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élections - Page 204

  • Marine Le Pen et Jordan Bardella dans les Bouches-du-Rhône

  • Le choix de la désunion et de la défaite

    Le choix de la désunion et de la défaite

    Alea jacta est. Pour les européennes, Nicolas Dupont-Aignan, qui vient d’annoncer sa liste, a donc fait le choix de la désunion et de la défaite. Après avoir porté un certain espoir d’alternative, la liste des Amoureux de la France se trouve amputée de la plupart de ses composantes. Alors que les Amoureux de la France avaient été fondés, aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan, par Jean-Frédéric Poisson (PCD), Emmanuelle et Robert Ménard, avant d’être rejoints par Véronique Besse (MPF) Bruno North (CNI), Sylvie Goddyn et Bernard Monot (ex FN), il ne reste plus que Bruno North sur la liste qui n’est pratiquement plus qu’une liste DLF. Ce qui confirme le sectarisme que nous avions observé avec l’ahurissante éviction d’Emmanuelle Gave – semble-t-il pour un simple tweet contestant la loi Gayssot (dont je doute qu’un seul électeur de droite soit un fervent défenseur).

    Au passage, je redis ici ce que j’avais eu l’occasion de dire à tel ou tel acteur de cette aventure des Amoureux de la France : il était suicidaire de faire lancer cette plateforme par des politiciens, aussi sympathiques et courageux qu’aient été certains d’entre eux. Par fonction, les politiciens sont les plus mal placés pour apprécier les sujets de convergence avec d’autres formations ou d’autres politiciens. Par construction, les partis politiques sont des structures sectaires, incapables de penser au bien commun. Il aurait été bien plus raisonnable de créer cela à partir de la base, de la société civile, en faisant des hommes politiques les relais d’une opération qui aurait démarré sans eux. Mais, en ce domaine comme en bien d’autres, le narcissisme conduit à des erreurs grossières.

    Manifestement, en tout cas, Nicolas Dupont-Aignan ne cherchait pas des alliés, mais des ralliés. Il n’est hélas pas le seul à se comporter ainsi dans la vie politique française, ce qui fait qu’Emmanuel Macron, bien que moins de 20% des électeurs inscrits aient voté pour lui au premier tour de la présidentielle, peut gouverner avec une confortable majorité et peut même songer sérieusement à être réélu, faute d’opposition digne de ce nom. L’indécrottable féal de la « petite fille Espérance » que je suis ne peut s’empêcher de penser qu’un jour, certains hommes politiques écouteront les leçons des erreurs passées, mais nous n’y sommes pas encore, il s’en faut de beaucoup !

    En attendant, revenons à la campagne européenne.

    J’avais alerté depuis plusieurs mois plusieurs amis et relations sur l’optimisme un peu naïf qui régnait dans cette équipe.

    D’abord, connaissant plusieurs personnes qui étaient « assurées » d’être n°3 sur la liste, j’avais prudemment évoqué le fait qu’il me semblait compliqué d’avoir plusieurs personnes à la même place ! Déjà début décembre, le nom de Jean-Philippe Tanguy, lieutenant de Nicolas Dupont-Aignan, circulait avec insistance – bien que l’on voie mal ce qu’il apporte à son « grand homme » au plan politique, à moins que la stratégie soit de draguer des électorats de gauche comme l’électorat anticlérical ou l’électorat LGBT (j’y reviendrai plus bas).

    Ensuite, tout le monde se félicitait de voir la liste caracoler en bonne situation dans les sondages, autour de 7-8%. Mais, là aussi, je m’étais interrogé à voix haute sur la réalité des chiffres – y compris d’ailleurs devant Nicolas Dupont-Aignan lui-même qui me demandait en juillet dernier ce que pouvaient faire les catholiques de conviction pour soutenir sa démarche. Ma conviction était que, dès le début de la campagne « réelle », les mastodontes LR et RN allaient réoccuper tout l’espace médiatique à droite et que les « challengers » auraient alors mangé leur pain blanc. Mais tous mes interlocuteurs me répondirent à l’unisson que la dynamique était du côté des Amoureux de la France.

    Enfin, il me semblait évident que, ces deux premiers éléments entrant en collision, l’annonce officielle de la liste serait un moment particulièrement compliqué pour la liste DLF, plus ou moins ripoliné en Amoureux de la France (c’était bien la peine d’avoir moqué naguère le Rassemblement Bleu Marine comme un faux nez du FN !).

    Nous y sommes. Depuis quelques heures, nous découvrons que le roi est nu et que la liste n’est, en réalité, qu’une liste Dupont-Aignan. Plus exactement, c’est une aventure personnelle, mais avec des inconvénients supplémentaires qui vont fortement endommager l’image de Nicolas Dupont-Aignan – qui ne transforme donc pas l’essai de son courageux franchissement du « cordon sanitaire » entre les deux tours de la présidentielle.

    Déjà, l’éviction d’Emmanuelle Gave avait montré que « NDA » se soumettait volontiers au médiatiquement correct. Mais les principaux colistiers envoient, me semble-t-il, des signaux catastrophiques à l’électorat de droite. Stéphanie Gibaud, la deuxième sur la liste, est cette personne qui « balança » au fisc les noms des contribuables fuyant l’enfer fiscal français en violant la confiance de son employeur et de ses clients. Bien sûr, l’évasion fiscale est un délit. Bien sûr, elle pose de sérieux problèmes moraux. Mais, enfin, présenter, à la mode de certains gauchistes, la délation et le vol de données personnelles comme un acte sublime de résistance est peut-être un tantinet exagéré ! Même pour les plus vertueuses indignations, les coups de téléphone anonymes à la Kommandantur n’ont pas bonne presse dans l’opinion ! Nous avons déjà évoqué, dans le Salon beige, le cas de la quatrième, Marie-Jo Zimmermann, qui attaque les LR pour être trop conservateurs. On pourrait les critiquer pour être trop peu courageux, trop soumis au politiquement correct, mais trop conservateurs ! Là, les bras vous en tombent. Elle aurait voulu offrir 2 points de plus à François-Xavier Bellamy qu’elle ne s’y serait pas pris autrement !

    Le plus grand repoussoir reste cependant le bras droit (ou plutôt le bras gauche) de Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Philippe Tanguy (en photo). Je disais plus haut que je ne voyais pas ce qu’il apportait politiquement. En revanche, je vois bien ce qu’il retranche. Cet énergumène – qui était, paraît-il, à la manœuvre pour évincer Emmanuelle Gave – est un stakhanoviste du tweet. Il tweeta naguère sa joie d’être à la gay pride (qui n’est pas exactement le lieu du plus grand respect de la dignité humaine, puisque, dans ces cortèges souvent insultants pour la foi de millions de chrétiens, souvent attentatoires à la pudeur la plus élémentaire, des militants homosexualistes en transforment d’autres en animaux, avec chaînes et muselières de cuir). Plus anciennement, il avait attaqué violemment l’Eglise supposée « manquer d’empathie » (dans le tweet ci-joint… supprimé depuis, je crois).

    A coup sûr, ce jeune homme est admirablement bien placé pour faire la leçon à Mère Thérésa ou à saint Vincent de Paul ! Comme si l’Eglise catholique n’était pas, notamment, la plus grosse institution charitable du monde…

    Mais, on le voit, M. Tanguy est fondamentalement un cathophobe et un militant LGBT. J’ignore si c’est également la doctrine de Nicolas Dupont-Aignan. Ce dernier m’avait assuré partager l’essentiel de mes convictions, mais il est bien connu que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent… En tout cas, il est évident que cette candidature, non seulement n’apporte rien électoralement à Nicolas Dupont-Aignan, mais va lui coûter des voix. Ce n’est pas la peine de draguer les gilets jaunes, si c’est pour promouvoir une idéologie bobo macroniste.

    J’ignore ce qui va se passer dans les prochaines semaines. Mais, à l’heure où j’écris ces lignes, il me semble extrêmement difficile que l’ex liste des Amoureux de la France atteigne les 5% nécessaires pour obtenir des élus. Il est même possible qu’elle passe au-dessous de 3%, sous l’influence du vote utile (quand on veut s’opposer à Macron, on vote RN ou LR, en fonction de sa sociologie d’une part, et de sa sensibilité au discours conservateur ou au discours populiste d’autre part). Si c’est le cas, cela va poser de sérieuses questions de financement. Au passage, je serais curieux de savoir avec quel argent Dupont-Aignan a remboursé les quelque 2 millions d’euros que Charles Gave avait commencé à prêter à la liste – ce qui impliquait qu’il figure dessus pour satisfaire aux exigences du Code électoral.

    Bref, toutes ces interrogations me conduisent à penser qu’en réalité, Nicolas Dupont-Aignan ne souhaite pas se présenter et cherche un prétexte pour jeter l’éponge. Cela aurait du moins le mérite d’éviter que la « droite hors les murs » ne manifeste une nouvelle fois sa nullité électorale. Mais quel gâchis !

    Guillaume de Thieulloy

    Directeur du Salon beige

  • DLF : la liste pour les européennes enfin dévoilée – Journal du jeudi 28 mars 2019

     

    DLF : la liste pour les européennes enfin dévoilée

    Nicolas Dupont-Aignan présentait sa liste pour les élections européennes ce matin. Une liste resserrée autour de ses lieutenants avec quelques personnalités issues d’autres mouvement politiques.

    Turquie : Erdogan mise sur la haine de l’Occident

    Alors que les élections municipales turques sont organisées dimanche, Recep Tayyip Erdogan multiplie les meetings pour fédérer sa base. Entre menaces et intimidations à l’égard de l’Occident, le président mise tout sur les nationalistes islamistes.

    Bayer-Monsanto : Le coup d’avance ?

    Les condamnations s’enchainent contre le glyphosate, la substance active du pesticide RoundUp. Si Bayer-Monsanto accuse le coup temporairement en bourse, la firme agro-chimiques pourrait bien être plus sereine qu’on ne le croit…

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/dlf-la-liste-pour-les-europeennes-enfin-devoilee-journal-du-28-mars-2019

  • Europe : l’heure des frontières !

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    Les élections européennes auront lieu le 26 mai prochain. Elles ne semblent pas passionner les électeurs. Ce n’est pas nouveau !

    Ceux qui se baptisent « européistes » ont du mal à intéresser l’opinion à des institutions technocratiques et désincarnées. À l’Union européenne, machin aux visées mondialistes et non identitaires.

    Ceux qui s’affirment « souverainistes » se heurtent à une autre réalité : l’impérialisme marchand américain, la conquête économique chinoise, l’expansion des mœurs musulmanes dépassent le cadre de chaque État-nation.

    Il y a bien des problèmes communs à tous les pays européens, et c’est bien l’échelle européenne qui est pertinente pour y faire face. N’en déplaise à ceux qui ont une vision étriquée du souverainisme. Seulement voilà, ceux qui prétendent parler au nom de l’Europe nient la simple existence de ces problèmes-là.

    Bref, tout se passe comme si les « européistes » avaient choisi la bonne échelle au service d’un mauvais projet et les « souverainistes » une bonne approche des défis mais à la mauvaise échelle…

    Le véritable enjeu des élections européennes est ailleurs : redonner aux différents peuples européens une vision commune de leur avenir. En refusant la soumission politique aux puissances étrangères. Et le Grand Remplacement démographique et civilisationnel.

    L’enjeu des élections européennes est simple : c’est celui des frontières.

    Oui, l’Europe a besoin de frontières.

    Frontières stratégiques pour protéger ses entreprises de l’impérialisme économique et juridique américain.

    Frontières économiques pour protéger ses travailleurs du dumping économique chinois.

    Frontières mentales pour défendre sa civilisation face à la déconstruction et à l’islamisation qui remplit le vide laissé par le nihilisme.

    Frontières physiques, surtout face à l’invasion migratoire venue d’Afrique et du monde arabo-musulman.

    Les frontières de la France ne sont ni sur le Rhin ni sur les Pyrénées, elles sont comme pour les autres pays d’Europe en mer Méditerranée, dans les Balkans et sur les aéroports.

    Cela passe par un changement de perspectives. Un chiffre suffit à résumer la situation : 500 million d’euros. Aujourd’hui, l’Europe de Juncker dépense moins de 500 millions d’euros par an pour Frontex, le système européen commun de veille aux frontières. Mais les associations de Soros, en partie financées par les institutions européennes et les États, affectent plus de 500 millions par an pour les actions « borderless » en faveur des clandestins.

    Assécher les associations immigrationnistes, combattre Soros, reprendre conscience de la nécessité vitale de frontières européennes aussi bien mentales que physiques, tel est l’enjeu.

    Les pays de Visegrád (Hongrie, Pologne, Tchéquie, Slovaquie) en sont conscients. Tout comme en sont conscientes les forces populistes et identitaires en Italie, en Autriche, aux Pays-Bas, en Espagne, en Scandinavie et, on l’espère, en France.

    « Europe, l’heure des frontières », tel sera, samedi 6 avril, le thème du VIe colloque international de l’institut ILIADE, avec la participation de François Savy pour l’Allemagne, Koen Dillen pour la Flandre et Vincenzo Sofo pour l’Italie. Nationaux et identitaires de tous les pays d’Europe, unissez-vous !

    Jean-Yves Le Gallou

    http://www.bvoltaire.fr/europe-lheure-des-frontieres/

  • Algérie : l’armée contre-attaque – Journal du mercredi 27 mars 2019

     
    Algérie : l’armée contre-attaque

    Abdelaziz Bouteflika boudé par l’armée. Mardi, le chef d’état-major a demandé l’empêchement du président algérien en espérant ainsi mettre fin à la crise politique. L’analyse de Bernard Lugan dans cette édition !

    Européennes : LREM ou les gamellards

    La liste de la République en Marche dévoilée pour les élections européennes. Derrière Nathalie Loiseau s’enchaînent les opportunistes. Écologistes en mal de mandat, journalistes du système et proches de la Macronie, la liste des copains met le cap sur Bruxelles.

    On achève bien les chevaux

    Poneys, ânes, chevaux, les équidés n’échappent pas à la maltraitance animale. Face aux propriétaires négligents ou inconscients, les associations s’inquiètent de leur difficulté à accueillir de plus en plus de pensionnaires à quatre pattes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/algerie-larmee-contre-attaque-journal-du-mercredi-27-mars-2019

  • LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    LREM : la liste Loiseau, une drôle de basse-cour

    La liste LREM aux européennes, c’est une véritable Cour des Miracles. Nous y trouvons des membres de LREM, des anciens du PS, du Parti radical, de LR, des proches d’Alain Juppé, un Europe-Ecologie Les Verts, un ancien député italien, quelques journalistes recasés, les inévitables homosexuels

    Derrière Nathalie Loiseau, celle qui se découvre opportunément tête de liste en plein débat face à Marine Le Pen, on découvre Pascal Canfin, un ancien ministre de Hollande. Le Canard enchainé avait ironisé sur lui en révélant qu’il avait refusé d’embarquer dans un avion pour le Mali car il y avait un Malien expulsé.

    Le ministre délégué au Développement Pascal Canfin a décidé “en conscience” de ne pas embarquer vendredi dans un avion partant pour le Mali où il aurait dû participer à une réunion sur le développement, en raison de la présence d’un Malien frappé d’expulsion. C’était une décision du ministre “prise en conscience”, a dit mardi son entourage, renvoyant aux propos de Pascal Canfin à l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné qui a révélé l’affaire, et ajoutant qu’il “ne souhaitait pas commenter davantage”.

    • Marie-Pierre Vedrenne,
    • Jérémy Decerle
    • Catherine Chabaud, journaliste, déléguée à la mer et au littoral sous Hollande, avait soutenu l’Aquarius, ce navire favorisant l’immigration.
    • Stéphane Séjourné, 6e sur la liste, est un militant LGBT pacsé avec Gabriel Attal, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale.
    • Fabienne Keller (7e), la vice-présidente d’Agir et proche d’Alain Juppé.
    • Bernard Guetta, ancien journaliste de France Inter 
    • Irène Tolleret, Conseillère départementale de gauche de l’Hérault
    • Stéphane Bijoux, directeur des rédactions des télés Outre-mer chez France Télévision.
    • Sylvie Brunet, membre du CESE
    • Gilles Boyer, ancien directeur de campagne d’Alain Juppé
    • Stéphanie Yon-Courtin, juppéiste, maire de la commune Saint-Contest dans le Calvados
    • Pierre Karleskind, proche de Richard Ferrand, vice-président du Conseil régional de Bretagne
    • Laurence Farreng, proche de François Bayrou et actuelle directrice de la communication de la ville de Pau.
    • Dominique Riquet, successeur de Jean-Louis Borloo à Valenciennes, Parti radical, député européen.
    • Véronique Trillet-Lenoirélue régionale PS passée chez LREM,
    • Pascal DurandEELV, député européen.
    • Valérie Hayer, vice-présidente du Conseil départemental de la Mayenne.
    • Christophe Grudler, Modem, conseiller départemental du Territoire de Belfort.
    • Chrysoula Zacharopoulou, gynécologue-chirurgienne et co-fondatrice de l’association Info-endométriose (Grèce).
    • Sandro Gozi, ancien député italien, ancien secrétaire d’État italien aux affaires européennes, fédéraliste, membre du Parti Démocrate (italien), il a fait partie du cabinet de Romano Prodi, président de la Commission européenne. Il a participé à la réunion du Groupe Bilderberg de 2017.
    • Ilana Cicurel, avocate, ancienne directrice générale de l’Alliance israélite universelle.
    • Max Orville, MODEM
    • Catherine Amalric, membre du mouvement radical, médecin et adjointe au maire à Aurillac
    • Guy Lavocat, membre du Club XXIe siècle, qui milite pour la diversité…
    • Charline Mathiaut, gestionnaire immobilier
    • Xavier Fournier, ancien LR, conseiller municipal de Nantes.
    • Nawel Rafik-Elmrini, avocate et adjointe aux affaires européennes à Strasbourg
    • Mao Péninou, proche de Cambadélis, ancien adjoint d’Anne Hidalgo à la Mairie de Paris.

    https://www.lesalonbeige.fr/lrem-la-liste-loiseau-une-drole-de-basse-cour/

  • L’union des droites remporte une nouvelle victoire au sud de l’Italie

    L’union des droites remporte une nouvelle victoire au sud de l’Italie

    Une coalition menée par la Ligue a remporté une nouvelle victoire lors d’élections régionales dimanche en Basilicate (sud de l’Italie), dernier test avant les européennes du 26 mai.

    Le candidat de cette coalition régionale qui réunit principalement la Ligue de Matteo Salvini et Forza Italia (FI), le parti de Silvio Berlusconi, remporte 41,9% des voix. La Ligue obtient 19,2%, loin devant FI, qui doit se contenter de 8,9%.

    Le centre gauche, en difficulté dans tout le pays depuis sa défaite lors des législatives de mars 2018, perd la région malgré un bon score (33,3%), qui en cache cependant un très mauvais: au sein de cette coalition, le Parti démocrate (PD), pilier du centre gauche en Italie, n’obtient que 7,8% des voix.

    Le Mouvement 5 Etoiles (M5S, antisystème) reste avec 20,4% le premier parti de cette région du Sud déshérité, mais ce score est également une énorme contre-performance après les 44% engrangés lors des législatives de 2018.

    Matteo Salvini a réagi :

    « Merci, la Ligue a triplé ses voix en un an, victoire en Basilicate aussi ». « Mes salutations à la gauche et maintenant on change l’Europe ».

    https://www.lesalonbeige.fr/lunion-des-droites-remporte-une-nouvelle-victoire-au-sud-de-litalie/

  • Réunion publique à Buzet-sur-Baïse (47) : discours de Marine Le Pen

  • Trump et la pseudo ingérence russe : l’enquête fait flop – Journal du lundi 25 mars 2019

     

    Trump et la pseudo ingérence russe : l’enquête fait flop

    Pas de preuve de collusion entre les Russes et Donald Trump pendant la campagne présidentielle. Après 22 mois d’accusations et de sous-entendus, l’enquête fuite dans les médias et révèle peu à peu l’absence de charge contre le locataire de la Maison Blanche… Une déception pour le Système qui ne compte pas en rester là.

    Gilets Jaunes Acte XIX : le calme après la tempête

    Après un samedi noir, l’acte XIX des Gilets Jaunes s’est déroulé relativement sereinement. Dans son siège éjectable, Christophe Castaner avait prévu un dispositif policier très important. Résultat : des manifestants dissuadés, des arrestations préventives en pagaille et un noyau dur toujours aussi déterminé.

    Européennes : Marine Le Pen et Emmanuel Macron, le face à face Acte II

    Deux ans après l’élection présidentielle, le scénario du face à face entre la présidente du Rassemblement National et Emmanuel Macron est en passe d’être rejoué pour les élections européennes. Le scrutin se polarise entre les autoproclamés progressistes et les “souverainistes”.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/trump-et-la-pseudo-ingerence-russe-lenquete-fait-flop-journal-du-lundi-25-mars-2019

  • Vers une alliance entre Vox (Espagne) et le PiS (Pologne) au Parlement européen

    Vers une alliance entre Vox (Espagne) et le PiS (Pologne) au Parlement européen

    Le président de Vox, Santiago Abascal, a rencontré mercredi dernier à Varsovie Jaroslaw Kaczynski, le président du PiS. Trois députés européens du PiS ont participé à la rencontre. L’un d’eux a ensuite déclaré que son parti et Vox s’accordaient sur le fait que « l’Europe devrait être une union d’États souverains, et non une fédération ». Selon la porte-parole du PiS,

    « la discussion a été productive et peut être considérée comme un signe avant-coureur d’une coopération substantielle après les élections ».

    Les deux parties veulent « que les États jouent un rôle plus important et que la compétence de Bruxelles en matière d’immigration de masse soit limitée ». « Vox est aussi un parti qui met l’accent sur les racines chrétiennes de l’UE et qui veut protéger la famille traditionnelle, ce qui est conforme aux positions du PiS », a-t-elle ajouté.

    Cela voudrait donc dire que le PiS a l’intention de continuer à faire vivre le groupe CRE (Conservateurs et réformistes européens) après le Brexit (s’il a lieu avant les élections). Car si ce groupe est le troisième du Parlement en nombre, il n’a en réalité que deux partis importants : le PiS et les Conservateurs britanniques. Vox n’a encore aucun élu au Parlement européen, mais il a réussi une percée spectaculaire sur la scène politique espagnole et pourrait obtenir 8 sièges selon les sondages actuels, ce qui en ferait le deuxième parti du groupe CRE.

    Verra-t-on le Fidesz hongrois rejoindre ce parti si sa suspension devait se prolonger ? Le quotidien hongrois Magyar Nemzet (La Nation hongroise), qui soutient le gouvernement et le parti au pouvoir, avait appelé Viktor Orbán et le Fidesz à quitter le PPE pour conclure une alliance avec La Ligue, le FPÖ et le PiS.

    La Ligue est aujourd’hui dans le même groupe que le RN. Mais comme le dit Sophie Montel, il existe des frictions entre les élus RN, les Hollandais (PVV) et la Lega. Les Italiens, qui sont au gouvernement dans leur pays, sont très sérieux au sein des institutions européennes et ils pourraient être tentés de rejoindre le PiS, également au pouvoir en Pologne.

    https://www.lesalonbeige.fr/vers-une-alliance-entre-vox-espagne-et-le-pis-pologne-au-parlement-europeen/