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élections - Page 379

  • En direct au JT de TF1, Marine Le Pen arrache le masque de l’institut Montaigne, émanation de la haute finance qui téléguide Macron

    Marine Le Pen était l’invitée du JT de TF1 mercredi soir, suite aux harcèlements judiciaires qui interviennent contre ses assistants alors que tous les sondages la mettent largement en tête au premier tour de la présidentielle et lui ouvrent toutes les chances de remporter le second tour. La candidate souverainiste eut tôt fait de balayer l’affaire, avant d’arracher le masque de l’institut d’économie Montaigne, marionnette du club mondialiste Bilderberg, à partir de 8’44. Vidéo et texto ci-après

    Une conjuration du Système médiatico-financier qui explose en plein écran

    La candidate à la Présidence à longuement répondu à l »expert » de l’institut Montaigne, François-Xavier Piétri,  chargé de  caricaturer son projet économique concernant la sortie de l’Union européenne et du retour au Franc. Bonne occasion pour Marine Le Pen de rappeler que l’Institut Montaigne est une émanation du groupe d’assurance AXA, fondé par Henri de Castries, qui a été à la tête du club Bilderberg, et qui a présidé le groupe Axa jusqu’en janvier 2017, et auquel le journaliste s’empresse de venir au secours, sans succès…. Un groupe au service de la haute finance apatride et cosmopolite, qui tient en haine les nations européennes, et leur civilisation chrétienne, mais qui milite pour un monde sans frontières où des troupeaux humains sans racine seraient ballotés indistinctement . Un groupe qui a soutenu Nicolas Sarkozy, approché François Fillon qui a eu le tort de se référer aux racines chrétiennes de la France, avant d’opter pour la candidature du traître Emmanuel Macron, qui lui ne cesse de donner des gages à ses marionettistes. « En Marche » était même domicilié chez le directeur de l’institut Montaigne, Laurent Bigorgne »…. Une manœuvre du mondialisme des banksters soutenue par des médias engagés sous la houlette du magnat de la presse Israélo-marocain, Patrick Drahi, l’obligé d’Emmanuel Macron; une conjuration du Système médiatico-financier que Marine Le Pen fait exploser en plein écran. « François Fillon  veut faire d’Henri de Castries son ministre de l’Économie« …

    Les reproches de la « Justice », Marine Le Pen les a balayés en quelques mots

    Des manœuvres qui profitent d’un flou savamment entretenu pour tenter d’amalgamer les emplois fictifs reprochés à Fillon dans le dessein d’un enrichissement personnel, aux emplois réellement occupés des collaborateurs parlementaires de Marine Le Pen sans qu’aucun soupçon d’enrichissement personnel ne pèse dessus.

    Pour le cas où cette vidéo disparaîtrait voici le texte à partir de 8’44, lorsque Marine Le Pen explique ce qu’est réellement l’Institut Montaigne:

    « Ce qui est dommage, M. l’expert, c’est que vous ne nous disiez pas ce qu’est l’Institut Montaigne. Vous savez en mai 68 on disait « dis-moi d’où tu parles ». L’Institut Montaigne c’est un institut qui en 2012 faisait des publicités diffusées sur une autre chaine qui ont été supprimées par le CSA parce qu’elles faisaient l’apologie en boucle des propositions de Nicolas Sarkozy. Il a été présidé cet institut, tiens comme par hasard, jusqu’en janvier 2017, par Henri de Castries, l’ancien patron d’Axa, celui que M. Fillon veut transformer en ministre de l’Economie, et celui qui a été à l’origine précisément du projet de M. Fillon de destruction et de privatisation de la Sécurité sociale. »  (Le journaliste vient au secours d’Henri de Castries ndlr)

    « Et quand à Laurent Bigorgne, poursuit Marine Le Pen, le directeur, c’est un proche de Macron, je crois même qu’En Marche » était domicilié chez le directeur de l’Institut Montaigne!

    Alors je dis aux Français, vous allez vivre ça pendant deux mois, pendant deux mois tous ceux qui ont quelque chose à perdre durant cette élection, c’est-à-dire les grandes puissances financières, les grands groupes de médias qui ont été avantagés par M. Macron, c’est le cas de M. Drahi par exemple qui a pu acheter SFR grâce à M. Macron, parce que M. Montebourg s’y était opposé, vous allez entendre des choses aussi délirantes que ce qu’on peut voir là.

    Le retour à une monnaie nationale, c’est d’abord le retour à la liberté politique, parce que demain je ne veux pas qu’on me dise: « Madame la Présidente de la République vous ne pouvez pas sortir de Shengen parce que l’Union européenne vous interdit de le faire et si vous le faites nous userons de l’Euro pour vous en empêcher. »

    [le retour à la monnaie nationale] c’est la liberté économique parce qu’avec notre monnaie on va pouvoir mettre en place un patriotisme économique, un protectionnisme intelligent, on va pouvoir relancer les exportations, donc recréer de l’emploi dans notre pays et nous allons pouvoir aussi , contrairement à ce qui a été dit ici, recréer le pouvoir d’achat. Parce que ce que ne nous dit pas l’expert, c’est combien ça coûte le sauvetage de l’Euro. Combien ça a coûté aux Français ?68 milliards, me semble-t-il, le sauvetage de la Grèce! Et nous avons encore des engagements, nous sommes caution sur des centaines de milliards! [voir à cet effet L’ordonnance est passée en France: désormais, une banque pour se renflouer pourra ponctionner les comptes de ses clients]

    Alors tout cela il faut que les Français le sachent. Mais c’est vrai que l’Euro c’est la monnaie des banquiers. Et qu’ils ont fait beaucoup de bénéfices avec lui. mais ce n’est pas la monnaie du peuple parce que le peuple, lui, a vécu la baisse de son pouvoir d’achat et surtout ce chômage épouvantable de masse qui aujourd’hui frappe notre pays.

    Moi je dis, je vais vous rendre à vous peuple français, je vais vous rendre votre monnaie, parce qu’il n’y a pas de peuple libre qui ne maîtrise sa monnaie, vos frontières parce qu’il n’y a pas de pays libre sans frontières, je vais vous rendre l’autorité des lois votées par vos représentants parce que les autorités européennes ne peuvent pas avoir d’autorité supérieure à notre loi, et je vais vous rendre la liberté économique, c’est-à-dire le moyen de mettre en place des aides aux TPE-PME, parce qu’aujourd’hui c’est interdit etc. etc. »

    (…) Les TPE et les PME sont précisément ceux qui vont bénéficier du projet que je porte. J’assume le choix de faire d’eux des privilégiés dans mon projet. Jusqu’à présent ce sont les grands groupes qui ont bénéficié de toute une série d’aides et notamment le CICE d’ailleurs (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi ndlr), eh bien moi, je dis aux TPE-PME c’est à vous que je vais m’intéresser, c’est vous qui allez bénéficier des baisses de charges et notamment des 50 Milliards sans coût supplémentaire car ça existe déjà. Sauf que je vais les recentrer sur les TPE-PME. C’est vous qui allez bénéficier de la baisse du taux intermédiaire de l’impôt sur les sociétés. »

    http://www.medias-presse.info/en-direct-au-jt-de-tf1-marine-le-pen-arrache-le-masque-de-linstitut-economique-montaigne-emanation-de-la-haute-finance-apatride-qui-teleguide-macron/69928/

  • Le plan B de Fillon : le reniement, c’est maintenant !

    8806-20170223.jpgFrançois Fillon a donc un plan B ! Mais ce n’est pas un remplaçant dans la course présidentielle, c’est celui qui se substitue à son plan A de réforme de la Sécurité sociale et de notre système de santé. Le « B », c’est le « A » expurgé des mesures qui lui ont valu sa première chute dans les sondages avant même l’affaire Pénélope. C’est de cette réforme dont il affirmait, face aux critiques, qu’il n’en changerait pas. Car il n’était pas comme ces démagogues qui fluctuent au gré des mouvements de l’opinion ou changent d’avis selon le public auquel ils s’adressent, tel un Sarkozy. Son programme pour la Sécu brise les totems et viole les tabous ? Tant mieux, disait-il alors, car il faut « casser la baraque » !

    Mercredi, il a exposé sa nouvelle version après en avoir livré les grandes lignes la veille dans des interviews. Finie la distinction entre les petits risques, dont devaient se charger les mutuelles, et les gros, pris en charge par l’assurance maladie ! La privatisation de la Sécurité sociale ? Il n’y a jamais songé. Pourtant, lors de son débat avec Alain Juppé, il affirmait vouloir « désétatiser notre système de santé ». De même, il prévoyait de « focaliser l’assurance publique universelle sur des affections graves ou de longue durée et l’assurance privée sur le reste ».

    Il paraît que nous avons eu la berlue ! Ce n’était pas des engagements, explique-t-il aujourd’hui : « Je n’ai jamais voulu mettre en place une santé à plusieurs vitesses. J’ai juste posé une question légitime. » On croyait qu’il affirmait alors qu’il s’interrogeait à la cantonade ! Il y a répondu en supprimant ce qui fâche. On peut penser ce qu’on veut de son projet initial, être pour ou contre, l’important n’est pas là désormais mais dans cet opportunisme électoral qui lui fait changer son fusil d’épaule selon les nécessités du moment.

    C’est Juppé qui doit être amer en constatant que celui qui lui reprochait de ne pas oser des réformes radicales s’aligne maintenant sur sa « mollesse. » Son projet initial visait à faire économiser vingt milliards à la Sécurité sociale, il maintient l’objectif, quoique, désormais, il y aura des économies en moins et des dépenses en plus ! Puisque Macron a promis le remboursement intégral des frais d’optique, il a décidé qu’au terme de son quinquennat il y aura « un reste à charge de zéro pour les audioprothèses, l’optique, les prothèses dentaires », sans dire comment il le financera.

    Ce retournement de veste intervient après un autre : il s’était engagé à renoncer à sa candidature s’il était mis en examen, ce que personne ne lui demandait, et voilà qu’il ira jusqu’au bout, mise en examen ou pas ! Celui qui se présentait comme l’homme de la rupture, tant sur le programme que sur les mœurs politiques, n’est qu’un médiocre politicien, prêt, comme les autres, à tous les reniements pour être élu. Mais cette démagogie ordinaire, loin de le servir, l’enfonce. Comment lui faire confiance ? Ce sont tous ses engagements qui sont frappés de suspicion. Que jettera-t-il demain par-dessus bord par intérêt électoral ou pour conquérir telle ou telle catégorie d’électeurs ? Son refus de la PMA, de l’adoption par les « couples » homosexuels ? La diminution du nombre des fonctionnaires ?

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 23 février 2017

    http://fr.novopress.info/203746/le-plan-b-de-fillon-le-reniement-cest-maintenant/

  • Le macronisme semble être une synthèse de tout ce dont la France veut s'extirper

    Mathieu Bock-Côté écrit dans Le Figarovox :

    "[...] Se présentant avec culot comme un candidat antisystème alors qu'il était adoubé par les grands médias, et promettant une révolution sans prendre la peine de donner le programme l'accompagnant, Emmanuel Macron s'est revendiqué d'une pensée complexe, faisant éclater les clivages, alors qu'il ne fait qu'assumer une forme de mondialisme correspondant aux nouveaux clivages engendrés par notre époque. Ses appels répétés à l'innovation, son style à la fois prophétique et managérial, son usage revendiqué de l'anglais pour s'adresser aux Européens, reflète bien la psychologie des élites mondialisées qui réduisent la politique à un exercice d'adaptation à un monde en mutation. On assistait à la grande revanche des élites mondialisées! On aurait tort, pourtant, de ne pas voir son flirt de plus en plus poussé avec la gauche idéologique.

    Le fondateur d'En marche, on le sait, a d'abord décrété l'inexistence de la culture française. Mais ce qui peut sembler une aberration effrayante aux yeux du commun des mortels est conforme à la vulgate universitaire qui au nom du pluralisme identitaire, fait éclater toute référence possible à la nation. Il n'y a plus d'identité culturelle partagée et d'œuvres exemplaire témoignant du génie d'une civilisation: il n'y a plus qu'un no man's land juridique. L'histoire de France ne raconte plus l'histoire d'une nation mais celle d'une population qu'on ne saurait unifier sans faire violence à sa diversité. À quoi intégrer les immigrés, si la France n'est plus qu'un grand vide? Qu'est-ce que les voyageurs du monde entier viennent chercher en France, si elle n'existe pas?

    Macron s'est aussi permis de nazifier implicitement l'histoire de la colonisation, en l'associant à un crime contre l'humanité. Rares sont ceux qui aujourd'hui, entretiennent une mémoire heureuse de la colonisation, ce qui se comprend. La fameuse pensée complexe est rarement revendiquée en la matière. Mais si plusieurs intellectuels s'étaient déjà permis cette simplification grossière de l'histoire coloniale, aucun homme politique ne s'était permis une formule aussi brutale, qui heurte non seulement de grands pans de la population mais aussi le simple bon sens historique, comme si chaque expérience négative devait être rabattue sur celle des grands crimes du vingtième siècle. 

    Plusieurs se sont demandés s'il s'agissait simplement d'une stratégie pour gagner le vote des banlieues. L'immigration massive a constitué dans les banlieues une population qui se sent étrangère à la France et qui répond favorablement à ceux qui entretiennent cette identité victimaire, d'autant qu'elle est cultivée par une mouvance islamiste qui s'oppose à toute forme d'assimilation. Macron avait déjà invité la France à assumer sa part de responsabilité après les attentats de novembre 2015, comme si elle était finalement coupable des crimes dont elle était victime. Chose certaine, il adhère sans état d'âme au multiculturalisme. On peut croire aussi que Macron, au-delà de tout calcul, a témoigné de l'état d'esprit d'une jeunesse qui ne comprend tout simplement plus l'histoire occidentale autrement que dans le langage de la repentance. 

    Macron a aussi embrassé les grandes revendications sociétales qui sont aujourd'hui jugées comme des symboles de progrès pour les différentes minorités dans lesquelles la gauche croit trouver les nouvelles catégories sociales à émanciper. C'est une forme de libéralisme sociétal décomplexé qui prétend toujours étendre les droits de l'individu en le détachant de tout ancrage anthropologique. On chante la souveraineté de l'individu: à terme, il devrait pouvoir circuler librement à travers le monde en connaissant autant de mue identitaire qu'il le voudra, comme s'il n'était rien d'autre qu'un nomade flottant dans un monde sans le moindre point fixe. Le libéralisme sociétal et le gauchisme culturel, lorsqu'ils s'accouplent, dynamitent toute forme d'appartenance héritée. 

    On ne saurait jouer au devin et annoncer qui remportera la présidentielle de 2017. Mais une chose semble à peu près certaine: c'est une forte poussée conservatrice qui s'est fait sentir en France depuis près de cinq ans, et pour peu qu'on s'intéresse à ses origines intellectuelles et politiques, on constatera qu'elle s'enracine dans un malaise par rapport à l'hypermodernité qui s'est déployé sur près de deux décennies. Le macronisme semble être une synthèse de tout ce dont la France veut s'extirper. Le mondialisme à outrance et le gauchisme culturel sont en contradiction avec les aspirations qui semblent venir des profondeurs du pays. Pour cela, certains voient déjà la candidature de Macron se désintégrer. Ce n'est pas inimaginable. Il serait étrange que la France reconnaisse un sauveur dans un homme qui finalement, semble la dédaigner."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tension chez Les Républicains : Pierre Bédier menace les élus LR s’ils parrainent Marine Le Pen.

  • Philippe de Villiers loue la « carrure présidentielle » de Marine Le Pen

    Philippe de Villiers déclare au JDD avoir trouvée Marine Le Pen « tout simplement excellente » lors de L’Emission politique de France 2, jeudi 9 février :

    Je pense que l’on va vers des surprises toutes aussi excellentes. Elle a une carrure présidentielle. Sa main ne tremblera pas lorsqu’il faudra prendre des décisions douloureuses. Dans mon village des Herbiers, une terre pourtant centriste, ils veulent tous voter pour elle… « 

    Je ne suis pas une nounou et je ne donne pas de conseils à Marine Le Pen. Je ne fais plus de politique. J’ai troqué les électeurs contre des lecteurs ».

    Il dit l’avoir rencontrée et avoir discuté avec elle en décembre à l’occasion de la soirée d’anniversaire de Valeurs actuelles.

    source: Le Salon Beige

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/philippe-de-villiers-loue-la-carrure-presidentielle-de-marine-le-pen_178821.html#more-178821

  • Donald Trump dénonce de multiples fraudes dans la présidentielle américaine

    8806-20170223.jpgDonald Trump est le cinquième président dans l’histoire des Etats-Unis à entrer à la Maison Blanche en ayant moins de voix que la partie adverse. La candidate Hillary Clinton a en effet dépassé – selon les décomptes officiels – de deux millions et demi de suffrages exprimés les résultats obtenus par le candidat républicain. Celui-ci, malgré sa très nette victoire (304 grands électeurs contre 227) se voit, depuis un mois qu’il est en fonction, contesté dans ses attributions précisément en raison de ces deux millions et demi de voix – reflet du suffrage universel direct – qu’il n’a pas eues. Par des manifestations, des diatribes, des éditoriaux, on tente de délégitimer Trump sous le fallacieux prétexte que le système des grands électeurs attribués à chaque Etat a démontré son « injustice » et son caractère obsolète. Or, Trump a contre-attaqué en affirmant que les bulletins supplémentaires dont se félicite Hillary Clinton sont dus, en réalité, à des manœuvres frauduleuses.

    Depuis un mois, Trump clame à chaque occasion qu’on l’a privé du vote populaire, le 8 novembre, et que des citoyens américains et des illégaux instrumentalisés constituent la seule explication possible au lot de consolation obtenu par l’ex-First Lady. Devant des sénateurs, l’autre semaine, le président s’est lancé dans un rapide calcul : les manipulateurs démocrates ont fait voter dans l’ensemble du pays plus d’un million d’illégaux contre moi et, contre moi encore, plusieurs centaines de milliers d’inscrits ont voté deux fois, dans leur Etat puis dans l’Etat voisin. Vieilles ruses : faux papiers et double suffrage. On comprend les faux papiers ; le double suffrage, beaucoup moins.

    Tout part de l’Etat du New Hampshire, sur la côte Est. Ce morceau de la Nouvelle-Angleterre est d’un effarant laxisme. Il permet à tout détenteur d’une carte d’identité avec photo (permis de conduire, ancien combattant ou volontaire fédéral) de s’inscrire le jour même de la consultation sur les listes électorales de n’importe lequel des bureaux de vote locaux. On exige de ce citoyen en plein exercice de son droit démocratique une seule chose : une vague signature sous la vague promesse de devenir dans un proche avenir résident du New Hampshire. En haut lieu, on invite les autorités locales, qui veillent au bon fonctionnement d’un choix crucial pour le pays, à se contenter d’une procédure digne d’une république bananière.

    C’est ainsi que le 8 novembre dernier, selon les accusations de Trump, des centaines de milliers de citoyens résidant officiellement dans le Massachusetts ont d’abord voté chez eux avant de prendre le volant (ou un car ou un train) pour arriver deux heures plus tard dans le New Hampshire où ils ont une deuxième fois donné leur voix à Hillary Clinton.

    Au cours d’une émission de la chaîne ABC, Stephen Miller, un des conseillers de la Maison Blanche, a qualifié de « très sérieux » ce problème de fraudes : « C’est une gangrène dans ce pays », a-t-il précisé :

    « 14 % de non-citoyens sont enregistrés comme électeurs, et les règlements adoptés par le New Hampshire permettent tous les abus. »

    Les témoignages abondent sur ces fraudes : des photos montrant des parkings entiers du New Hampshire occupés le 8 novembre par des voitures immatriculées dans le Massachusetts. Sans compter les cars et les trains ayant assuré le transfert momentané de toute une population démocrate. Chargé de diriger une commission d’enquête, c’est le vice-président Mike Pence qui s’occupe désormais de ce scandale.

    Christian Daisug, correspondant de Présent aux Etats-Unis

    Article paru dans Présent daté du 23 février 2017 sous le titre : « Trump : “Les fraudes m’ont privé du vote populaire“ »

    http://fr.novopress.info/203740/donald-trump-denonce-de-multiples-fraudes-dans-la-presidentielle-americaine/

  • Conférence de presse du Front National des Yvelines pour la campagne présidentielle.

  • Pourquoi il faudra absolument voter Marine Le Pen à la présidentielle !

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    Que l’on aime ou pas Marine Le Pen, elle est la seule en l’état à faire face aux menaces irréversibles qui risquent d’envoyer la France aux oubliettes de l’Histoire.

    Dans les colonnes du JDD, dimanche 19 février, Philippe de Villiers adresse des louanges à la présidente du Front national. Il raconte d’abord l’avoir trouvée « excellente » lors de « L’Émission politique », sur France 2. « Je pense que l’on va vers des surprises tout aussi excellentes. Elle a une carrure présidentielle. Sa main ne tremblera pas lorsqu’il faudra prendre des décisions douloureuses. »

    La politique est l’art de rendre possible ce qui est nécessaire : que l’on aime ou pas Marine Le Pen, elle est la seule en l’état à faire face aux menaces irréversibles qui risquent d’envoyer la France aux oubliettes de l’Histoire.

    L’enjeu de cette élection présidentielle sera ni plus ni moins la survie du peuple français en tant que nation historique. Il ne s’agit pas simplement de réduire les dépenses budgétaires ni de faire une gestion en bon père de famille. Il s’agit d’éviter un naufrage définitif. On se remet d’une crise économique. On ne se remettra jamais d’une substitution de population. Les civilisations sont mortelles, disait Paul Valéry. La chute de Constantinople est là pour nous le rappeler.

    L’oligarchie nous propose comme candidat Emmanuel Macron, le candidat du vide, le parfait pantin dont Natacha Polony faisait pertinemment remarquer qu’il « était l’incarnation absolue du système et des intérêts financiers qui se sont dit que finalement […] il valait mieux faire le boulot soi-même ». Candidat du Grand Remplacement, de la repentance, de la dérégulation sociale et, finalement, de la fin de l’Histoire.

    Par ailleurs, la cabale contestable du parquet financier ne doit pas nous faire oublier la réalité des faits et nous présenter Fillon comme une alternative quasi christique à une gauche dont la France ne veut plus. On nous dit que Fillon est le seul à pouvoir battre Macron. Or, en l’état actuel des sondages, Fillon n’a pas plus de chances que Marine Le Pen. D’ailleurs, cet argument du vote utile est fallacieux. Il suffit d’écouter NKM ou encore Copé qui déclarait, devant Jean-Jacques Bourdin, qu’en cas de second tour Macron/Le Pen, il voterait sans hésiter Macron.

    Même l’aile droite de Fillon, en la personne de Bruno Retailleau, a fait un aveu de taille chez Jean-Jacques Bourdin le 31 janvier dernier : « Fillon et Merkel ont moins de différences qu’on ne le pense sur l’immigration. » Nous voilà rassurés. La gauche sectaire tout comme la droite libérale sont les syndics de liquidation du bateau France.

    Ne comptons pas sur le courage de ces gens-là pour faire changer les choses. Que M. Fillon dénonce l’acharnement du parquet, soit. Mais où était-il pour dénoncer la scandaleuse loi de délit d’entrave numérique à l’IVG ? Deux fois aux abonnés absents.

    Quant au scandaleux traité CETA bradant notre souveraineté judiciaire et notre agriculture aux multinationales nord-américaines, les députés européens des Républicains ont tous voté pour, tout comme ils ont brillé par leur absence, dans le passé, contre les avancées sociétales LGBT au Parlement européen tout en jouant aux matamores aux Manifs pour tous.

    À ce jour, Marine est donnée à 42 % face à Macron et 44 % face à Fillon. Elle n’a jamais été aussi haute dans les sondages, au point que les médias envisagent sérieusement une victoire.

    Certains pourront faire la fine bouche et trouver, dans son programme, des points de divergence. Mais au regard de la situation dramatique de notre pays, de la cohérence et de la fidélité de son programme sur les questions d’identité et de souveraineté, elle apparaît comme la seule personne réalisant la synthèse de ces impératifs tout en ayant la possibilité de peser de manière suffisamment significative.

    Voulons-nous assister en tant que spectateurs au naufrage de notre pays ou risquer cette chance infime mais réelle d’un sursaut ? Alors, plutôt que de penser au prétendu « vote utile » qui, depuis quarante ans, voit la fausse droite reculer sur tous les projets dévastateurs de la gauche, méditons cette phrase de Roger Nimier :

    « Si tu n’agis pas comme tu penses, tu finiras par penser comme tu agis. »

    http://www.bvoltaire.fr/fredericpichon/faudra-absolument-voter-marine-pen-a-presidentielle,315410

  • Ça bouge dans la « droite hors les murs ».

    Lu dans Minute :

    6a00d83451619c69e201b7c8d89c41970b-800wi.jpg"[...] Non seulement Philippe de Villiers, qui envisageait encore à l’automne dernier de se présenter à l’élection présidentielle malgré ses déclarations publiques assurant qu’il n’en ferait rien et qu’il en avait fini avec la politique, y a renoncé, mais la seule question qu’il se pose désormais est de savoir s’il se contentera de distiller des déclarations élogieuses à l’égard de Marine Le Pen ou s’il lui apportera carrément son soutien, en incitant tous ceux, et ils sont nombreux, qui accordent quelque crédit à sa parole à franchir le pas. L’attitude Philippe de Villiers à l’égard de Marine Le Pen, qui oscillait jusque-là entre hostilité et mépris, a commencé à basculer à la fin de l’année 2016. Début décembre, alors qu’ils n’avaient fait jusque-là que se croiser comme lors de la réception donnée aux Invalides pour les 50 ans de « Valeurs actuelles », Marine Le Pen et Philippe de Villiers se sont vus. Longuement. Et Villiers est sorti du repas très favorablement impressionné par la présidente du Front national, se disant persuadé, au-delà du numéro de charme, qu’elle avait l’étoffe d’un chef d’Etat.

    L’autre message que Philippe de Villiers adresse a pour destinataire cette « droite hors les murs », qui, après la primaire de la droite, tendait une oreille de plus en plus attentive aux propos de François Fillon et avait même engagé, pour une partie d’entre elle, un mouvement en sa direction. Les révélations du « Canard enchaîné » ont douché une partie de ces ardeurs, et cette « droite hors les murs » est aujourd’hui profondément divisée entre ceux qui se sont mis au service de François Fillon – c’est par exemple le cas de l’ancien ministre de la Défense Charles Millon, cofondateur du mouvement L’Avant-Garde –, ceux qui se sentent trahis et errent tels des orphelins, et ceux qui se disent qu’après tout, Fillon s’étant révélé être ce qu’il est et les sondages étant ce qu’ils sont, il devient urgent de bien réfléchir… à ne pas insulter l’avenir.

    C’est ainsi que Nicolas Dupont-Aignan lui même commence à douter de la pertinence de sa candidature [...]. Entre le discours public du candidat, qui se dit « indifférent » aux appels lancés par Marine Le Pen dont le programme « n’est pas assez sérieux », et ses propos privés, il y a désormais un gouffre. « On pourrait s’entendre… », a-t-il même lâché récemment, manifestement plus embêté par les modalités que par le principe. [...] 

    Vendredi dernier, Nicolas Dupont-Aignan a eu une journée chargée. Il s’est d’abord rendu sur la tombe de Georges Clemenceau, qui se trouve à Mouchamps, en Vendée. Puis il a fait une halte aux Herbiers, toujours en Vendée, la ville de Véronique Besse, unique député du Mouvement pour la France, et, le soir, il a tenu une réunion publique aux Sables-d’Olonne, en Vendée encore, ville dirigée depuis 2014 par Didier Gallot, un ami de Patrick Buisson depuis leurs années estudiantines à Nanterre, à la fin des années 1960. Malgré cette journée bien remplie, de fins observateurs ont noté qu’il y avait eu un trou dans son emploi du temps. Suffisamment long pour lui permettre d’avoir un rendez-vous discret. Philippe de Villiers n’était pas dans les parages par hasard ? [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html