élections - Page 201
-
Interview de Thierry Mariani, candidat sur la liste RN aux élections européennes.
-
Guillaume Bernard s'exprime sur les élections européennes
-
Frédéric Boccaletti : « Non, le Var, ce n’est pas Facholand »
Manon Aubry, tête de liste de La France insoumise aux élections européennes, a déclaré, ce week-end, dans une réunion publique : « Moi qui ai grandi dans le Var, à Facholand. » Réaction au micro de Boulevard Voltaire de Frédéric Boccaletti, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et délégué départemental du Rassemblement national dans le Var.
Manon Aubry a déclaré devant 200 militants :’’ moi qui ai grandi dans le Var à facholand, je sais ce que c’est de se battre’’.
Le Var est-il facholand ?Le Var n’est pas du tout facholand ! On est bien loin de cette caricature-là. Les Varois ne sont pas des fachos. Ils sont simplement des nationaux sincères qui aiment leur nation et ce qu’elle représente. Ils ont l’amour sincère de la patrie. Malheureusement Manon Aubry ne peut pas s’empêcher de tomber dans l’insulte de l’ensemble des Varois.
Les électeurs du Rassemblement national étaient bien évidemment visés. Elle insulte l’ensemble des Varois et un magnifique département.
Je trouve cela assez gonflé de la part de cette personne qui fait partie de l’extrême gauche. Cette idéologie politique a fait plusieurs dizaines de millions de morts à travers le monde. C’est d’autant plus choquant quand c’est repris par la presse. Var-Matin reprend l’intégralité des propos de Manon Aubry. La mère de Manon Aubry, Catherine Poggy Aubry est elle même candidate sur liste de la France Insoumise en 57e position. C’est une ancienne journaliste de Var-Matin. Il y a peut-être une relation de cause à effet dans tout cela. Je trouve cela totalement lamentable, autant de la part de Manon Aubry que du journaliste de Var-Matin.Le Rassemblement national est bien implanté dans le département et dans la région.
Voyez-vous une sorte de reconnaissance vis-à-vis du Rassemblement national ?Je n’attends aucune reconnaissance de cette personne-là. Il est vrai que nous sommes bien implantés dans le Var et dans la région PACA. Madame Aubry peut se garder les insultes. Avant de monter au cocotier, faut-il encore avoir le caleçon propre.
Quand on reprend les propos récents de monsieur Thomas Guénolé et les attaques qu’il fait contre la France Insoumise et Monsieur Mélenchon, je pense qu’en termes de démocratie, son propre mouvement n’a pas beaucoup de leçons à donner.La campagne européenne de la région PACA a commencé depuis quelques semaines. On a vu une tête de liste En Marche en difficulté face à la liste du Rassemblement national.
Pensez-vous que votre formation politique soit en mesure de gagner et de dépasser la République En Marche ?J’en suis convaincu. Je pense que le soir du premier tour, nous arriverons en tête. Madame Loiseau est en train de s’écraser complètement en plein vol. On l’a vu au-delà de tout ce qu’elle peut représenter politiquement. Elle aussi était donneuse de leçon. On l’a vu face à Marine Le Pen. Elle lui disait’’ j’ai hérité le combat contre l’extrême droite de mon père’’.
Cette dame a oublié qu’elle avait elle-même participé à une liste où le GUD était représenté. On tombe encore une fois dans la leçon et la caricature.
Mais il faut surtout retenir les idées que portent Madame Loiseau et Manon Aubry. Elles sont totalement à l’opposé de ce que nous voulons pour l’Europe. Ces deux candidates sont favorables à l’Union européenne telles qu’elle est aujourd’hui, voire à aggravation de la situation de notre nation.
Nous ne sommes pas du tout favorables à cette Union européenne. Nous voulons une Europe des Nations changées de l’intérieur avec nos alliés européens.https://www.bvoltaire.fr/frederic-boccaletti-non-le-var-ce-nest-pas-facholand/
-
A un mois des européennes, le RN et LaREM au coude-à-coude
Le nouveau sondage "L'Opinion en direct", réalisé par l'institut Elabe et publié ce mardi, révèle que les listes LaREM/MoDem et Rassemblement national continuent de jouer des coudes, à l'approche des européennes. Mais l'hypothèse d'une liste de gilets jaunes ne paraît plus en mesure de bousculer le scrutin.
À moins d'un mois des élections européennes, les listes La République en Marche - MoDem et Rassemblement national sont toujours au coude-à-coude et en tête des intentions de vote.[...]
En savoir plus sur bfmtv.comhttps://www.peupledefrance.com/2019/04/europeennes-rn-larem-coude-a-coude.html#more
-
Royaume-Uni : les partis pro-Brexit caracolent en tête des sondages.
Et la classe politique et les médias français veulent nous faire croire que les Britanniques ne voudraient plus sortir de l’UE et rêvent d’un second référendum :
Mais un autre parti nouveau se taillerait la part du lion, selon cette étude : le Brexit Party, fondé par le député européen populiste Nigel Farage. Ce Parti du Brexit antieuropéen pourrait atteindre selon Yougov 27 % des voix le 23 mai prochain, envoyant ainsi nombre d’élus europhobes à Strasbourg. [source]
Au Royaume-Uni, les pro-Brexit ont désormais leur parti, the Brexit party. Derrière ce mouvement, on trouve Nigel Farage, ancien dirigeant de la formation eurosceptique UKIP. Le parti est en tête des intentions de vote pour les européennes.Le Brexit party est d’ailleurs le premier à être entré en campagne. Nigel Farage tenait un meeting la semaine dernière à Clacton-on-Sea, petite ville à l’est de Londres. Les fans sont venus en force sur la jetée de cette station balnéaire en déclin pour célébrer le retour de leur homme providentiel et ne lui tiennent pas rigueur d’avoir quitté la scène politique en 2016 lorsqu’il a fallu mettre en œuvre le Brexit: “Nigel Farage est le seul politicien qui dit ce qu’il pense et qui fait ce qu’il pense, et c’est pour ça que je l’apprécie. J’ai toujours voté pour lui et c’est d’ailleurs les seules fois où j’ai été prête à faire la queue pour voter”, déclare une de ses supportrices. [source]Deux partis, favorables à une sortie de l’UE sans accord avec les Vingt-sept, leur font directement face : l’Ukip et le Brexit Party, la nouvelle formation de Nigel Farage. L’ancien leader historique de l’Ukip a convaincu une ancienne conservatrice de premier rang, Ann Widcombe, de se joindre à lui ainsi qu’Annunziata Rees-Mogg, la journaliste et sœur du député et Brexiter renommé Jacob Rees-Mogg. Outre Nigel Farage, il présente également deux actuels députés européens élus sous l’étiquette Ukip. Les instituts de sondages placent le Brexit Party en tête des intentions de vote (23 %) ou en seconde position à égalité avec les conservateurs mais très loin du Labour (15 %). L’Ukip, crédité d’entre 4 % et 6 % d’intentions de vote, aura bien du mal à exister. A eux deux, ils devraient néanmoins obtenir plus de votes que les « Remainers ». [source] -
Espagne : l'espoir est de retour
Forum SI cliquez ici
Après les élections générales espagnoles du 28, qui voient l’extrême droite enfin de retour au Parlement avec les 24 sièges de Vox, la première réaction s’exprime par une brève formule : « ¡arriba España! »
Ceci dit, il convient de se garder de tout triomphalisme excessif. Tel est le sens du communiqué, traduit de l’italien par ForumSi, mis en ligne par Gabriele Adinolfi, le 28 avril dans la nuit :
« Résultats en Espagne.
Vox, avec 10,2 %, obtient 24 sièges.
Les socialistes et Podemos obtiennent la majorité relative et, pour gouverner, doivent s’entendre avec les séparatistes basques et catalans.
L’avancée des populistes espagnols a, par conséquent, un sens en soi, mais n’a pas d’incidence sur un cadre général qui a empiré.
Ceci indépendamment de considérations sur la direction ultralibérale de Vox, qui laisse perplexe, mais qui, en l’état actuel, n’est qu’un élément secondaire.
En somme, le Système tient, s'il ne se renforce pas, même là où les scénarios politiques contraignent les partis de gouvernement à se remettre lentement à évoluer et la déception populaire s’exprime avec des chiffres significatifs. »
En résumé, le séparatisme catalan et la politique immigrationniste débile du PSOE ont provoqué l’exaspération de l’électorat et remis l’extrême droite espagnole en selle. Que celle-ci, comme nombre de mouvements populistes, soit, en partie dotée d’une direction « ultralibérale » est évidemment un facteur de perplexité, comme l’écrit Adinolfi. Cela étant, certains dirigeants de Vox ont quand même une facilité à tendre le bras qui laisse penser que, sous le verni libéral, des tendances plus profondes peuvent se manifester, si l’occasion s’en présente. On verra bien. En attendant, ne boudons pas notre plaisir : l’émergence de Vox est un élément de forte perturbation du Système qui va dans le bon sens. Souhaitons qu’il soit exploité comme il convient…
NDLR SN : Forum SI a bien raison : "ne boudons pas notre plaisir". Depuis le regretté Blas Pinar (président de Fuerza Nueva, décédé en 2014), à la fin des années 1970 et au début des années 1980, la droite nationale espagnole était complètement absente aux Cortes.
Il faut savoir que celle-ci, depuis 40 ans, subissait une escroquerie un peu comparable à ce que fut le gaullisme en France à la même époque. En effet, tout reposait sur une ambiguïté. En 1976, lorsque eurent lieux les premières élections "démocratiques", fut créé à l'initiative d'un ancien ministre du Général Franco, Manuel Fraga Iribarne, un mouvement sensé incarner la continuité. Il s'agissait de l'Alliance populaire. Celle-ci se transforma au début des années 1990, après le retrait de son fondateur, en "Parti populaire". Ce changement de nom coïncida avec un changement d'orientations politique et idéologique puisque le PP devint très vite un parti libéral-conservateur comparable à ce qu'était le RPR en France. Mais, en douce, le Parti populaire continuait à s'accaparer les voix nationales en jouant sur ses racines post franquistes... tout en appliquant une politique de soumission aux désidératas de la finance mondialiste. Mis à part quelques organisations lucides et courageuses comme la Phalange (bien que divisée), tout le monde semblait se satisfaire de cette situation peu reluisante. L'émergence de VOX marque probablement la fin de cette OPA douteuse...
Ce qui est hallucinant depuis ce matin, c'est d'entendre les commentaires fielleux de certains journalistes français qui, en serviles chiens de garde du Système qu'ils sont, s'évertuent à diminuer la victoire des nationalistes espagnols. Pourtant, partis de rien, insultés à longueur de journées par les médias "bien-pensants", culpabilisés pour un passé dont ils n'ont pourtant pas à rougir, les nationalistes de VOX débarquent de manière spectaculaire sur la scène politique ibérique. Que cela plaise ou non aux plumitifs aux ordres, il en est ainsi.
L'Espagne était, jusqu'à ces derniers mois, restée en dehors du vaste mouvement de renaissance nationale et identitaire qui s'apprête à libérer l'Europe du joug des mondialistes. Aujourd'hui, ce vide est comblé... et nous ne pouvons que nous en réjouir.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
-
Portrait d'Hélène Laporte, deuxième sur la liste RN aux européennes
-
Hervé Juvin, candidat aux européennes : “L’Europe ne se fera pas en défaisant les nations qui la composent”
Retrouvez Hervé Juvin, le brillant n°5 de la liste du RN, notamment sur RT
et sur Europe 1 (entre 15 et 25 minutes)
et naturellement sur son site de campagne.
-
Espagne : Vox trouble la fête socialiste – Journal du lundi 29 avril 2019
Espagne : Vox trouble la fête socialiste
Alors que le parti socialiste de Pedro Sanchez a remporté les élections législatives espagnoles sans obtenir de majorité absolue, le mouvement populiste Vox fait une entrée remarquée au parlement en obtenant 24 sièges. Un résultat encourageant à un mois des élections européennes et régionales en Espagne.
Gilets Jaunes : Le gouvernement toujours sous pression
Quelques jours après la conférence de presse d’Emmanuel Macron, les Gilets Jaunes étaient toujours dans la rue et le 1er mai s’annonce mouvementé. Face à cela, le gouvernement doit plancher pour mettre en place la feuille de route du président de la République.
Forces de l’ordre : en plus des suicides, la menace terroriste
Alors que Christophe Castaner inaugurait ce lundi une cellule pour lutter contre les suicides dans la Police, on apprend qu’un attentat contre les forces de l’ordre a été déjoué.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/vox-trouble-la-fete-socialiste-journal-du-lundi-29-avril-2019
-
L’AfD en passe de devenir le premier parti en ex-RDA
Le parti d’opposition qui y était déjà arrivé en deuxième position aux élections de 2017 devant la CDU pourrait passer, selon l’hebdomadaire « Bild am Sonntag », en tête aux prochaines élections cet automne avec 23% des intentions de vote.
C’est en effet à cette date que la Thuringe, la Saxe et le Brandebourg doivent renouveler leurs parlements respectifs.
Selon ces projections, Alternativ fûr Deutschland serait, avec 23% des intentions de vote, en mesure de remporter un ou plusieurs de ces Länder, ce qui y porterait un parti de droite nationale au pouvoir pour la première fois depuis 1945.
https://fr.novopress.info/214385/lafd-en-passe-de-devenir-le-premier-parti-en-ex-rda/