Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie et finance - Page 422

  • LES CONTRATS DE PÉTROLE EN YUAN-OR : LA FIN DU DIEU DOLLAR

    yuan-renminbi-rmb-chine.jpg

    Marc Rousset

    Le monopole financier du dollar a commencé le 14 février 1945 sur le croiseur USS Quincy lorsque le président Franklin Roosevelt a proposé au roi Ibn Saoud la sécurité politique et militaire avec, en contrepartie, la sécurité énergétique en pétrole pour son pays et la cotation exclusive en dollars. Ainsi naquirent les pétrodollars à l’origine de l’hégémonie financière américaine dans le monde.

    Ces accords prévus pour une durée de soixante ans ont été renouvelés en 2005 par le président Bush et reconfirmés tout récemment par Donald Trump avec un gigantesque contrat de vente d’armements pour les États-Unis. Le dollar repose donc, en fait, sur la puissance de l’armée américaine et les ventes d’armes américaines. Mais la Chine, avec l’aide de la Russie, est en train de miner, de mettre fin à la suprématie du dollar.

    Dans un article du 1er septembre 2017 de la Nikkei Asian Review, le journaliste Damon Evans nous apprend que la Russie, l’Iran, le Qatar et le Venezuela acceptent désormais de vendre leur pétrole avec des contrats en yuans convertibles en or. Tous ces pays en ont par-dessus la tête de l’impérialisme américain. Il en résulte que la Russie peut maintenant vendre du pétrole à la Chine en yuans et les convertir en or à Hong Kong. La Russie n’est plus obligée d’acheter des actifs chinois pour utiliser ses yuans ou de les vendre sur les marchés pour acheter du dollar. Les producteurs de pétrole préfèrent détenir de l’or en passant par le yuan plutôt que de détenir des bons du Trésor américain dont la valeur peut s’effondrer du jour au lendemain.

    La Chine réduit ses achats de pétrole en Arabie saoudite, fidèle pour l’instant en apparence seulement au dollar, tandis que ses importations en provenance de Russie s’envolent et que le yuan est déjà la seconde devise utilisée par l’Angola. Si l’Arabie saoudite cède, ce serait un coup terrible dans l’estomac, proche du KO, pour Washington qui, en représailles, cesserait de lui vendre des armes. Cette dernière reproche aussi à Washington le rapprochement avec l’Iran effectué par Obama et sa non-intervention en Syrie pour renverser Assad avec les rebelles islamistes. Mais les Saoudiens, exclus du gigantesque marché chinois, sont actuellement obligés de vendre leur pétrole un peu partout dans le monde avec des rabais trop importants.
    De plus, l’Arabie saoudite est prête à émettre des obligations en yuans et elle vient de créer avec la Chine un fonds d’investissement de vingt milliards de dollars. Il est même question que la Chine prenne une participation de 5 % dans la gigantesque société pétrolière Aramco. L’Arabie saoudite pourrait alors coter son pétrole en yuans et quitter progressivement le dollar.

    Et ce qui est vrai pour le pétrole est aussi valable pour le gaz et le cuivre achetés par la Chine, qui développe ses relations tous azimuts avec les pays émergents. De plus, pour le pétrole, la Chine peut compter sur ses grandes sociétés telles que PetroChina et Sinopec, toujours prêtes à se porter en contreparties pour faciliter les contrats en yuans.

    Le monde marche donc tout droit et inexorablement non pas vers le retour à l’étalon-or stricto sensu tel qu’il existait en 1914, mais vers le retour – ce qui revient à peu près au même en faisant de l’or le seul étalon universel probablement très fortement réévalué – au Gold Exchange Standard qui a été supprimé arbitrairement par Nixon en 1971. Le monde ne serait plus alors régi par le seul dieu et roi dollar, mais s’appuierait au contraire sur plusieurs devises fortes internationales (yuan, euro, yen, dollar) utilisées comme monnaies de règlement et de réserve qui seraient toutes convertibles en or.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Idéologie climato-débile à la solde des pétro-monarchies ?

    Stupidité ou soumission aux pays producteurs de pétrole ?

    "Le gouvernement va présenter mercredi un projet de loi pour interdire à terme la production d’hydrocarbures en France : il va interdire toute nouvelle concession et tout renouvellement de concession. Une mesure strictement idéologique et démagogique, que ces crétins d’écolos applaudissent alors qu’elle est évidemment anti-écologique. Bien sûr le gouvernement français prend cette décision pour donner l’exemple dans la lutte contre le réchauffement climatique…

    Mais, comme le souligne Francis Duseux, président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP), ce texte « n’aura aucun impact sur la consommation de pétrole et conduira à augmenter les émissions de gaz à effet de serre puisque ce qu’on ne produit pas en France, il faudra l’importer »… La France a produit 815.000 tonnes de pétrole l’an dernier, soit environ 1% de sa consommation.

    Ce qui est le plus pernicieux est que cette loi interdit les recherches sur tout le territoire français, donc aussi outre-mer : on se prive volontairement d’éventuelles sources d’énergie qu’on n’aurait pas à importer. On pense notamment à la Guyane : des gisements importants viennent d’être découverts juste à côté, en Guyana."

     par Michel Janva 

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/09/id%C3%A9ologie-climato-d%C3%A9bile-%C3%A0-la-solde-des-p%C3%A9tro-monarchies-.html

  • POUR NE PAS FROISSER SA CLIENTÈLE MUSULMANE, LIDL INVENTE L’ÉGLISE SANS CROIX

    Je parlais ici, la semaine passée, du « fascisme identitaire ». Je n’aime pas ce mot galvaudé, « fascisme », mais on nous en rebat tellement les oreilles quand il s’agit de défendre notre pays et nos valeurs françaises, européennes, chrétiennes, occidentales, etc., qu’il faut bien, à un moment, le coller là où il doit aller. Car si fascisme il y a dans l’acception qu’on en donne aujourd’hui, au sens de prétendre imposer aux autres des règles qui ne sont pas les leurs, c’est bien du côté de ces communautés sociales ou religieuses qui veulent tout sauf faire « communauté », justement, avec leurs concitoyens.

    Cela n’est pas nouveau, ça fait même quelques décennies que ça dure. Le problème, c’est notre soumission croissante à toutes ces injonctions, ces restrictions au nom du respect de l’autre. Cet effacement progressif de qui nous sommes, de ce qui nous a construits, la négation de nos siècles d’histoire, tout cela sur un fond de culpabilité qu’on pourrait presque qualifier de génétique, tant on prétend nous la faire porter génération après génération. Il nous faut expier la longue histoire, réelle ou fantasmée, du monde blanc contre le reste de la planète. Les « lois mémorielles » et leur cascade de procès, les réparations financières sans fin, les passe-droits, la discrimination positive… rien n’y fait. Il en faut toujours plus pour se faire pardonner d’exister.

    Alors, on prend les devants. On s’autocensure avant qu’on nous censure. On arrondit les angles, on ne prononce pas les mots qui fâchent, on efface tout ce qui pourrait heurter. En 1983 – il y a 34 ans… –, Pascal Bruckner publiait Le Sanglot de l’homme blanc. En sous-titre : Tiers-monde, culpabilité, haine de soi. Un livre majeur sur ce sentimentalisme tiers-mondiste qui s’est substitué, à gauche, à la lutte des classes et dont nous vivons les conséquences mortelles, aggravées par une mondialisation immaîtrisable.

    « Les capitalistes nous vendront à crédit la corde pour les pendre », aurait dit Lénine. Vraie ou pas, la phrase est transposable. Aujourd’hui, nous y sommes : l’Europe offre au monde qui l’envahit les outils pour éradiquer ses propres racines.

    Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

    Dernier épisode marquant : la publicité des magasins Lidl pour leur gamme de produits grecs Eridanous, original Greek product. Pour accroître ce parfum de vacances et de Méditerranée, la moussaka, les yaourt, pistaches, feta, olives, etc., sont vendus dans un emballage idoine : la photo de la Grèce, celle des murs blancs, de la mer et du ciel d’un bleu pétaradant. Image symbole que tout le monde connaît : celle de la petite église orthodoxe qui surplombe la mer, sur l’île de Santorin, confondant avec le ciel sa coupole d’un bleu vif.
    Oui, mais voilà, dans la vraie vie, la coupole est coiffée d’une croix blanche. Pas chez Lidl, qui a cru devoir effacer cette odieuse provocation.

    Explication de la marque à RTL Belgique, auprès de qui un client s’était indigné : « Nous évitons l’utilisation de symboles religieux car nous ne souhaitons exclure aucune croyance religieuse », a répondu le représentant du géant allemand de la grande distribution. « Nous sommes une entreprise qui respecte la diversité et c’est ce qui explique la conception de cet emballage. »Une conception qui n’empêche toutefois pas la marque de sortir en France chaque année – et ailleurs sans aucun doute – une ligne de produits Spécial ramadan, avec certificat très religieux de la mosquée d’Évry-Courcouronnes !

    Personne n’a demandé à Lidl d’opérer ce stupide révisionnisme architectural, ni de choisir une église pour illustrer ses produits. Si Grèce, pourquoi pas l’Acropole ? Mais l’Acropole, c’est le Parthénon et le temple d’Athéna, le monde antique des mécréants qui, en plus, sacrifiaient aux déesses… On n’en sort pas ! Pire : on ne s’en sortira plus.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-froisser-clientele-musulmane-lidl-invente-leglise-croix/

  • BUDGET : À QUELLE SAUCE LES FRANÇAIS SERONT-ILS MANGÉS ?

    serrer-ceinture-economies-budget.jpg

    Casse-tête de septembre 2017 : l’État doit baisser ses dépenses de 20 milliards (sur 350) alors que le pouvoir précédent n’a effectué que des coupes annuelles de 1,7 à 3,5 milliards malgré des annonces triomphales. M. Dammartin a déjà serré les boulons en 2017, mais il a utilisé la veille recette du report des crédits (comme les 850 millions qui ont poussé le général de Villiers à la démission). Les seules véritables économies ont coûté cher en popularité à Macron : la réduction de 5 € par mois d’APL et le non-renouvellement de 150.000 contrats aidés.

    Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ? Tous les ministères sont invités à participer à l’effort, mais les Armées seront épargnée, ainsi que l’Éducation et, demain, peut-être, la Justice (pour construire des prisons) voire la Culture. Beaucoup de grands travaux seront abandonnés (gain : de 3 à 5 milliards). Sont dans le collimateur le canal Rhin-Rhône, la ligne Lyon-Turin et la deuxième autoroute Lyon-Saint-Étienne. Souvent économiquement justifiés et rentables mais au long terme, ces investissements seront sacrifiés, ces sacrifices se parant de vertus écologiques. Le logement serait impacté à 2 milliards voire plus, mais le pouvoir n’a le choix qu’entre de mauvaises solutions : supprimer l’APL aux étudiants de familles aisées, tenir compte des revenus sociaux dans le calcul de l’allocation (ce qui baisserait de 100 € l’APL des titulaires du RSA), obliger les allocataires à payer 13 % du loyer (ce qui est sans doute la méthode qui passerait le mieux politiquement à condition de prévoir un effet de seuil pour les titulaires du RSA). 

    On envisagerait également de supprimer les allocations familiales pour les plus riches (ceux qui ont déjà subi une amputation de 50 % de cette prestation). 200.000 contrats aidés seraient abandonnés (pour un gain de 3 à 4 milliards), posant des problèmes insolubles aux petites communes. Ira-t-on jusqu’à supprimer les contrats de ceux qui assistent les handicapés dans les écoles ? 

    Le report des baisses de charges sociales alors que la CSG augmentera rapportera de 3,5 à 7,5 milliards. On ne gèlera pas les pensions, car le gain serait trop faible et les retraités sont déjà spoliés par la CSG. Relever l’âge de la retraite à 63 ans remplirait les caisses (5 milliards en 2018, 15 en 2019), mais au vu des promesses de M. Macron, cette mesure ne sera prise (d’une manière détournée) que lors de l’instauration de la retraite à points. Attendons-nous également à d’autres surprises tout aussi désagréables, car les petits ruisseaux font les grandes rivières.

    Quelles étaient les autres options (qui ne seront pas prises) ? Renvoyer chez eux les migrants économiques (uniquement eux et pas les vrais réfugiés, bien sûr) après avoir examiné avec humanité et en 90 jours leurs dossiers (gain : 2 milliards), diminuer drastiquement le nombre de fonctionnaires sauf pour la police, la Justice et l’Éducation (et encore !), augmenter la TVA (qui sera payée en partie par la grande distribution). Bref, le programme de M. Fillon.

    http://www.bvoltaire.fr/budget-a-sauce-francais-seront-manges/

  • ET MAINTENANT, ON S’EN PREND À COLBERT !

    Ils sont devenus fous. Et on se demande vraiment pourquoi ces gens-là acceptent de vivre en France, sauf à vouloir à tout prix nous gâcher la vie, peut-être avec le secret espoir de nous voir émigrer. Quand je dis fous, je veux dire gravement malades du cerveau, se nourrissant de la haine qu’ils ont trouvée au fond de leur mauvaise mémoire. Je ne parle pas, aujourd’hui, de l’aversion qu’a une minorité de musulmans pour nous, Français dits de souche, chrétiennement baptisés ou non. Je veux m’offusquer, avec ce coup de gueule voltairien, de la faiblesse qu’ont nos gouvernants, auxquels j’inclus les juges, les maires et autres élus locaux, à accepter que l’on débaptise nos rues ou que l’on déplace nos statues.

    Rappelez-vous cette Vierge Marie qui surplombait la ville de Publier, en Haute-Savoie. Une justice malheureuse a accordé à la Ligue des laïcards que soit déplacé dans un lieu discret ce beau monument.

    Il y a une vingtaine d’années, dans un village de l’île de Ré, j’avais réussi à convaincre la mairie de débaptiser la rue du 19-mars-1962 en rue des Passeroses, autrement plus poétique et moins politique. Mais c’est par dizaines que les maires, en général de gauche, ont débaptisé les rues, sans parler de Pétain dont la dernière rue, à Belrain dans la Meuse, a hérité, en avril 2013, du nom d’une célébrité locale. Le héros de Verdun à qui on peut attribuer une bonne partie de la victoire de 1918 est enterré, corps, âme et mémoire.

    Eh bien lundi, le Conseil représentatif des associations noires (CRAN) – association qui fonde son existence sur l’existence des races qui, paraît-il, n’existent pas ! -, dont on se demande qui l’a autorisé à devenir d’utilité publique et de vivre de généreuses subventions, s’est attaqué à Jean-Baptiste Colbert. Notre Colbert, l’un des plus brillants ministres du Roi-Soleil. Le président de cette organisation, Louis-Georges Tin, pourtant héritier d’un royal et saint prénom, demande purement et simplement que ce grand esclavagiste soit « décolonisé » ! Le président du Conseil représentatif des associations noires est outragé de voir autant de rues porter des noms de négriers. Et de demander, dans une tribune publiée par Libération, que « Colbert, l’auteur du Code noir, coupable de crime contre l’humanité » qu’il n’hésite pas à comparer à Hitler himself, que sa statue qui trône devant l’Assemblée nationale soit « bulldozerisée ». « Une salle Colbert, une aile Colbert au ministère de l’Économie, des lycées Colbert (qui prétendent enseigner les valeurs républicaines), des dizaines de rues ou d’avenues Colbert, sans qu’il y ait le moindre conflit, la moindre gêne. » Oui, chers lecteurs, cet homme est fou.

    À ce compte-là, c’est l’ensemble du dictionnaire Larousse qu’il faut réviser, purger, épurer. Tin trouvera bien des illustres inconnus pour remplacer nos grandes figures nationales. L’essentiel sera, sans doute, qu’ils soient noirs et, si possible, n’aient aucun lien avec notre Histoire de France !

    À force de vouloir tuer l’Histoire de France et ses grands Hommes, ces révisionnistes de notre passé vont bien finir par se mordre les doigts jusqu’à l’os. Du moins peut-on l’espérer. « Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre », disait Churchill. Même le Président Macron vient de le dire dans son entretien fleuve au Point : « Nous devons redevenir un pays fier. » Ce n’est pas en déboulonnant Colbert qu’on y arrivera…

    http://www.bvoltaire.fr/on-sen-prend-a-colbert/

  • Réforme, quelles réformes ?

    Unknown.jpg

    Patrick Parment

    En France, c’est toujours la même litanie : tout un chacun a bien conscience que notre pays fonctionne mal et qu’il est grand temps d’opérer des changements.

    Mais voilà, dès que l’on prononce le mot « réforme », ce sont des hurlements, syndicalistes en tête, relayé illico par le Medef. On a les syndicats les plus conservateurs et le patronat le plus borné du monde. Si vous additionnez les revendications syndicales d’un côté, celles du Medef de l’autre, c’est le blocage assuré.

    Pour ne rien arranger, on a la classe politique la moins aventureuse et la plus inculte qui soit et qui s’imagine que tout mouvement risquerait de remettre en cause son statut et ses conforts. Raison pour laquelle nos élus se gargarisent de grands mots mais refusent de passer à l’acte.

    Ajoutez à cela la frilosité de nos gouvernants que le moindre mouvement de rue fait automatiquement reculer et vous aurez une photo grandeur nature de la société française.

    Pour toutes ces raisons, on attend Emmanuel Macron au tournant. Car la grande nouveauté, c’est qu’entre le président de la République et le peuple français, il n’y a plus d’obstacles. Qu’une illusoire République en marche ! 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Zoom : Christian Harbulot - Le Nationalisme Économique Américain (contre l'Europe!)

  • Travail : les 60 réformes de la discorde de Jupiter - Journal du jeudi 31 août 2017

  • Mireille d'Ornano à propos des 11 vaccins obligatoires