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élections - Page 203

  • Algérie : quel avenir après Bouteflika ? – Journal du mercredi 3 avril 2019

     
    Algérie : quel avenir après Bouteflika ?

    Alors que le président algérien a annoncé sa démission, plusieurs scénarii se dégagent pour l’après Bouteflika. En cas de transition douloureuse ou de désordre généralisé, la France pourrait être la première victime d’un effondrement de l’Etat algérien.

    Actes anti-chrétiens : la déferlante

    Le nombre d’actes anti-chrétiens explose en France dans une relative indifférence. Alors que certains politiques commencent à s’intéresser à la question, les causes du mal semblent profondes et la réponse politique complexe.

    Surpopulation carcérale : La France, championne d’Europe

    Avec plus de 71 000 prisonniers au 1er mars, la France est toujours championne d’Europe de la surpopulation carcérale. Alors que le gouvernement a promis de s’attaquer à ce fléau, le nombre de détenus affole une nouvelle fois les compteurs et la réforme de la justice ne devrait pas changer la donne.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/algerie-quel-avenir-apres-bouteflika-journal-du-mercredi-3-avril-2019

  • Souverainistes : un rideau de frères peut s’abattre sur l’Europe

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    Sans être encore en mesure de la révolutionner, l’alliance des partis souverainistes européens pourrait peser sur la politique menée par le Parlement européen qui sera renouvelé du 23 au 26 mai 2019.

    À l’heure du réveil identitaire des peuples européens, les partis souverainistes parviendront-ils à changer de l’intérieur la politique de l’Union européenne (UE) ? L’optimisme semble plus que jamais de rigueur. Entraînée par l’effervescence actuelle, Marine Le Pen affirme que les prochaines élections européennes seront historiques. Rêvant de voir émerger une majorité souverainiste au Parlement européen, la présidente du Rassemblement national imagine déjà réaliser « le sauvetage de l’Europe ». Mais cet enthousiasme correspond-il à la réalité politique ? L’heure de la recomposition du Parlement européen est-elle vraiment arrivée ? C’est peut-être un peu exagéré. Mais les élus souverainistes auront entre leurs mains bon nombre d’instruments juridiques pour bousculer l’actuelle politique de l’UE.

    Le souverainisme, une valeur en hausse

    Alors que les deux principaux groupes pourraient perdre un nombre considérable de sièges (le Parti populaire européen chutant, selon des estimations, de 217 à environ 174 et l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates de 186 à 141), le groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL), dans lequel figurent les élus du RN et de la Lega, pourrait gagner 30 sièges (passant de 37 à 67). Le deuxième groupe parlementaire eurosceptique, l’Alliance des conservateurs et réformistes européens (ECR), comprenant notamment les Polonais du PiS, les Tchèques du Parti démocrate civique et les Anglais du Parti conservateur, pourrait obtenir jusqu’à 58 sièges. Actuellement composé de 75 eurodéputés, l’ECR ferait les frais du départ des conservateurs britanniques. Enfin, l’Europe pour la liberté et la démocratie directe (ELDD), regroupant le M5S, l’UKIP et les élus français Les Patriotes et Debout La France, pourrait rassembler 47 membres contre 41 aujourd’hui. Un de ces groupes eurosceptiques peut également envisager un ralliement du Fidesz, suspendu du PPE depuis le 20 mars. Les souverainistes dénombreraient alors près de 180 représentants, soit 26 % des membres du Parlement.

    Debout les damnés de l’Europe

    La réunion des souverainistes en un seul groupe parlementaire est-elle envisageable ? C’est le projet porté par Matteo Salvini, prêt à saisir l’opportunité de créer, à l’issue des élections européennes, un groupe « réformiste » déterminé à transformer les institutions européennes. Les pro-européens tentent de se rassurer en rappelant que les souverainistes des différents pays ne sont jamais parvenus à former une coalition. Ils se réjouissent ainsi que la russophilie des dirigeants souverainistes les éloigne des Polonais. Alors que Matteo Salvini envisageait une récupération du PiS au sein de l’ENL, la défiance de la Pologne à l’égard de la Russie aurait entraîné un statu quo. La réalité rattrape cependant les commentateurs europhiles. Ces derniers mois, alors que la Pologne, puis la Hongrie, subissaient les attaques des institutions européennes, la question russe ne fit jamais obstacle à un soutien mutuel. La récente rencontre entre les dirigeants italiens et polonais s’est révélée si fructueuse que Matteo Salvini déclarait en janvier : « La Pologne et l’Italie seront absolument les protagonistes de ce nouveau printemps européen, de cette renaissance des vraies valeurs européennes ».

    De même, les divergences annoncées comme insurmontables entre les catholiques polonais et des nationalistes laïques (RN, PVV, Parti des Vrais Finlandais) pourraient se révéler secondaires, les intéressés partageant avant tout la même volonté de résister au libéralisme culturel et à l’islamisation de la société. Leur intérêt commun face aux périls de l’immigration de masse et de la déculturation des nations pourrait unir les souverainistes à travers toute l’Europe. Ainsi, à l’initiative de Matteo Salvini, les différents partis eurosceptiques pourraient tenir un congrès à Rome au cours du mois d’avril. Néanmoins, les groupes parlementaires resteront a priori inchangés pour la législature à venir. Cette répartition ne saurait pourtant entraîner des votes divergents dans les rangs souverainistes, les eurodéputés étant détachés de la logique partisane qui préside souvent dans les parlements nationaux.

    Pour lire la suite, c’est ici !

    Alexandre Moreau

    Article paru sur Causeur daté du 2 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Municipales à Marseille : alliance en vue entre LREM et LR

    Municipales à Marseille : alliance en vue entre LREM et LR

    Autant fusionner immédiatement les listes Loiseau et Bellamy pour les européennes, ce serait plus honnête pour les électeurs:

    Il y aura bien un candidat Les Républicains (LR) et un candidat La République en marche (LREM) pour les municipales de 2020 à Marseille, mais une alliance est dans l’air. Pas une alliance de premier tour, donc, mais plutôt une alliance de deuxième ou même de troisième tour, lorsqu’il faudra élire le maire au sein du conseil municipal. C’est ce que dit un acteur local.

    À Marseille, LR est en position de force. La ville est dirigée depuis 24 ans par Jean-Claude Gaudin et la majorité présidentielle n’a pas de poids lourd à opposer aux Républicains. L’option Christophe Castaner, l’actuel ministre de l’Intérieur, a été écartée. Les “marcheurs” sont tellement inconsistants qu’une partie du gouvernement a même envisagé à un moment de soutenir une liste emmenée par Martine Vassal, la patronne LR du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône. Elle fait partie des trois candidats potentiels du côté des Républicains, avec le sénateur Bruno Gilles et le président du Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), Renaud Muselier. Ces trois-là doivent se mettre d’accord. L’ordre vient carrément de Paris. Si on est unis, on est certains de gagner, c’est l’analyse d’un connaisseur du dossier.

    https://www.lesalonbeige.fr/municipales-a-marseille-alliance-en-vue-entre-lrem-et-lr/

  • Erdogan battu dans les urnes

    6a00d8341c715453ef0240a44da7d7200c-320wi.jpgCe premier avril, et il ne s'agissait pas d'une blague, à 6 h 51 du  matin, Marie Jégo correspondante du Monde confirmait la bonne nouvelle.

    La veille, 31 mars à 18 h 50, Reuters avait pourtant titré tranquillement, en se basant sur les annonces gouvernementales trompeuses de l'agence Anadolu : "Premiers résultats favorables à Erdogan à Istanbul et Ankara".

    Le Figaro, toujours très soucieux de ménager la Turquie, ceci depuis les années 1950 et encore aujourd'hui[1], minimisait de son côté les nouvelles défavorables au gouvernement de ce pays. C'était ainsi la conscience en paix que Delphine Minoui se contentait de parler d'un "scrutin test pour l'AKP"[2]

    Scrutin test en effet. Il s'est révélé concluant, quant à l'opinion des peuples de Turquie, qui ont renversé dans les urnes les 3 principales municipalités de la république ex-kémaliste : Istanbul, Ankara et Izmir. Et ceci malgré une démagogie effrénée, notamment en direction de l'électorat islamiste. À celui-ci et aux nostalgiques de l'Empire ottoman, l'AKP n'a pas hésité à promettre de reconvertir à nouveau Sainte-Sophie en mosquée.

    Le Monde, conformément à sa vulgate économiste, veut n'expliquer cette défaite que par les difficultés dans ce domaine.

    Ne les nions pas : dévaluation de 30 % de la monnaie, chômage à 19 %, hausse des prix à 13 %. Pour un gouvernement qui professe hautement sa réussite gestionnaire, ce n'est pas rien.

    Mais observons aussi que les électeurs ont bel et bien rejeté l'alliance politique islamo-nationaliste, caractéristique de ce régime, de la mafia qu'il alimente, et du clan familial qui le dirige.

    Sa défaite est une victoire pour les partisans de la démocratie et des libertés, en dépit. Elle répond à des dizaines de milliers d'arrestations, d'interdictions professionnelles, de révocations arbitraires de magistrats, de journalistes, de fonctionnaires et de militaires, en dépit des amalgames d'une presse aux ordres

    Dans Présent, ce 27 mars, la chronique de Philéas Fogg soulignait à juste titre, en effet, le caractère extrême de la campagne menée par Erdogan, fondée sur une stratégie de la tension et une rhétorique de l'invective. Son pari, le président mégalomane et tout-puissant l'a clairement perdu.

    On sait maintenant, dans le monde, que le peuple s'est détourné de lui, et ceci sans préjudice des suites toujours possibles, des recours et autres trucages invoqués le jour même des résultats par ses partisans.

    "À Ankara le 24 mars, c'est une assistance monstre évaluée à 450 000 personnes qui s'est rendue au meeting électoral de l'Alliance du Peuple formée en vue de la campagne, très tendue, des municipales du 31 mars. Pas moins de 12 partis sont en compétition, mais cette alliance rassemble, aux côtés de l'AKP, le parti des Loups Gris dirigé par Devlet Bahçeli. Leur premier meeting commun s'était tenu le 17 mars à Izmir.[3]"

    Dans un tel contexte, Erdogan, s'est donc personnellement impliqué sans ambiguïté dans la campagne. Président de la République aux pouvoirs désormais renforcés, il a proféré un certain nombre de ses proclamations menaçantes et mégalomaniaques, hélas pas toujours invraisemblables, auxquelles le monde commence à s'habituer. Il a par exemple affirmé que son pays allait devenir un opérateur mondial de l'industrie d'armement. Il était accompagné, comme la plupart du temps, de son épouse Emine, influente fanatique, elle-même responsable Loup Gris dans sa jeunesse.

    Candidat local de l'opposition kémaliste à la mairie de la capitale, Mansur Yavaş a eu droit évidemment à son lot d'accusations et une bordée d'insultes de la part de ce chef d'État diviseur. Non seulement il fut présenté comme un escroc et un terroriste, accusation banale dans la Turquie actuelle. Tout opposant au Reis, au chef, et à son clan, est désigné pour tel. Aucun média n'a donné la parole au représentant de l'opposition, aucune de ses affiches n'était visible, etc.

    25 ans auparavant, en 1994, l'AKP émergeait. où Erdogan est apparu précisément aux élections municipales, à Istanbul. Ankara la capitale et Izmir étaient alors conquises par son parti. Ce serait vraiment faire injure à ce peuple que de le croire incapable de mesurer sa marche vers la dictature et de savoir où les islamo-nationalistes prétendent le conduire.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] On ne perd jamais, dans certains cercles, l'espoir de vendre aux Turcs les aéronefs destinés à bombarder les pays voisins.

    [2] article mis à jour le 31/03/2019 à 22h58 en ligne au matin du 1er avril.

    [3] cf. Présent N° 9331 daté du 27 mars. Article "Turquie : la campagne électorale islamo-nationaliste"

    https://www.insolent.fr/

  • macron, la stratégie de mensonge

    La stratégie de mensonge du Gouvernement se met en place!
    On commence à entendre sur les médias TV la suppression de la taxe audiovisuel, allègement de l'impôt sur le revenu, le reste à charge 0% pour les prothèses dentaires, pas d'augmentation de tarif de gaz avant Juin, etc...
     Ne vous laissez pas manipuler à nouveau par ces mensonges qui ne sont que d'ordre électoral!

    Gilets Jaunes, mettez vous en campagne contre la liste Macron! 
    Je ne le répéterai jamais assez, la première bataille à gagner c'est les Européennes 2019. 
     Il faut pulvériser la liste Macron, et faire de cette élection un vote anti-Macron!
     Organisez vous, faites des tracts et investissez les marchés, les lieux commerciaux, etc....
    Je me répète mais c'est très important! 
    C'est ce que préconise aussi François Boulo, qui est une très bonne référence pour les GJ.
     Allez courage mes amis, si nous nous bougeons, nous gagnerons!

  • Remaniement : les copains d’abord – Journal du lundi 1er avril 2019

     

    Remaniement : les copains d’abord

    Dimanche, Matignon a annoncé un remaniement pour remplacer les trois ministres sortants. On retrouve des personnalités du premier cercle d’Emmanuel Macron…

    Gilets Jaunes : la stratégie de l’éteignoir

    La mobilisation se poursuit, la stratégie du gouvernement aussi. Interpellations préventives, sous-estimation des chiffres et interdictions de manifester… Le bras de fer entre les Gilets Jaunes et Emmanuel Macron n’en finit plus.

    Ukraine : qui est Volodymyr Zelenski ?

    Les Ukrainiens étaient appelés aux urnes pour élire leur nouveau président de la République. 5 ans après la crise, c’est Volodymyr Zelenski un humoriste qui arrive en tête au 1er tout. Porochenko et Timochenko se disputent quant à eux la deuxième place pour être au second tour.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/remaniement-les-copains-dabord-journal-du-lundi-1er-avril-2019

  • François Hollande : «La menace vient de l’extrême droite. Je l’affirme, un jour elle arrivera au pouvoir en France»

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    Une version actualisée de son livre « Les Leçons du pouvoir » sera disponible en librairie ce mercredi. C’est à cette occasion que François Hollande a accordé un entretien au journal Le Parisien.

    Voici un extrait :

    Les élections européennes sont dans deux mois. Pensez-vous que le débat soit entre les nationalistes et les progressistes ?

    Le Brexit est le contre-exemple par excellence. D’ailleurs, aucun pays ne désire aujourd’hui sortir de la zone euro ou de l’Union. Je ne crois pas à l’implosion de l’Europe. Je crains sa paralysie. Les gouvernements d’inspiration populiste comme l’Italie de Matteo Salvini ou la Hongrie de Viktor Orban veulent que l’Europe n’avance plus. Et ils ont les moyens de bloquer toute évolution au sein du Conseil européen. C’est pourquoi dans une Europe qui restera à 27, je suis partisan d’une Europe à 2, bâtie sur le couple France-Allemagne. C’est le seul moyen d’impulser de nouvelles politiques pour la défense, l’écologie, la promotion des industries nouvelles, l’harmonisation fiscale… Une fois que cette entente sera actée par un nouveau traité, d’autres pays nous rejoindront et c’est ainsi que sera retrouvé l’esprit européen des débuts. Sinon, les nationalismes finiront par l’emporter et la flamme européenne sera définitivement éteinte.

    La France Insoumise et le Rassemblement national, c’est pareil ?

    Je ne les confonds pas. La menace vient de l’extrême droite. Je l’affirme, un jour elle arrivera au pouvoir en France. En 2022 ou plus tard… puisqu’elle prétendra que c’est la seule qui n’a pas été essayée !

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  • Union des droites : Nicolas Dupont-Aignan a perdu toute crédibilité

    Union des droites : Nicolas Dupont-Aignan a perdu toute crédibilité

    Extraits de la tribune publiée par Baptiste Laroche, porte parole Jeunes PCD et Jean Servin, président des Jeunes PCD sur le site de l’Incorrect :

    Au sortir des dernières élections législatives, une partie de la droite a revu la nécessité de s’unir. Nicolas Dupont-Aignan, avait alors formulé le vœu d’être l’un des moteurs de cette union qui allie les partis au nom d’une cause commune. D’abord avec Jean-Frédéric Poisson puis avec Emmanuelle Ménard, Veronique Besse, et Julien Rochedy, ils ont donc lancé il y a plus d’un an et demi « Les Amoureux de la France » avec pour ambition de réunir toutes les bonnes volontés afin de battre Emmanuel Macron et de sortir la France de cette marche infernale qui, chaque jour, lui fait perdre sa souveraineté et son identité. Cette démarche devait insuffler un air nouveau dans la droite française, en stoppant les clivages partisans, stériles et en rassemblant les différentes sensibilités pour faire gagner la droite (…)

    Au dernier moment, contre toute attente, Jean-Frédéric Poisson a été évincé de cette liste (…) Ce mouvement transpartisan s’est forgé une légitimité par toutes les rencontres qu’ont menées Nicolas Dupont-Aignan et Jean-Frédéric Poisson partout en France depuis plus d’un an. Et nous avons tous remarqué que cette légitimité venait de la base, des électeurs eux-mêmes !

    Nicolas Dupont-Aignan, en mettant de côté Jean-Frédéric Poisson ainsi que le Parti Chrétien Démocrate, perd cette crédibilité acquise par ces mois de travail. Il se rend à nouveau complice du système partisan, qui depuis des années détruit toute vie politique. En abandonnant l’un des piliers majeurs et le co-fondateur de cette alliance, Nicolas Dupont-Aignan pèche en pensant pouvoir gagner seul. Il renonce à cette ambition d’union de droite, préférant la facilité de l’entre-soi (…)

    Quand aurons-nous le courage d’aller au bout de nos engagements ? Une alliance implique forcément de travailler avec des personnes différentes, et ce qui doit nourrir une alliance c’est la volonté commune de parvenir au bien qui était défini. Il semble aujourd’hui évident que Nicolas Dupont-Aignan n’avait pas cette même volonté.

    Après Emmanuelle Ménard, Julien Rochedy et d’autres, Jean-Frédéric Poisson est le dernier à prendre la porte.

    D’une liste de rassemblement des « Amoureux de la France » nous passons à une liste des amoureux de Nicolas Dupont-Aignan. Encore aujourd’hui, l’actualité montre le ras-le-bol des français face à ces querelles et ces clivages, qui empêchent de penser une politique à long terme (…)

    « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », disait Baden Powell, aujourd’hui Nicolas Dupont-Aignan a décidé d’aller vite, au détriment de sa parole mais au profit de son parti. Inconscient des attentes des Français, il a décidé de poursuivre et de devenir acteur de l’échec de la droite.

    https://www.lesalonbeige.fr/union-des-droites-nicolas-dupont-aignan-a-perdu-toute-credibilite/

  • La présentation des candidats En marche ! tourne à la pantalonnade

    À la manière d’une équipe de football, tous les candidats En marche ! aux européennes avaient pris place pour la photo face à la presse.
    Nathalie Loiseau devant (sans ballon) et, tout au fond, comme il se doit, une brochette de clampins juchés sur un banc. 
    Tout sourire dehors, la bande à Macron pose pour la postérité lorsque, soudain, le fameux banc du fond cède sous le poids des candidats qui disparaissent instantanément du décor. Rires dans l’assistance. « Mais où est donc passée la 7e compagnie ? » 
    Après le fiasco de son annonce faussement spontanée où elle avait fait mine de décider soudainement d’être tête de liste aux européennes, il faut reconnaître à Nathalie Loiseau une aptitude hors du commun à enchaîner les pantalonnades. École Buster Keaton.
    En première partie de ce grand classique du gag visuel, comme une sorte de mise en bouche, la meneuse de revue avait pris soin de confier la présentation des candidats à un membre de l’équipe qui avait omis de relever précisément leurs noms ainsi que leurs métiers. 
    Ce qui donna lieu à ce monologue éprouvant (extrait) : Fabienne Keller, heu… (il se retourne vers le groupe), Stéphane Séjourné, moi-même, excusez-moi. (Il ne se souvient pas non plus comment il s’appelle.) 
    Irène Tolleret. Heu… Elle est viticultrice. Heu et heu… Vigneronne, pardon excusez-moi. Stéphanie Yon-Courtin, maire de St-Contest… St Const… Si je ne me trompe pas… Heu… Etc. 
    Il est des enfants d’une dizaine d’années qui seraient parvenus sans peine à noter clairement les identités et activités des candidats sur une feuille de papier. 
    Prouesse hors de portée du présentateur En marche ! chargé, justement, de communiquer ces renseignements aux médias. 
    Le personnage est à l’image de Nathalie Loiseau, qui semble ne pas être là lorsqu’elle s’exprime. 
    Sa voix porte peu, le ton est monocorde, le discours truffé de formules creuses… « Vos paupières sont lourdes… Oui très lourdes… » Après le gag du banc, la séquence hypnose. 
    Mais revenons à la politique vraie de vraie. 
    De cette journée, il faut retenir deux faits marquants. 
    D’abord, dame Loiseau portait un blouson rouge lors de la présentation de son écurie. 
    Un rouge tendant sur le rose. 
    Et, quelques heures plus tard, coup de théâtre : la même personne sort de l’Élysée, où elle était venue donner sa démission, portant un blouson jaune ! 
    Les plus fins observateurs s’interrogent. Est-ce le même blouson qu’elle a teint en vitesse dans la laverie de l’Élysée ? Un message destiné à des commanditaires ? Rouge : le banc est bien truqué, pas de souci. Jaune : Macron n’y a vu que du feu. 
    Les prestations étranges de Nathalie Loiseau pourraient laisser à penser qu’elle est une taupe envoyée par un opposant quelconque pour détruire En marche ! de l’intérieur. 
    Si, contrairement aux apparences, il n’en n’était rien, il faut saluer la performance d’Emmanuel Macron, qui a su dénicher pour les européennes la personnalité aux antipodes d’une certaine authenticité attendue par les électeurs. 
    Qui a dit Loiseau rare ?
    Jany Leroy

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/la-presentation-des-candidats-en-marche.html

  • UPR - censure et maintenant diffamation de France 2