économie et finance - Page 199
-
BLACK FRIDAY : FAUT-IL BRÛLER AMAZON ?
Lien permanent Catégories : actualité, économie et finance, entretiens et videos, l'emploi 0 commentaire -
L'économie en tant qu'idéologie : la racine de tous les maux
par Roberto Bonuglia
Ex: https://legio-victrix.blogspot.com
« Le développement économique est devenu une fin en soi, déconnectée de toute finalité sociale ». Bernard Perret et Guy Roustang l'ont écrit dans L'économie contre la société. Face à la crise de l'intégration sociale et culturelle (Paris, Editions du Seuil, 1993). Aujourd'hui comme hier, c'est une déclaration plus que partageable, visant à avertir que l'économie devient de plus en plus une "fin" plutôt qu'un "moyen".
-
La France face au mur d’une dette colossale
Un dernier réajustement. Afin de prendre en compte les effets du second confinement qui a débuté début novembre, Bercy s’apprête à actualiser dans les tout prochains jours, dans son projet de loi de finances 2021 (actuellement en débat au Parlement), le niveau de dette et déficit attendus pour l’année prochaine mais également pour la fin 2020. Après des taux de 98,1% du PIB en mars puis 114,1% fin juin, l’endettement public devrait dépasser les 120% pour la seule année 2020.
-
Blanche-Neige, Halluciné, Grincheux, Simplet
Tout a commencé le 24 novembre comme d’habitude, par une longue (vingt-sept minutes) exhibition de Blanche-Neige-Macron : une « adresse aux Français » comme il dit, encore à propos de la situation sanitaire et dans un décor quasi-virginal (photo publiée sur le site officiel de l’Elysée).
Tout a continué par diverses interventions des nains du gouvernement. Puis l’apothéose, un feu d’artifices (au sens propre), a été une conférence de presse par le chef du-dit gouvernement le 26 novembre (encore une heure quinze minutes). Ce qui démontre au moins qu’en ces temps de confinement, les spectacles du cirque ne sont pas totalement interrompus.
Vingt-sept minutes de Blance-Neige-Macron, et tout s’est déroulé comme à l’ordinaire :
- Il a parlé de stratégie, comme s’il s’agissait d’une guerre alors que ce n’est qu’une simple crise sanitaire, et alors que, de stratégie on n’en voit poindre nulle part depuis le début, mais un grand désordre ponctué de bouffées délirantes.
-
L’or et les réalités économiques se vengeront des illusions boursières
Marc Rousset
Le Dow Jones a franchi momentanément, pour la première fois, la barre des 30.000 points, à Wall Street. Depuis l’investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2017, il a grimpé de plus de moitié. L’indice parisien est parti pour boucler son meilleur mois de novembre depuis plus de trente ans. Le sentiment dominant des boursiers, avec la probable nomination au Trésor de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, est que des solutions vont être trouvées pour tous les problèmes des sociétés occidentales.
-
Risques de coupures de courant cet hiver : « La France a bradé son industrie électrique à l’Allemagne »
Les possibles coupures de courant d’énergie sont la conséquence du fait que nous avons pris la décisions de délaisser le secteur nucléaire, analyse Jean-Louis Butré. Selon le membre du groupe d’experts «Énergie et Vérité», l’éolien et les énergies renouvelables sont bien moins fiables en comparaison. […]
-
Novembre 2020 : meilleur mois de l’histoire du CAC 40
Alors que de nombreux commerçants et artisans français sont dans la peine en ce mois de novembre noir, menacés de faillite et de ruine à cause d’un gouvernement en-dessous de tout – avec des tragédies humaines et suicides qui s’accumulent – les grandes entreprises prétendument « françaises » (du moins leurs propriétaires) n’ont visiblement pas trop à se plaindre :
« Paris porte son avance à +2% sur la semaine écoulée et +24% depuis le 30 octobre, un krach à la hausse sans précédent, même après 50% de baisse sur 18 mois comme en 2003 et 2009: ce mois de novembre est le plus haussier de l’histoire du marché parisien. » (source)
Rarement la distorsion entre l’économie réelle, à taille humaine, et le capitalisme financier n’aura été si criante.
http://www.contre-info.com/novembre-2020-meilleur-mois-de-lhistoire-du-cac-40
-
Un demi-milliard d’euros : le projet pharaonique du Parlement européen !
Depuis 1958, Strasbourg est le siège du Parlement européen parce qu’il symbolise la réconciliation franco-allemande et la paix en Europe. Pour Strasbourg et sa région, le Parlement c’est 11.000 emplois indirects et 637 millions d’euros par an.
Pourtant, en 1993, un deuxième parlement a été (mal) construit à Bruxelles. Les cathédrales durent 1000 ans mais ce bâtiment sera prochainement détruit. La démolition a été repoussée après les élections européennes pour éviter tout scandale. La reconstruction coûtera au moins 0,5 milliard d’euros. Le projet prévoit 900 places de députés dans l’hémicycle, soit 200 en trop (est-ce pour les 96 députés turcs ?) et 940 places de bar pour les députés et leurs collaborateurs contre 1260 places en salles de réunions. Reçues le 7 janvier 2020, les propositions sont étudiées, en ce moment même, par l’administration du Parlement européen.
-
20% des Français reconnaissent être à découvert chaque mois, selon une enquête
Selon une enquête du comparateur de frais bancaires en ligne Panorabanques.com pour Le Parisien , un Français sur six reconnaît à découvert au moins une fois dans l’année et 20% d’entre eux le sont tous les mois. L’étude précise également que le découvert autorisé s’élève à «235 euros en moyenne sur dix jours par mois, cinq fois par an».
(…) Le Figaro
-
Budget européen : George Soros insiste pour que Budapest et Varsovie ne perçoivent «aucun versement», par Fabien Rives.
Richissime financier, le nonagénaire américain d'origine hongroise George Soros est l'auteur d'une récente tribune dans L'Obs. Il y exprime son souhait que ni la Hongrie ni la Pologne ne puissent bénéficier des fonds communautaires de l'UE.
Un pays où «la pandémie fait rage», dont la capitale se trouve «sous couvre-feu» et où les soldats «patrouillent dans les rues»… Si certains éléments de ce décor pourraient évoquer la période pour le moins délicate de reconfinement que traverse actuellement l'Hexagone, le milliardaire George Soros évoque ici celle traversée actuellement par son pays natal, la Hongrie, qu'il a quitté en 1947 avant d'entamer une fructueuse carrière dans la finance. Une carrière dont on retiendra notamment le succès d'opérations de spéculation, tout aussi colossales que controversées, qu'il a entreprises à travers le monde.