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culture et histoire - Page 669

  • Les errements de la repentance

    « Le colonialisme a été une erreur profonde, une faute de la République ». Cette affirmation du chef de l’Etat est discutable à plus d’un titre. La République n’est pas la première ni la principale responsable du colonialisme français. Celui-ci a commencé sous la monarchie, au XVIe et au XVIIe siècle (Canada, Indes, Antilles, Floride, la Réunion). La conquête de l’Algérie a débuté sous Charles X et le Second Empire de Napoléon III lui a donné une forte impulsion. De même c’est le Second Empire, et non la République, qui a amorcé les grands courants de colonisation française de l’Afrique subsaharienne (Sénégal) et de l’Asie (Cambodge). La colonisation ne peut évidemment pas se limiter à la France: l’Espagne et le Portugal, en Amérique du Sud, le Portugal en Asie et en Afrique, le Royaume-Uni dans le monde entier, furent d’autres grandes puissances colonisatrices, pour ne parler que de l’Europe.

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  • Alors, par Benallix, la colonisation romaine, c’est du lard ou du sanglier ?

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    La joute a tout de l’antique et Twitter s’est transformé, le temps d’une polémique, en amphithéâtre romain. Tout est parti d’une salve d’, qui surgit toujours dans des lieux inattendus avec des uniformes encore plus inattendus. Je ne sais si c’est la place de la Contrescarpe qui l’a rendu sensible à cette archéologie souterraine sur laquelle nous déambulons tous les jours.

    « La “Gaule”, ancêtre de la France, était composée de tribus qui passaient leur temps à s’affronter, jusqu’à l’arrivée de la  ROMAINE, qui nous a dotés d’infrastructures, d’une langue, … La France ne serait pas la France si elle n’avait pas été colonisée ! »

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  • « Cette jonction naturelle entre le patriotisme et la vraie foi »

    Actuellement au service du diocèse de Toulon, Julien Langeila embrasse avec fougue ces deux adjectifs, si souvent réputés contradictoires : catholique et identitaire. Il vient de publier chez DMM, un livre sous ce titre.

    Dialogue avec Julien Langeila

    Julien Langeila, vous avez trente ans. Le titre de votre premier livre : Catholiques et identitaires, claque comme une bannière. Quel est votre parcours personnel ?

    Ce sujet me tient particulièrement à cœur parce que je suis un jeune converti. J'ai reçu le sacrement de confirmation en 2013. Je peux dire en grossissant un peu le trait que je me suis converti au catholicisme grâce à un pasteur protestant parlant provençal et célébrant la messe dans la forme extraordinaire (de fait, ce brave monsieur avait inventé sa propre religion) Même si je savais que l'Église n'était pas qu'une ONG pro-clandestins, et qu'il y avait encore des amoureux du Beau et du Vrai en son sein, son allure extérieure - bourgeoise, économiquement libérale ou « mili-pêchu-mytho » - me rebutait assez. Je ne viens pas de ce milieu : j’étais entré en politique sept ans auparavant, à l'Action française puis aux Identitaires, dans une démarche radicale (traiter les problèmes à la « racine » comme le dit bien l’étymologie latine et esthétique.

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  • A noter : la vidéo du “Mercredi de la NAR” datant du 16 octobre est maintenant disponible...

    La Nouvelle Action Royaliste

     
    La vidéo du “Mercredi de la NAR” datant du 16 octobre est maintenant disponible.
    Il s'agit de l'extrait du film “CFTC – 100 ans de syndicalisme chrétien” suivi de la conférence de Philippe Arondel intitulée “Avenir du syndicalisme chrétien”.
    http://www.archivesroyalistes.org/Avenir-du-syndicalisme-chretien

    Le documentaire complet sur la chaine KTOtv :
  • L'ignorance, la maladresse et la dérision

    6a00d8341c715453ef0240a4fa7154200b-320wiEn cette veille de Noël, comme on aimerait pouvoir ne penser qu'au charme millénaire de cette fête, retrouver nos souvenirs d'enfance dans la joie de nos familles, la chaleur de l'amitié. Quoiqu'il advienne, du reste, l'espérance doit l'emporter sur les tristes contingences du quotidien. Ainsi, l'auteur de cette chronique dans les pires moments de solitude ou de dévastation voudrait toujours s'accrocher, d'abord, aux quelques perspectives positives qui demeurent dans notre pauvre Europe.

    La lecture matinale du quotidien Le Monde, qui donne le ton des humeurs hexagonales, corrigerait cependant tout excès improbable d'optimisme. Ainsi ce 24 décembre, peut-on lire en vedette sur la page d'accueil : "Réforme des retraites : l’exécutif ne parvient pas à imposer une trêve de Noël".

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  • Macron, négationniste de la grandeur française.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Profitant de son séjour en Côte d'Ivoire, Emmanuel Macron a, une fois de plus — on se souvient de ses déclarations scélérates à Alger — craché sur la France, son Histoire et sa grandeur en déclarant que "le colonialisme a été une erreur profonde, une faute de la République".
    Il est clair que pour Macron le retour de l'ex Afrique française à ses luttes tribales, à ses épidémies, à ses famines, et son entrée dans la grande ère de la corruption systématisée constituent, une avancée majeure de l'humanité.
    Ce qui fut une "erreur profonde, une faute de la République" qui n'en a, certes, pas été avare depuis la Révolution, c'est l'éclatement de l'Empire et son abandon, dislocation voulue  organisée par les Etats Unis d'Amérique, rendu possible par les traîtres communistes et opéré par les Républicains progressistes, socialistes et gaullistes dont Macron est bien l'héritier.
  • Ordre nouveau raconté par... Rivarol

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    Robert Spieler, Rivarol cliquez ici

    Ordre Nouveau et la création du Front national

    Ordre Nouveau… Ce sont des têtes chenues, des femmes et des hommes âgés de plus de soixante-dix ans aujourd’hui, qui se souviennent, cinquante ans après sa création, de cette aventure exaltante que fut Ordre Nouveau, qui fut à l’origine de la création du Front national, et sans qui, peut-être, Jean-Marie Le Pen ne se serait jamais relancé dans le combat politique. André Chanclu et Jacques Mayadoux nous offrent une plongée dans ce passé exaltant, que vécut l’auteur de ces lignes, dans un livre orné d’une croix celtique, paru aux éditions Synthèse. Son titre : Ordre Nouveau, 1969-1973, raconté par ses militants. On y trouve maints témoignages et documents passionnants. Les auteurs écrivent dans leur avant-propos : « Nous y avons vécu le moments les plus fulgurants de notre vie ». La bande son de cet ouvrage, disent-ils, est cette chanson d’Edith Piaf : « Non, je ne regrette rien. », ajoutant : « Oui, nos enfants pourront dire avec fierté : Ordre Nouveau… Mon père / ma mère y était ».

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