce massacre, seules quelques dizaines de salles auront eu le courage de projeter ce film historique alors qu'un oscar du meilleur film étranger lui était décerné outre-Atlantique. Pendant près de 130 ans, la Pologne vécut sous la triple domination russe, prussienne et autrichienne avant que le traité de Versailles ne rétablisse son indépendance.