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divers - Page 188

  • DANIEL CONVERSANO, ÉDITEUR, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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  • Eric Zemmour à la Convention de la droite

    « L’État français est devenu l’arme de destruction de la nation et du remplacement de son peuple par un autre peuple, une autre civilisation » (Vidéo)

    Présent à la Convention de la droite ce samedi, Eric Zemmour a évoqué le remplacement du peuple français lors de son discours : « L’Etat français, qui fut le génie bienveillant des populations françaises (…) est devenu par un retournement incroyable l’arme de destruction de la nation et de l’asservissement de son peuple, du remplacement de son peuple par un autre peuple, une autre civilisation. »

    https://www.tvlibertes.com/actus/eric-zemmour-a-la-convention-de-la-droite-letat-francais-est-devenu-larme-de-destruction-de-la-nation-et-du-remplacement-de-son-peuple-par-un-autre-peuple-une-autre-civilisation-vid

  • Michéa, Mitterrand et la destruction du peuple français

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    Les Carnets de Nicolas Bonnal

    Pour gouverner, il faut d’abord changer le sens des mots. Après on peut remplacer les gens.

    Depuis 1984, une gauche libérale-libertaire aux affaires domine le paysage politique et culturel et enfonce le petit peuple dans des termes féroces. On a cité Thierry Pfister et sa lettre ouverte, on recommandera aussi le très effrayant pamphlet de Guy Hocquenghem qui en 1987 expliquait – Houellebecq le refera -  cette conjonction des forces du marché et de la subversion/dérision. La page de gauche des magazines pour recommander un lobby ou une intervention en Afghanistan, la page de droite pour vendre du Vuitton. Habitué à être ainsi traité, le cerveau humain n’a plus rien d’humain et devient cette mécanique-canal humanitaire à réagir fluo et à consommer bio.

    Jean-Claude Michéa a récemment rappelé ce qui s’est passé après le virage au centre de Mitterrand. Le sociétal allait remplacer le social. On l’écoute :

    2289763924.jpg« Plus personne n’ignore, en effet, que c’est bien François Mitterrand lui-même (avec la complicité, entre autres, de l’économiste libéral Jacques Attali et de son homme à tout faire de l’époque Jean-Louis Bianco) qui, en 1984, a délibérément organisé depuis l’Elysée (quelques mois seulement, par conséquent, après le fameux “tournant libéral” de 1983) le lancement et le financement de SOS-Racisme, un mouvement “citoyen” officiellement “spontané” (et d’ailleurs aussitôt présenté et encensé comme tel dans le monde du showbiz et des grands médias) mais dont la mission première était en réalité de détourner les fractions de la jeunesse étudiante et lycéenne que ce ralliement au capitalisme auraient pu déstabiliser vers un combat de substitution suffisamment plausible et honorable à leurs yeux. »

    La farce sociétale se met encore en place, alors on peut taxer le pauvre et puis le remplacer. Insulté et ringard, ce beauf n’est plus digne de l’attente de nos grands commentateurs. Nota : pour imaginer la jeunesse  française d’avant l’ère Mitterrand, découvrez le rebelle de Gérard Blain.

    Michéa encore :

     « Combat de substitution “antiraciste”, “antifasciste” et (l’adjectif se généralise à l’époque) “citoyen”, qui présentait de surcroît l’avantage non négligeable, pour Mitterrand et son entourage, d’acclimater en douceur cette jeunesse au nouvel imaginaire No Border et No limit du capitalisme néolibéral (et c’est, bien entendu, en référence à ce type de mouvement “citoyen” que Guy Debord ironisait, dans l’une de ses dernières lettres, sur ces « actuels moutons de l’intelligentsia qui ne connaissent plus que trois crimes inadmissibles, à l’exclusion de tout le reste: racisme, anti-modernisme, homophobie »). »

    Il était alors important pour le capital, qui avait eu peur du peuple pendant plus de cent ans, de se montrer branché/progressiste, et de rejeter le prolétaire promu homme de la rue dans les poubelles de l’histoire - avec la complicité achetée/enthousiaste de tous les médias. Rappelons pour les plus jeunes de nos antisystèmes que les communistes quittèrent le bateau ivre de la présidence Mitterrand en 1984, et que dans 1984, le ministère de la vérité s’abrite dans une… pyramide.

    Post-Scriptum

    On vient d’apprendre qu’EDF va disparaitre. L’électricité de France viendra d’ailleurs, comme le peuple.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Chirac : la République des hommages – Journal du vendredi 27 septembre 2018

    1) Chirac : la république des hommages

    Le décès d’un ancien président de la République, outil de propagande médiatique. Alors que Jacques Chirac est mort jeudi, Emmanuel Macron entend bien surfer sur la vague mortuaire en multipliant les hommages… une pratique que n’aurait pas renié le défunt président.

    2) Les roms s’installent à Antony

    A Antony dans les Hauts-de-Seine, un camp rom s’est installé dans une zone d’activité. Une installation illégale que la mairie tente de combattre par tous les moyens mais sans véritable succès.

    3) La fin du tabac à la française

    La France dit adieu à son tabac. Ce vendredi, les machines de la dernière usine de transformation de tabac en France ont arrêté de tourner avant une fermeture définitive le mois prochain. La fin d’une activité historique dans le sud-ouest du pays.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/chirac-la-republique-des-hommages-journal-du-vendredi-27-septembre-2018

  • Bruno Gollnisch : « Jacques Chirac n’a pas apporté de remèdes aux problèmes du pays »

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    Bruno Gollnisch, qui partageait avec Jacques Chirac l’amour de la culture japonaise, réagit à la mort de l’ancien président de la République.

    Au micro de Boulevard Voltaire, il compatit « à la peine de son entourage » mais évoque également les combats politiques qui les ont opposés.

    Vous êtes à Kyoto, au Japon. Jacques Chirac appréciait énormément la culture de ce pays. C’était un point que vous aviez en commun.

    Jacques Chirac est très souvent venu incognito au Japon. Il est d’ailleurs assez étonnant que cela n’ait pas suscité davantage d’intérêt de la part des commentateurs. Il était amateur de la culture japonaise. Il en avait compris certains aspects, contrairement à Nicolas Sarkozy.

    Quand on parle de Jacques Chirac à un membre du Rassemblement national, on ne peut s’empêcher d’évoquer ce 21 avril 2002. Comment aviez-vous jugé la réaction de Chirac vis-à-vis de l’arrivée de Jean-Marie Le Pen au second tour ?

    Je me souviens très bien de cette période, puisque j’étais directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen. Compte tenu de mes convictions chrétiennes, je souhaite le salut de son âme. Je compatis à la peine de sa famille, de son entourage et de ses amis.

    Il est bien évident que, sur le plan politique, je juge très sévèrement l’inaction de Jacques Chirac. Il était à la tête du RPR, devenu ensuite l’UMP, puis Les Républicains. Ce mouvement gaulliste a constamment piqué les voix des électeurs de droite pour ne pas faire la politique qu’ils souhaitaient. Jacques Chirac était un commentateur imperturbable assez majestueux. Il habitait convenablement sa fonction en apparence, mais il commentait les problèmes du pays, la fracture sociale, l’immigration insupportable sans jamais porter aucun remède. Il est resté totalement prisonnier de cette espèce de cercle invisible que la gauche avait dressée autour des hommes de droite, ou du moins qu’ils se prétendaient être.

    Comment les Japonais ont-ils réagi lorsqu’ils ont appris la mort de Jacques Chirac ? Observez-vous une émotion internationale ?

    Pour le moment, rigoureusement rien. Il est 22 heures, au Japon. L’immense majorité des Japonais ne connaît rien à la politique française, pas plus que les Français ne connaissent quelque chose à la culture japonaise. Si on annonçait, en France, le décès de M. Nakasone ou de tel ancien Premier ministre japonais, je ne crois pas que cela susciterait énormément d’émotion dans la population. Cela étant, la télévision va en faire état. J’aurai les réactions seulement dans quelques jours, lorsque je rencontrerai des membres de l’élite politique japonaise. Ils me feront part de leur sentiment.

    Le décès de Jacques Chirac est-il la fin d’une époque ?

    C’était un adversaire particulièrement injuste. Encore une fois, cet homme a fait croire aux Français qu’il allait résoudre les problèmes de l’insécurité, de l’immigration et de la perte des valeurs traditionnelles au travers de son ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua. En réalité, il a érigé une barrière infranchissable à l’égard des gens du Front national.
    Il est devenu Premier ministre en 1986 en profitant du rejet, par la majorité des Français, du gouvernement socialo-communiste et de la présidence Mitterrand.

    En réalité, de toutes les réformes qu’il avait annoncées, il a uniquement réalisé la réforme du Code électoral dans l’unique but d’obtenir la fin (ce qu’il a d’ailleurs obtenu) de la représentation politique du Front national au Parlement. J’ai des souvenirs très précis de cette époque, puisque j’étais moi-même jeune député à l’Assemblée nationale. C’est la seule réforme qu’il ait faite à ce moment-là.

    En 2002, son refus de débattre avec Jean-Marie Le Pen sous les prétextes habituels, « On ne débat pas avec la haine, etc. » Je disais, à l’époque, que ces prétextes étaient méprisables.

    Comment mon jugement aurait-il pu changer ? C’était tout à fait contraire à la tradition démocratique de la France.

  • Bistro Libertés avec François Boulo, porte parole des Gilets Jaunes

    Bistro Libertés avec François Boulo : les Gilets Jaunes, révolte ou révolution ?

    Ce soir, retrouvez « Bistro Libertés » ! Martial Bild et les sociétaires reçoivent le porte-parole des Gilets Jaunes, François Boulo. Au programmes des débats :

    Les Gilets jaunes : péripétie, révolte ou révolution ?

    La France a connu l’acte 45 de la mobilisation des Gilets Jaunes, En réponse, Emmanuel Macron affirme vouloir écouter beaucoup mieux les gens qu’il ne l’a fait depuis le début. Cette maigre prise de conscience est-elle suffisante pour clore une simple péripétie ? Ou est-elle dérisoire au regard de ce qui est une véritable révolte ? Les Gilets Jaunes : péripétie, révolte ou…révolution ?

    La fin du monde : vous y croyez ?

    Les livres de prédictions apocalyptiques annonçant la fin du monde sont des succès de librairie. Les légions de collapsologues paniqués ne cessent de croître et ont pour porte-paroles les Verts et pour égérie la jeune Greta Thunberg. Et vous, la fin du monde prochaine : vous y croyez ?

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-francois-boulo-porte-parole-des-gilets-jaunes

  • Theusz : collectif artistique de droite - Vive l'Europe, septembre 2019, Conversano