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divers - Page 192

  • “Homophobie” dans le football : les réseaux sociaux s’enflamment

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    Après les “incidents” qui ont émaillé la rencontre Nice-Marseille, les débats font rage dans les stades et sur les réseaux sociaux.

    Comme l’expliquent un certain nombre de supporteurs, l’action de la Ligue de Football Professionnel et du Gouvernement est totalement contre-productive. Il faut ainsi s’attendre chaque semaine à une escalade dans la provocation.

    https://fr.novopress.info/215286/homophobie-dans-le-football-les-reseaux-sociaux-senflamment/
  • 72% des Français estiment que la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours de la dernière décennie

    A la veille de la rentrée des classes qui aura lieu le lundi 2 septembre, un sondage réalisé par l’institut BVA révèle que pour 72% des Français, la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours des 10 dernières années. 51% des sondés estiment même que la qualité de l’enseignement aujourd’hui n’est pas satisfaisante dans l’Hexagone.

    En dépit de l’opinion des Français au sujet de la qualité de l’enseignement, 65% d’entre eux ont une image positive des professeurs. Un résultat stable par rapport à 2017 et légèrement plus élevé chez les parents d’élèves (70%).

    Le Maine Libre

    https://www.tvlibertes.com/actus/72-des-francais-estiment-que-la-qualite-de-lenseignement-sest-degradee-au-cours-de-la-derniere-decennie

  • Le grand chaos de la rentrée – Journal du vendredi 30 août 2019

     

    Le grand chaos de la rentrée

    Après les nombreux couacs lors de la session du baccalauréat 2019, l’heure de la rentrée a sonné pour les professeurs. Un retour marqué par
    les nombreux changements opérés par le ministre de l’Education Nationale, Jean-Michel Blanquer, qui laissent le corps enseignants et les parents d’élèves sur la réserve.

    Les donneurs de sang voient rouge

    Menace sur le don du sang. Alors que des machines d’une firme américaine utilisées par l’établissement français du sang présentent des risques de contamination importants, les autorités sanitaires n’ont visiblement pas réagi à temps.

    Mexique : la chasse aux journalistes

    Vague d’assassinats de journalistes au Mexique. Depuis le début de l’année, 10 ont été tués soit autant que pour l’ensemble de l’année 2018. Face à ce fléau souvent en lien avec les cartels de la drogue, les autorités mexicaines se retrouvent impuissantes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/le-grand-chaos-de-la-rentree-journal-du-vendredi-30-aout-2019

  • PIERRE VIAL, PRÉSIDENT DE TERRE & PEUPLE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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    EN SAVOIR PLUS CLIQUEZ ICI PRENEZ DÈS MAINTENANT VOTRE BILLET CLIQUEZ LÀ

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/30/pierre-vial-president-de-terre-peuple-interviendra-lors-du-r-6172721.html

  • Les auteurs du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" entament un tour de France pour présenter le livre

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    Conférence à Clermont-Ferrand le jeudi 5 septembre à l'occasion de la sortie du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants"

    Les deux auteurs du livre (Jacques MAYADOUX et André CHANCLU)  seront présents. 

    Présentation du livre, dédicaces. 

    Suivront :

    Lyon, vendredi 6 septembre

    Toulouse, dimanche 8 septembre

    Rouen, jeudi 12 septembre

    Lille, vendredi 13 septembre

    Paris, La Nouvelle Librairie, mardi 17 septembrePour avoir l'adresse du lieu de la conférence envoyez un mail à l'adresse mail présente sur le flyer. ordre.nouveau.livre@gmail.com

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  • Pour ne pas oublier l'histoire des "petites patries" au lycée.

    La rentrée qui se profile oblige à la préparation des nouveaux cours des nouveaux programmes de lycée, en histoire comme en géographie. Si l’on prend la période étudiée désormais en classe de Première, elle couvre le gros siècle qui va de 1789 à 1923, et ce n’est pas forcément une mauvaise idée au regard de ce dont il est porteur et, en partie, accoucheur : après tout, ne sommes-nous pas les héritiers, parfois infidèles et critiques, de cette période et de ses confrontations, idéologiques comme spirituelles, mais aussi économiques et sociales, voire environnementales ?

    La lecture des programmes officiels et celle, conjointe, des manuels scolaires, est aussi fort révélatrice de l’idéologie dominante et des préoccupations de la République éducatrice, qui ne laisserait à personne d’autre le soin de choisir les intitulés de ces programmes destinés à s’appliquer, en bonne République « une et indivisible », à tous les coins du territoire métropolitain comme de l’Outre-Mer. Du coup, c’est une histoire qui oublie, « opportunément » et dans la droite ligne de la « jacobinisation » de la nation, les « petites patries », au risque d’échouer à l’enracinement des élèves (en particulier ceux venus d’ailleurs ou d’autres traditions d’origine étrangère) dans une France concrète et vivante. De plus, cette histoire nationale « globale » apparaît parfois peu accordée aux lieux particuliers où elle est enseignée, de la Bretagne à l’Alsace, de la Provence à l’Artois. Un collègue la définissait comme une « histoire parisienne » et, comme d’autres (et comme moi-même), s’en inquiétait, comme d’une source supplémentaire de déracinement et d’inculture.

    Faut-il, pour autant, renoncer à cette formulation programmatique de l’histoire française ? Pas exactement, mais il n’est pas forcément inutile de l’irriguer, non seulement d’exemples, mais aussi de puissantes évocations locales, par exemple en combinaison ou en comparaison de l’histoire de la nation « centrale », et selon l’endroit où l’on enseigne et étudie : ainsi, en Bretagne, n’est-il pas inutile de rappeler ce que la province a espéré et perdu durant la Révolution française, et quelles furent ses réactions, parfois déçues ou insurrectionnelles, devant le triomphe de la Révolution et de sa fille préférée, la République. Mais, à bien lire les différents manuels disponibles (pas loin d’une dizaine…), rien du tout : pas un mot sur la Bretagne si ce n’est, au détour d’une carte, l’évocation schématisée d’une « révolte » dont, le plus souvent, on ne saura pas plus. Ainsi, la chouannerie, qui a laissé durant plus d’un siècle, un souvenir tenace aux Bretons, a disparu, et le terme même n’évoquera rien aux descendants de ceux qui l’ont incarnée, comme en une sorte d’amnésie organisée que, au regard des intentions des programmes, je ne m’interdis pas de nommer un « mémoricide paisible » et tout à fait officiel… Idem pour la « Vendée » qui, si elle apparaît bien sur les cartes des lieux de tension durant la Révolution et la Première République, n’est ni définie ni expliquée !

    Bien sûr, le cas de la Révolution française semble le plus significatif, d’autant plus que l’esprit du programme est de valoriser la conception de la Nation telle qu’elle a été idéologiquement fondée par les révolutionnaires jacobins, et comme si l’Ancien Régime n’avait pas, par lui-même, développé une conception que l’on peut dire moins jacobine et moins centraliste, beaucoup plus plurielle et « fédérative », comme Maurras l’évoquera au début du XXe siècle. Mais les autres chapitres répercutent cette même absence des particularités enracinées, avec souvent les cartes comme seule illustration de la « nuance des choses », ce qui apparaît bien insuffisant. Ainsi, pour l’étude de la France rurale et de l’industrialisation du pays, ou pour celle de la question de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, et alors que la question linguistique n’est abordée que fort marginalement dans le meilleur des cas (et quand elle est abordée…), et dans le cadre de « l’enracinement de la République », les langues régionales de France étant alors présentées comme un reste du monde ancien destiné à disparaître, à l’égal du « trône et de l’autel ».

    Bien sûr, les professeurs d’histoire pourront, d’eux-mêmes, corriger cette « amnésie », mais le feront-ils tous, pressés par la nécessité d’aller vite (épreuves de Bac dès la classe de Première obligent, sous forme d’un contrôle continu) et de ne pas trop complexifier l’histoire de la période ? De plus, nombre d’entre eux ne connaissent pas l’histoire même du territoire sur lequel ils enseignent, ce qui constituent un obstacle important, mais pas rédhibitoire. Sans doute faudrait-il prévoir, en une heure hebdomadaire dédiée (faute de mieux), un enseignement des grands traits de l’histoire locale, communale et provinciale, ne serait-ce que pour donner quelques repères concrets aux jeunes qui y vivent et, parfois, à des parents qui ne connaissent pas non plus cette histoire. Mais, le mieux ne serait-il pas d’inciter les enseignants à intégrer, au sein de leurs cours généraux, des éléments de l’histoire (y compris populaire) locale, pour montrer aussi toute l’importance de l’histoire nationale sur la construction des héritages locaux (et inversement, aussi) et, parfois, la grande difficulté d’une synthèse harmonieuse entre les décisions de l’Etat central et les aspirations provinciales ou communales ? Ce ne sont là que quelques propositions, mais elles peuvent permettre un meilleur enracinement des jeunes générations sans, pour autant, les « figer » en un seul lieu car l’histoire (locale ou nationale, ou européenne et mondiale) ne doit pas être un simple « formatage » sans conscience, mais bien plutôt un appel à la curiosité comme un outil de la « fidélité créatrice », celle qui permet de voir plus loin et plus haut sans risquer le vertige de la démesure

    http://www.nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1572:pour-ne-pas-oublier-lhistoire-locale-au-lycee&catid=53:2019&Itemid=64