économie et finance - Page 415
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Trafic d'organes en France ? Thierry Kabile et Christian Cotten #MetaTV
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Contre la vaccination meurtrière !!!
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Le gouvernement soutient le financement des terroristes
Sébastien Chenu, Député FN du Nord, Conseiller régional des Hauts-de-France, dénonce :
"Alors que20% des djihadistes français touchaient des allocations envoyées par les familles dans le but de faire « acheminer de l’argent frais » aux djihadistes pour un montant global de 2 millions d’euros, selon un quotidien national, nous avons défendu un amendement visant à supprimer le versement des prestations familiales aux familles des personnes condamnées pour terrorisme.
Face à ces faits incontestables, la majorité En Marche et le gouvernement sont restés insensibles aux douleurs des victimes et aux conflits sanglants de Daesh considérant que la suppression du versement de ces prestations reviendrait à sanctionner les enfants des hommes partis faire le djihad selon le rapporteur de la loi.
Alors que les APL baissent, que la CSG et le forfait hospitalier augmentent, et que d’innombrables efforts sont demandés aux Français pour des raisons budgétaires, seuls les élus du Front National étaient présents pour défendre cette mesure d’économie de bon sens."
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L’Hebdo Politique avec le Docteur Gérard Delépine : Agnès Buzyn, VRP des vaccins
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LES SIGNES D’UN PROCHAIN KRACH
Marc Rousset
Même Le Figaro du mercredi 25 octobre commence à prendre peur ! Le Dow Jones s’envole, les signes de krach sont nombreux et ne peuvent être ignorés. Depuis l’élection de Trump en novembre 2016, le Dow Jones a augmenté de 28 %, le NASDAQ de 26 % ! Wall Street est parvenu à des sommets préoccupants tandis que Trump, qui ferait mieux de se taire, se vante, depuis son arrivée à la Maison-Blanche, d’un gonflement de la capitalisation boursière de 5.200 milliards de dollars.
Les valeurs du Standard & Poor’s 500 se payent aujourd’hui en moyenne près de 18 fois les bénéfices attendus pour 2018. Elles n’ont jamais été aussi chères depuis la bulle technologique des années 2000. Le ratio de Shiller, un multiple de résultats par rapport au prix de l’action corrigé du cycle économique, s’est hissé à 30, situation inédite depuis la crise de 1929 et la bulle Internet des années 2000. Les indicateurs capitalisation de Wall Street ramenés au produit intérieur brut américain, cher à Warren Buffet, tout comme la valeur des entreprises ramenée à leurs ventes, sont également très préoccupants et vont tous dans le même sens.
La moindre étincelle peut déclencher l’explosion, d’où les propos lénifiants et les ruses de Sioux de Janet Yellen. En cas de hausse des taux de la Réserve fédérale plus rapide que prévue, les liquidités qui se déversent depuis des années vers les banques et les marchés se tariraient ; les entreprises ne pourraient plus, comme aujourd’hui, avoir recours à la dette afin de racheter leurs propres titres et faire monter les cours.
Il n’est pas sûr, enfin, étant en conflit avec le Congrès, que Trump puisse réaliser effectivement ses promesses de diminution d’impôt pour les sociétés qui sont à l’origine du dernier emballement boursier. La hausse est très fragile, risquée, et Wall Street est un colosse aux pieds d’argile.De plus, les médias ne parlent jamais d’un indicateur essentiel qui est le ratio Dow Jones/cours de l’once d’or. Le Dow Jones représente les actifs financiers tandis que l’or représente les actifs tangibles : immobilier, œuvres d’art, autres actifs réels. Ce ratio est passé, par exemple, entre 1966 et 1980, de 28 à 1.Un cycle similaire a eu lieu dans les années 30. De 360 points en 1929, le Dow Jones a chuté jusqu’à 36 dans les années suivantes, perdant 90 % de sa valeur. En même temps, l’once d’or est passée de 24 à 34 dollars, si bien que le ratio Dow Jones/or est passé de 15 à pratiquement 1. Or, aujourd’hui, le Dow est à plus de 22.000 et l’once d’or à environ 1.300 dollars. Le ratio actuel Dow Jones/or de 17 est donc encore plus élevé que le ratio de 15 en 1929 ! S’il devait repasser à 1 comme dans les années 1930, bonjour les dégâts ! Ce ratio de 17 confirme, en fait, la sous-évaluation du prix de l’or manipulé par la Fed, les banques occidentales ainsi que la bulle des actions à Wall Street.
Les bulles ont la particularité de n’être visibles que lorsqu’elles éclatent. Il y a un peu plus de trente ans, le 19 octobre 1987, s’ouvrait la pire séance jamais connue par Wall Street. En ce « lundi noir », le Dow Jones dévissait de 22,6 %, pulvérisant les records de baisse enregistrés lors de la Grande Dépression de 1929.
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L’argumentaire des Identitaires sur la prétendue discrimination des banlieues
On nous le serine : l’Etat pratique une discrimination scandaleuse à l’égard des banlieues, qu’il abandonne à elles-mêmes. Dès lors, il ne faut pas s’étonner si ses habitants partent à la dérive. Pour faire litière de cette vaste blague, Les Identitaires ont réalisé un argumentaire, que nous publions ci-dessous.
1. Ils disent :
« Les habitants des banlieues sensibles sont traités comme des citoyens de seconde zone, ils sont mis à l’écart et discriminés. »
2. Pourquoi le disent-ils :
En insistant autant sur la discrimination dont seraient victimes les habitants des banlieues, ils disent que c’est aux Français de faire des efforts, de payer encore plus, pour régler les problèmes des banlieues sensibles.
3. Pourquoi c’est faux :
L’universitaire Dominique Lorrain (Directeur de recherche au CNRS) a publié en 2006 (« La dérive des instruments. Les indicateurs de la politique de la ville et l’action publique », in Revue française de science politique 2006/3 (Vol. 56), p. 429-455) une étude comparant le quartier sensible des Hautes-Noues [photo ci-contre], à Villiers-sur-Marne (94), et le quartier de la cité Verte, à Verdun.
Avec des caractéristiques sociales extrêmement proches (avec une différence notable : un taux d’étrangers beaucoup plus important aux Hautes-Noues), il a montré que les Hautes-Noues bénéficiaient d’un investissement public de 12 230 euros par habitant via la politique de la Ville, quand Verdun ne recevait que… 11,8 euros par habitant, soit mille fois moins d’argent.
De plus, les habitants de Verdun n’ont accès qu’à peu de commerces et d’équipements sportifs et culturels, alors que les habitants des Hautes-Noues peuvent rejoindre le centre de Paris en transport en commun en moins d’une demie-heure.
D’une manière plus générale, les banlieues sensibles bénéficient de tous les avantages offerts par la grande ville voisine : transports en commun fréquents et performants, marché du travail extrêmement dynamique (même pour les personnes peu ou pas diplômées), services publics denses, équipements culturels et sportifs, établissements d’enseignement supérieurs. Les immeubles sont rénovés dans le cadre de la politique de la ville, et les associations sont largement soutenues par les pouvoirs publics.
La France périphérique, la France des petites villes et des campagnes, n’a rien de tout cela : les habitants sont dépendants de la voiture pour le moindre trajet, les délocalisations d’usine condamnent des régions entières à la mort économique, les cinémas et bibliothèques sont rares, les services publics inexistants… Et pour que leurs enfants puissent faire des études, les familles doivent pouvoir leur financer un logement dans une grande ville. Cette situation fait dire à Dominique Lorrain que
« si l’on considère que l’égalité des citoyens d’une même nation se marque par la possibilité matérielle d’avoir l’usage de biens publics, alors les habitants de Meuse (et le même raisonnement peut être soutenu pour de nombreux autres départements) se trouvent discriminés ».
L’argumentaire des Identitaires est à télécharger ici.
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Des djihadistes français touchaient leurs allocs en Syrie
Selon le Figaro, vingt pour cent des djihadistes français opérant au Moyen Orient continuent à percevoir leurs allocations sociales. Selon les policiers spécialisés chargés de l’enquête, le djihadiste qui part pour la guerre sainte « coupe son téléphone, achète des billets et vide son compte », mais ses proches s’arrangent « pour faire acheminer de l’argent frais ». Munis de leurs cartes avec photos, des parents le touchent à Pôle emploi ou à la CAF pour l’envoyer « par mandat en direction des zones de combat via la Turquie notamment ». Ces fonds publics restent peu importants (500.000 euros en cinq ans), mais pèsent particulièrement lourd aujourd’hui quand, avec la débâcle, Daech a perdu ses sources de financement principales.http://reinformation.tv/djihadistes-francais-allocs-syrie-vite-76430-2/
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Qatar : investissements en France et dans l'islamisme des Frères (livre-enquête)
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L’euro peut il tenir encore cinq ans ? (Conférence à Amiens - juin 2017)
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20 milliards d'euros pour l'UE
L’Assemblée nationale a voté lundi soir l’augmentation de la contribution française au budget de l’Union européenne, à hauteur de 20,2 milliards d’euros en 2018. C’est un record absolu.
Le texte a été adopté par 80 voix contre 8. Il y avait donc… 489 absents.
Ceux qui ont voté contre sont :
France Insoumise :
- Éric Coquerel
- Alexis Corbière
- Jean-Luc Mélenchon
Communiste :
- André Chassaigne
FN :
- Louis Aliot
- Emmanuelle Ménard
- Ludovic Pajot
NI :
- Marie-France Lorho