Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
L’Occident de Marcel Clouzot (614 pages, 35 euros), préface de Philippe Gibelin.
Voici un roman, plutôt une fable philosophique, encore plus forte, plus dérangeante, plus révoltante que Le Camp des Saints, roman de Jean Raspail...
Le commander cliquez ici
Je le dis très franchement: ce livre est un authentique petit bijou. Il a pour ambition de présenter les grandes œuvres de la philosophie politique dans le contexte de leur époque tout en mettant en valeur leur apport à la compréhension du temps présent. Moi même ai eu l’honneur d’y être associé à travers le chapitre sur Thomas Hobbes, le philosophe de la peur, qui montre comment Leviathan (l’Etat) a été inventé par les hommes pour assurer leur sécurité.
« Les grandes erreurs de la seconde guerre mondiale » aborde les années 1939-1945 sous un angle inattendu: celui des grandes erreurs politiques, diplomatiques et militaires qui ont marqué l’histoire de ce conflit. Le résultat est fascinant. L’ouvrage, réalisé par 12 auteurs sous la direction de deux spécialistes de cette époque, Jean Lopez et Olivier Wieviorka nous fait redécouvrir l’apocalypse à travers les fautes majeures, commises dans un camp ou dans l’autre.
L’ouvrage débute par un rappel des reculades des démocraties face à la montée de l’Allemagne nationale-socialiste à partir de 1934: réarmement de la Rhénanie en mars 1936, l’Anschluss et Munich en 1938 . « L’apaisement, une erreur » Que d’occasions ratées d’interrompre la course folle de la planète vers la grande déflagration. La politique d’accommodation avec les nazis, dans les années 1930, fut l’une des pires erreurs de jugement de la classe dirigeante de l’histoire du XXe siècle,, en tout cas celle aux conséquences les plus désastreuses.
Nous sommes dirigés par des élites libérales. Elles coulent le pays depuis la fin du gaullisme. Interrogé par la télé russe sur les élections françaises, j’avais dit que rien ne changeait dans le fond depuis 1830, soit depuis la monarchie de Juillet flanquée en son temps de sa presse anglo-libérale et de sa banque Rothschild. Je l’avais dit sans ressentiment aucun : théorie de la constatation.
On accuse ici et là la gauche ou le marxisme culturel. Mais ceux qui nous ont mis là sont bien les libéraux. Ce sont eux qui veulent la guerre à mort contre la Russie, le super-Etat européen, les migrants à tout prix, la culture pour personne et la rééducation des citoyens. Le problème de la gauche est qu’elle est devenue 100% libérale, que plus rien ne la distingue des libéraux et de leurs calembredaines. Le terrifiant ministre teuton Schauble l’a rappelé qu’il fallait protéger l’héritage libéral européen, qui rime avec le nihilisme européen de Nietzsche.
Pour bien comprendre ce qu’est un libéral je propose un auteur réactionnaire (au sens littéral : qui invite à réagir), le royaliste Léon Daudet, fils du maître du conte et disciple de la vieille école française, celle qui avait du style et du coup de gueule.
N°85 - 9 €
Site de Terre & peuple cliquez ici