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élections - Page 421

  • La Bulgarie et la Moldavie élisent des présidents pro-russes

    Comme l'explique Yves Daoudal, il s'agit de deux sérieux revers pour l'Union européenne dont les responsables ne tirent aucune leçon du vent de révolte qui souffle à l'Est et des répercussions catastrophiques que peuvent avoir les tensions et sanctions envers la Russie :

    "Hier, il y avait l’élection présidentielle en Moldavie. C’est le socialiste Igor Dodon qui a été élu, contre la candidate européiste Maïa Sandu, diplômée de Harvard et ancienne employée de la Banque mondiale. Igor Dodon a fait campagne en prônant la dénonciation de l’accord d’association avec l’UE, et l’adhésion du pays à l’Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan. (Mais on a vu en Ukraine comment on pouvait arranger cela…)

    D’autre part, en Bulgarie, c’est aussi un socialiste qui a été élu président, Roumen Radev, ancien chef de l'armée de l'air, clairement pro-russe, très hostile aux sanctions contre la Russie, affirmant haut et fort que la Crimée est historiquement russe, mais sans intention de quitter l’UE (tant que ça rapporte, sans doute…).

    Dans les deux pays, où les gouvernements sont européistes, ces élections vont conduire à des élections législatives anticipées. Le Premier ministre bulgare a immédiatement démissionné."

    Extrait de l'analyse du Monde :

    "Le revers est évident pour l’Union européenne (UE) dans un contexte de tensions entre Bruxelles et Moscou. Les deux candidats – Igor Dodon en Moldavie, Roumen Radev en Bulgarie – ont par exemple une ligne similaire sur l’annexion de la Crimée, qu’ils considèrent comme « de facto russe ». Le général Radev s’est prononcé pour la levée des sanctions de l’UE contre la Russie. Il faut toutefois relativiser le virage que constitueraient les deux résultats de dimanche. D’abord, parce que dans ces deux pays, les présidents ont des pouvoirs très limités. Mais aussi parce que ni M. Dodon ni M. Radev n’ont fait campagne sur un rejet radical de l’Europe (...)

    En Moldavie, les pro-Européens au pouvoir depuis 2009 ont largement déçu leurs partisans. Ils ont mis le pays en coupe réglée, faisant main basse sur de larges pans de l’économie nationale et des institutions, en premier lieu la justice. Le vote prorusse y apparaît clairement comme un vote de rejet d’une élite pro-européenne perçue comme corrompue (...)

    Plus largement, les deux candidats bénéficient de la sévère panne d’attractivité dont souffre l’Europe, déjà ancienne et illustrée encore récemment par le Brexit. Pendant ce temps, dans l’ouest comme dans l’est de l’Europe, la Russie apparaît de plus en plus comme un pôle de puissance alternatif, et son président, Vladimir Poutine, comme un modèle de dirigeant charismatique (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’élection de Donald Trump : un succès et un défi, par Bruno Mégret

    La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine constitue, chacun en convient, un événement historique de grande ampleur. L’Etablissement, qui dirigeait les Etats-Unis et qui, depuis Washington, régentait le monde, a été vaincu. Malgré le soutien quasi unanime des médias, des sondeurs, du showbiz et des responsables du Système, le peuple américain, celui des classes moyennes, celui de la majorité silencieuse, celui qui subit depuis des décennies les méfaits de la mondialisation économique et migratoire, s’est rebellé et a refusé de voter comme on lui enjoignait de le faire.

    Trump est vulgaire, grossier, incompétent, irresponsable, agressif, leur disait-on. Peu importe, il était celui qui défiait le Système par son style, ses propos et ses projets et c’est pour cela qu’il a été élu.

    L’Etablissement a été vaincu

    Il s’agit donc d’un échec retentissant pour tous les tenants du politiquement correct en Amérique comme en Europe. Ceux-ci ne pourront plus nier la réalité des problèmes liés à la mondialisation ; ils ne pourront plus ignorer l’ampleur du refus qu’elle suscite au sein des peuples. Pis : ils vont être confrontés régulièrement à un discours non correct qu’ils ont jusqu’à présent cherché et largement réussi à occulter et à diaboliser. Comment, en effet, pourront-ils continuer cette entreprise de dissimulation et de discrédit si ce discours est maintenant tenu par « l’homme le plus puissant de la planète » ?

    A cet égard, il est intéressant d’observer que Donald Trump a obtenu cette victoire contre la pensée unique depuis l’intérieur du Système. C’est bien en tant que candidat du très institutionnel Parti républicain qu’il a été élu, et c’est bien à la très officielle Maison-Blanche qu’il va s’installer. Je ne peux pas m’empêcher, dès lors, de songer à Gorbatchev qui, lui aussi, depuis le cœur du régime, a commencé à contester la pensée officielle du système soviétique avec les conséquences que l’on connaît. Certes, la comparaison a ses limites, mais, si Trump reste lui-même dans ses fonctions de président des Etats-Unis, c’est tout le système idéologique de la pensée unique qui pourrait être profondément ébranlé en Amérique mais aussi en Europe.

    Ce succès de Donald Trump est donc incontestablement une défaite considérable de la pensée unique. Constitue-t-il pour autant une victoire pour le réenracinement identitaire et le renouveau civilisationnel ? Il est trop tôt pour le dire, car en l’état c’est plutôt un défi qui est maintenant lancé à Trump et aux Américains.

    Un grand défi à relever

    Le nouveau président va-t-il, en effet, transformer ses projets en réalité ? Sur ce plan rien n’est dit, car l’Etablissement d’outre-Atlantique demeure très puissant. N’oublions pas que le président américain dispose d’un pouvoir limité. Il est institutionnellement contraint par la Cour suprême ainsi que par le Congrès. Or si les Républicains disposent d’une majorité dans les deux chambres, beaucoup de « congressmen » sont loin d’être sur la même ligne que Trump. Ajoutons que les grandes administrations fédérales, tout comme le complexe militaro-industriel, représentent aussi des puissances autonomes et qu’elles ont toujours pesé pour empêcher les présidents successifs de s’écarter par trop de la ligne qui est la leur, notamment en politique étrangère. Enfin, il existe les contraintes de la réalité liées, par exemple, à l’endettement considérable des Américains vis-à-vis de la Chine.

    Aujourd’hui nous n’en sommes certes pas à craindre une normalisation du nouveau président mais la question de savoir s’il va pouvoir transformer ses paroles en actes est néanmoins déterminante pour l’avenir :

    – Parviendra-t-il à inverser les flux migratoires dans son pays et à montrer ainsi qu’il n’y a pas de fatalité à la submersion du monde occidental par les immigrés ?

    – Pourra-t-il mettre un terme au système actuel de libre-échange sauvage à l’échelle de la planète et jeter les bases d’un nouvel ordre économique mondial fondé sur la régulation ?

    – Réussira-t-il à changer le caractère hégémonique et interventionniste de la diplomatie américaine au profit d’une politique nouvelle qui prenne en compte la dimension multipolaire du monde d’aujourd’hui et qui réponde au choc des civilisations par une alliance privilégiée avec l’Europe et la Russie ?

    Il est clair que ce ne sera pas facile pour Donald Trump et qu’il devra affronter de nombreux obstacles, peut-être même au péril de sa vie. Sa présidence s’annonce donc comme un grand défi à relever.

    Un choc idéologique qui va frapper l’Europe

    Mais, qu’ils le veuillent ou non, le défi est aussi lancé aux dirigeants européens.Car la nouvelle politique voulue par le prochain président américain pourrait bien conduire les responsables politiques du continent à de sérieux déboires s’ils refusent de s’adapter à la nouvelle donne ainsi créée.

    S’agissant par exemple de l’Otan, le nouveau pouvoir de Washington demandera sans doute aux pays du Vieux Continent de payer pour le maintien de l’engagement militaire américain. Deux options s’ouvriront alors à eux : ou ils continuent de s’en remettre aux Etats-Unis pour assurer leur protection mais en payant désormais cette soumission au prix fort ; ou ils décident de prendre leur indépendance en consacrant cet argent à augmenter leurs budgets de défense et en créant une alliance militaire européenne autonome capable de rendre sa puissance à notre continent.

    De même, sur le plan économique, que feront nos dirigeants si l’administration Trump instaure un protectionnisme aux frontières des Etats-Unis ? Resteront-ils les bons élèves naïfs et trompés du libéralisme intégral, en tolérant que nos marchandises soient taxées à l’exportation, tout en acceptant que les produits étrangers importés chez nous ne le soient pas ? Ou créeront-ils un système d’écluses douanières aux frontières de l’Union européenne pour permettre à l’Europe de se réindustrialiser elle aussi ?

    On a coutume de dire que les événements qui se produisent aux Etats-Unis surviennent en France et en Europe quelques années plus tard. Gageons que le choc idéologique de la victoire de Donald Trump va venir frapper notre pays dans un avenir proche. Tout dépendra alors de la manière dont les responsables de la classe politique vont faire face à cette situation nouvelle.

    La victoire du 8 novembre est un succès, mais elle conduit à un formidable défi.Un défi pour Trump et son administration, un défi aussi pour les dirigeants européens.

    Bruno Mégret

    Texte repris de Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • Un représentant de la "droite hors les murs" rejoint le FN

    Enfin ! Enfin le ralliement d'un homme politique de droite au FN : Jérôme Rivière (ex-UMP), que l'on voit à la gauche de Philppe de Villiers sur la photo où apparait également Jacques Bompard :

    "Jérôme Rivière, ancien député UMP des Alpes-Maritimes de 2002 à 2007 et conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA) de 1998 à 2004, a annoncé samedi 12 novembre qu’il sera le candidat du FN dans la 6e circonscription du Var, celle qui s’étend autour de la ville de Brignoles en frontière des Bouches-du-Rhône.

    Ancien avocat, consultant d’entreprises de 52 ans, tête de liste en Ile-de-France pour Philippe de Villiers aux élections européennes en 2009, il franchit une courte distance pour rejoindre le FN. Toujours classé à la droite de la droite, partisan du non au traité constitutionnel européen en 2005 et du rétablissement de la peine de mort pour les terroristes, il a, dès 2006, évoqué la nécessité d’accords entre le parti qui allait devenir Les Républicains (LR) et la formation de Marine Le Pen. En 2015, son nom a déjà été évoqué comme possible candidat FN sur les listes régionales de Marion Maréchal-Le Pen en PACA (...)

    Compte tenu de mon parcours, l’élection législative s’est imposée, car je veux faire partie de ces personnes qui feront la majorité de madame Le Pen demain."

    Jérôme Rivière est fermement opposé au mariage homosexuel. Début 2006, il signe le « Manifeste parlementaire pour la défense du droit fondamental de l'enfant d'être accueilli et de s'épanouir dans une famille composée d'un père et d'une mère ». Voici ce qu'il confiait au journal Présent en 2009 :

    "Si la France devait autoriser le mariage des homosexuels et l’adoption d’enfants par des couples dits homoparentaux, ce serait, plus qu’une erreur, la plus grande faute contre notre civilisation qu’elle aurait commise depuis plusieurs décennies. [...]

    Il faut introduire l’enseignement de la culture de vie dans l’Education nationale. Il faut aussi instaurer une politique nataliste volontariste, qui valorise l’image de la famille et assure aux mamans le soutien de la nation dès le premier enfant. [...] Je fais partie des parlementaires qui ont demandé que la référence à nos racines chrétiennes soit clairement affirmée dans tous les documents qui régissent notre organisation au sein de l’Union européenne. Renoncer à le dire envoie à d’autres civilisations le signal que nous avons honte de ce que nous sommes, et que nous sommes donc ouverts à un prosélytisme forcené. C’est ce qui m’inquiète le plus dans la relation que nous avons avec le monde musulman."

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/11/un-repr%C3%A9sentant-de-la-droite-hors-les-murs-rejoint-le-fn.html

  • François Fillon se voit... à Bruxelles

    Lu dans La Lettre A :

    Capture d’écran 2016-11-14 à 19.33.45

    Cette information contredit directement la déclaration de François Fillon de janvier 2016, affirmant quitter la politique en cas d'échec à la primaire.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ils ne pensent qu’à elle…, par Caroline Parmentier

    Et si c’était elle ? On a vu cette perspective s’imprimer sur leurs traits au petit matin de l’élection de Trump : Ruth Elkrief, Jean-Michel Apathie, Appoline de Malherbes, Julien Bugier, Jean-Jacques Bourdin, les GG… Serait-ce possible alors ?

    Elle-Marine-Le-Pen-Chard-300x340.jpg« Clinton-Trump, cela ressemble furieusement au match annoncé entre Juppé et Marine, avec Juppé dans le rôle de Clinton » souligne Nicolas Bay. Après le Brexit en juin, l’annulation des élections en Autriche et la possible victoire de Norbert Aufer le 4 décembre prochain, l’ouragan américain donne évidemment des ailes au Front national de Marine Le Pen. Elle a été la première (et pendant de longues heures la seule) à féliciter publiquement le nouveau président des Etats-Unis, tandis que les Hollande, Juppé, Sarkozy, sonnés, se montraient complètement en dessous de l’événement (les conseillers de François Hollande n’avaient même préparé qu’une seule lettre de félicitation adressée à Hillary Clinton !).

    C’est Marine Le Pen en toute logique que la BBC a choisi d’interroger sur l’analyse de ce tremblement de terre. Sur le site de la chaîne, l’article qui renvoie vers la vidéo de l’interview est titré ainsi : « La victoire de Trump augmente mes chances » : « Clairement, la victoire de Donald Trump est une pierre supplémentaire dans l’émergence d’un nouveau monde qui a vocation à remplacer un ordre ancien » déclare la présidente du Front national. « On souhaite qu’en France aussi, le peuple puisse renverser la table autour de laquelle les élites se partagent ce qui devrait revenir aux Français. »

    En Grande-Bretagne comme en France, les mêmes qui se sont trompés absolument sur tout et qui continuent de nous expliquer comment il faut penser, s’étranglent devant ce traitement. Spécialement en ce jour de « Remembrance Sunday » où les Britanniques saluent la mémoire de leurs aînés tombés sous les balles des fascistes comme… Marine Le Pen. Mais oui, ils en sont toujours là.

    Un TGV leur est passé dessus, leur monde explose littéralement sous leurs pieds mais ils ne comprennent rien, ils en crèvent, ils en resteront éternellement toujours là.

    Et les rumeurs vont bon train et les font fulminer. Le FN pourrait-il se rapprocher de l’équipe Trump et bénéficier de ses succès ? Stephen Bannon, le directeur de campagne de Donald Trump, pressenti pour devenir « chief of staff », l’équivalent d’un Premier ministre, a évoqué avec admiration en juillet dernier dans une interview à Radio-Londres le nom de Marion Maréchal-Le Pen et de sa tante. Il évoquait alors l’idée de développer son site « Breitbart », en France : « La France est l’endroit où il faut être. Avec ses jeunes entrepreneurs, les femmes de la famille Le Pen… Marion Maréchal-Le Pen est la nouvelle étoile montante. »

    Ludovic de Danne, le chargé des affaires européennes de Marine Le Pen, était invité à la Trump Tower à New York le soir de la victoire et il aurait eu « des contacts » avec les équipes du nouveau président. Notre Jurassic Park politico-médiatique se raccroche, lui, plus que jamais, à ses bonnes vieilles méthodes et à ses amulettes vaudou : « La perspective d’une victoire de Marine Le Pen au second tour est jugée plus qu’improbable par les sondages » ! Sauf que « le plafond de verre », rappelle le FN, « c’est Hillary qui se l’est pris ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 15 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/201727/ils-ne-pensent-qua-elle-par-caroline-parmentier/

  • UN ECHEC POUR LA DAVOS GOLDMAN SACHS IDEOLOGIE

    Pieter Kerstens

    La caste politico-médiatique nous avait annoncé l’incontestable victoire de Dame Hillary aux élections présidentielles américaines et nous avait avertis d’un cataclysme si Donald Trump l’emportait (comme les ténèbres couvrant le pays : 9plaie d’Egypte) ?

    Aussi, c’est avec stupeur et colère que la Davos Goldman Sachs Idéologie (DGSI) a encaissé le verdict des urnes, l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche et le réveil de la majorité silencieuse américaine.

    Pas de krach boursier, l’or n’a pas explosé, le prix du baril de pétrole n’a pas augmenté d’un dollar de plus et les prix des matières premières ne se sont pas non plus effondrées. Au contraire, Wall Street affiche un record ce 10 novembre 2016 !

    Le public américain a été matraqué depuis des mois par l’image d’un homme qualifié d’immonde et affublé de toutes les descriptions les plus infamantes et injurieuses par l’Establishment. Toutes les manœuvres pour disqualifier un prétendant à la fonction suprême ont été fidèlement relayées par les valets du mondialisme et les eurocrates de Bruxelles, sans discernement et sans aucun contrôle. Le boomerang leur est revenu en pleine face.

    C’est l’Amérique profonde qui s’est exprimée, celle que le Système a exclu des sondages. Cette population méprisée au détriment des « minorités », ce peuple qualifié de misogyne, d’inculte ou de raciste et sur lequel les élites ont craché pendant des années. Année après année, le « petit blanc » américain subit les utopies de l’administration US et constate amèrement que les derniers présidents ont conduit son pays au chaos. En effet, au 10 novembre 2016 la dette publique s’élevait à 19.816 milliards de dollars, soit 61.000 dollars par habitant. Les USA comptaient 152 millions d’actifs au 10 novembre 2016, alors qu’ils étaient plus de 155 millions en 2000.

    Les inactifs se montent à 94 millions maintenant alors qu’ils n’étaient que 79 millions en 2000 ; 124 millions d’actifs seulement ont un emploi à temps plein ; 43 millions d’américains vivent sous le seuil de pauvreté et 42 millions d’habitants bénéficient de bons alimentaires. Plus de 27 millions d’actifs ont 2 ou 3 boulots pour survivre. Alors, on comprend mieux pourquoi l’Amérique « profonde » s’est enfin réveillée !

    Pour sa part, la chanteuse Miley Cirus avait promis de quitter les USA si Donald Trump était élu, tout comme Lady Gaga, l’humoriste Amy Shumer, l’acteur Alec Baldwin, la chroniqueuse télé Oprah Winfrey et la chanteuse Beyoncé. BYE, BYE ! Et qu’ils emmènent dans leurs valises leurs camarades multimillionnaires du show-bizz ou du sport qui eux aussi vomissaient sur Donald Trump : Adios Kat Perry, Jay-Z, Barbara Streisand, Cher, Samuel L. Jackson, Woopi Goldberg, Lena Dunham, Amber Rose, Robert Di Niro ou encore Spike Lee, parmi les plus insupportables donneurs de leçons et moralisateurs de poubelles.

    Qu’ils se cassent, vite, et n’encombrent plus les médias avec leurs discours nauséeux et arrogants, qui nous rappellent les heures les plus sombres de notre histoire dictées par les nomenklaturas marxistes.

    NB : Les habitants d’Alep, eux, ont fêté la défaite d’Hillary Clinton, accusée d’être un soutien aux groupes terroristes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pour Depardieu, l’élection de Trump est « une bonne leçon »

    Pour l’acteur Gérard Depardieu, la victoire de Donald Trump est « une bonne leçon pour les hommes politiques » et la preuve que « la confiance est brisée, le peuple veut reprendre le pouvoir ». « Contrairement à George W. Bush, ajoute-t-il dans un entretien au Journal du dimanche, Trump n’est pas un abruti, il dit des choses qui le dépassent. Personne ne sait de quoi il va être capable. Il a l’intention de faire tout le contraire des politiques mises en œuvre par ses prédécesseurs. Mais avaient-elles empêché la pauvreté, les meurtres et les dérives ? » Ses compliments sur le populisme ambiant s’arrêtent là…

    Car dans ce même entretien, Depardieu, qui dresse un parallèle justifié avec le Brexit, estime que les Britanniques « vont payer leur lâcheté très cher » et qu’il « ne les aime pas » – hormis leurs footballeurs et le cinéaste Ken Loach ! Le coup de grâce est pour Marine Le Pen : « Marine Le Pen n’est pas une menace, c’est une connerie ! » Et notre Gégé national de se faire docte : « La peur nous empêche de nous élever. L’ignorance engendre la brutalité. »

    Moyennant quoi il vient d’achever le tournage du Divan de Staline, où il interprète évidemment le rôle-titre et où celui-ci « apparaît comme quelqu’un de monstrueusement humain, qui ne comprend pas cette peur qu’il provoque ». Encore un drame de l’ignorance ?

    http://fr.novopress.info/

  • Pour la primaire, un seul mot d’ordre : tout sauf Juppé !

    Votez pour qui vous voulez : Fillon, Sarkozy, Poisson… mais pas Juppé !
    Dites non à Juppé.

    Nombreux sont ceux qui, à gauche ou au centre gauche, comptent voter aux primaires LR. Dites à vos amis de gauche de se méfier, cette fois. Nombre d’entre eux ont déjà voté François Hollande. Avec Juppé, ils vont retomber dans le piège tendu par le centre mou bien-pensant depuis 40 ans.

    Dites-le-leur : votez pour qui vous voulez – Fillon, Sarkozy, Poisson – mais pas Juppé !

    Ne donnez pas vos voix au maire de Bordeaux, dont les amitiés avec certains islamistes sont connues. Le premier janvier 2013, Tareq Oubrou, imam de Bordeaux, était décoré du grade de chevalier de la Légion d’honneur personnellement par le maire de Bordeaux.

    Membre d’une des organisations proches des Frères musulmans (UOIF : Union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », Tareq Oubrou est également l’ancien président de l’association Imams de France. Pour mémoire, Alain Juppé avait décidé qu’une propriété en plein centre-ville pouvait être cédée quasi gratuitement (via un bail emphytéotique) à l’UOIF proche des Frères musulmans.

    Lire la suite

  • Marine Le Pen : « Trump a rendu possible ce qui était présenté comme totalement impossible »

    Marine Le Pen s’est exprimée, ce 13 novembre 2016, aux micros de la BBC sur la victoire de Trump qui augmente ses propres chances de victoire aux présidentielles de 2017.
    « Clairement, la victoire de Donald Trump est une pierre supplémentaire dans l’émergence d’un nouveau monde, qui a pour vocation à remplacer un ordre ancien », affirme la fille de Jean-Marie Le Pen, ravie.
    Francesca de Villasmundo

  • Le pire peut encore être évité

    Socialo-progressiste non pratiquant dans les urnes (il vote blanc depuis 1988 assure-t-il), le journaliste Jean-Michel Apâthie (RTL, Europe1, Canal+...) actuellement en tournée de promotion de son dernier livre chez ses confrères,  a trouvé la formule provocatrice pour faire le buzz. Invité de public sénat il a ainsi déclaré en fin de semaine: « l’esprit politique français est fabriqué par le souvenir de Louis XIV, de Napoléon et du Général De Gaulle. Quand on fait de la politique en France madame, c’est pour renverser le monde. Eh bien ça ça n’entraîne que des déceptions. Moi si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrais ? Je raserais le château de Versailles. Ce serait ma mesure numéro un pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France, devenons réalistes !». Opération de com  réussie au regard de  l’écho rencontré par ses propos mais qui ont aussi une résonance particulière avec l’actualité de la lutte contre l’Etat islamique. Ces derniers jours nous n’avons pas seulement appris la découverte d’un charnier d’une centaine de corps, dans la ville de Hammam Al-Alil, à proximité  Mossoul,  reprise aux troupes djihadistes,  mais aussi la libération de la plurimillénaire cité  antique  assyrienne de Kalkhu (ou Kalhu), autrement baptisée Nimrod. Une ville, après les destructions opérées  des œuvres impies du musée de Mossoul (ou leur vente au marché noir), que les miliciens décérébrés de l’EI avaient commencé à détruire au bulldozer pour raser des représentations jugées insultantes pour le prophète. Au nom d’un réalisme tendant à faire disparaître  tout pèlerinage vers un  lieu rappelant la grandeur d’une civilisation  pré-islamique ? Les bouffonneries de M. Apathie sont  moins drôles qu’il ne le croit…

    Après les commémorations du 11 novembre,  Grande guerre dont le souvenir ne doit pas disparaître, la pire saignée jamais connue par notre peuple, qui a frappé cruellement toutes les familles françaises, cette fin de semaine fut aussi un moment de recueillement, d’émotion en ce premier anniversaire des massacres islamistes du 13 novembre dans les rues de Paris. François Hollande et Anne Hidalgo ont dévoilé des  plaques au Stade de France et sur les lieux des autres attentats, des discours ont été prononcés, des bougies allumées… Toutes choses qui ne pourront bien évidemment effacer la douleur de ceux qui ont perdu qui un  enfant, qui un conjoint, qui un parent, en partie du fait de l’aveuglement de la classe politicienne devant une réalité qu’elle n’a cessé de cacher sous le tapis pendant des années… pour « ne pas faire le jeu du Front National ».

    Dans son livre  La Cause du Peuple, Patrick Buisson, ex conseiller  de Nicolas Sarkozy, ne dresse pas seulement un portrait corrosif  des atermoiements,  des faiblesses, des petitesses, de l’absence de colonne vertébrale intellectuelle de l’ex chef de l’Etat et d’une droite affaissée , sous l’emprise d’une gauche libérale-libertaire, euro-mondialiste, avec laquelle elle communie sur l‘essentiel. M Buisson analyse très finement  les dérives   de notre société contemporaine à la lumière de l’Histoire,  la  vision du monde qui anime les adversaires du camp patriotique; il  dessine aussi les contours de ce  que sont  les principes,  les valeurs , le corpus idéologique  d’une Droite nationale digne de ce nom.

    Au détour d’un  chapitre, il évoque les tueries du 13 novembre 2015 , les bougies allumées sur les lieux des attentats  qui «ne vont pas sans évoquer la résurgence de quelque vieux culte animiste. Si elles dispensent un peu de chaleur, elles n’émettent guère de  lumière (…) éphémères compensatrices de vacuité.»  Il relève surtout qu’« un certain islam a administré la terrible démonstration de sa force aux dépens d’une République réduite à l’état d’agrégat de minorités par sa coupable complaisance à l’égard du communautarisme. Aux Français dans leur diversité désormais impossible à ramener à l’unité, la République n’a pu rien à faire partager  si ce n’est un vague  règlement de copropriété connu sous le nom de vivre-ensemble».

    «L’un des non-dits les plus assourdissants du débat actuel» écrit-il plus loin, et ce constat est dressé par nous et par d’autres depuis longtemps, «consiste à taire la responsabilité du progressisme de gauche dans la séparation de l’islam et de la société française. Il n’est pourtant pas abusif d’imputer pour une large part aux effets conjoints de l’individualisme hédoniste et de l’idéologie émancipatrice le processus de radicalisation des musulmans français travaillés par le double sentiment  explosif  et contradictoire de la supériorité de leur civilisation et de l’infériorité de leur puissance. Le mépris que leur inspire la société française, jugée à la fois apostate et décadente, est pour beaucoup dans leur refus croissant d’intégrer la communauté nationale. De la banalisation de  l’avortement, à la légalisation du mariage gay, de l’exaltation du féminisme à la marchandisation de la maternité, de la dévalorisation de l’autorité masculine à la proscription des vertus viriles, de la théorie des genres à l’ABCD de l’égalité, de obscénité à la la pornographie télévisuelle, les musulmans se sentent et se disent agressés en permanence  dans leur être de croyants comme dans leur identité la plus profonde, par nos lois et nos mœurs».

    Il est clair à l’aune de  ces dérives là,  qui fragilisent d’ailleurs  notre communauté nationale toute entière, que rien n’oblige les musulmans à rester sur  notre terre haram et qu’ils peuvent aussi nous quitter pour vivre pour un pays halal,  comme le leur conseillent certains salafistes, à moins qu’une logique de conquête territoriale sous-jacente anime certains d’entre eux… Certes,  un  apostat  comme le chanteur Sting milite pour toujours plus d’immigration. Lors de son concert  samedi  soir  au Bataclan, en hommage aux victimes, ce dernier, quel symbole,  a présenté sa nouvelle chanson «Inch’Allah »; un titre dédié  à l’accueil des  immigrés économiques et autres clandestins  (migrants en novlangue)  qui gagnent l’Europe par milliers chaque jour.

    Est-ce le souhait des familles qui ont perdu un proche et des Français qui,  par millions, s’enfoncent dans la pauvreté, sont frappés part la paupérisation, la relégation, deviennent  étrangers dans leur propre pays?  M. Buisson pose  finalement  la question essentielle dont découle toutes les autres, celle implicite des responsabilités de la droite républicaine  dans cette atomisation-implosion de la France. Il constate, là aussi après Bruno Gollnisch,  Marine, les dirigeants du FN  et bien  d’autres, que «la question de l’immigration  (souffre)  en France d’un vice originel. les choix avaient été  imposés part la classe dirigeante au peuple français, sans que celui-ci n’ait eu à aucun moment la possibilité de décider collectivement de son destin. Une nation qui ne décidait plus des conditions d’accès à la nationalité et de résidence sur son sol, ou pis, qui acceptait de se les voir dicter de l’extérieur  méritait-elle d’être encore considérée comme une nation libre?».

    Il n’est pas étonnant que dans cette situation un sondage Vivavoice pour Libération, publié le 11 novembre,  indique que le sentiment dominant pour nos compatriotes au sujet des attentats soit d’abord un sentiment de colère ( 56 %),  devant la tristesse (48 %), la  haine (24 %) et la  peur(22 %). 26% des personnes interrogées affirment aussi  avoir fait évoluer leurs positions électorales depuis les attentats. Ils ne doivent pas se tromper l’année prochaine, le pire peut encore être évité. 

    http://gollnisch.com/2016/11/14/pire-etre-evite/