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économie et finance - Page 640

  • MISSA et PACT, l'entraide catholique

    Le Salon Beige vous avait déjà mentionné ces deux groupes d'entraide catholique il y a quelque temps. Ces deux groupes, destinés à fédérer les demandes/offres d'aide en tout genre, se développent chaque jour un peu plus, et leur utilité est indéniable, à tous les niveaux. Aujourd'hui, MISSA et PACT communiquent à nouveau, afin de se faire connaître de ceux qui ignoreraient encore leur existence:

    Il s’agit de groupes régionaux, gratuits, diffusant principalement les informations locales, d’esprit "catholique fidèle à l’enseignement de l’Eglise", par Internet.
    strong>Pact est plutôt axé sur les fidèles attachés à la « forme ordinaire du rite romain », dans l’esprit de Mgr Aillet – Rey – Cattenoz – Centene ou « Famille Chrétienne » - FSE – SUF – Communautés St Jean / St Martin etc. Pact regroupe désormais plus de 2000 familles.
    strong>Missa (www.missa.fr) s’adresse plus au public attaché à la « forme extraordinaire », et qui est bien implanté partout en France (6000 familles inscrites)

    Facilitant l’entraide quotidienne, c'est un système simple, avec seulement un mel par semaine, et qui rend de nombreux services (annonces concernant : emploi, logement, petites annonces, conférences, pèlerinages, etc.).Pour en savoir plus, le mieux est d'aller voir le site http://www.entraide-pact.fr/ ou www.missa.fr pour Missa . Dans la partie « inscription », vous pouvez  désigner un pretre que vous connaissez, comme parrain pour vous dans la case correspondante ! "
    Si aujourd'hui vous n'avez pas besoin d'aide, demain ce pourrait être le cas. Et vous êtes peut-être la personne qui tirera d'embarras une famille catholique et vous ne le savez pas encore. Alors, si vous n'êtes pas déjà inscrit sur l'un ou l'autre groupe, ou sur les deux,  à vos claviers !

    Marie Bethanie

  • Ramadan : Carrefour met le jihad à l’honneur !

    Le 29 juin dernier débutait le Ramadan, ce « mois saint » de la religion musulmane durant lequel les fidèles sont tenus au « semi-jeûne » (n’ayant le droit de se restaurer que la nuit). Du fait de cette obligation au jeûne, beaucoup considèrent le ramadan comme un équivalent du carême chez les catholiques.
    Beaucoup certes mais pas tout le monde ! Si le carême est cette année encore passé inaperçu, que ce soit dans la presse ou dans le commerce, cela est loin d’être le cas pour le ramadan ! En effet pour l’occasion, Carrefour sort le tapis rouge ! Loin de se limiter désormais aux promotions sur les produits halal, le rayon librairie propose une sélection des best-sellers musulmans du moment avec notamment deux titres phares : Le Jardin des Saints, de l’imam Nawani et l’oeuvre du cheikh saoudien Abu Bakr el Jazâïrî, La Voie du Musulman.livres-islam-carrefour

    « La Voie du Musulman rappelle le devoir d’éradiquer toutes les religions non musulmanes, et au moyen de toutes les armes d’attaque nécessaires (…) Quant à l’imam Nawawi dans Les Jardins des Saints, il veut répandre dans le monde entier le combat pour l’Islam et la pratique de l’esclavage.» explique Daniel Hamiche pour l’Observatoire de la christianophobie.

    Pendant que l’état tente plus ou moins efficacement de lutter contre le jihad, l’enseigne Carrefour met quand à elle à votre disposition quelques traités de droit musulman préconisant ce même jihad… Tout est normal !

    http://www.contre-info.com/

  • L’immigration responsable de la dette ?

    On discerne mal comment la France pourra survivre au XXIe siècle.

    La dette de la France avoisine officiellement les 2.000 milliards d’euros. Ce chiffre est une estimation a minima, puisqu’il ne comprend pas le coût des retraites des fonctionnaires. Ajoutons que ce chiffre de 2.000 milliards n’est que la dette de l’État. Les dettes des collectivités territoriales et des organismes sociaux n’y sont donc pas intégrées.

    La classe politique et les médias traditionnels se sont toujours bien gardés de révéler au peuple français les causes de cette dette artificielle. Il a fallu compter sur Internet et les réseaux sociaux pour qu’une partie du peuple soit plus éclairée sur la question.
    Quelles sont alors les causes de la dette ? Les deux facteurs principalement cités sont l’évasion fiscale et le paiement des intérêts de la dette.
    D’aucuns évoquent également que la dépense publique permet à la noblesse d’État, la haute fonction publique, de payer le prix de sa domination par le clientélisme.
    Tout cela est vrai. Mais très curieusement, peu de voix insistent sur le poids de l’immigration dans les dépenses publiques. Un ouvrage très pédagogique traitant de ce sujet a pourtant été publié l’année dernière : Les Français ruinés par l’immigration, de Gérard Pince.
    Sur la base des chiffres de la comptabilité nationale et analytique de l’année 2011, l’auteur démontre que le différentiel entre les dépenses publiques (État, protection sociale et collectivités) engagées pour les « Tiers » et leurs descendants, et les recettes engendrées par ces derniers, se chiffre à 65 milliards d’euros. Précisons : 65 milliards d’euros de déficit, et non d’excédent.
    Il s’agit là d’une donnée brute qui n’intègre pas le coût de l’alourdissement du chômage résultant de l’immigration de masse. Contrairement aux idées reçues en effet, immigrés et Français ne sont pas sur deux marchés du travail parallèles, mais sur un seul et unique, où ils sont concurrents.
    Les conclusions à tirer de ces constatations iront de soi chez toute personne non paralysée par le lavage de cerveaux politiquement correct. Il ne faut pas mettre en place la préférence nationale. Il faut aller plus loin en institutionnalisant l’exclusivité nationale et en se préparant à une politique de ré-émigration des populations austro-hongroises.
    Si ces mesures ne sont pas adoptées, on discerne mal comment la France pourra survivre au XXIe siècle.

    http://www.bvoltaire.fr/adrienabauzit/limmigration-responsable-dette,92864?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=0a8a69a9dd-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-0a8a69a9dd-30425913&mc_cid=0a8a69a9dd&mc_eid=45f36b52ce

  • UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)

    Finalement, selon les experts comptables qui ont passé au scanner les mauvais comptes de l’UMP, la dette de cette dernière ne serait pas de 80 millions, comme l’information en avait couru le week-end dernier, mais seulement, si l’on peut dire, de 74,5 millions d’euros au 30 juin, contre 78,5 millions d’euros le 31 décembre dernier. Une dette colossale donc, quasiment insurmontable, mais en léger mieux. Le fossoyeur Copé ne faisait pas que de creuser des trous vertigineux. Il s’efforçait aussi de les réduire. Un minimum. Tels sont les chiffre publiés mardi (8/7) en fin d’après-midi par les responsables de l’audit commandé par la nouvelle direction.

    74,5 millions d’euros, mais tout va bien, Mme la marquise, puisque l’UMP a obtenu « un sursis des créanciers (…) avec un rééchelonnement de la durée du remboursement du prêt pour l’acquisition du siège ». Un souci cependant : les cotisations des adhérents ne rentrent plus. Bah ! Celles-ci comptent aujourd’hui si peu dans le financement d’un parti…L’UMP évite la banqueroute, mais pas le serrage de ceinture. « Comment en sommes-nous arrivés là ? » s’interrogent les chapeaux à plumes. En jetant l’argent par les fenêtres, pardi ! Et en vivant grassement, avec salaires mirobolants, au frais de la princesse. Rachida Dati, par exemple, entre autres peccadilles tout aussi onéreuses, se faisait rembourser annuellement 10 000 euros pour ses deux téléphones. Rachida bouche d’or… Ces gens nous rabâchent volontiers la devise américaine : « Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi. Mais ce que tu peux faire pour pays ». Eux, en revanche, pensent, dans les faits, plus à se servir qu’à servir… C’est à vomir !

     

    UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)L’UMP en sursis mais exsangue s’inquiète pour le financement de ses prochaines campagnes électorales. « Notre parti va se trouver dans une situation où le remboursement de la dette, l’apurement des comptes, va affaiblir considérablement son activité politique », avertit François Fillon. Après le veau d’or le temps des vaches maigres…

    Question : pourquoi Nicolas Sarkozy s’entête donc à vouloir prendre d’assaut un parti en si piteux état, déjà à demi englouti ? Pour le renflouer, ou le radouber, en multipliant les sarkothons ? Plus quelques meetings chantants de Carla Bruni, où celle-ci interpréterait sur scène le fameux Money money ? A moins de considérer que, comme l’écrivait un éditorialiste, « il serait moral qu’il gère lui-même, pour se racheter, comme dans le cadre de travaux d’intérêt général, l’héritage de Copé, qu’il a tant soutenu en sous-main ». Et tant contribué à dilapider…

    La joaillerie judiciaire de Sarko

    Ah ! Sarkozy… Parlons-en ! Une fois de plus, direz-vous. Affaire Kadhafi au parfum de supposés pétro-dollars, arbitrage Tapie peut-être pipé , financements litigieux de sa dernière campagne électorale, « Buissonneux » sondages élyséens, trois mises en examen, dont une pour « corruption active », une garde à vue de 16 heures… Et maintenant cette enquête judiciaire, concernant le paiement par l’UMP des pénalités infligées au président candidat de 2012. Enquête ouverte pour « abus de confiance », « complicité » et « recel » de ce délit, « au préjudice d’un parti largement endetté ».

    Si toutes ces affaires judiciaires étaient des bijoux, des « bijoux sonores »comme dans Les Fleurs du mal, là encore Nicolas Sarkozy serait, Berlusconi mis à part, le plus bling-bling des anciens présidents. « Ses mains pleines de bijoux ressembleraient à des écrins ». Sans allusion bien sûr aux « bracelets » que des policiers pourraient lui passer un jour autour des pognes s’il n’était pas protégé par son statut d’ancien chef de l’Etat.

    Que certains magistrats, idéologiquement très engagés à gauche, s’acharnent contre lui, ne fait guère de doute. Mais il faut bien reconnaître que Sarkozy, avec ses comportements voyous, leur facilite grandement la tâche. Quant à ses amis, du couple Balkany à son avocat, Me Thierry Herzog, en passant par son ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant, sans parler de ceux qui se font prendre avec des valises remplies de grosses coupures à la provenance douteuse, où de son actuel conseiller politique, Alain Carignon, ex-maire RPR de Grenoble emprisonné pour corruption, tous ont une fâcheuse tendance à se retrouver devant les tribunaux. Et toujours pour des histoires pas très reluisantes de gros sous.

    S’il faut en croire le vieux proverbe français : Dis-moi qui tu fréquentes je te dirais qui tu es, on peut nourrir quelques doutes sur la moralité de Nicolas Sarkozy. Des doutes qui assaillent d’ailleurs en ce moment un nombre croissant de ses anciens électeurs. Quant aux cadres du mouvement, ils sont aujourd’hui, pour ces mêmes raisons, majoritairement opposés au retour de l’ancien président dans le champ politique. Et ils n’hésitent plus à le faire savoir. En fait de proverbe, celui qui, en ce moment, conviendrait le mieux à l’UMP, devenue un nid de vipères, ce serait plutôt : dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu hais…

    Dans la nasse

    « Christian Jacob dans la nasse de l’affaire Bygmalion », titrait un quotidien le 24 juin dernier. Certes. Mais plus encore Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, le sarkozyste Eric Césarie et quelques autres poissons de plus petite taille. Toute l’ancienne direction sarkopéiste de l’UMP se retrouve dans la nasse. Et puis surtout, dans la nasse de Bygmalion, mais frétillant aussi dans d’autres filets, Nicolas Sarkozy lui-même. Nasse de masse : ils sont tous dans le goulet. En ce jeudi 10 juillet, L’UMP c’est un peu l’équipe de football brésilienne dans la coupe du monde 2014 : L’humiliation et la honte. Plus la panade…

    Jean Cochet

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  • Le projet de loi de finances rectificative rejeté par le Sénat

    Le Sénat a rejeté hier le projet de loi de finances rectificative 2014 qui prévoit quatre milliards d’euros d’économies, dont 1,6 milliard du budget de l’Etat, pour poursuivre la réduction du déficit public à 3,8% du PIB. Les voix des sénateurs communistes se sont jointes à celles de la droite pour voter contre la première partie du texte qui porte sur les recettes. En revanche, socialistes, écologistes et RDSE (à majorité PRG) ont voté pour. Le première partie du texte étant rejetée, c’est l’ensemble du projet de loi qui est tombé.

    Le projet de loi de finances rectificative doit à présent faire l’objet d’une commission mixte paritaire (CMP, 7 députés et 7 sénateurs) chargée de trouver une version commune aux deux chambres. Comme aucun texte n’est sorti du Sénat, la commission travaillera à partir de celui voté à l’Assemblée.

    Le budget rectificatif de la Sécurité sociale, lui, a été adopté à l’Assemblée nationale par 272 voix pour, 234 contre et 54 abstentions. Les radicaux de gauche ont majoritairement voté pour, notamment « par sens des responsabilités » d’un groupe appartenant à la majorité gouvernementale.Une majorité des écologistes (13 sur 18 élus écologistes ou apparentés) s’est abstenue sur ce texte considéré comme « un véritable chèque en blanc aux entreprises, sans garantie de résultats mais avec le risque d’un accroissement de la précarité et des inégalités ».Le Front de Gauche a résolument voté contre des « largesses sans ciblage, ni contreparties, offertes au patronat au nom de la compétitivité » et dont les Français paieront « la facture ». L’UMP et l’UDI ont aussi choisi de voter contre, opposés notamment au gel de prestations pour les retraités, malgré une approbation de principe aux allègements de cotisations pour les employeurs. 37 députés du PS frondeurs se sont abstenus ou n’ont pas participé au vote.

    http://medias-presse.info/le-projet-de-loi-de-finances-rectificative-rejete-par-le-senat/12548

  • Quelle est la différence entre la bonne et la mauvaise finance ?

    François Hollande et Michel Sapin nous ont joué un remake du célèbre sketch des Inconnus sur les chasseurs :

    "« Môa Président », lorsqu’il était candidat, avait prononcé cette phrase choc qui marqua l’un des tournants de la campagne électorale et qui ne fut sans doute pas pour rien dans l’élection d’Hollande face à Sarkozy :

    « Mon véritable adversaire, il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti. Il ne présentera jamais sa candidature. Il ne sera donc pas élu et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance. »"

    Et Michel Sapin vient de déclarer :

    « Nous avons à répondre à une très belle question : y a-t-il une finance heureuse, au service d’investissements heureux ? Je l’exprimerai autrement et vous verrez ma part de provocation. Notre amie c’est la finance : la bonne finance. »

    Le problème c’est que Michel Sapin, qui prend grand soin de se couvrir des critiques à venir qu’il sait nombreuse en précisant qu’il va parler avec un brin de « provocation », n’explique pas du tout ce qu’est la bonne finance. [...]

    Je pense qu’il faut retenir que la mauvaise finance, c’est simple. Le trader de la banque, il voit une action, un État en mauvais état, une matière première agricole qui va venir à manquer, il spécule.

    La bonne finance, ce n’est pas pareil. Le trader de la banque, il voit une action… un État en mauvais état, une matière première agricole qui va venir à manquer, il spécule mais ce n’est pas pareil, c’est de la bonne finance.

    Et pourquoi c’est de la bonne finance ? Uniquement parce que nos amis du gouvernement ont besoin de le dire puisqu’ils n’ont jamais vraiment voulu se mettre les financiers à dos, surtout que comme le disait « Môa Président », c’est eux qui dirigent vu qu’ils ont le pognon et vu qu’on en a encore plus besoin de pognon qu’il y a deux ans, eh bien les ennemis supposés d’hier sont rapidement devenus les amis d’aujourd’hui. [...]

    Alors la finance est-elle notre ennemi ? La réponse, en réalité, est assez simple. La finance n’a ni ami ni ennemi, la finance n’a en tête que ses propres intérêts et son intérêt est des plus simples à comprendre : faire encore plus d’argent comme seul et unique objectif à sa raison d’être.

    En face, de la même façon, un État n’a pas d’ennemi ni d’ami au sens étymologique du terme, il a des intérêts stratégiques.[...]

    La véritable question à se poser n’est donc pas de savoir si le système financier mondialisé et globalisé est méchant. Évidemment qu’il est, méchant, immoral, sans foi, ni loi. La véritable question est de savoir si ce système financier menace aujourd’hui la France et le peuple de France et donc nos intérêts stratégiques. Pour le moment, la réponse est objectivement non. Ce qui ne veut pas dire que cela va durer.

    Enfin, car je crois qu’il est essentiel de comprendre cela, la seule façon de lutter contre la finance sans visage et très méchante est de ne pas en avoir besoin. L’indépendance nationale à un prix et un coût. Ce coût c’est notre bonne et notre saine gestion. Si nous vivons au-dessus de nos moyens, eh bien chaque jour nos fins de mois seront assurées par des usuriers mais c’est nous les responsables de notre découvert. [...]"

    Michel Janva

  • La dérive du foot business

    Sans doute une bonne partie d’entre vous, amis lecteurs, en avez assez du mondial de foot jusqu’à l’overdose que les médias nous servent chaque jour. Comment ne pas voir cette hyper médiatisation, en période de crise, comme un dérivatif aux problèmes de l’heure, un peu comme on distrayait les foules de la Rome antique avec les jeux du cirque ? Le sport a été victime de son succès : sa médiatisation l’a malheureusement conduit à obéir à la même logique que celle des médias : l’audimat et l’argent comme finalité ! 

    C’est d’autant plus triste que le sport est une magnifique école de vie qui apprend la discipline, le sens de l’effort, la maîtrise de soi, le fair-play, l’altruisme… Cela continue sans doute d’être vrai pour nombre de jeunes qui le pratiquent en amateur dans un cadre scolaire ou universitaire, mais le sport professionnel donne de plus en plus une image opposée aux valeurs fondamentales qu’il est censé transmettre et cela fournit un exemple détestable à une jeunesse influencée par les « stars » des jeux, guère à la hauteur de leur responsabilité comme le sont celles du show-biz : souvenons-nous, par exemple, de l’attitude lamentable des footballeurs français, lors de la coupe du monde de 2010 en Afrique du Sud !

    Le football est à cet égard particulièrement symptomatique de cette dérive du sport professionnel. Le capitalisme financier, qui s’impose sans guère d’obstacle sur toute la planète, en arrive à plier à ses lois la plupart des activités humaines. Il eut donc été étonnant que le football, en tant que l’un des sports les plus populaires et donc les plus médiatiques, échappe à « ce processus de vampirisation », comme l’écrit Jean-Claude Michéa (1). Il est devenu la première industrie mondiale du divertissement, brassant des sommes colossales : droits télévisés, publicités… c’est l’impératif de la rentabilité qui prédomine désormais et qui oblige au résultat : gagner est devenu une nécessité sous peine de pertes financières importantes (par exemple, arriver quatrième au lieu de troisième au championnat de Ligue 1, c’est perdre 10 millions d’euros en raison de la non-participation à une coupe d’Europe). Cela a totalement changé l’esprit de ce sport dont la dimension de plaisir et de gratuité a largement été estompée.

    Mais cette logique de l’argent a aussi modifié le jeu lui-même, ainsi que Jean-Claude Michéa, en amateur éclairé, le démontre dans son merveilleux petit livre qui ravira tous les amateurs de ballon rond : la beauté du jeu offensif a laissé place à des systèmes défensifs jugés plus « réalistes », l’équipe étant désormais organisée de façon à n’encaisser aucun but et à marquer sur contre ou sur coups de pied arrêtés, offrant ainsi un spectacle le plus souvent ennuyeux – les équipes à culture offensive comme le « Barça » (Barcelone) étant devenues l’exception. Cette obligation d’efficacité, au détriment des anciennes conceptions basées sur l’attaque et le fair play, a entraîné d’autres conséquences comme le jeu dur, la simulation (pour obtenir coups francs ou penalties), sans parler du « supportérisme » parfois violent et sectaire contraire à l’esprit originel du sport ; le patriotisme a été partout tellement ridiculisé et brimé, qu’il se manifeste comme un exutoire dans le seul lieu où il est encore toléré et même encouragé par une élite « boboïsée » qui se moque bien du foot mais qui se veut ainsi près du « peuple ».

    Christophe Geffroy

    La suite sur le blog de la Nef

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-derive-du-foot-business

  • Les agences de mères porteuses utilisent la circulaire Taubira pour 'louer des ventres'

    Ce site de location d'utérus pour conception d'enfants donne toutes les indications pour violer la loi française et écrit notamment :

    "Nos mères porteuses accouchent toutes à la maternité d'État. Après elles font le document-déclaration chez le notaire (elles refusent ses droits parentaux en honneur des parents biologiques légitimes, selon l’article 123 du Code de famille), (au-dessus vous trouverez la formule en Français). Puis, l’état civil ukrainien prend leur certificat de maternité, (Extrait de la maison de naissance), aussi que la déclaration-renonciation chez le notaire, plus vos passeports et votre acte de mariage apostillé, pour finalement délivrer aux parents l’acte de naissance. Donc la mère porteuse ne figure plus en acte, seulement les parents de l’enfant. Voila comment l’enfant se déclare à votre nom."

    "Puis on vous traduit l’acte de naissance en francais, et on fait l apostille aupres de Ministere des affaires etrangérès à Kiev. Puis vous fixez le rendez-vous a l’ambassade de France a Kiev, et vous y reclamez un laisser-passer pour l enfant. Actuellement, vu l apparition du circulaire de Taubira, l’ambassade donne ce document vite (2-3 semaines maximum entre la date d’accouchement, et votre retour en France).Attention, le laisser-passer est un document qui vous permettra de rentrer légalement en France avec votre bebe, c’est a dire passer la frontiere. Ce n’est pas un document qui vous donne le droit de nationalité francaise. Au cas de necessite, on present les documents supplementaires a l’ambassade, au cas s ils le demanderont."

    Michel Janva

  • Richard Wilkinson : “Comment les inégalités économiques nuisent aux sociétés” (Rediff.)

    Nous ressentons instinctivement que les sociétés qui ont des écarts de revenus énormes vont mal dans un sens. Richard Wilkinson met en graphiques des données concrètes sur l’inégalité économique, et montre ce qui peut empirer quand les riches et les pauvres sont trop éloignés : les effets réels sur la santé, la durée de vie, même des valeurs fondamentales comme la confiance.

    (Merci à Boreas)

    http://fortune.fdesouche.com/