Les résultats des élections européennes ne sont pas vraiment une surprise, au contraire de la dissolution de l’Assemblée nationale décidée et annoncée au beau milieu d’une soirée électorale jusque-là aussi ennuyeuse que d’habitude : tout d’un coup, l’on basculait de l’évocation et valorisation (pour certains, peu nombreux en fait) d’un bilan à une entrée en campagne, cette fois pour les élections législatives. Par cette décision pour le moins inattendue, M. Macron espère rejouer les lendemains de Mai 68, mais n’est pas de Gaulle qui veut, et il n’est pas certain que le réflexe des électeurs de juin 68, scandalisés ou apeurés par les émeutes et l’apparent triomphe des extrémistes, puisse être le même. Certes, la crainte de l’arrivée du Rassemblement National au pouvoir peut mobiliser nombre de citoyens jusque-là discrets ou absents des dernières consultations électorales, et lui barrer la route de Matignon, et il n’est pas interdit de penser, à trois semaines du premier tour, que c’est le scénario le plus plausible sinon le plus probable. D’autant plus que certains électeurs du RN, plus occasionnels (1) que fidèles, sont eux-mêmes effrayés de cette possibilité d’un Premier ministre issu des rangs de l’ancien Front National, un peu comme ces communistes qui, à l’heure de gloire du PCF, avouaient dans les sondages ne pas souhaiter l’installation d’un régime collectiviste en France (2)…
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Vers une crise de régime ? (1) : La Cinquième République fragilisée.
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« Jeter Macron aux oubliettes, mais pas la “start-up Nation” et encore moins la Nation ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Jeter Macron aux oubliettes, mais pas la “start-up Nation” !
Dans cette atmosphère de dégagisme évident de la macronie que je comprends parfaitement tant j’en ai chroniqué les défauts, les excès et les méchancetés, rarement un secteur économique, en l’occurrence les “start-up” n’a été aussi lié à un dirigeant politique. Des Gilets Jaunes éborgnés aux non-vaccinés qu’ils voulaient emmerder, de ceux qui ne sont rien, à ceux qui ne comprennent rien, ce président ne restera dans l’histoire que comme un mozarillon de pacotille et un destructeur. Un fossoyeur. Un liquidateur d’une nation et d’une population qu’il déteste tant.
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« Oui il y a un risque de guerre civile et elle vient de la gauche ! L’incroyable interview d’Alain Bauer sur Apolline Matin ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je sais que je vais me faire huer par ceux qui sont fâchés avec les Francs-Maçons, pourtant je vais quand même le faire, parce j’écoute tout le monde, tout le monde, je lis tout le monde y compris et surtout ceux avec qui je ne suis pas d’accord, ce qui d’ailleurs en l’espèce n’est pas le cas. Alain Bauer, criminologue éminent et ancien Grand Maître du Grand Orient de France dit des choses parfaitement justes.
D’ailleurs sa sortie sur le président actuel, le petit mozarillon du palais est ahurissante car, même pour lui, les bras lui en tombent, ce qui est une excellente nouvelle. Notre leader Minimo Fidel Macro a perdu le peuple, hier il a perdu les patrons qui votent majoritairement RN. Aujourd’hui il a même perdu le Grand Orient. C’est dire si c’est porteur d’espoir !!
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Plan Procu: une plateforme de procurations soupçonnée de liens avec la Macronie
« Surtout pas, ce site est tenu par des macronistes », « Ne passez pas par ce site, vous ne savez pas qui va prendre votre voix », « Attention au site Plan Procu. Sa neutralité ne peut être garantie, de même que le respect de vos consignes de vote »…
L’annonce surprise de la dissolution et la convocation d’élections législatives anticipées dans un si bref délai a pris tout le monde de court.
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Sondage à la veille des législatives : le RN en tête de dix points, à 37%, NFP à 27%, Ensemble à 21%
Législatives: le RN et ses alliés crédités de 37% des intentions de vote au premier tour (sondage Toluna Harris interactive pour Challenges, M6 et RTL)
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[Tribune] Éric Ciotti a cassé la machine à perdre de la droite française
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Surréaliste Attal…
Voilà Attal en campagne et son bilan, qui n’a pas l’air d’être de lui, ce doit être celui du Rassemblement National, pardon, ce qu’aurait fait le Rassemblement National s’il avait été au pouvoir. « On a mené pendant sept ans le pays à la ruine, pour bien vous montrer ce qui se passerait si le RN était élu. Vous avez bien vu, les 1000 milliards de dettes, les ruines industrielles, la délinquance galopante et l’antisémitisme rampant, c’est ce qu’ils feront s’ils sont élus… votez pour nous, nous allons redresser tout cela, nous sommes les seuls à ne pas être des extrémistes ». Ce n’est pas vraiment ce qu’il raconte, mais ça y ressemble. L’homme du passif, flanqué de Philippe, son prédécesseur qui a ruiné et menti pendant la crise Covid, expliquent qu’ils vont remettre la France sur des rails. Il ne manque plus que Borne, expliquant que sa réforme des retraites, c’est la faute du RN. Et le même Attal de prendre ses distances d’avec Macron le honni pour demander qu’on le nomme, lui et personne d’autre, premier ministre… on croit rêver.
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Tribune libre : Bernard Germain a raison, il faut dimanche 30 juin, voter en masse pour le Rassemblement des droites
Michel Festivi
Sans polémiquer aucunement bien au contraire, je considère tout comme Bernard Germain cliquez ici, que dimanche 30 juin, dès le premier tour, il faut absolument voter en masse pour le Rassemblement des droites, soit pour le RN et ceux de Reconquête et des LR avec Éric Ciotti, qui le soutiennent, et ce nonobstant tous les élans de sympathie que l’on peut avoir pour Reconquête et ses électeurs.
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ENTRETIEN PUBLIÉ DANS OUEST-FRANCE. Marion Maréchal : « Je veux une triple frontière contre les clandestins »
Texte publié dans Ouest-France cliquez ici
La tête de liste Reconquête espère créer la surprise lors des élections européennes du dimanche 9 juin. « Cette triple frontière sera nécessaire pour dissuader, bloquer et expulser les clandestins », dit-elle
Quelle est la proposition phare de votre programme ?
La « triple frontière », pour dissuader, bloquer et expulser les clandestins. Une première frontière hors du territoire de l’Union, qui prendra la forme d’accords avec les pays de départ où nous ouvrirons des centres pour examiner les demandes d’asile. Une frontière européenne, avec la mise en place d’un blocus militaire naval en Méditerranée et le financement des murs demandés par les pays confrontés aux afflux de migrants. Une frontière nationale, basée sur la fin de la libre circulation des extra-Européens au sein de l’espace Schengen, la suppression de la directive sur le regroupement familial et la mise sous condition de l’aide au développement, réservée aux seuls pays qui accepteront de reprendre leurs ressortissants expulsés.
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CETTE BOBO HUMILIÉE PAR MARION MARÉCHAL