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élections - Page 203

  • Brexit – Le coup d’État des élites, par Olivier Bault

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    Si le sujet n’était aussi grave, il y aurait matière à rire face à cette Commission et ce Parlement européens qui prétendent défendre la constitution nationale contre la majorité parlementaire en Pologne mais qui encouragent les parlementaires britanniques à violer leur propre constitution pour bloquer le Brexit voulu par le peuple. Certes, le Royaume-Uni a une particularité : il n’a pas de constitution écrite. Néanmoins, toute une série d’usages et de procédures hérités de plusieurs siècles de parlementarisme ont outre-Manche valeur de règles constitutionnelles, et c’est bien cette constitution-là qui est allègrement violée cette semaine par les parlementaires hostiles au Brexit.

    Andrea Leadsom, « leader » de la Chambre des communes (c’est-à-dire ministre chargé des relations avec la Chambre des communes), a dit après l’adoption expresse d’un projet de loi permettant au Parlement de prendre le contrôle du Brexit et de bloquer le Brexit dur maintenant prévu pour le 12 avril : « Si ces gens avaient des armes, nous décririons cela comme un coup d’Etat militaire. » L’attention des médias, après le vote en quelques heures de ce projet de loi proposé par un député travailliste et un député conservateur et adopté à une voix de majorité (313 contre 312), s’est concentrée sur le vote de la travailliste Fiona Onasanya, mise en prison en janvier dernier et qui bénéficie d’une mesure de libération anticipée suite à une affaire de mensonges à la police pour éviter une amende pour excès de vitesse. Sans le vote de cette délinquante, font remarquer les pro-Brexit, le coup d’Etat de la Chambre des communes échouait.

    Le projet de loi en question, désormais à la Chambre des lords où il fait aussi l’objet d’une procédure accélérée avec un vote en dernière lecture planifié pour lundi, contraindrait Theresa May à demander un nouveau report du Brexit et à obtenir l’assentiment du Parlement pour la date négociée avec les 27. Une fuite reprise vendredi matin par les médias britanniques évoquait un report de douze mois que voudrait proposer le président du Conseil européen Donald Tusk, en échange de la promesse d’un maintien du Royaume-Uni dans l’union douanière européenne ou même d’un deuxième référendum. Ces deux propositions étaient négociées cette semaine par Theresa May avec le leader de l’opposition, le travailliste d’extrême gauche Jeremy Corbyn, que le Premier ministre a invité lundi soir à la table des négociations pour trouver une solution conjointe à l’impasse actuelle, aggravant les scissions au sein du Parti conservateur et provoquant la démission de deux secrétaires d’Etat. Une dizaine d’autres membres du gouvernement pourraient bientôt suivre selon le Telegraph.

    La Chambre des lords, à l’ambiance d’habitude plutôt calme, bouillonnait jeudi alors que certains des pairs du Royaume tentaient d’empêcher l’adoption expresse du projet de loi de la Chambre des communes en dénonçant une violation flagrante de la constitution. Certains tories ont même mis en avant le risque d’une insurrection violente des électeurs si les parlementaires refusent d’accepter le résultat du référendum de 2016. Lord Lawson, ancien chancelier de l’Echiquier (ministre des Finances et du Trésor) de Margaret Thatcher de 1983 à 1989, s’est dit scandalisé : « Je siège au Parlement depuis quarante-cinq ans et il n’y avait jamais eu un tel exemple de vandalisme constitutionnel à cette échelle. »

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 5 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Asselineau domine le débat France 2 - meilleurs moments (4 avril 2019)

  • Nicolas Dupont-Aignan a reproché à Jean-Frédéric Poisson sa participation à la Marche pour la Vie

    Nicolas Dupont-Aignan a reproché à Jean-Frédéric Poisson sa participation à la Marche pour la Vie

    Jean-Frédéric Poisson était invité sur TV Libertés samedi soir. Il est revenu sur les raisons de son éviction de la liste de Debout la France et évoqué ses projets futurs pour continuer le combat politique.

  • Jordan Bardella: "les européennes doivent être un référendum sur la politique de Macron"

    J Bardella.pngPour la tête de liste du Rassemblement national aux européennes, invité dimanche du Grand Rendez-vous sur Europe 1, cette élection est un moyen de mettre un coup d'arrêt à la politique conduite par l'exécutif.
    Invité dimanche du Grand Rendez-vous sur Europe 1, Jordan Bardella, tête de la liste du Rassemblement national pour le scrutin du 26 mai prochain, a expliqué vouloir faire de cette élection un plébiscite pour ou contre Emmanuel Macron.
    "Je l’assume : je crois que ça doit être un référendum sur la politique conduite par Macron", a-t-il déclaré, insistant notamment sur le fait que cette élection était la première depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron.
     

    [...]
    En savoir plus sur europe1.fr

  • Jean Messiha : “A Bruxelles, nous formerons une grande alliance des souverainistes et des patriotes”

    Jean Messiha s’exprime sur la notion d’identité nationale, selon lui en “menace d’extinction en France“.

    Pour Boulevard Voltaire, il revient également sur les enjeux des prochaines élections européennes pour les partis patriotes de chaque pays.

  • Débat saboté, cacophonie programmée ?

    6a00d8341c715453ef0240a49d1fab200b-320wi.pngLamentables choix, ce 4 avril, que ceux de l'Émission politique sur la chaîne étatique France 2. On la supposait devoir lancer la campagne des élections au Parlement européen. Assisté d'Alexandra Bensaïd, qu'on a connue meilleure, Thomas Sotto, responsable du plateau, confirma pendant toute la soirée, de manière impressionnante, le soupçon qui nous suggérait de le considérer comme un souriant crétin. Totalement au-dessous de son rôle. Un cavalier incapable de monter son cheval.

    On semble dès lors fondé à se demander si tant de médiocrité n'était pas voulue. Cette prestation misérable n'était-elle pas destinée à flatter la comparaison avec cet interminable monologue présidentiel des semaines précédentes baptisé grand débat national ?

    Mais peut-être une telle question, quelque peu complotiste, surestime-t-elle à son tour les princes qui nous gouvernent…

    En tout état de cause, la gestion d'une pareille apparence de controverse, sur un sujet aussi important, que celui de la future gouvernance de l'Union européenne, dépassait les moyens mis en œuvre.

    Ça commençait par une pitrerie, chaque intervenant étant prié d'apporter un objet symbolique, qui une paire de menottes, qui un morceau, vrai ou faux, du mur de Berlin, etc. Et ça tourna très vite en un brouhaha, sans que le maître des horloges, trop poli pour être honnête, parvînt jamais à calmer le chahut.

    Chacun voyant midi à sa porte, les avis se partageront quant à déterminer le meilleur, ou le moins exécrable, des participants. Je vote pour mon papa, le plus fort du monde. Hélas, on doit en convenir, avec le grand Galabru, qui le disait déjà en son temps : c'est très dur d'être bon dans un mauvais film.

    Les commentaires divergeront donc totalement.

    Si telle collaboratrice ou tel lecteur du Monde semble trouver que François-Xavier Bellamy à droite, et Ian Brossat, du PCF, à gauche, émergeaient au-dessus de la moyenne, si la plupart jugent le jeune Glucksmann hors sujet, d'autres ont pu apprécier en Madame Loiseau, vêtue de rose, dans un environnement de vestes masculines bleues un amusant paradoxe ; presque seule à défendre l'acquis communautaire, elle représentait l'unique parti qui n'a jamais siégé à Strasbourg.

    Élections européennes dites-vous ? Mais on a surtout entendu parler de petits intérêts, en général imaginaires, de l'Hexagone, dans un contexte mal compris, aussi bien par les trois quarts des débatteurs que par la majorité de leurs électeurs.

    Certes on s'est chamaillé autour de la question migratoire, préoccupation légitime de ceux qu'on stigmatise avec beaucoup de mépris comme des populistes. Elle exaspère les tenants du politiquement correct ; elle fracture l'opinion européenne en deux blocs antagonistes ; et elle amène, avec beaucoup de retard, les partis du centre droit à se rapprocher des différents partis qui se sont développés, depuis 40 ans, sur cet unique mécontentement. Regrettons simplement que les solutions proposées concrètement n'aient pas pu se voir développées. Au moins avons-nous entendu une tirade éloquente, et sans doute sincère, du représentant communiste. Il y réaffirma son option en faveur d'un accueil, encore plus large et généreux, des derniers futurs électeurs d'une gauche décidément en perdition. Merci camarade stalinien pour cette piqûre de rappel.

    Au lendemain de ce pseudo-débat cacophonique, avouons quand même que nous eussions préféré l'évocation prioritaire des vrais problèmes européens. Aucune des questions régaliennes qui se posent à l'ensemble du Vieux Continent, n'a été abordée : ni la justice, ni la police, ni la défense. Encore moins celles de la recherche, de la cybersécurité, qui nous concerne tous, de l'Estonie au Portugal, ni, globalement, de nos moyens militaires insuffisants ou de notre industrie de défense.

    Tous semblaient déplorer le manque d'emplois. Hélas, on n'a guère perdu son temps de parole pour défendre l'entreprise, l'apprentissage, l'investissement ou l'épargne.

    Avec beaucoup de sincérité l'authentique écolo de service nous a parlé du bonheur. Au moins ne l'a-t-il pas promis.

    Pour le débat comme pour l'amour, comme aussi bien pour la guerre, il vaut toujours mieux n'être, ni un tout seul, ni douze, mais deux. Ceci disqualifie aussi bien le solo jupitérien du mois précédent, que cet inaudible et inutile tumulte dodécaphonique d'un soir.

    JG Malliarakis 

    https://www.insolent.fr/

  • Marine Le Pen en 2022 à l’Élysée ? Si c’est Alain Duhamel qui le dit !

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    Décidément, il y a une ambiance plombée, une tendance de plus en plus lourde au royaume de France, à en juger des récentes déclarations d’un François Hollande affirmant, avec la mâle assurance de ceux qui n’ont pas vraiment tout réussi dans leur vie : « La menace vient de l’extrême droite. Je l’affirme, un jour elle arrivera au pouvoir en France. En 2022 ou plus tard… »

    De son côté, le journaliste Alain Duhamel joue aux oracles en un registre globalement similaire, affirmant, dans Libération du 3 avril dernier : « Marine Le Pen devient donc une hypothèse solide au moment où la gauche se déchire et n’a jamais été aussi faible depuis la Libération, où la droite classique commence à peine sa convalescence et où Emmanuel Macron voit se multiplier devant lui des obstacles et des pièges. » Pour qu’un tel premier de la classe – façon Aignan dans Le petit Nicolas, de Sempé et Goscinny, dont nous fêtons, par ailleurs, le soixantième anniversaire –, inamovible commentateur de la tambouille politique ayant sauvé sa tête à chaque changement de régime, parce que, justement, il n’a jamais cessé d’incarner ce même régime, en parvienne à de telles extrémités, c’est donc qu’il se passe « vraiment » quelque chose.

    Ou que quelque chose, au moins, a bougé ; ce qui se constate depuis déjà plus de dix ans dans le microcosme médiatique. Les essayistes dissidents – Éric Zemmour, Jean-Claude Michéa, Régis Debray, Élisabeth Lévy ou Alain Finkielkraut – vendent plus que leurs homologues du « système ». Tout comme les gilets jaunes préfèrent TVL et Boulevard Voltaire à TF1 ou France 2. Charlotte d’Ornellas et Gabrielle Cluzel, représentantes d’autres minorités jadis moins « visibles », squattent les plateaux télévisés, tandis qu’un Alain de Benoist, face au gourou de l’empire du bien, Alain Minc, effectue son grand retour en couverture du Figaro Magazine. Ce qui n’est, finalement, que justice, ce philosophe et ses amis du GRECE (Groupe de recherche et d’études sur la civilisation européenne) ayant créé cet hebdomadaire de toutes pièces, quasiment à l’insu d’une droite déjà donnée, à l’époque du Giscardik Park, pour être à la fois de gouvernement et singulièrement frileuse en matière doctrinale. Bref, les temps changent, tandis que les rapports de force paraissent s’inverser et que, pour paraphraser le grand Victor Hugo, « l’espoir changea de camp, le combat changea d’âme ».

    Non point que les uns puissent être plus « performants » que les autres et qu’une nouvelle « bonne gouvernance » aurait vocation à remplacer l’ancienne : il y a simplement le choc des réalités. Et c’est là qu’un Alain Duhamel, se raccrochant aux branches, affirme, à propos de Marine Le Pen : « Son ressort, c’est la colère du peuple, c’est la haine des élites, c’est le réflexe nationaliste, c’est le sentiment d’injustice, c’est le refus des immigrés, c’est l’aversion des minorités. » C’est-à-dire le rejet, par une majorité grandissante de Français, de tout ce qu’a pu incarner, des décennies durant, un Alain Duhamel et ses confrères du « cercle de la raison » : qui oserait parler, aujourd’hui, de « mondialisation heureuse » ou d’immigration « chance pour la France » ?

    En effet, si le « peuple » est en « colère », c’est principalement parce que ces « élites » ont failli sur toutes ces questions. Que Marine Le Pen ait tort ou pas importe, finalement, peu : le choc des réalités plus haut évoqué s’est chargé de lui donner raison.

    Si même un François Hollande ou un Alain Duhamel s’en rendent compte, c’est dire l’ampleur du carnage. Et notre éditorialiste de conclure : « Le pire n’est pas sûr mais cette fois il est devenu possible. »

    Ou le « meilleur », aussi, serions-nous tenté d’ajouter. Simple question de point de vue.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/marine-le-pen-en-2022-a-lelysee-si-cest-alain-duhamel-qui-le-dit/

  • Un débat ou un peloton d’exécution ?

    Un débat ou un peloton d’exécution ?

    François Billot de Lochner a eu le courage de regarder le débat hier soir entre les têtes de listes aux européennes :

    12 candidats alignés le long du mur comme au peloton d’exécution : c’était le triste spectacle de l’Emission politique, le premier grand rendez-vous de la campagne des élections européennes ce jeudi 4 avril sur France 2. En toute sincérité, notre admiration va à tous ceux qui se sont prêtés à l’exercice de regarder ce pensum, à ce charcutage pitoyable de l’expression politique.

    En effet, chaque candidat s’est vu octroyer un temps de parole de 12 minutes. 12 petites minutes, éclatées en parcelles infinitésimales, rendant plus absconse que jamais une parole publique en mal de légitimité. Les journalistes recrutés pour l’occasion, Thomas Scotto et Alexandra Bensaïd, donnaient l’impression d’avoir échoué sur le plateau d’Intervilles, multipliant les blagues ratées pour donner aux téléspectateurs sur la voie de l’endormissement le sentiment que la politique, en 2019, c’est funIncapables d’arbitrer entre les candidats, et de faire circuler intelligemment la discussion, ils sont apparus comme des obsédés du chronomètre, au détriment du développement d’une pensée raisonnable et argumentée. Peut-on faire de la politique sérieusement quand on s’exprime par tranches de 15 secondes ? Les candidats n’avaient pas grand-chose à dire, et l’on ne sait pas précisément si c’est le manque d’idées qui a donné lieu à ce débat bégayant, ou si sa forme maladroite ne pouvait tout simplement pas accoucher d’autre chose que de propos moribonds.

    Malgré tout, qu’en retirer ? D’une manière assez étonnante, c’est très largement l’euroscepticisme qui a prévalu sur l’ensemble du débat. Le désenchantement européen est bien là. Avec une touchante naïveté – il est même étonnant que les rédacteurs en chef de l’émission aient laissé passer cela –, Alexandra Bensaïd a fait se déployer sur les écrans une magnifique infographie pour nous expliquer ingénument que l’Union européenne nous faisait perdre des milliards chaque année, et nul ne s’est amusé à la contredire. Tous, au fond, savent que cette Europe que l’on nous a tant vantée est incapable d’affronter les défis qui sont les nôtres aujourd’hui, à commencer par l’immigration et l’islamisation du contient et le désarroi identitaire dans lequel elles nous plongent. Sans oublier, évidemment, la pauvreté croissante, le chômage qui ne diminue pas, et les dépôts de bilan qui se multiplient.

    Nathalie Loiseau, la candidate LREM, comme Jean-Christophe Lagarde, tout deux les plus volontiers « européistes », avaient bien du mal à faire souffler un vent d’enthousiasme sur le plateau.

    La gauche de la gauche s’est enfoncée dans l’utopisme le plus délirant, en vantant les mérites d’une fraternité universelle à laquelle plus personne ne croit : le disque est bien rayé, et même les nouvelles têtes, comme Raphaël Glucksmann, n’ont pas l’air d’y croire.

    Pour les Républicains, la confrontation à ses adversaires a fait ressortir la fragilité de François-Xavier Bellamy, mal à l’aise pour articuler ses fameux grands principes à une pensée concrète non technocratique.

    Les politesses et les ronds-de-jambe, ironiques ou non, entre Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jordan Bardella et François Asselineau, ont fait vraiment mesurer à quel point un tel morcellement de la droite souverainiste est absurde. Dans le marasme général, ce dernier s’est toutefois distingué par des arguments précis et percutants contre les contradictions dans lesquelles s’empêtrent sans cesse les tenants du modèle dominant : pourquoi vitupérer contre la Hongrie et la Pologne, quand on alimente un système qui leur verse des milliards chaque année ? Pourquoi se lamenter sur les afflux de migrants, quand on préfère financer l’Estonie ou la Grèce, plutôt que d’apporter une aide au développement ciblée à destination des pays francophones d’Afrique ?

    Une chose est certaine, et dans une certaine mesure, il nous faut nous en réjouir : le système de Bruxelles et de Strasbourg a vécu, et l’ensemble de la classe politique sent confusément qu’à plus ou moins brève échéance, il faudra – enfin – penser d’abord à la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-debat-ou-un-peloton-dexecution/

  • Débat sur les européennes : la grande cacophonie – Journal du vendredi 5 avril 2019

    Débat sur les européennes : la grande cacophonie

    Le débat sur les européennes vire à la cour de récréation. Pendant plus de 3 heures, 12 têtes de liste pour les élections européennes se sont écharpées sur le plateau de France 2 faisant la part belle à la forme plutôt qu’au fond.

    Marine le Pen rencontre Matteo Salvini

    Un rendez-vous discret mais qui pourrait peser dans une hypothétique alliance des parties patriotes en Europe. Marine le Pen a rencontré le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini à Paris à moins de deux mois du scrutin continental.

    Requin et surfer à la réunion : l’impossible vivre ensemble ?

    Et un peu de fraîcheur avant l’arrivée des beaux jours avec un détour par la Réunion où les surfers doivent composer avec d’encombrants voisin : les requins. Depuis plusieurs années des dispositifs ont été mis en place pour permettre aux passionnés de glisses et aux prédateurs sous-marins de cohabiter.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/debat-sur-les-europeennes-la-grande-cacophonie-journal-du-vendredi-5-avril-2019

     

  • Européennes : un débat à quitte ou double

     

    Européennes : un débat à quitte ou double

    Après avoir voulu évincer plusieurs personnalités du débat, France 2 a finalement invité les 12 principales têtes de liste. De quoi rendre le rendez-vous crucial pour plus d’un candidat.

    La Justice n’a pas la cote !

    L’appareil judiciaire au coeur des critiques ! Une étude révèle qu’une large majorité de français est insatisfaite de l’institution judiciaire. Retour sur les causes de ce désamour.

    Matteo Salvini en route vers les européennes

    A moins de deux mois des élections européennes, tous les feux sont au vert pour la Ligue de Matteo Salvini. Entre les victoires régionales et les sondages largement favorables, le parti du ministre de l’intérieur italien peut espérer faire une entrée fracassante au parlement européen.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-debat-quitte-double-journal-du-jeudi-4-avril-2019