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élections - Page 19

  • Cherbourg (50). Le candidat LR-RN violemment agressé par des “antifas”

    La scène a été aussi subite que brutale. Peu avant 19 heures, alors que la rumeur de la mi-temps du match France-Belgique souffle joyeusement entre les terrasses bondées et ensoleillées de la place du Théâtre de Cherbourg, Nicolas Conquer, investi par Éric Ciotti pour conduire la liste LR-RN dans la 4e circonscription salue et remercie les quelques militants qui l’ont accompagné pour un tractage « Les tracts étaient remballés et on se disait au revoir entre nous quand, soudainement, un groupe d’une dizaine de jeunes, genre 25-30 ans, a bondi dans notre direction en nous jetant des pierres et différents objets trouvés sur la chaussée aux cris de « sales racistes… enc..lés. » Dans la bousculade, un mineur a même été touché… », raconte au Figaro Nicolas Conquer, qui a notamment reçu des projectiles sur l’épaule.

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  • Eric Zemmour : Je suis heureux de ce réveil français. Faites gagner la France dimanche !

  • Vers un barrage contre l’Extrême Gauche

    Il y a la Place de la République un soir d’élection et il y a la France. Les gens de la Place de la République, quand ils sont quelques milliers, s’imaginent qu’ils sont la France, et que la France entend leur message et les suit. Mais ils ne sont qu’un microcosme braillard, haineux et déconnecté du reste d’un pays qui n’a pas le temps, lui, de se livrer à des exactions gratuites et injustifiées sur le mobilier urbain et les commerçants laborieux. Ils donnent à voir ce qu’est réellement cette extrême gauche à près de 29 %. Elle n’accepte pas le verdict des urnes, est donc par essence, anti démocratique, plus extrême donc, que l’autre extrême, qu’elle prétend combattre et qui ne casse rien quand elle perd une élection.

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  • Le spectacle pitoyable de la patrouille des castors

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    Bernard Germain

    C’était prévisible et c’est ce qui s’est passé.

    Entre juin 2022 et ce 30 juin 2024, le RN a multiplié par 3 son nombre de voix, passant de 4 millions de voix à plus de 12 millions. Peut-on montrer de manière plus claire l’exaspération des Français du fait de la politique de Macron qui est en train depuis 7 ans de consciencieusement détruire notre pays, soutenue par tous les bien pensants et même par une partie de la gauche ?

    On remarquera que déjà 39 députés du RN sont réélus dès le 1er tour, comme Marine Le Pen, Julien Odoul, Sébastien Chenu,… etc. Ce qui montre sans équivoque leur enracinement local, et que leur élection n’a rien à voir avec un coup de colère des habitants de leurs circonscriptions. C’est un vrai vote d’adhésion.

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  • Victoire du RN : la méthode anti-crachats

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    Il fallait être solide pour voter RN le 30 juin. Avec la propagande qu'on s'est tapée pendant trois semaines, une certaine force de caractère était requise au moment de mettre le bulletin dans l'urne. Pas simple de donner sa voix au racisme et au fascisme ressuscité, arrosés de sauce nazie avec des rasades de Vichy. Le tout rabâché 24h sur 24, ad nauseam, par les médias aux ordres. Mais, ma bonne dame, puisqu’on vous dit que c’est pour la bonne cause !

    Au vrai, l’opération a plutôt bien fonctionné. Partant d'un socle de 31 % aux Européennes, renforcé par LR-Ciotti (3 à 4%), bénéficiant de la quasi disparition de Reconquête (5 %), le RN était crédité logiquement de 36 à 38 % dans les sondages. Il a terminé à 33 %. Décevante victoire.

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  • Il faut entendre le peuple…

    Les Français ont retrouvé massivement le chemin des urnes à l’occasion du premier tour des législatives. Le premier enseignement est bien celui-ci. Quand l’enjeu est important, les électeurs ne boudent pas, ce qui donne au résultat une valeur non plus symbolique, mais bien réelle de l’état du pays et de ses composantes. Il n’y a pas seulement un clivage droite/gauche, mais bel et bien des nuances complexes du paysage politique où deux forces s’opposent sans pouvoir décider seules. L’anachronisme de la situation vient de là, sans compromis, avec des mariages douteux entre gens qui soi-disant se détestent. Le principe même de la Vième République est donc fragilisé. Conçue pourtant pour trouver une stabilité avec une majorité claire, nous voilà replongés dans le doute et l’incertitude. La décision reviendra aux électeurs, au-delà des consignes de vote de formation qui sont devenues incapables de peser autrement que par du verbiage incantatoire sur la supposée nocivité du RN.

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  • Face au péril d’extrême gauche, Ciotti met les LR devant leurs responsabilités

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    La clé du scrutin du 7 juillet est sans doute chez les LR et, plus largement, dans l'électorat de droite modérée. Alors que le macronisme est moribond, pour ne pas dire mort, Macron, lui, bouge encore un peu et, pour sauver sa peau, misérablement, n’hésite pas à la pire des compromissions avec l’extrême gauche, comme Marc Baudriller le dénonce dans ces colonnes, alors que pendant sept ans, il n'a eu de cesse de faire des œillades à l'électorat de droite.

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  • Finalement, LFI apprécie Elisabeth Borne et ses 49.3

    Finalement, LFI apprécie Elisabeth Borne et ses 49.3

    L’ancienne Première ministre Elisabeth Borne (avec 28,15%) est devancée par le RN (36,51%) dans la 6e circonscription du Calvados.

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  • Avec 10.6 millions de votes, l’alliance RN-LR fait 33.15% et obtient 40 députés dès le premier tour

    Pour la première fois dans l’histoire de la Ve République, le parti d’extrême-droite a obtenu, dans 38 circonscriptions, des élus au soir même du 1er tour des élections législatives. Certains départements, à l’image de l’Aisne, plébiscitent ainsi très largement le RN.

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  • Tragédie française

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    Alexis Brezet, directeur de la rédaction du Figaro

    Lorsque les historiens se pencheront sur la dissolution, ils n’auront qu’un mot : désastre ! On ne saurait l’imaginer plus complet. Emmanuel Macron avait tout, ou presque : l’Élysée, et trois ans devant lui ; une majorité, relative, certes, mais une majorité tout de même ; un parti en ordre de marche ; un socle électoral étroit, mais étonnamment solide ; une image personnelle écornée, mais une autorité indiscutable. Il perd tout, fors l’Élysée. Il voulait unir le bloc central, diviser la gauche, isoler le RN : tous ses calculs se sont révélés faux. Au fond, son pari était que les Français, d’une élection à l’autre, changeraient d’avis : non seulement ils persistent, mais le niveau élevé atteint par la gauche LFI vient, si besoin était, ajouter une touche très inquiétante au tableau.

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