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divers - Page 406

  • Camp Maxime Real Del Sarte 2016 - 10 axes de salut national

  • Journal du Lundi 25 juillet 2016 : Politique / Le gouvernement livre le complot sur un plateau

  • La télévision perd l'avantage du direct

    Les Echos montrent que les chaînes de télévision sont débordées par la concurrence des réseaux sociaux : Facebook, Périscope, Twitter...

    "France Télévisions lance-t-il une chaîne d'information en continu au moment où ce type de média entame sa ringardisation ? La question est sans doute trop provocatrice. Mais après le tremblement de terre provoqué par des vidéos postées sur Facebook Live et Periscope par des proches de Noirs américains visés par des tirs de policiers, ou bien les efforts de ces réseaux sociaux pour couvrir les conventions républicaine et démocrate (grâce à des partenariats entre réseaux sociaux et des chaînes comme ABC et CBS), les Etats-Unis s'interrogent sur un possible « moment première guerre du Golfe » pour ce type de services. Les historiens de la télévision citent 1991 comme l'année montrant qu'il y avait un marché pour la couverture en continu d'événements par CNN, dit un chroniqueur du « New York Times ». Ce qu'on voit aujourd'hui est une guerre du Golfe pour le « streaming en live ».

    Les « journalistes citoyens », témoins d'événements et dégainant leur smartphone pour en avoir une trace, pouvaient avoir le réflexe de vendre leurs images aux télévisions, par exemple, par le biais d'intermédiaires comme Newzulu (« Les Echos » du 8 avril 2016). Mais tout d'un coup, avec Facebook Live et Periscope, ils disposent d'un canal pour les retransmettre en direct. Et ils l'utilisent. 

    Bien sûr, Facebook Live ou Periscope (qui peut maintenant être intégré sur n'importe quel site Web) sont au stade expérimental. Leur offre n'est pas organisée pour fournir un fil ou des fils par thèmes susceptibles de concurrencer celui d'un BFMTV. Mais demain, Twitter et Facebook pourront facilement utiliser des éditeurs et des algorithmes pour que ce soit le cas. 

    Pendant ce temps, nombreux sont ceux ayant suivi l'attentat de Nice ou le coup d'Etat raté en Turquie sur les réseaux sociaux parce que les chaînes d'information paraissaient bien plus lentes à apporter des nouvelles, des images et des commentaires.  « C'est la fin du journaliste envoyé sur place et posté à côté de son camion de régie, typique des chaînes en continu », prédit un professionnel de la télévision. En plus d'être prises de vitesse, les chaînes sont soumises à davantage de contrôles, comme l'ont prouvé les réprimandes infligées à France Télévisions à propos d'images choquantes. Déjà concurrencée par le délinéarisé, la télévision perd donc même l'avantage du direct. C'est encore plus vrai dans l'information que dans le sport, où les belles images comptent encore. [...]"

    Michel Janva

  • L’effroyable bilan de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur.

    Bernard Cazeneuve est ministre de l’Intérieur depuis le 2 avril 2014. Il devrait rester, à la fin du quinquennat Hollande, comme le ministre de l’Intérieur ayant le bilan le plus effroyable de l’histoire de la Vème République.

    Pour rappel, le ministère de l’Intérieur est chargé traditionnellement de la sécurité intérieure, de l’administration du territoire et des libertés publiques.

    Au bilan de celui qui, depuis le 2 avril 2014,  est chargé d’assurer la sécurité des Français on peut noter :

     : Un individu armé d’un couteau, pénètre dans le commissariat de Joué les Tours faisant 3 blessés dont 2 graves. L’auteur de l’agression est un converti à l’islam, radicalisé récemment. Il a crié « Allah Akbar » durant son agression.

    21 décembre 2014 : Un individu au volant d’une voiture bélier, fonce dans la foule à plusieurs endroits dans la ville de Dijon, faisant 13 blessés dont 2 graves. Il est interpellé dans le même temps par la police. D’après des témoins, il a crié « Allah Akbar » au moment des faits et avoir agi « pour les enfants de Palestine ».

    7 janvier 2015 : Deux hommes cagoulés armés, les frères Kouachi, pénètrent dans les locaux de la rédaction du magazine Charlie Hebdo , tuant 12 personnes (11 au sein de la rédaction et un policier abattu en pleine rue) et faisant 11 blessés.

    Le lendemain et le surlendemain, Amedy Coulibaly – complice des deux islamistes – tuera 5 personnes dont une policière, à Montrouge et dans l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes.

    Le 19 avril 2015, l’islamiste Sid Ahmed Ghlam tue Aurélie Châtelain et projette un attentat – heureusement avorté – contre deux églises de Villejuif.

    Le 26 juin 2015, un islamiste décapite son patron à Saint-Quentin Fallavier (usine Seveso).

    Le 13 novembre 2015, les attentats islamistes à Paris entrainent la mort de 130 personneset font plus de 400 blessés.

    Le 13 juin 2016, un islamiste tue un policier, égorge sa femme sous les yeux de leur enfant, à Magnanville. Il sera tué par leRAID dans la foulée.

    Le 14 juillet 2016, à Nice, un Tunisien bénéficiant d’une carte de séjour lui permettant de vivre et travailler en France fonce sur la foule venue pour le feu d’artifice. Bilan provisoire : 84 morts et des centaines de blessés…

    Ce récapitulatif ne prend pas en compte toutes les attaques n’ayant causé que des blessés, comme le retrace ici le site Wikipedia.

    UNE FAUTE LOURDE EN ENTREPRISE

    Bernard Cazeneuve – en charge de la sécurité intérieure – aura donc, sous sa mandature, vu plus de 230 citoyens Français se faire assassiner. Marine Le Pen a réclamé plusieurs fois sa démission, tout comme d’autres responsables politiques.

    Mais le ministre de l’Intérieur occupe toujours son fauteuil place Beauvau. Pour François Hollande, ce sanglant bilan en terme de sécurité intérieure  – et nous n’avons pas évoqué ici Sivens, les violences sociales… – n’est manifestement pas rédhibitoire.

    Voilà ce qui explique sans doute qu’aujourd’hui, les 2/3 des Français interrogés ne font plus du tout confiance au gouvernement pour lutter efficacement contre le terrorisme et pour préserver leur sécurité.

    Source:  Breizh-info.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/leffroyable-bilan-de-bernard-cazeneuve-ministre-de-linterieur_164685.html#more-164685

  • Le journal du Jeudi 21 Juillet 2016 : Sécurité / Attentats, haut lieu de désinformation ?

  • La dictature Merkel : non l’Allemagne n’est pas une démocratie ! [rediffusion]

    Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia ♦ Angela Merkel a pris la décision de laisser entrer en Allemagne 800.000 immigrés supplémentaires (plus qu’il n’y a de naissances en Allemagne) – des immigrés appelés pour la circonstance « réfugiés » – et d’imposer aux Länder et aux communes de les accueillir en échange d’une aide du budget fédéral.

    Même s’il y a aussi derrière ce choix politique une opération de propagande internationale (montrer que cette fois l’Allemagne est dans le camp du bien !), cette décision ne manque pas de surprendre.

    En 2010, l’ancien ministre des Finances du Land de Berlin et membre du collège des directeurs de la Bundesbank, Thilo Sarrazin, a publié un livre choc consacré à l’immigration : L’Allemagne disparaît a été vendu à 2 millions d’exemplaires, preuve de l’ampleur des préoccupations du peuple allemand à propos de l’immigration. (*)


    A la même époque la construction d’une immense mosquée-cathédrale à Cologne a suscité d’intenses débats et de nombreuses manifestations.

    En 2014, le mouvement PEGIDA (Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident) a multiplié les marches de protestation en Allemagne.

    Malgré cela Angela Merkel, utilisant la sidération provoquée par l’image d’un enfant mort sur la côte turque, impose une vague d’immigration supplémentaire.

    La raison est simple : l’Allemagne n’est pas une démocratie.

    • Malgré la préoccupation des Allemands à propos de l’immigration, aucun parti politique n’est en mesure de tenir un discours critique sur le sujet. Les grands partis se l’interdisent. Les petites formations – électeurs libres ou Alternative pour l’Allemagne – osent aborder la question de l’euro mais pas celle de l’immigration qui mobiliserait davantage d’électeurs mais les exposerait au risque d’être qualifiées « d’extrême droite », voire de « nazies ». Or la reductio ad hitlerum est particulièrement redoutable en Allemagne.
    • Le risque est d’autant plus grand pour des partis politiques alternatifs ou un mouvement comme PEGIDA que le gouvernement a à sa main une puissante police politique : « l’Office fédéral de protection de la constitution ». Cette police politique, qui emploie 3000 personnes (et qui a des relais dans les polices des Länder), utilise massivement l’infiltration et la provocation. Comment se développer quand il faut en permanence chercher à distinguer le militant de bonne foi de l’agent provocateur qui s’infiltre ?
    • En 2001, le gouvernement, le Bundestag et le Bundesrat avaient tenté d’obtenir la dissolution du parti nationaliste NPD. La Cour fédérale de Karlsruhe avait refusé de suivre les ministres et les parlementaires car le dossier visant à prouver le caractère subversif du NPD était constitué de déclarations… d’agents infiltrés par la police ! De telles méthodes – filles de la GESTAPO et de la STASI – rendent difficile toute démarche tant soit peu politiquement incorrecte.
    • L’opération Merkel d’accueil de 800.000 immigrés supplémentaires met aussi en œuvre l’art allemand de la propagande : elle est rendue possible par un battage médiatique hallucinant accompagnant les mises en scène d’accueil des réfugiés. Quand on voit les haies d’honneur organisées dans les gares on se dit que Merkel a de beaux restes de son passé militant comme pionnière de la RDA !
    • La démocratie c’est le pluralisme, la liberté d’expression, la prise en charge des préoccupations des citoyens par les représentants politiques, l’absence de police invasive dans la vie des citoyens : aucune de ces conditions n’est remplie en Allemagne.

    Jean-Yves Le Gallou
    8/09/2015

    Article paru le 8 septembre sur Bd Voltaire

    (*) Note de la rédaction :

    Voir aussi : « L’Allemagne disparaît » de Thilo Sarrazin. Note de lecture de Michel Geoffroy.

    http://www.polemia.com/la-dictature-merkel-non-lallemagne-nest-pas-une-democratie-rediffusion/

  • Isabelle Collin - Propositions en faveur de la liberté scolaire