Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

divers - Page 425

  • Les Brigandes, des jeunes femmes surprenantes

    Antonio Gramsci, membre fondateur du Parti Communiste Italien et théoricien de la lutte culturelle, doit en ronger les barreaux de la cellule du purgatoire qui lui a été justement affectée. Pensez donc, lui, qui encourageait le combat contre les intellectuels de la classe dirigeante, se voit exaucé par une bande de Jeanne, sept très jeunes femmes jolies, polies, bien mises, ironiques, coquines, tradis et modernes qui, l’air de ne pas y toucher, balancent en chanson des flèches efficaces et intelligentes contre tout ce que notre Gramsci adulé des soixante-huitards espérait voir se réaliser :

    l’internationalisme qui s’appelle de nos jours mondialisme, le cosmopolitisme, l’immigrationnisme, le matérialisme, la perversion du catholicisme et l’omniprésence des Franc- maçons, enfin tout ce qui a conduit le monde dans l’état où il est.

    Et surprise, au lieu que ce phénomène culturel reste ignoré par les esclaves- salariés- encartés de la grosse presse, on peut lire dans Le Figaro ou dans Le Point des articles sur ces sept baladines de choc et de charme.

    Bien sûr il ne faut pas s’attendre à des proses compréhensives comme celles qui encensent où excusent les rappeurs qui insultent et menacent les Français de France. Non ! Pour « Les Brigandes », du nom de ces femmes qui ont combattu pendant la Révolution avec les insurgés Vendéens, les propos perfides et dévalorisants sont de rigueur : Fantômettes patriotes qui vivraient sans travailler en communauté avec maris et enfants, alors qu’en réalité les Brigandes et leur famille vivent dans plusieurs habitations réparties aux environs de la Salvetat. Entre autres allégations mensongères, elles seraient bien sûr des artistes amateurs (comprendre approximatives) des années soixante aux chorégraphies Kitsch qui, d’après le sieur chroniqueur particule Louis Henri de la Rochefoucauld de Technikart (fermez le ban !), auraient pu être approuvées par le Maréchal Pétain ! Les mélomanes avertis jugeront par eux-mêmes du parti pris de ces affirmations. Quant au vieux soldat vainqueur de Verdun, il est vrai qu’il n’était pas insensible au charme féminin …

    Fichtre, bigre, comme vous y allez messieurs de la presse ! Sentiriez-vous, pâles échotiers thuriféraires des puissants, le vent de la révolte menacer vos rentes et positions acquises en écoutant ces Brigandes qui osent être artistes engagées alors qu’elles ne sont pas de Gôche ?

    Et en effet, elles ne le sont pas !

    Marianne, la voix solo du groupe, ne cache pas ses convictions dans une interview réalisée sur le site qui héberge les Brigandes, « Le comité de salut public » http://lecomitedesalutpublic.com/radio-brigandes-1-juillet-2015/

    Dans cet entretien vidéo, sous la bannière républicaine quelque peu amendée puisque la célèbre devise a été transformée en « Libertok, Egalitok, Fraternitok », Marianne affirme que l’idée de départ était de rassembler des artistes «  non gauchos » et de ne pas chanter des « inepties narcissiques ». Les Brigandes revendiquent des chansons « tout à fait provocatrices ». Elles aiment la musique pop des années 60 et la plupart d’entre elles jouent des instruments : entre deux questions Marianne en fait d’ailleurs la convaincante démonstration en interprétant à la flûte traversière une ballade du Moyen-âge.

    C’est l’ensemble du groupe qui compose les chansons. Leur enregistrement se fait instrument par instrument en studio sous la direction d’un arrangeur, la voix de Marianne venant se greffer en dernier. Les clips sont tournés ensuite quand toutes les Brigandes sont rassemblées à La Salvetat-sur-Agout en Languedoc-Roussillon, et lorsqu’elles sont toutes disponibles, enfants obligent !

    La voix des Brigandes et porte-parole du groupe, aime Jeanne d’Arc ; elle aime aussi Marie-Caroline, Duchesse de Berry qui voulait reprendre la guerre de Vendée en …1831 ; sans oublier Vladimir Poutine et Marine le Pen, en qui elle admire notamment son énergie et sa résistance face aux médias ; Marion Maréchal Le Pen et aussi son grand-père Jean-Marie, et aussi le vieux baroudeur Roger Holeindre ! Elle n’a pas peur d’encaisser des coups dans un combat culturel qu’elle juge essentiel pour contrer la Gauche qui travaille sans relâche à propager ses idées nocives. Elle veut encourager toutes les productions et actions contre le mondialisme, contre un système mortifère qui emprisonne les libertés et les cultures de nombreux peuples. Elle souhaite une riposte virulente pour bousculer l’occupation anglo-américaine et leurs collaborateurs. Les Brigandes veulent rassembler pour former et lancer une force d’union culturelle. « Je porte l’avenir dans mon ventre » déclare naturellement Marianne faisant allusion à ses futurs enfants qui participeront à l’avenir de la civilisation chrétienne. Car Marianne espère que la France retrouvera le chemin de Dieu, le rédempteur, le Christ qui réintègre l’homme dans sa gloire originelle. Inutile de dire que Vatican II ne trouve pas grâce à ses yeux cernés d’un loup noir mystérieux. Mais au fait pourquoi ce loup ? « Nous portons ce loup car nous voulions nous protéger ainsi que nos enfants, et puis c’était une belle image de brigande ! Maintenant c’est une marque de fabrique. ».

    Les thèmes de prédilection des Brigandes sont portés en chansons, en clips de combat qui sont aussi des moments de plaisir car les paroles et les chorégraphies sont teintées d’ironie, les mélodies sont d’une couleur originale et touchante, empreinte d’une harmonie nostalgique, parfois presque enfantine. Elles peuvent être musclées quand les rythmes et les solos de guitare rock rappellent que les Brigandes nous attendent au tournant des urgences de notre époque.

    Mais il est temps d’écouter la petite musique des Brigandes qui est sans doute appelée à jouer un rôle dans la révolution que Marianne appelle de ses vœux. Comme disait De Gaulle « Une armée qui chante est une armée qui gagne ! »

    Commençons par la chanson « Les soixante-huitards » https://www.youtube.com/watch?v=Gi7lY-3FVuI …sourire, sensualité, ironie, le pavé arrive bien dans la marre, envoyé par des « saintes » qui touchent…juste !

    Et puis « Rêve de conquête » https://www.youtube.com/watch?v=QvOx5E4X3lw …un ordre de bataille proclamé sur un rythme du tonnerre de Dieu ! « Sonnez trompettes de la reconquête » déchirées par un solo de guitare délicatement griffeur !

    « Je ne veux pas devenir Charlie » https://www.youtube.com/watch?v=nIYSoaIPU3c …Des chœurs et une douce mélodie pour rejeter les faiseurs de malheurs et de perversités !

    « En enfer » https://www.youtube.com/watch?v=gw4p96AHcfw qui démontre que les Brigandes ne sont pas des amateurs : qu’est ce qu’elles réservent aux nuisibles ? « On les mettra sur la lune… la cohorte des grands pervers, les idolâtres de la matière, les prix Nobel des pissotières, les mandarins des mortelles chimères, les charlatans du cancer, les sorciers du nucléaire, les savants transhumanitaires… »

    Et 12 autres chansons de combat qui attendent sur You tube ! https://www.youtube.com/results?search_query=les+brigandes…notamment Les Brigandes – Laissez vivre la Russie – Не мешайте жить России de Le Comité de Salut Pub

    Des créations qui prouvent que « La femme est l’avenir de l’homme » comme l’a chanté cet idiot utile de talent qu’était Jean Ferrat !

    Attention ! Un air de Jeanne d’Arc souffle sur les Brigandes ! Gare aux Cauchon !

    Pierre Lours, 3/03/2016

    http://www.polemia.com/les-brigandes-des-jeunes-femmes-surprenantes/

  • Petit indice: il n’est jamais invité au dîner du Crif

    La journée de mobilisation  mercredi 9 mars contre le projet de loi El Khomri a été plutôt un réussite pour une première (500 000 manifestants selon les syndicats, 200 000 selon la police); la grève à la SNCF et à la RATP a pris en otage des centaines de milliers de nos compatriotes. Cette vague qui se lève contre le PS à la sauce Hollande-Valls-Macron aiguise les inquiétudes du premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, qui use de toutes les grosses ficelles pour éviter l’implosion et la guerre civile à gauche avant 2017. Le Canard Enchaîné paru hier rapporte les propos de M. Cambadélis qui entend rappeler aux gamellards et autres prébendiers plus ou moins frondeurs qu’ils sont liés par un destin commun avec François Hollande. « Sans compromis autour de la loi El Khomri dit-il, Hollande peut être éliminé au premier tour, et la gauche sévèrement battue dans la foulée aux législatives. Aucun député PC, aucun député EELV, 80 députés PS au maximum. Soit moins que le FN, qui pourrait en avoir une centaine.L’opposition à la droite, ce serait le Front National, pas nous. Et, alors, on pourrait s’accrocher pour revenir au pouvoir ! »

    Accroché au pouvoir Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ne l’est plus pour très longtemps puisque il présidait pour la dernière fois lundi le traditionnel dîner de ce groupe de pression –Francis Kalifat devrait lui succéder. 800 invités, une dizaine de ministres, les candidats déclarés à la primaire de la droite et du centre, toute la classe politicienne était au rendez-vous, à l’exception de l’extrême-gauche pro-palestinienne, punie pour son soutien aux actions de boycott d’Israël, et du Front National.

    M. Cukierman s’en est justifié: « Quand vous faites un dîner chez vous, vous avez tendance à inviter plutôt vos amis? Eh bien moi, je n’ai pas envie d’inviter les héritières de Jean-Marie Le Pen, sa fille, sa petite-fille. Je pense que c’est un parti xénophobe, populiste, démagogue et donc je préfère ne pas l’inviter (…) parce que nous n’avons pas les mêmes valeurs« .

    Faut-il rappeler à M. Cukierman que les tares qu’il reproche au FN sont bien plus évidentes, avérées et patentes chez certains partis israéliens « de gouvernement » qui ont pourtant l’agrément (?) du Crif. Nous espérons aussi qu’il ne partage pas forcément « les mêmes valeurs », que les corrompus et autres repris de justice des partis du Système qui sont (aussi) des habitués fidèles des dîners du Crif.

    Cette charge grossière, antinationale de Roger Cukierman n’est pas très habile en ce qu’elle renforce l’image d’un Crif simple rouage d’un Système politique à l’agonie, coupé du réel, qui représente de facto qu’une petite minorité des 600 000 à un million de Juifs Français.

    Marine Le Pen avait déclaré il y a quelques années que son refus du communautarisme ne militait pas pour sa présence à ce dîner du Crif. Le vice-président du FN, Louis Aliot a eu raison de souligner dans un communiqué que le raout annuel du Crif est un « dîner mondain, communautaire, discriminatoire et stérile ».

    Il a  eu pareillement raison de citer Alain Finkielkraut qualifiant le rendez-vous annuel du Crif de «tribunal dînatoire», d’une « convocation du gouvernement », ou encore les propos du très sionistePhilippe Karsenty dans Le Figaro (adjoint UMP au maire de Neuilly): « Le Crif ne représente plus personne, et son fonctionnement n’est pas démocratique (…). Le Crif a cessé d’être le représentant des juifs auprès des politiques, pour devenir le représentant des politiques auprès des juifs. Je trouve pathétique ce défilé d’élus, qui ne veulent pas qu’on leur reproche de ne pas y être allés. »

    M. Karsenty, dont la prose est reprise sur le site communautaire Alyaexpress reproche d’ailleurs plus largement au crif son opportunisme le qualifiant de « chiraquien en 1995, sarkozyste en 2007, hollandais depuis 2012″. Il dénonce aussi sa dérive socialo-gauchiste.

    Louis aurait pu encore citer les critiques d’un Eric Zemmour ou à l’autre bout de l’échiquier politique de la sénatrice écolo-gauchiste trinationale Esther Benbassa: « Mais qui représente véritablement le Crif et combien sont-ils en son sein ? On ne le saura jamais. Ce qui compte, c’est qu’il est perçu comme un lobby (mot horripilant en France) par les politiciens. Et considéré comme tel, il l’est bien, un lobby, en fait. Ceux qui s’agglutinent à son dîner croient vraiment qu’il joue un rôle important dans la machine électorale. On y vient à la pêche aux voix juives, et pour être adoubé par des juifs dont l’influence serait déterminante, en raison de la place qu’ils occupent, ou sont censés occuper, dans la société française. « 

    Gauchisants pour certains, trop droitiers pour d’autres, notons pour notre part que les représentants du Crif n’atteignent tout de même pas à l’égard du FN le degré de violence verbale d’un escroc intellectuel comme Bernard-Henry Lévy. Nous ne parlerons pas ici du tissu d’âneries, des platitudes, des énormités, des poncifs, des erreurs historiques, des haines aussi, qui caractérisent ses livres…sans lecteurs depuis vingt ans.

    M. Lévy n’a toujours pas compris qu’asséner cent fois le même mensonge est certes un procédé d’idéologue-propagandiste, mais n’en fait pas une vérité.

    Interrogé dans Libération il y a un mois, le philosophe pipo(le) conspuait le  » ballet indécent »  « d’hommes politiques, de gauche comme de droite, qui se ruent » non pas au dîner du crif, mais  » sur les plateaux pour flatter le vote FN ». Alors que les électeurs du FN « sont en train de se rallier àun parti bourré de repris de justice, d’anciens nazis et qui, jusque dans ses instances dirigeantes, reste fidèle à ce que la mémoire française a de plus honteux (…) il faut avoir le courage de dire à ceux des électeurs qui font le choix d’un parti raciste, néovichyste et fauteur de guerre civile qu’ils se mettent, provisoirement, hors jeu. »

    Dans un registre un peu différent, Manuel Valls, qui tenait le rôle au dîner du Crif de l’orateur de l’exécutif, François Hollande étant retenu à Bruxelles, n’a pas lésiné non plus sur la propagande, la démagogie, les approximations.

    « Sortant de son texte, qui était aussi celui du président de la République » rapporte Le Monde, « le chef du gouvernement a répondu à une autre préoccupation développée par Roger Cukierman, à savoir la grille de lecture déformante et injuste  appliquée, selon lui, à Israël, pour faire de ce pays  le juif des nations, l’unique cible au monde d’un processus de délégitimation. Manuel Valls a critiqué à son tour  la haine d’Israël. Nous savons qu’il y a un antisémitisme ancien et un antisémitisme nouveau, a affirmé le premier ministre. Un antisémitisme d’extrême droite mais aussi un antisémitisme d’extrême gauche. Il y a l’antisémitisme des beaux quartiers, il y a aussi l’antisémitisme dans les quartiers populaires d’une jeunesse radicalisée. Et puis (…), il y a l’antisionisme, c’est-à-dire tout simplement le synonyme de l’antisémitisme et de la haine d’Israël. » 

    Il est bien évidemment stupide, malhonnête d’établir un signe d’égalité entre antisionisme et antisémitisme (antijudaïsme pour parler plus précisément). Ce raccourci vallsien peut, légitime déjà, bien des procès en sorcellerie. Le refus du sionisme en tant qu’idéologie, projet politique, la contestation de l’Etat d’Israël, de sa politique de colonisation, de manière plus ou moins radicale ou absolue, n’est pas forcément de l’antijudaïsme.

    Entre un Rony Brauman et un fou d’Allah salafiste il y a une différence de degré que chacun peut parfaitement comprendre; et le droit de critiquer un Etat, une idéologie ne peut être remis en question dans une démocratie.

    Certes, il est évident que l’antisionisme peut être parfois le faux nez d’authentiques anti juifs, mais il existe de la même façon des pro-sionistes anti juifs (ce fut le cas notamment dans certains secteurs du gouvernement nazi), soucieux de se débarrasser chez eux de toute présence du judaïsme. Bref, il n’y a certainement rien à gagner à hystériser le débat, à le caricaturer grossièrement, même si cette question est passionnelle chez notre Premier ministre.

    Une passion que le FN porte lui pour le devenir d’une France libre et les Français d’abord, ce qui lui vaut d’essuyer, nous l’avons vu,  bien des insultes et des calomnies. Dans une toute récente tribune publiée dans Le Figaro, Me Gilles-William Goldnadel (membre du Crif) écrivait que beaucoup de nos compatriotes « ont remarqué que ceux qui taxaient rapidement tel autre de populiste, nourrissaient souvent pour le peuple une manière de mépris, et principalement pour le vieux et petit peuple autochtone dont les appréhensions ou les aspirations étaient souvent prises en hautaine dérision. »

    « Ils ont remarqué que les gens qualifiés d’extrême droite étaient souvent ceux qui combattaient extrêmement une extrême gauche nommée plus aimablement gauche de la gauche. Ils ont remarqué que l’islamophobie était le moyen le plus sûr pour les islamistes, les antiracistes professionnels sélectifs et autres islamo-gauchistes d’empêcher toute critique de l’islam ou de l’immigration islamique incontrôlée. » 

    A charge pour les Français, note Bruno Gollnisch, de deviner quelle est le Mouvement politique la mieux à même de les défendre devant la montée inextinguible des menaces, dont le torrent migratoire n’est pas une des moindres. Petit indice: il n’est jamais invité aux dîner du Crif.

    http://gollnisch.com/2016/03/10/petit-indice-nest-jamais-invite-diner-crif/

  • La honte : des Japonais nettoient Paris, pour relancer le tourisme nippon

    Dimanche prochain 13 mars, la Paris Tourism Association, une organisation privée, qui regroupe neuf tours opérateurs japonais très actifs en France , va lancer une opération «d’embellissement et de renouvellement des jardins du Trocadéro», situés juste en face de la Tour Eiffel. Ce projet sera mené et financé en association avec la compagnie aérienne Japan Airlines, et il commencera par un nettoyage des jardins et la plantation de cerisiers (sakura).

    Le mouvement associatif Green Bird, qui existe au Japon depuis 2003 et vise à contribuer à la propreté des villes de l’Archipel, s’est ainsi implanté dès en 2007 à Paris. De jeunes japonais, vêtus de verts «s’attaquent» régulièrement aux sites touristiques les plus fréquentés, la Concorde, les Champs Élysées et la Tour Eiffel, entre autres, pour les débarrasser de leurs crottes de chiens et autres immondices. Depuis quelques années, les militants de Green Bird, ont même été rejoints par des Français, que l’on peut voir, de préférence le week end , parcourir les artères et les jardins de la capitale dans leurs mission de salubrité publique.

    Source : Le Figaro

    http://www.contre-info.com/

  • Faites des gosses qu’ils disaient… surtout si ça rapporte gros!

    Glauque, il n’y a pas d’autre qualificatif pour décrire ces faits divers quotidiens qui font la une des journaux régionaux :

    - A Denain, dans le Nord, début février, un nourrisson de 6 mois est tué par son père agacé par le bébé qui pleure alors qu’il est en train de s’exciter sur la console de jeux. Après lui avoir assené plusieurs coups de poing, il a repris sa partie de jeu
    - A Liévin dans le Pas de Calais, toujours à la même période, c’est un adolescent de 14 ans qui est laissé seul à son domicile plusieurs semaines par sa mère partie se marier en Algérie.
    - A Saint Brieuc, fin janvier, une jeune femme laisse son fils d’à peine 2 ans seul la nuit de samedi à dimanche pour aller en boîte de nuit puis après un bref passage à son domicile en repart pour aller chez son compagnon. Le petit garçon est désormais placé en foyer d’accueil.

    Ces histoires illustrent malheureusement la vie des cassos évoquée en détail dansun précédent article
    Elles sont à distinguer des défoulements de violence, notamment d’ordre sexuel, sur de pauvres enfants. Ces atrocités se déroulent dans tous les milieux sociaux, dans des familles qui paraissent parfois irréprochables.

    Les enfants, premières victimes de la cas-socialisation
    Un enfant, quel que soit son milieu social a des besoins de deux ordres :

    - Vitaux : être soigné, nourri, changé. En cas d’insuffisance, l’impact est directement mesurable : l’enfant souffre de troubles alimentaires ou encore n’est pas soigné correctement. Il est en insécurité du fait de la méconnaissance ou du je-m’en-foutisme parental.

    - Affectifs : être aimé, câliné, écouté. Dans ce cadre et en cas de manquement, les conséquences de ces désastres sont malheureusement bien plus dévastatrices. Les pédopsychiatres évoquent le risque de faire de ces enfants des psychopathes en puissance.

    Avant 2 ans, un parent dont la sensibilité est réduite aux stricts besoins de base de l’enfant, dont l’empathie est insuffisante et qui est incapable de lui instaurer des rythmes réguliers, prend le risque de faire de sa progéniture, lorsqu’elle aura atteint l’âge adulte, un psychopathe selon le terme clinique. Rupture de communication, sensation de menace constante, l’enfant ne peut qu’évoluer avec cette impression d’abandon et d’agressivité. Ces constats sont encore assez récents. Il y a encore quelques décennies, les bambins étaient considérés comme de petites choses fragiles sans capacité de réfléchir et de ressentir les impacts de leur environnement.

    Dans les deux cas, il y a un manque avéré d’intérêt pour l’enfant. Les parents souvent très jeunes, voire mineurs, lors de l’arrivée de leur premier enfant, n’ont pas conscience qu’un enfant même bébé nécessite du temps, de la patience et tout simplement de l’amour. Pensons également aux nombreuses jeunes femmes qui multiplient les grossesses parfois sans qu’un enfant n’ait jamais été déclaré par son père.

    Pour nos chers cassos, c’est l’aspect sentimental qui est le plus pénible à gérer ; changer une couche ou donner un petit pot cela s’apprend. Mais rassurer un enfant, l’éduquer, poser des règles, tenter de le comprendre et communiquer relèvent du défi.

    Nous pouvons par conséquent nous interroger : pourquoi font-ils autant d’enfants ? Ne faisons pas de suite du mauvais esprit : peut-être ont-ils tout simplement envie de s’inspirer des couples dits « normaux » ? Cet argument typiquement gauchiste laisse présager que les cassos sont à plaindre de ne pas avoir une vie comme les autres et qu’ils auraient conscience et souffriraient de leurs différences.

    Ce constat ne renvoie pas à leur situation et mode de pensée mais à celles des personnes proches du seuil de pauvreté, qui souvent occupent un emploi très peu qualifié à temps partiel et qui ont la volonté de s’en sortir. Ils transmettent des valeurs à leur famille notamment celles du travail et de la dignité. Très souvent, leurs enfants représentent tout pour eux et l’amour qui leur porté est substantiel. Le cassos n’a aucune ambition de ce type mais veut uniquement vaquer à ses occupations favorites : télévision, console de jeux, grasse matinée, bières chaudes entre potes… Bref tout un programme pour les enfants vivant sous leur toit...
    Les enfants, source de revenus pour les cassos
    Les faits sont trop graves pour ne pas être relayés de manière honnête et réaliste… L’arrivée d’un enfant est une source de revenus pour ces populations. Il est à noter que les cassos n’ont pas subi les désagréments des évolutions de la politique nataliste décidées sous l’ère François Hollande dont le projet premier est de diminuer les quelques aides des populations actives.

    Il faut bien avouer que tout se conjugue parfaitement pour eux. Les cassos bénéficient en effet de toutes les aides possibles pour des personnes en bonne santé :

    - Le RSA mis en place en 2009 pour assurer un revenu à toute personne de plus de 25 ans en situation régulière… La condition d’âge ne s’applique pas pour les personnes enceintes ou ayant déjà un enfant
    - Les allocations familiales dont l’objectif est d’apporter un coup de pouce aux parents d’enfants jusqu’à leur 18eme année. Leur montant a encore augmenté ces dernières années au détriment des classes moyennes
    - La CMU et CMU complémentaire, ou couverture médicale universelle, permettant à tous (même aux personnes en situation irrégulière comme indiqué sur le site officiel) de se soigner sans réelles limites fixées.

    La cerise sur le gâteau est le sacro-saint statut de parent isolé obtenu par les personnes se déclarant seules pour élever les enfants. Les aides sont encore plus conséquentes… La faille a été trouvée et le « statut » de cassos de moins de 25 ans, seul avec plusieurs enfants se développe à vitesse grand V particulièrement dans la population dite du quart monde Français, comprenez le Français de souche.
    Illustrons nos propos avec des exemples concrets :

    - Un couple sans enfant au RSA hors aides au logement, CMU et aides indirectes : 786,24€
    - Un couple avec 3 enfants au RSA hors aides au logement, CMU et aides indirectes 1.310,40€. Dans cette situation, les aides au logement couvrent presque complétement le loyer réglé particulièrement si le couple est logé en HLM.

    Ajoutons à cela l’obtention des aides dites indirectes (accès au CCAS, bons cantine pour les enfants, bons électricité, …) sans avoir aucune obligation mais uniquement des droits.

    Par conséquent, ce gavage à base de prestations sociales en faveur de populations souvent déficientes intellectuellement, inconscientes vis-à-vis des devoirs à remplir au bénéfice de leurs enfants provoque à des situations d’une perversité sans nom.

    Depuis quelques années, les services sociaux constatent un nombre croissant de jeunes, tout juste devenus adultes, sans domicile. La faute à qui ? A leurs parents qui, par l’arrêt du versement des allocations familiales versées pour ces enfants devenus trop grands vont parfois jusqu’à les abandonner.

    Autre illustration : la course des cassos dans les supermarchés au moment du versement des primes de rentrée scolaire et de Noel… Pour quoi ? Pour qui ? Mais pour eux-mêmes… à eux le dernier téléphone portable à la mode… à eux une télévision encore plus grande.

    Par conséquent, un rapport est instauré entre enfant et argent. Il n’est pas sain mais pourtant encouragé par nos politiques. La gestion des familles dont les enfants ont été retirés par décision administrative ou judiciaire laisse perplexe. Le code de la sécurité sociale pose en principe que la part des allocations familiales versées à la famille dont les enfants sont retirés est versée à l’aide sociale à l’enfance (ASE), organisme public géré par le département. Or, par décision du juge, le versement peut continuer à se faire au bénéfice de ces familles…ce qui est devenu finalement la pratique la plus courante. 55% des familles ayant au moins un enfant placé continuent de percevoir directement les prestations sociales correspondantes. Or, les sommes versées sont astronomiques ce qui a poussé en juillet 2012 le député Les Républicains Christophe Béchu à établir une proposition de loi visant au versement des allocations familiales aux seules ASE. Après une adoption par le Sénat, l’Assemblée Nationale rejette, le projet en juin 2014, au motif que la majorité des enfants reviennent régulièrement chez leurs parents qui ont une obligation alimentaire et d’éducation, par conséquent, il serait normal que la plupart continue à bénéficier de ces aides. Cette position a été confirmée par le défenseur des droits.

    95% des enfants retournent par la suite dans leur famille mais combien sont finalement placés en foyer ou en famille d’accueil ?

    Les cassos ne sont jamais inquiétés par les politiques. Lors de projets pour diminuer le montant de prestations sociales pour faire face à la crise actuelle, ils ne sont jamais pointés du doigt. Et lorsque des hommes politiques veulent quelque peu faire évoluer les choses comme obliger les bénéficiaires du RSA à s’inscrire à Pôle Emploi ou faire du bénévolat, ils sont accusés de les stigmatiser. Ne parlons pas des mesures de contrôles mises en place par les caisses d’allocations familiales depuis quelques années qui sont si peu mises en œuvre alors que beaucoup de parents isolés ne le sont en fait pas. Tout est fait pour que cette nouvelle classe sociale prenne un essor conséquent… Ils sont si simples à manipuler avec leur télécommande ou leur hamburger de fast-food dans la main. Sans le savoir, ils participent à la volonté d’en finir avec les valeurs françaises.

    Si le souci n’était que financier ou encore culturel, cela passerait mais la nonchalance, le manque de dignité et de courage fabriquent des enfants malheureux dont la seule issue dans la vie sera de suivre ce parcours chaotique ou de se couper définitivement de cet environnement familial toxique.

    Virginie / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/03/09/faites-des-gosses-qu-ils-disaient-surtout-si-ca-rapporte-gro-5771778.html

  • JT du Mercredi 9 mars 2016 : Social / La loi travail dans l’impasse ?