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divers - Page 426

  • Après le ministère des familles, celui des justices, des cultes, des éducations, des santés ?

    Bernard Antony communique :

    6a00d83451619c69e201b7c81f33f7970b-800wi.gif"Étant donné, selon lui, la diversité des formes familiales, François Hollande, qui en effet s’y connaît sur la question, vient de réaliser encore une de ces grandes réformes sociétales par lesquelles il demeurera dans l’histoire : le ministère de la famille est désormais devenu le ministère des familles.

    On se demande pourquoi il n’a pas, dans la foulée, pluralisé tous les autres intitulés ministériels demeurant archaïquement au singulier. Cela nous donnerait selon le même argument des ministères des justices, des cultes, des agricultures, des éducations nationales, des santés…

    Tous ces domaines ne recouvrent-ils pas aussi des réalités plurielles ?

    Cette dernière trouvaille d’un gouvernement à l’agonie s’inscrit dans la continuité d’une gauche souvent appuyée par une droite gauchie, incapable de mener d’authentiques réformes sociales pour le bien commun.

    Faisant alors fi du « social » qu’elle abandonne désormais totalement au courant national, elle fait du « sociétal » ou plus exactement, selon le vocabulaire du néo-totalitarisme nihiliste, de la « déconstruction sociétale ».

    Tout doit y passer :

    Contre le respect de la vie innocente, la légalisation-promotion de l’avortement et l’instruction de l’euthanasie.

    Contre le respect de l’écologie humaine, les manipulations génétiques et l’introduction de l’idéologie du genre dans les programmes scolaires.

    Contre la défense de la famille, cellule de base de la société, le pseudo-mariage homosexuel.

    Contre le sentiment d’appartenance à la patrie française, communauté historique de destin, la « déconstruction » de l’enseignement chronologique et cohérent de l’histoire et de nos racines de civilisation.

    Contre la langue française, élément premier d’identité culturelle et nationale et premier moyen d’assimilation, la dévaluation-destruction de l’enseignement du vocabulaire et de la grammaire.

    On se prendrait quelquefois à éprouver de la commisération pour François Hollande devant les affligeants lieux communs qu’il déverse avec sa manière reniflarde et pleurnicharde en un français hasardeux.

    On est affligé pour lui, indécent chef de l’État, lorsqu’il donne les preuves de son idéal féministe en racontant  combien jadis il était un bon compagnon de Ségolène en faisant le marché et en changeant les couches des enfants.

    On imagine ce que pensent de pareilles confidences les Poutine, Erdogan et Xi-Jinping.

    Mais l’homme ne mérite hélas aucunement de l’indulgence. Ne s’illustrant que dans la déconstruction sociétale, c’est-à-dire la destruction sociale, il aura sa triste part de responsabilité dans l’entreprise de génocide français."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LES GUEUX ONT CRIÉ, LE CHATELAIN EN EST TOUT RETOURNÉ

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Pouvait-il imaginer un autre accueil alors que cette corporation des agriculteurs, hormis les céréaliers, est en pleine crise.  Le samedi 27 février au matin, au salon de l’agriculture Porte de Versailles à Paris, et non à Versailles avenue de Paris, ce qui eut été un fâcheux télescopage avec un épisode de l’histoire mouvementée du XVIIIsiècle français, le sol s’est soudainement dérobé sous les pieds du monarque : cris, sifflets, huées, insultes ont accueilli François Hollande venu voir et complimenter les nouveaux « damnés » de la terre.

    Le Salon 2016 ne pouvait être que sous tension. Oubliés les colliers de fleurs de Wallis et Futuna ou de Tahiti. Ici, à Paris, c’était plutôt ronces et chardons ! Probable que ses conseillers et le Président lui-même avaient prévu une visite difficile, mais certainement pas à ce niveau. C’est que les agriculteurs français, tout en exprimant avec force une légitime colère catégorielle, étaient aussi les interprètes de celle, encore retenue – mais pour combien de temps ? – des autres Français qui en ont assez d’un gouvernement incapable d’œuvrer dans l’intérêt suprême du pays.

    Quelle paysannerie pour quelle agriculture ?

    Les éleveurs de porcs comme les producteurs laitiers sont à la pointe des manifestations. La concurrence est rude, mais les premiers ne se sont-ils jamais interrogés sur l’influence grandissante que l’Islam avait sur la société française et, partant, sur les menus des cantines de tous les établissements publics ? Demandez donc du porc sur un vol Air France, vous ne serez pas déçu de la réponse… Absent de tous les menus ! Pour les seconds, la concurrence « libre et non faussée » qu’exige l’oligarchie bruxelloise est un véritable coup de poignard. On se souvient que l’été dernier, à la suite de négociations avec le gouvernement, un accord avait abouti à la revalorisation du prix du litre de lait à 0,34 Euros et celui du porc par la même occasion à 1,40 € le kilo. La Commission de l’Union Européenne a estimé que ce coup de pouce des Autorités françaises allait à l’encontre de la concurrence. Le Commissaire européen en charge de l’agriculture, un certain Phil Hogan, se moque bien que les fermiers travaillent, parfois à perte, et ne puissent se servir un modeste salaire. La main d’œuvre dans les Pays de l’Est est moins chère et Danemark, Pays-Bas ou Allemagne ont des exploitations qui sont de quasi-industries, les fameuses « fermes aux mille vaches ». Dans ces conditions, avec des fiscalités et des conditions de travail différentes, comment lutter et comment maintenir une paysannerie «  à la française », c’est-à-dire une ferme de taille raisonnable pouvant faire vivre une petite famille ? C’est notre modèle spécifique de société rurale qui est en jeu. N’oublions jamais que les paysans, devenus des agriculteurs et qui ont de nos jours, tout autant la fourche que l’ordinateur comme outil de travail, sont les jardiniers de la France. Et il n’y a pas que la concurrence européenne. Le futur traité Transatlantique, dit « TAFTA » qui se négocie dans notre dos, est lourd d’inquiétudes, notamment sur les normes, les appellations contrôlées, le « laisser faire, laisser passer » du libéralisme le plus extrémiste… N’oublions pas non plus qu’un petit pays du bout du monde, la Nouvelle-Zélande, est le maître du marché de la production du lait en poudre et qu’il impose ses prix. Pas étonnant, il faut avoir vu ses immenses troupeaux de vaches, poussés au lointain par un tracteur, s’engouffrer dans des tunnels passant sous les routes striant le bush et rejoindre leurs lieux de traite… Décidément, le jour inaugural de cette grande manifestation annuelle où se rencontrent public et agriculteurs, n’était pas un bon jour pour le Président. Encore heureux qu’une belle blonde d’Aquitaine ou une tachetée noir et blanc normande, n’aient pas satisfait leurs besoins à son passage !

    Ça sent le roussi pour l’équipe Valls

    Mais comme un malheur n’arrive jamais seul, voilà que le gouvernement se sent obligé de retirer provisoirement – dit-il – sa « Loi travail » devant réformer justement, le Code du dit Travail. Dame Myriam El Khomri, toute retournée, en aurait fait un malaise, la pauvre… Son entourage dément et parle d’un «accident domestique ». La brosse à dents se serait-elle rebellée ? On se perd en conjectures… Il faut dire que la Gauche officielle est mise à rude épreuve. Tandis qu’une pétition est lancée pour organiser des primaires au sein de la famille, afin de désigner le futur candidat portant les couleurs du PS à la course de 2017, refusant ainsi , de fait , à François Hollande l’automaticité légitime de sa propre candidature en raison de son statut de Président sortant, c’est Martine Aubry du haut de son donjon Lillois, qui « marque à la culotte » le Président.

    Ulcérée par plusieurs aspects du projet de loi El-Khomri, la Maire de Lille, tout en précisant qu’elle n’était pas candidate à cette éventuelle primaire à gauche, est sortie de sa réserve en décochant ses flèches dans une tribune écrite au vitriol, publiée dans le quotidien du soir Le Monde. Cette sortie faisait suite à la parution d’une autre tribune cosignée par les « Frondeurs », de Christian Paul à Benoit Hamon, en passant par l’écologiste agitateur franco-allemand, Cohn-Bendit, toujours à la recherche d’une occasion pour se faire mousser. Alors que le vote relatif à la déchéance de nationalité pour les binationaux auteurs d’actes terroristes se ballade entre Assemblée et Sénat, subissant ici ou là amendements et modifications, qu’il n’est aucunement garanti que cette nécessaire mais symbolique disposition soit votée en séance plénière du Congrès réuni à Versailles, Bernard Cazeneuve fait face à des « mutineries » diverses et variées, du bidonville de Calais à la ZAD de Notre Dame des Landes. Rien n’est fini, tout peut exploser. Les seules certitudes que l’on aie avec ce ministre, ancien Maire de Cherbourg au look de croque-mort, c’est que ses argousins sont durs avec les faibles et faibles avec les forts. Il n’est que de voir la façon « musclée » dont le général en retraite Piquemal, ex-commandant de la Légion Etrangère, a été expulsé de la gare de Calais ou Katia LipovoÏ, une dame hostile à l’abattage de platanes à Poitiers, trainée par des policiers la maintenant à terre de leurs genoux avant de la menotter ! Quels crimes avaient commis ces deux personnes ? Protester, exerçant ainsi leur droit d’expression de libres citoyens ? Les forces de l’ordre sont bien plus clémentes face aux casseurs qui vandalisent les rues de Rennes et de Nantes ou avec lesBorders, collabos étrangers de l’invasion exotique. Il n’y a pas que le frelon asiatique, les chenilles processionnaires ou les moustiques tigres qui migrent dans nos campagnes….

    Un attentat, imprévisible à ce jour, comme bouée de sauvetage ?

    Bref, cette gauche incapable de tenir ses promesses, déçoit jusqu’à ses partisans les plus déterminés, sur fond de rivalité entre Messieurs Valls et Macron. Question « existentielle » qui agite le petit monde politico médiatique, lequel des deux portera les couleurs d’une Gauche moderne, rénovée, sortie des vieilles lunes dirigistes et postmarxistes ? Les deux années qui viennent promettent d’être palpitantes pour l’observateur de la « chose » publique. Il n’est pas jusqu’au Président de la République qui, ayant sans doute le regard fixé sur les sondages, laisse planer un doute quant à sa présence dans la course présidentielle. Disons-le brutalement, seul un tragique attentat pourrait lui permettre de reprendre des couleurs et lui éviter d’être éliminé dès le premier tour, tant les Français dans les périodes de malheur ont besoin de se resserrer autour de celui qui, tout de même et pour l’instant, est encore le « chef ».

    Une fois n’est pas coutume, encore qu’il est toujours bon de faire appel à plus talentueux que soi, je laisserai le mot de la fin à Dominique Jamet qui, dans les excellentes chroniques du « Boulevard Voltaire » diffusées sur Internet, s’exprimait ainsi à propos de la visite du Président Porte de Versailles : « Dans ces conditions, l’accueil fait à M. Hollande a été celui qu’une famille en deuil ferait à l’individu qu’elle tiendrait pour responsable de la mort du défunt et qui, le jour de ses obsèques, aurait le culot de venir lui présenter ses condoléances à la sacristie ». Rien à ajouter, rien à retrancher…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/03/03/les-gueux-ont-crie-le-chatelain-en-est-tout-retourne-5768922.html

  • RÉINFO DU 29 FÉVRIER 2016

    Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, journal d’information bimensuel du Parti de la France, du 29 février 2016.
    Au sommaire de ce numéro :

    • Immigration. Le changement de la loi sur l’immigration, voté dans l’indifférence générale, va avoir des conséquences incalculables, aussi bien financières que juridiques ou sociétales.
    • Révélation sur l’Unedic. Les cotisations des actifs suffisent à indemniser les demandeurs d’emplois. Alors qui plombent les comptes de l’Unedic ?
    • Un Salon de l’Agriculture sous haute tension. Il n’y avait que M. Bricolage pour oser inaugurer le 53e Salon de l’Agriculture, en pleine tempête agricole, avec le très contreversé président de la FNSEA. Une occasion d’interroger l’euro-député souverainiste, Joëlle Bergeron, qui a rencontré la Coordination Rurale.
    • Biélorussie.  Un président réélu avec 83% des suffrages qui ne mâche pas ses mots et un pays qui a réussi sa mutation politique sans passer par les années d’enfer, que la mafia et un capitalisme sordide, ont imposé à la Russie voisine.

    Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

  • « Une vie ne vaut rien ; rien ne vaut une vie »

    André Malraux était un curieux auteur, souvent prolixe et confus, parfois illisible, mais dans ses grands jours (hélas rares), il était exceptionnel. Ce fut le cas lorsqu’il forgea ce chiasme grammatical qui résume à la perfection les XXe et XXIe siècles de l’ère dite « chrétienne » (probablement par antinomie, car jamais l’on n’y respecta le commandement de charité).
    La première moitié du chiasme illustre admirablement les années terribles 1914-1980, où deux guerres atroces, qui ont détruit l’essence et l’indépendance de l’Europe, l’immonde barbarie marxiste, les génocides de la décolonisation se succédèrent ou s’associèrent pour faire du XXe siècle le plus sanglant et le plus barbare de l’histoire humaine telle qu’on la connaît (ou que l’on croit la connaître). La seconde moitié du chiasme – soit le triomphe de l’individualisme & de l’hédonisme – caractérise le monde occidental depuis les années 1960 et, depuis les années 1980, la quasi-totalité des autres pays, débarrassés de l’ignominie marxiste et non touchés par la recrudescence de barbarie musulmane.
    De nos jours, toutefois, en zones (encore) riches et (presque encore) prospères d’Europe occidentale et scandinave, les deux parties de la phrase de Malraux (tirée de l’un de ses rares romans qui ne déclenchent ni la migraine ni l’hilarité du lecteur : Les Conquérants) s’appliquent simultanément.
    Une vie d’enfant poignardé ou assassiné par un voleur de voiture en cavale, une vie de clients de bar ou de magasin mitraillés, de femmes violées, puis parfois assassinées, de passants soufflés par une explosion, ne vaut manifestement rien, hormis les larmes de crocodiles des pantins de la politique et des pitres des media, qui, tous, connaissent l’origine de la plupart de ces crimes : le racisme anti-européen et le fanatisme musulman inutilement importés, pour complaire aux bienfaiteurs, sponsors, investisseurs islamo-pétroliers. Une fois pour toutes, il faut arrêter de distinguer les termes musulman et islamiste fanatique, puisque le Djihâd est ordonné à tout musulman en bonne santé par neuf sourates coraniques et, vis-à-vis des assassins non-musulmans, il faut cesser les arguties pseudo-humanistes concernant leur réinsertion.
    Puisque l’humanité souffre (ou semble souffrir) de surpopulation – ce sont des experts qui nous l’affirment -, les familles des victimes pourraient au moins espérer que les assassins capturés vivants soient exécutés, ainsi que leurs complices. Hélas, à ces meurtriers, à ces pervers, à ces fous furieux fanatiques sortis d’un cauchemar moyenâgeux, nos merveilleux politiciens appliquent la seconde partie du chiasme de Malraux.
    Rien n’est plus précieux que la préservation, dans une jolie prison dotée d’un tas d’avantages matériels, de la vie d’assassins, de fanatiques meurtriers, de psychopathes, d’alcooliques et de drogués dangereux, sans oublier les tueurs pervers, qu’on laisse ensuite sortir pour qu’ils puissent de nouveau donner libre cours à leur criminalité, à leurs perversions, à leur capacité illimitée de nuisance, inscrites dans leur génome et non réprimées par une conscience éthique, par définition inexistante chez ces rebuts de l’humanité.
    Une seule conclusion s’impose : l’espèce humaine n’a pas progressé moralement depuis l’aube des temps historiques. Au moins, nos ancêtres savaient-ils qu’il n’est pire bête féroce que certains êtres humains et qu’une bête nuisible doit être éliminée. Cette antique sagesse, fruit du plus élémentaire bon sens, a disparu, anéantie par une naïveté confinant au crétinisme. Et même les Suisses, que l’on a connus mieux inspirés, se laissent convaincre par une propagande absurde de ne pas expulser les immigrés criminels, à défaut d’en débarrasser définitivement le genre humain.
    Ces tristes constatations, bien en phase avec notre époque où les dingues triomphent à la ville et aux écrans, petits et grands, poussent tout naturellement à évoquer un autre aphorisme de l’auteur cité en introduction. Pour qualifier les contorsions mentales des pitres pseudo-humanitaires actuels, on ne peut en effet mieux faire que de soupirer avec Malraux : « C’est là où l’extrême subtilité affleure mystérieusement le niveau de la connerie ».

    Docteur Bernard Plouvier

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/02/29/une-vie-ne-vaut-rien-rien-ne-vaut-une-vie-5767144.html