
Les aides directes distribuées à la presse ne connaissent pas la crise :
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Les aides directes distribuées à la presse ne connaissent pas la crise :
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Improbable. Qui n’est pas probable ; qui a peu de chances de se produire ou d’arriver.
Voici ce que Moody’s la grande agence de notation internationale (et américaine) pense de la « gestion » calamiteuse du Mozart de la finance locataire du Palais, qui n’a en réalité aucune compétence économique. Cette histoire de Mozart de la finance, c’est de l’escroquerie. Le bilan de ces 7 dernières années est calamiteux. Les décisions économiques prises ? Calamiteuses. La gestion ? A ce niveau ce n’est plus de la gestion.
Improbable pour le déficit en 2027 mais improbable aussi en 2024 !
Le dérapage est « important », c’est « très, très rare », alerte le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici qui, rappelons-le quand même, était ministre de l’économie et des finances et se faisait filmer et photographier avec sa jeune copine Charlène (charmant en tout point) qui donnait le bain à sa chatte sous l’œil énamouré du ministre. Pardon, à son chat. Mieux vaut être prudent avec les mots utilisés. Parfois certaines expressions peuvent prêter injustement à confusion.
Donc côté dérapage, Moscovici est un homme d’expérience. Il s’y connaît.

Bureau de Veille stratégique d’Action française
Le Bureau de Veille stratégique d’Action française émet une hypothèse sur la dette financière de la République et la dramatisation de la guerre par Emmanuel Macron.
Il est très étonnant que le gouvernement de la France puisse enchaîner depuis 1975 près de 50 années de déficit. Ceci dit, dans le dialogue avec les autres gouvernements européens de l’UE, et notamment depuis l’adoption de l’euro, la France a fait accepter comme règle non écrite cette « fameuse » ligne des 3% du produit intérieur brut (PIB). Certains expliquent que c’est François Mitterrand qui aurait articulé ce chiffre un peu par hasard, sans rationalité évidente.

La transition énergétique se veut aussi une transition écologique, mais l’est-elle vraiment ? Il est permis d’en douter au regard de quelques éléments trop souvent négligés par ceux qui vantent l’écologie sans réfléchir à ses effets sociaux autant qu’environnementaux : l’incantation remplace trop souvent la réflexion et le court-termisme empêche de mener une véritable stratégie écologique, crédible et efficace. L’exemple des panneaux solaires est fort révélateur : vantés comme un moyen écologique de produire de l’électricité verte (ce qui n’est pas tout à fait exact si l’on considère l’extraction des matières premières nécessaires à leur fabrication et la difficulté de leur entretien et de leur recyclage), ils sont aujourd’hui fabriqués en grande majorité en Chine (1), au risque de tuer toute la filière européenne et française du secteur, tout cela dans l’indifférence totale de ceux qui invoquent l’écologie pour les élections mais l’oublient dans la réalité ! Là encore, la distinction maurrassienne entre le légal et le réel peut s’appliquer sans trop de difficulté…

Selon l’INSEE, en 2023, le déficit public s’élève à 5,5 % du PIB, la dette publique à 110,6 % du PIB. Voilà les résultats du “quoi qu’il en coûte” et de l’argent gratuit… Mais surtout ne supprimons pas l’Aide Médicale d’Etat pour les immigrés clandestins, remboursons les 230 000 avortements annuels, distribuons gratuitement des milliers de préservatifs, finançons la presse et les associations gauchistes… Ce n’est pas l’option de Bruno Le Maire :
Cela peut sembler choquant, parce que, comme des drogués à la cocaïne, nous nous sommes habitués à la dose quotidienne de poudre. Ici ce n’est pas de la poudre, enfin pas pour nous, mais de l’argent.
Lorsque j’étais jeune, dans les années 80 et 90, la France n’avait pas le RSA, nous n’avions pas toutes ces aides, nous n’avions pas les 35 heures, pas les RTT, nous avions des allocations chômage dégressives et rapidement et vous savez quoi ? Il n’y avait pas autant de misère notamment psychique, le pays allait mieux, le pays était joyeux.
« Lorsque vous dépensez votre argent pour vous-même, vous le faites judicieusement.
Lorsque vous dépensez votre argent pour les autres, vous minimisez les coûts.
Lorsque vous dépensez l’argent des autres pour vous-même, il y a du gaspillage.
Le pire, c’est de dépenser l’argent des autres pour les autres. C’est pour cela que l’État n’est jamais efficace.»