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divers - Page 486

  • 500.000 euros gaspillés pour que Christiane Taubira et Jacques Toubon créent chacun leur site contre le racisme et les discriminations

    A voir les moyens colossaux mis en place pour accueillir les immigrés clandestins, il y a de quoi douter que le racisme et les discriminations soient des priorités politiques en France en 2015.

    Pourtant, à quelques jours d’intervalle et aux frais des contribuables, deux nouveaux sites ont fait leur apparition sur ces thématiques.

    logo-stop discrimination

    D’une part, c’est Christiane Taubira, garde des Sceaux, qui lance stopdiscrimination.gouv.fr, un site dont la construction a coûté la bagatelle de 134.000 euros hors taxes.

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  • Restaurons l’Œuvre de Maxime Real del Sarte

    Au cours du week-end de la Pentecôte, le monument à la mémoire du 106° RI sur la crête des Eparges a été vandalisé. Les voleurs ont dérobé la plaque de bronze représentant Ste Jehanne d’Arc au chevet d’un poilu agonisant. Cette oeuvre fut sculpté par Maxime Réal del Sarte qui laissa d’ailleurs un bras à cette bataille. A partir du monument aux morts de la Baule qui, en 1935, avait eu l’autorisation de l’auteur pour reproduire ce bas relief, le monument du 106 sera restauré à l’identique avec une matière moins coûteuse mais plus résistante. Une souscription est lancée à cet effet par la mairie de Eparges.

    Nous avons un devoir moral d’y participer. Ainsi nous avons ouvert une page leetchie pour les dons à cette opération, cette souscription durera jusqu’à la date symbolique du 11 novembre 2015. lien cagnotte :https://www.leetchi.com/c/solidarite-eparges-maxime-real-de…

    Pour que vive la France , honneur à nos mort

     
  • Manuel Valls, l’idiot utile de François Hollande

    Ceux qui ont en mémoire l’époque de François Mitterrand ne peuvent manquer d’être stupéfaits par l’incroyable indigence intellectuelle des leaders socialistes actuels. Je ne parle pas, ici, du médiocre François Hollande qui, nous le savons tous, ne doit la place qu’il occupe qu’à un incroyable concours de circonstances. Je ne parle pas, non plus, des titulaires des ministères techniques qui, en toute objectivité, ne sont pas plus mauvais que leurs prédécesseurs de droite. Je songe plutôt aux professionnels de la politique comme Jean-Christophe Cambadélis ou Jean-Marie Le Guen. Je songe aussi, et surtout, au premier d’entre eux : Manuel Valls.

    Il ne faut pas être grand clerc pour faire bonne figure à coté de François Hollande : Manuel Valls a donc la partie facile et la presse de gauche – qui ne sait à quel saint se vouer – en abuse. Mais à y regarder de près, c’est bien tout et c’est bien peu.

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  • La République n'est pas l'avenir de la ruralité.

    Le président et quelques membres du gouvernement étaient lundi en Haute-Saône pour évoquer la ruralité : en fait, il s’agissait surtout de faire « campagne à la campagne » sans apporter de vraies réponses aux problèmes du monde rural et aux défis qu’il doit relever en ces temps de mondialisation et de métropolisation effrénées, l’une entraînant l’autre. Et pourtant ! Je ne suis pas loin de penser que l’avenir de notre pays se joue en grande partie au-delà des villes et des aires urbaines, comme le déclarait plus vivement que moi il y a plus de deux décennies le journaliste agricole Jean-Clair Davesnes, royaliste impénitent qui écrivait sous le nom de Paul Serry dans les colonnes d’Aspects de la France, alors hebdomadaire de l’Action Française.

    Les campagnes françaises sont aujourd’hui délaissées, dévitalisées, comme asséchées par une République qui, fondamentalement, n’a jamais aimé le monde paysan, qualifiant, à l’instar de la bourgeoisie urbaine soutenant Jules Ferry, la campagne de « cambrousse », terme méprisant issu du langage colonial, mais faisant, au moins le temps des élections, les yeux doux aux électeurs ruraux qu’il fallait arracher jadis au pouvoir du clergé et des notables monarchistes du XIXe siècle… Désormais, le nombre décroissant d’agriculteurs et leur dépendance, parfois plus subie que voulue, aux logiques du Marché en ont fait, non des agneaux, mais des vassaux malgré eux d’un système dont il leur est difficile de s’échapper sans encourir les foudres de l’Administration ou de la Commission européenne, et la hargne de quelques journalistes prompts à les traiter de « poujadistes » ou de « populistes », termes censés les discréditer aux yeux de l’Opinion : la République a atteint son but, croit-elle, désarmant les agriculteurs et les autres ruraux de leur capacité d’efficace révolte et les cantonnant, non sans la sourde crainte d’une chouannerie toujours possible, au rôle d’émeutiers éphémères vite rappelés aux devoirs de la terre.

    J’ai croisé cet été de ces exploitants agricoles désespérés de ce rôle auquel la République voudrait bien les limiter avant que de les réduire définitivement, au prétexte de la productivité et d’une modernité pourtant piégeuse, à un souvenir folklorisé, comme elle l’a fait pour les provinces anciennes. Désespérés et néanmoins conscients, mais politiquement isolés car n’ayant plus de véritables relais au cœur des institutions, si ce ne sont quelques élus de bonne volonté, de toutes les tendances, mais souvent impuissants à renverser les pesanteurs de l’idéologie dominante, « libérale et urbaine »

    Pourtant, la messe n’est pas dite : les initiatives au sein du monde rural se multiplient depuis quelques années et les propositions ne manquent pas, ni même les réalisations, parfois en marge des mécanismes du Marché et de la société de consommation. Jean-Clair Davesnes militait pour le développement de l’agriculture biologique et une forme de « retour à la terre », formule aujourd’hui déconsidérée non pour ce qu’elle signifie mais pour l’usage qui a pu, en d’autres temps tragiques, en être fait, et à laquelle je substitue celle de « redéploiement rural » : ces pistes sont sans doute à suivre et à creuser encore, et elles ne pourront donner leur pleine mesure que lorsque l’Etat sera assez solide pour oser une véritable politique nationale d’aménagement du territoire, s’inscrivant aussi dans une sorte de fédéralisation de notre pays qui permettra à chaque collectivité, de la commune à la région, de pouvoir poursuivre et amplifier, à son rythme et avec ses particularités propres, cette « remise en vie » des territoires ruraux. Il y a fort à parier que cet Etat-là ne sera pas la République actuelle, ni la République tout court…

    http://jean-philippechauvin.hautetfort.com/archive/2015/09/15/la-republique-n-est-pas-l-avenir-de-la-ruralite-5685461.html

  • "Il est frais mon embryon humain, il est frais !". Et très cher

    PLifesiteNews met en ligne la 10evidéo sur les trafics d’organes de bébés avortés par le Planning familial américain. On voit notamment le Dr Carolyn Westhoff, conseillère en chef de la Fédération américaine du Planning familial, dire qu’elle peut extraire une grande variété de tissus et d’organes de bébés avortés :

    « Nous venons de travailler avec des gens qui veulent des tissus particuliers, comme, vous savez, cardiaques, ou ils veulent des yeux, ou ils veulent des neurones… oh mon Dieu, des gonades…Tout ce que nous fournissons est frais ! »

    Deborah VanDerhei, directrice du Consortium des fournisseurs d’avortements du Planning familial (sic) dit :

    « Nous avons des collègues indépendants qui génèrent de beaux revenus en faisant cela. »

    Cecile Richards, PDG du Planning familial, admet ouvertement qu’ils reçoivent « 60$ par échantillon de tissu », et que

    « les contrats avec StemExpress offrent des paiements par fœtus déterminés dans la clinique selon leur caractère utilisable ».

    C’est complètement illégal ? Vanessa Russo, administratrice du Programme de conformité du Planning familial de Keystone en Pennsylvanie, rétorque :

    « Nous pensons que nous ne pouvons pas accepter d’être intimidés par des lois ridicules ». « Une société qui veut donner de l’argent à notre organisation contre des tissus, je pense que c’est un échange valable. »

    Abominable.

    Michel Janva

  • Cette haine que la République a toujours vouée à la France

    Nous arrivons à la phase terminale de la haine inexpiable qu’une certaine conception nihiliste de la République a toujours vouée à la France comme patrie charnelle. Nul ne sait qui l’emportera.

     

    La manipulation politico-médiatique à laquelle nous assistons depuis quelques jours, s’agissant de l’accueil en Europe, et plus particulièrement en France, de prétendus réfugiés, ne doit pas nous empêcher de raison garder. Ce déferlement d’immigrants illégaux, encouragé par certains États membres de l’Union européenne et par Bruxelles, provoque la sidération par son orchestration médiatique, qui n’hésite devant aucun mensonge ni aucune voyeurisme pour justifier l’imposture droit-de-l’hommesque.

    Merkel, par cette politique d’appel d’air et ses menaces contre Schengen, qu’elle sait concrétiser, cherche à la fois à s’acheter une virginité humanitaire, à répondre aux besoins d’une Allemagne qui a besoin d’une main-d’œuvre à bon marché et à forcer, avec l’appui de Bruxelles, ses partenaires européens à adopter sa politique, même si en l’affaire elle a peut-être oublié la vertu de prudence.

    S’agissant de la France, en tout cas, les diktats allemands, auxquels Hollande a pour habitude de se soumettre illico, permettent surtout à nos élites de concrétiser leur haine profonde du peuple français. Ce déferlement d’immigrants illégaux, que le « trouple » incestueux formé par le pays légal, les médias de l’oligarchie et le patronat encourage contre des franchouillards incurables, est, à leurs yeux, une chance démographique à saisir car elle leur permet d’accélérer la désintégration de la France.

    C’est évidemment au nom des « valeurs de la République » qu’il convient d’accueillir, « sans discrimination » aucune, ces réfugiés, mâles à près de 80 % – chiffre de l’ONU -, qui ont courageusement laissé femmes et enfants au pays ou dans leur exil précédent avant de les faire venir chez nous. Autant, donc, de faux réfugiés et de vrais immigrants dont le ministre Macron, il y a quelques jours (vendant la mèche), a salué l’arrivée prochaine comme « une vraie opportunité économique ». Alors que le chômage ne cesse de progresser et que la fracture sociale s’aggrave désormais d’une fracture culturelle et religieuse.

    François Marcilhac Directeur éditorial de L’Action Française 2000

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Cette-haine-que-la-Republique-a