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divers - Page 405

  • Réinformation bien menée rend mensonge ridicule

    La chronique de Philippe Randa

    L’excellent site de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (cliquez ici) rapporte un exemple de désinformation particulièrement éloquent…

    Début juillet, des Mantevillois – habitants de Mantes-la-ville (Yvelines) – débarquant en cars sur les plages de Blonville-sur-Mer, l’accueil des autorités locales n’aurait pas été celui escompté au vu de leur apparence : « femmes voilées, familles d’origine africaines », comme rapporté par l’un des participants sur son compte facebook. D’où baignade interdite et prière de décamper vite et si possible loin, et même plus loin encore…

    Mantes Actu, site d’actualité régional, s’empressa aussitôt de rendre compte de cette infamie raciste, mais son confrère Le Pays d’Auge préféra pour sa part contacter le maire ; ses explications sont quelque peu différentes : « Le groupe est venu sans autorisation. D’habitude, les habitants de la banlieue parisienne qui viennent passer la journée chez nous s’annoncent, mais là, les deux cars sont arrivés sans autorisation et ont amené une centaine de personnes (…) Pour des raisons de sécurité, nous leur avons demandé de se mettre sur la plage au niveau du poste n°2 car à cause de la présence des parasols, la visibilité est moindre et la surveillance est plus difficile sur la zone du poste de secours n°1, et comme ils étaient très nombreux avec des enfants, nous n’avons pas voulu prendre de risque (…) Plusieurs adultes avec des enfants se baignaient dans le chenal réservé aux bateaux ce qui est strictement interdit et ont refusé de revenir dans la zone de bain. »

    Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… L’adage est connu et déjà au Moyen Âge, Clément Marot ne disait-il pas « Tord bien mené rend bon droit inutile » ? La France, patrie autoproclamée des droits-de-l’homme est surtout menacée de devenir, pour certains, surtout celle des tords-du-Français-de-souche…

    Publiée dans le quotidien Présent

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La crise actuelle fraye avec la crise de régime

    Guilhem Golfin me fait part de cette réflexion :

    Si les valeurs républicaines ne nous sont d'aucun salut, c'est que ce sont pas des "valeurs", autrement dit, car ce mot lui-même importé de la science économique est absolument déplacé, ce ne sont pas des vertus. Elles ne peuvent pas l'être, car fondées sur l'individualisme, négateur de toute vertu au bénéfice de la seule jouissance individuelle. Mais alors, il faut aller jusqu'au bout du raisonnement : car le régime républicain, la "démocratie" est inséparable de ces "valeurs". C'est donc lui qui est touché au cœur par l'actualité - et l'on ne peut que s'étonner que des personnes aussi avisées que M. Robert Ménard (par exemple) semblent encore croire que l'on peut redresser les choses en restant dans le cadre actuel et en changeant seulement, par conséquent, la politique menée. Certes, il y a une marge de manœuvre, et l'on pourrait déjà faire beaucoup de bien, mais très vite cela atteindra ses limites. Le fait est qu'en quelques deux cent ans, le ferment individualiste a eu le temps de faire son œuvre, et croire que l'on pourrait revenir à une "république saine", c'est un peu croire que l'on pourrait réanimer un cadavre en décomposition. Cela dépasse les capacités humaines.

    C'est ici que la tribune de l'abbé Vénard intervient : à rester dans un cadre républicain, il faut reconstruire celui-ci. Je suppose que l'abbé mesure la portée de son propos : une réconciliation de la République avec le catholicisme serait un reniement complet du régime par lui-même, si vraiment celui-ci repose sur la négation de la légitimité de la religion historique et révélée. Ce pourquoi, tout en saluant haut et fort les propos de l'abbé, on ne peut hélas qu'être sceptique sur les suites que le pouvoir serait susceptible de lui donner. Le propos de l'abbé Vénard serait plus à portée de main si la question n'était qu'historique, mais elle engage trop les fondamentaux du régime. Cela étant, les miracles existent.

    Une dernière chose, concernant l'Islam. On a bien entendu eu droit au mantra "c'est pas ça l'Islam", etc. C'est pénible, mais pourquoi ne pas prendre les musulmans au mot. M. Boubakeur veut une réforme de l'Islam de France - mais il reste bien vague sur la question... En voilà une précise à faire : si ces terroristes ne sont pas des musulmans, que les autorités musulmanes trouvent un moyen de les excommunier. Aux autorités de se débrouiller pour déterminer lequel, mais il faudrait que le reniement soit officiel, public, et assorti d'une interdiction faite à tout musulman de les fréquenter sous peine d'être eux-mêmes excommuniés. Bref faire de tout djihadiste un paria. C'est bien entendu trop tard pour tous ceux qui sont passés à l'acte en France et tués par la police, mais s'appliquerait à ceux qui reviennent de Syrie ou sont interpellés dans les filières, etc.

    Je ne fais pas d'illusion sur cela non plus, mais il y a là une voix me semble-t-il, pour une communauté appelée à être sinon toujours du moins longtemps sur notre territoire.

    Ultima verba : que l'Eglise prie officiellement pour la conversion des musulmans, et de tous les païens !

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/07/la-crise-actuelle-fraye-avec-la-crise-de-r%C3%A9gime.html

  • Camp Maxime Real Del Sarte 2016 - 10 axes de salut national

  • Journal du Lundi 25 juillet 2016 : Politique / Le gouvernement livre le complot sur un plateau

  • La télévision perd l'avantage du direct

    Les Echos montrent que les chaînes de télévision sont débordées par la concurrence des réseaux sociaux : Facebook, Périscope, Twitter...

    "France Télévisions lance-t-il une chaîne d'information en continu au moment où ce type de média entame sa ringardisation ? La question est sans doute trop provocatrice. Mais après le tremblement de terre provoqué par des vidéos postées sur Facebook Live et Periscope par des proches de Noirs américains visés par des tirs de policiers, ou bien les efforts de ces réseaux sociaux pour couvrir les conventions républicaine et démocrate (grâce à des partenariats entre réseaux sociaux et des chaînes comme ABC et CBS), les Etats-Unis s'interrogent sur un possible « moment première guerre du Golfe » pour ce type de services. Les historiens de la télévision citent 1991 comme l'année montrant qu'il y avait un marché pour la couverture en continu d'événements par CNN, dit un chroniqueur du « New York Times ». Ce qu'on voit aujourd'hui est une guerre du Golfe pour le « streaming en live ».

    Les « journalistes citoyens », témoins d'événements et dégainant leur smartphone pour en avoir une trace, pouvaient avoir le réflexe de vendre leurs images aux télévisions, par exemple, par le biais d'intermédiaires comme Newzulu (« Les Echos » du 8 avril 2016). Mais tout d'un coup, avec Facebook Live et Periscope, ils disposent d'un canal pour les retransmettre en direct. Et ils l'utilisent. 

    Bien sûr, Facebook Live ou Periscope (qui peut maintenant être intégré sur n'importe quel site Web) sont au stade expérimental. Leur offre n'est pas organisée pour fournir un fil ou des fils par thèmes susceptibles de concurrencer celui d'un BFMTV. Mais demain, Twitter et Facebook pourront facilement utiliser des éditeurs et des algorithmes pour que ce soit le cas. 

    Pendant ce temps, nombreux sont ceux ayant suivi l'attentat de Nice ou le coup d'Etat raté en Turquie sur les réseaux sociaux parce que les chaînes d'information paraissaient bien plus lentes à apporter des nouvelles, des images et des commentaires.  « C'est la fin du journaliste envoyé sur place et posté à côté de son camion de régie, typique des chaînes en continu », prédit un professionnel de la télévision. En plus d'être prises de vitesse, les chaînes sont soumises à davantage de contrôles, comme l'ont prouvé les réprimandes infligées à France Télévisions à propos d'images choquantes. Déjà concurrencée par le délinéarisé, la télévision perd donc même l'avantage du direct. C'est encore plus vrai dans l'information que dans le sport, où les belles images comptent encore. [...]"

    Michel Janva

  • L’effroyable bilan de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur.

    Bernard Cazeneuve est ministre de l’Intérieur depuis le 2 avril 2014. Il devrait rester, à la fin du quinquennat Hollande, comme le ministre de l’Intérieur ayant le bilan le plus effroyable de l’histoire de la Vème République.

    Pour rappel, le ministère de l’Intérieur est chargé traditionnellement de la sécurité intérieure, de l’administration du territoire et des libertés publiques.

    Au bilan de celui qui, depuis le 2 avril 2014,  est chargé d’assurer la sécurité des Français on peut noter :

     : Un individu armé d’un couteau, pénètre dans le commissariat de Joué les Tours faisant 3 blessés dont 2 graves. L’auteur de l’agression est un converti à l’islam, radicalisé récemment. Il a crié « Allah Akbar » durant son agression.

    21 décembre 2014 : Un individu au volant d’une voiture bélier, fonce dans la foule à plusieurs endroits dans la ville de Dijon, faisant 13 blessés dont 2 graves. Il est interpellé dans le même temps par la police. D’après des témoins, il a crié « Allah Akbar » au moment des faits et avoir agi « pour les enfants de Palestine ».

    7 janvier 2015 : Deux hommes cagoulés armés, les frères Kouachi, pénètrent dans les locaux de la rédaction du magazine Charlie Hebdo , tuant 12 personnes (11 au sein de la rédaction et un policier abattu en pleine rue) et faisant 11 blessés.

    Le lendemain et le surlendemain, Amedy Coulibaly – complice des deux islamistes – tuera 5 personnes dont une policière, à Montrouge et dans l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes.

    Le 19 avril 2015, l’islamiste Sid Ahmed Ghlam tue Aurélie Châtelain et projette un attentat – heureusement avorté – contre deux églises de Villejuif.

    Le 26 juin 2015, un islamiste décapite son patron à Saint-Quentin Fallavier (usine Seveso).

    Le 13 novembre 2015, les attentats islamistes à Paris entrainent la mort de 130 personneset font plus de 400 blessés.

    Le 13 juin 2016, un islamiste tue un policier, égorge sa femme sous les yeux de leur enfant, à Magnanville. Il sera tué par leRAID dans la foulée.

    Le 14 juillet 2016, à Nice, un Tunisien bénéficiant d’une carte de séjour lui permettant de vivre et travailler en France fonce sur la foule venue pour le feu d’artifice. Bilan provisoire : 84 morts et des centaines de blessés…

    Ce récapitulatif ne prend pas en compte toutes les attaques n’ayant causé que des blessés, comme le retrace ici le site Wikipedia.

    UNE FAUTE LOURDE EN ENTREPRISE

    Bernard Cazeneuve – en charge de la sécurité intérieure – aura donc, sous sa mandature, vu plus de 230 citoyens Français se faire assassiner. Marine Le Pen a réclamé plusieurs fois sa démission, tout comme d’autres responsables politiques.

    Mais le ministre de l’Intérieur occupe toujours son fauteuil place Beauvau. Pour François Hollande, ce sanglant bilan en terme de sécurité intérieure  – et nous n’avons pas évoqué ici Sivens, les violences sociales… – n’est manifestement pas rédhibitoire.

    Voilà ce qui explique sans doute qu’aujourd’hui, les 2/3 des Français interrogés ne font plus du tout confiance au gouvernement pour lutter efficacement contre le terrorisme et pour préserver leur sécurité.

    Source:  Breizh-info.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/leffroyable-bilan-de-bernard-cazeneuve-ministre-de-linterieur_164685.html#more-164685

  • Le journal du Jeudi 21 Juillet 2016 : Sécurité / Attentats, haut lieu de désinformation ?

  • La dictature Merkel : non l’Allemagne n’est pas une démocratie ! [rediffusion]

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia ♦ Angela Merkel a pris la décision de laisser entrer en Allemagne 800.000 immigrés supplémentaires (plus qu’il n’y a de naissances en Allemagne) – des immigrés appelés pour la circonstance « réfugiés » – et d’imposer aux Länder et aux communes de les accueillir en échange d’une aide du budget fédéral.

    Même s’il y a aussi derrière ce choix politique une opération de propagande internationale (montrer que cette fois l’Allemagne est dans le camp du bien !), cette décision ne manque pas de surprendre.

    En 2010, l’ancien ministre des Finances du Land de Berlin et membre du collège des directeurs de la Bundesbank, Thilo Sarrazin, a publié un livre choc consacré à l’immigration : L’Allemagne disparaît a été vendu à 2 millions d’exemplaires, preuve de l’ampleur des préoccupations du peuple allemand à propos de l’immigration. (*)


    A la même époque la construction d’une immense mosquée-cathédrale à Cologne a suscité d’intenses débats et de nombreuses manifestations.

    En 2014, le mouvement PEGIDA (Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident) a multiplié les marches de protestation en Allemagne.

    Malgré cela Angela Merkel, utilisant la sidération provoquée par l’image d’un enfant mort sur la côte turque, impose une vague d’immigration supplémentaire.

    La raison est simple : l’Allemagne n’est pas une démocratie.

    • Malgré la préoccupation des Allemands à propos de l’immigration, aucun parti politique n’est en mesure de tenir un discours critique sur le sujet. Les grands partis se l’interdisent. Les petites formations – électeurs libres ou Alternative pour l’Allemagne – osent aborder la question de l’euro mais pas celle de l’immigration qui mobiliserait davantage d’électeurs mais les exposerait au risque d’être qualifiées « d’extrême droite », voire de « nazies ». Or la reductio ad hitlerum est particulièrement redoutable en Allemagne.
    • Le risque est d’autant plus grand pour des partis politiques alternatifs ou un mouvement comme PEGIDA que le gouvernement a à sa main une puissante police politique : « l’Office fédéral de protection de la constitution ». Cette police politique, qui emploie 3000 personnes (et qui a des relais dans les polices des Länder), utilise massivement l’infiltration et la provocation. Comment se développer quand il faut en permanence chercher à distinguer le militant de bonne foi de l’agent provocateur qui s’infiltre ?
    • En 2001, le gouvernement, le Bundestag et le Bundesrat avaient tenté d’obtenir la dissolution du parti nationaliste NPD. La Cour fédérale de Karlsruhe avait refusé de suivre les ministres et les parlementaires car le dossier visant à prouver le caractère subversif du NPD était constitué de déclarations… d’agents infiltrés par la police ! De telles méthodes – filles de la GESTAPO et de la STASI – rendent difficile toute démarche tant soit peu politiquement incorrecte.
    • L’opération Merkel d’accueil de 800.000 immigrés supplémentaires met aussi en œuvre l’art allemand de la propagande : elle est rendue possible par un battage médiatique hallucinant accompagnant les mises en scène d’accueil des réfugiés. Quand on voit les haies d’honneur organisées dans les gares on se dit que Merkel a de beaux restes de son passé militant comme pionnière de la RDA !
    • La démocratie c’est le pluralisme, la liberté d’expression, la prise en charge des préoccupations des citoyens par les représentants politiques, l’absence de police invasive dans la vie des citoyens : aucune de ces conditions n’est remplie en Allemagne.

    Jean-Yves Le Gallou
    8/09/2015

    Article paru le 8 septembre sur Bd Voltaire

    (*) Note de la rédaction :

    Voir aussi : « L’Allemagne disparaît » de Thilo Sarrazin. Note de lecture de Michel Geoffroy.

    http://www.polemia.com/la-dictature-merkel-non-lallemagne-nest-pas-une-democratie-rediffusion/