La France depuis 7 ans n’est pas gouvernée, elle est manipulée. Cela a commencé avec le coup d’Etat médiatico-judiciaire contre Fillon qui a cassé le processus de l’alternance présent dans la plupart des démocraties et a permis le maintien au pouvoir des socialistes tendance DSK alors que le bilan d’Hollande était calamiteux. Macron comme Attal viennent du PS ainsi que nombre d’élus macronistes. Il ont été rejoints par des centristes et quelques arrivistes “de droite”. L’effondrement du parti “de droite” Les Républicains a logiquement fait du Rassemblement National le nouveau parti de l’alternance. Ce petit remplacement est d’autant plus facile que le RN ressemble beaucoup au RPR pour son patriotisme, et qu’il se situe plutôt à sa gauche sur les plans social et sociétal.
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PAS UNE VOIX POUR LA MACRONIE, PAS UNE VOIX POUR LA GAUCHE !
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Pour éviter l’élection de candidats LFI, le RN se désiste dans quatre circonscriptions où il arrive en 3e position
210 prétendants de gauche ou du camp présidentiel, qualifiés pour le second tour mais arrivés troisième ont annoncé leurs désistements.
Jordan Bardella a renvoyé dos à dos lundi sur TF1 Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, qui auraient scellé ensemble une «alliance du déshonneur». Néanmoins, il a fait du Nouveau Front populaire (NFP) son «principal adversaire». C’est dans ce contexte que quatre candidats soutenus par le RN se sont retirés, permettant de limiter la victoire de la gauche dans leur circonscription :
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Le retour du peuple
Depuis le résultat des élections européennes et l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, les tractations et tambouilles politiciennes vont bon train. Union des droites, Nouveau Front Populaire, accords, trahisons, reniements, alliances, désistements… ces jeux politiciens ont éclipsé le fait majeur qui s’est amorcé dimanche 9 juin et poursuivi le 30 : la résurgence d’un peuple qu’on croyait disparu, sorti des radars et de l’Histoire, émietté, « archipélisé ». Le résultat des élections européennes a été confirmé lors du premier tour des législatives : nous vivons un moment populiste, le retour du peuple sur la scène de l'histoire et du politique.
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Le retour du clivage droite-gauche, sur le thème de l’identité
Aux lendemains du premier tour d’élections législatives, les Eveilleurs reçoivent Marion Maréchal. Tout juste élue député au Parlement européen, l’ancien député du Vaucluse revient sur son nouveau mandat, sur une campagne législative à nulle autre pareille et sur l’union nationale qu’elle soutient :
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Ententes Macronie-NFP : Véronique Genest a la nausée
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Les difficultés ne font que commencer : elles sont innombrables !
Bernard Plouvier
Il n’est nullement assuré que les historiens de l’avenir s’intéressent à la dissolution de la Chambre par un Macron aux abois, fin juin 2024. En revanche, ils chercheront à comprendre comment les Français ont laissé des politiciens détruire leur pays en cinquante années de folie furieuse :
• Loi Veil autorisant l’avortement de complaisance, donc la chute dramatique de la natalité autochtone
• Décret de regroupement national des travailleurs immigrés pour relancer la consommation intérieure, ouvrant la voie à l’invasion extra-européenne
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1er tour des législatives : l’analyse et la suite !
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Seules les droites unies peuvent sauver la France française
Confirmation : Emmanuel Macron ne comprend rien à la France qu’il préside. Il ne la voit pas dans ses profondeurs provinciales qu’il méprise. En décidant, l’orgueil blessé, de dissoudre l’Assemblée le 9 juin, il était persuadé de retrouver une majorité absolue pour son camp. C’est évidemment une défaite personnelle qu’il a dû encaisser hier soir, à l’issue du premier tour des législatives, avec un Bloc national à 33,15 %, un Nouveau front populaire à 27,99 % et une coalition macroniste à 20,83 %. Dimanche après-midi, c’est pourtant un Macron déguisé en rocker (blouson, jean, casquette à visière, lunette noire) qui fanfaronnait au bras de son épouse dans les rues du Touquet. De cette image trop travaillée, sans doute faut-il retenir néanmoins son côté voyou frimeur qui-arrive-en-ville. Chez ce narcisse au bord de la noyade, les coups les plus vils sont à attendre pour sauver sa peau.
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« Elections. Comme prévu, un effondrement est une simplification rapide ! Le choix entre le RN et LFI ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Suite à un problème de mise en ligne hier lundi, voici l’édito que certains n’ont peut-être pas pu lire.
Comme prévu, nous en arrivons aux choix globalement entre LFI et le RN.
Entre la droite de droite et la gauche de gauche.
Positions polarisées.
Cette mise a égalité entre les RN et LFI a rythmé la soirée électorale et rythmera sans doute la semaine chargée que nous allons vivre.
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Cherbourg (50). Le candidat LR-RN violemment agressé par des “antifas”
La scène a été aussi subite que brutale. Peu avant 19 heures, alors que la rumeur de la mi-temps du match France-Belgique souffle joyeusement entre les terrasses bondées et ensoleillées de la place du Théâtre de Cherbourg, Nicolas Conquer, investi par Éric Ciotti pour conduire la liste LR-RN dans la 4e circonscription salue et remercie les quelques militants qui l’ont accompagné pour un tractage « Les tracts étaient remballés et on se disait au revoir entre nous quand, soudainement, un groupe d’une dizaine de jeunes, genre 25-30 ans, a bondi dans notre direction en nous jetant des pierres et différents objets trouvés sur la chaussée aux cris de « sales racistes… enc..lés. » Dans la bousculade, un mineur a même été touché… », raconte au Figaro Nicolas Conquer, qui a notamment reçu des projectiles sur l’épaule.
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