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élections - Page 417

  • Le forum Polémia appelle à la dissidence

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    Le 2e forum de la dissidence était organisé ce samedi par la fondation Polémia. Il a rencontré le succès, avec une salle comble de plus de 600 personnes. Le programme promettait des témoignages de personnes engagées dans un combat contre le politiquement correct. Il a tenu toutes ses promesses.

    Michel Geoffroy a introduit le forum en relevant que les gouvernants avaient perdu leur légitimité, et en saluant l’entrée en dissidence des majorités

    Après un film sur la Hongrie de Viktor Orban, quatre maires ou membres de conseils municipaux ont fait part de leur action. Ils ont aussi pointé les obstacles politiques, juridiques et médiatiques. Robert Ménard a ainsi regretté le manque de courage et de conviction des politiciens de centre droit, je le cite : « Nous avons contre nous cette droite de merde (…) : ils préféreront demain s’allier avec les islamistes ».

    La résistance à l’islamisation et à l’afflux migratoire a ensuite été mise en valeur

    D’abord par une table ronde présidée par Karim Ouchikh. Elle a mis en évidence l’impossibilité du dialogue avec un islam conquérant et intolérant. D’où l’importance de s’opposer aux projets de mosquées et de manger de la viande certifiée « de tradition française ». Ensuite, plusieurs initiatives contre la dissémination des immigrants illégaux sur le territoire national ont été présentées.

    La résistance corse contre les agressions allogènes a également fait l’objet d’un beau reportage télévisé d’Hervé Grandchamp

    C’est Jean Yves Le Gallou qui a clos les travaux. Le président de Polémia a constaté que si c’est l’Etat qui a fait la France, aujourd’hui, il la défait. Qu’il s’agisse des préfets ou des juges, il a appelé à mettre en cause ceux qui collaborent à l’islamisation et à l’invasion de notre pays. Pour dénoncer ces collabos, il a annoncé la création d’un prix Papon, qui ne manquera pas de candidats ! Jean Yves Le Gallou a enfin rappelé que la dissidence est l’affaire de tous : « Soyez des lanceurs d’alerte » a t il notamment lancé, afin de nourrir la réinformation. Quitte à recourir à la messagerie cryptée Telegram pour rester discret.

    http://fr.novopress.info/

  • Isabelle Surply (FN) : "Pourquoi je ne suis pas allée voter Poisson"

    Isabelle Surply, conseillère Régionale FN, a invité respectueusement les électeurs de Jean-Frédéric Poisson à rejoindre le FN. Elle l'explique dans une tribune sur Boulevard Voltaire. Extraits :

    "Beaucoup m’ont posé la question et, comme je n’ai pas de problème avec ce genre de débat, je vais vous dire pourquoi je ne suis pas allée voter Poisson dimanche.

    Parce qu’il est bien dommage que ce bon pater familias soit monté à bord de l’appareil vérolé de l’UMP (...) Parce que si nous avions voulu donner un coup de pied au système à la « Trump », comme j’ai pu lire un peu partout, Poisson aurait réuni 500 signatures et se présenterait aux présidentielles hors primaire, et là, croyez-moi que certains rigoleraient moins

    Parce que lorsque je vois des conseillers régionaux PCD incapables de s’opposer (même un tout petit peu) à des dispositifs comme le Pass Contraception, je me demande bien où sont leurs convictions… Parce que même si Poisson a été le seul à dire en ces termes qu’il est « contre l’avortement et la suppression de la vie de sa conception à sa fin naturelle », en termes de programme politique, donc d’action concrète, il n’aurait jamais pu faire mieux qu’un certain autre parti patriote. Car, il l’a dit : il n’a jamais prévu de supprimer la loi Veil mais de créer une vraie alternative et de donner un VRAI choix aux femmes : cela ne vous rappelle rien ?

    Parce que malgré son score, nous allons en parler trois jours et puis, dans dix, tout le monde l’aura oublié. Une gifle n’a d’effet que si elle est réelle comme un Trump qui remporte la présidence, pas fantasmée comme un Poisson qui a fait un joli score à des primaires mais ne les remporte pas pour autant… (...) 

    Parce que lorsque je vois certains catholiques/pratiquants/anti-IVG/anti-mariage gay prêts à rempiler derrière Sarkozy, je désespère de cette mouvance qui se revendique « chrétiens de conviction engagés en politique » et je persiste à me dire que ce n’est pas un gage de fiabilité. Au contraire.

    Parce que lorsque j’ai relu la dernière interview de Jean-Frédéric Poisson dans Le Point, j’y ai quasiment vu le programme de la présidente d’un autre parti politique. Parti qui, localement, a déjà fait ses preuves, et qui a toutes ses chances de la mettre, cette gifle que nous attendons tous.

    Alors non, je ne suis pas allée voter Poisson, parce que son alter ego existe déjà et qu’il faudrait vraiment que cette frange de la droite catholique cesse de se cacher en permanence devant une nouvelle figure émergente et accepte, enfin, de faire le pas. C’est le Rubicon qu’on vous demande de franchir, pas le Styx !"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Autriche – Entretien exclusif avec Norbert Hofer, candidat à la présidence autrichienne : «Je veux une Europe forte et unie, composée d’Etats-nations forts et sûrs d’eux-mêmes»

    Norbert Hofer[1], candidat du FPÖ (Parti de la liberté, parti national-libéral), se présente à la présidence autrichienne le 4 décembre prochain. Son adversaire, l’apparatchik Alexandre van der Bellen – qui a grimpé les échelons au sein du Parti communiste (KPÖ), du Parti socialiste (SPÖ)[2] et des Verts (Die Grünen) dont il a été le porte-parole pendant onze ans – s’affiche comme indépendant! Cet atlantiste, centralisateur et immigrationniste est soutenu par l’extrême gauche, notamment par le KPÖ[3]. Le palmarès de ce renégat ferait se retourner ses ancêtres dans leur tombe: le NéerlandaisJohann Abraham arriva dans l’Empire russe en 1763[4] et son fils Alexandre fut anobli par Nicolas Ier.[5]

    Quant à Norbert Hofer et au FPÖ, ils sont souvent faussement représentés par les médias européens comme étant d’extrême droite, alors qu’ils ne font que défendre des positions conservatrices, identitaires et libérales au plan économique. Le message phare adressé au peuple autrichien par Norbert Hofer, «Je vous rendrai votre Autriche!»[6], le crédite aujourd’hui de 60% des intentions de vote[7]. Entretien avec Norbert Hofer réalisé par Jeanne de Baylan pour Médias Presse Info.

    POLITIQUE INTERIEURE

    ► Vos adversaires prétendent incarner la démocratie, mais ils n’ont pas hésité à truquer l’élection pour la présidence autrichienne. Qui sont les vrais démocrates en Autriche? Et avez-vous des garanties que, cette fois, le scrutin se déroulera sans trucage?

    L’Autriche est une démocratie développée et l’annulation du second tour des élections présidentielles de mai a démontré que l’Etat de droit autrichien fonctionne. Les irrégularités étaient tellement graves que la Cour constitutionnelle ne pouvait exclure des manipulations. Il faut souligner que les débats furent accessibles au public afin que les citoyens intéressés aient la possibilité de comprendre la prise de décision de la Cour.

    Cette décision est unique en Autriche. Elle montre d’abord que la démocratie et le droit fonctionnent, et elle a par ailleurs abouti à un réveil des administrations et fonctionnaires concernés. Par conséquent, je pars du principe que le troisième tour de scrutin du 4 décembre se déroulera sans incidents, de façon acceptable et honnête.

    ► Comment expliquez-vous votre popularité en Autriche aujourd’hui? Quelle est la recette de ce succès?

    Au début, ma cote de popularité n’atteignait pas les 10%, et beaucoup pensaient que je n’avais pas de réelles chances. Depuis que je me suis lancé dans la bataille électorale en janvier, elle a augmenté. Ma «recette» est que je suis toujours authentique. Je ne triche pas, et les citoyens le sentent bien et l’apprécient. Ma façon d’être modéré dans le ton mais ferme dans mes convictions a également été appréciée par des représentants appartenant à d’autres groupes politiques[8].

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  • Primaire : les enseignements du scrutin

    A quand la fermeture des instituts de sondage ? C’est la question que les Français peuvent légitiment se poser après l’écrasante victoire de « l’eunuque » (surnom de Fillon) au premier tour des primaires. Alors que la caste médiatique catégorisait Fillon parmi les petits candidats jusqu’à la semaine dernière, Flamby 1er prophétisait il y a quelques mois : « Il n’y en aura que deux, Juppé et Sarkozy. Fillon n’a aucune chance ».

    Quelle analyse faire du 1er tour de cette primaire ?

    La forte participation indique que les Français « de droite » ne veulent pas en reprendre pour 5 ans d’un gouvernement socialiste.
    Ils se sont mobilisés pour désigner leur champion et éviter une nouvelle défaite en mai 2017.

    Les Français ne veulent plus de Sarkozy.
    Battu en 2012 et détesté à gauche comme dans son camp. Le programme de Fillon est sensiblement le même que celui de Sarkozy, le personnage en moins. L’élection a donc bien été remportée à droite, mais le rejet de Sarkozy a porté les électeurs sur le candidat Fillon.

    En dépit de la propagande médiatique, les électeurs ne veulent pas d’un vieux briscard du centre gauche.
    « Ali Juppé » est presque mathématiquement certain de perdre cette primaire de la droite. Ses soutiens médiatiques et communautaires (musulmans) ne suffiront pas à renverser la tendance.

    Les catholiques doivent cesser de croire en la démocratie
    J-F Poisson était présenté, à tort, comme le candidat catholique « anti-système ». Certaines organisations avaient même appelé à voter lors des primaires pour le candidat Poisson en espérant créer la surprise. Avec 1.5% de votes, c’est un échec total. Mathématiquement, les catholiques sont et resteront largement minoritaires en France. Ils n’ont rien à attendre d’un scrutin national.

    http://www.contre-info.com/primaire-les-enseignements-du-scrutin#more-42904

  • Journal du Lundi 21 novembre 2016 - Politique / Fillon écrase la concurrence

  • Preuve par l’image : des organisations musulmanes ont appelé discrètement à voter Juppé lors des primaires de la droite

    PRIMAIRE MAG

    Source

  • Primaire : le FN appelle les électeurs qui ont voté pour davantage d'identité, d'autorité et de sécurité

    Communiqué de Philippe Vardon, Conseiller régional de PACA et membre du Bureau départemental FN 06 :

    "A travers leur vote pour Nicolas Sarkozy, hier lors de la primaire du centre-droit, ce sont 35% d'électeurs [?] qui ont réclamé davantage d'identité, d'autorité et de sécurité.

    En effet, quoi qu'il en soit de la réalité du bilan de Nicolas Sarkozy ou de la sincérité de ses convictions, c'est bien ces thématiques que celui-ci avait placé au cœur de sa campagne.Et ces électeurs, comme de manière plus marginale ceux ayant voté pour Jean-François Copé ou Jean-Frédéric Poisson, se retrouvent aujourd'hui orphelins. Il semble en effet évident que – quels que soient les ralliements opportunistes ou les calculs – ni Alain Juppé, ni François Fillon ne peuvent répondre à leurs aspirations. Leurs atermoiements sur la question des migrants ou leur faiblesse face à l'islamisme radical les disqualifient clairement. François Fillon avait en effet déclaré qu'il accueillerait des migrants dans sa commune s'il était encore maire, et a notamment été le premier chef de gouvernement à inaugurer une mosquée (à Argenteuil).

    Identité, autorité, sécurité sont au cœur du projet pour la France porté par Marine Le Pen, et c'est autour de sa candidature de rassemblement du peuple français – au-delà des étiquettes partisanes et des parcours politiques – que doivent se mobiliser tous les patriotes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • PRIMAIRE DE LA DROITE : LE CANDIDAT DU SYSTÈME LOIN DERRIÈRE FILLON

    Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

    En choisissant massivement François Fillon lors du premier tour de la Primaire, les électeurs de droite ont d’abord sanctionné le candidat favori du système politico-médiatique, Alain Juppé présenté depuis des mois par tous les instituts de sondage et les politologues comme le vainqueur annoncé.

    Il reste à confirmer au deuxième tour le rejet d’Alain Juppé qui serait le pire des candidats de la droite et du centre pour la France française.

    Si certaines positions-en particulier dans le domaine des relations internationales- de François Fillon peuvent sembler aller dans le bon sens, le Parti de la France rappelle que, par son parcours, l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy reste cependant un homme de l'établissement politique co-responsable de la situation dramatique dans laquelle se trouve notre Pays.

    Le relèvement de la France ne peut venir que de la mise en place d'un État national fort, de la défense de notre identité française et de nos valeurs européennes de civilisation ainsi que du refus de la colonisation migratoire et de l’islamisation de la France.

    Pour mener cette bataille politique de résistance nationale, Le Parti de la France sera au rendez-vous des élections législatives de 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nouvelle donne?

    Encore un résultat que les sondeurs n’ont pas vu venir, dont il n’ont pas su en tout cas mesurer l’ampleur. Avec plus de 44%  des voix au premier tour de la primaire de la droite et du centre, François Fillon écrase la concurrence, prend une solide option sur  le second tour devant un  Alain Juppé-candidat-chouchou-des-médias assommé (28,6%) et un Nicolas Sarkozy sèchement éliminé ( 20,6%), renvoyé à ses chères conférences au Qatar. Les autres candidats n’ont fait que de la figuration : environ 2,5% de suffrages pour Bruno Lemaire et NKM, 1,5% pour Jean-Frédéric Poisson, 0,3% pour Jean-François Copé. Les  gaullistes,  les politologues, les Français ayant un brin de mémoire le savent parfaitement, rien n’est plus étranger à notre régime présidentiel, un des rares en Europe, rien de moins conforme à   l’esprit de la Ve  République,  telle qu’elle a été souhaitée par De Gaulle adversaire du régime des partis,  que le principe même d’une primaire. Depuis  la première primaire ouverte  organisée par le PS , idée géniale de gauche reprise  comme souvent par la droite, l’élection présidentielle n’est plus  la rencontre entre un candidat  élu au suffrage universel et la nation. Avec la primaire  ou seule une partie de l’électorat se déplace,  nous assistons à un  court-circuitage du   premier tour de l’élection présidentielle qui avait  valeur de  primaire nationale.

    Environ 4 millions de nos compatriotes, sur les 44 millions d’électeurs français, se sont  déplacés  hier  pour choisir  le champion de la droite libérale.  Les enquêtes  indiquent aussi qu’à peu près 15% des votants à cette primaire - peu ou prou  600 000 électeurs - étaient des gens de gauche. Persuadés de l’élimination du candidat socialiste dés la premier tour de la présidentielle, ils sont venus principalement pour  éliminer Nicolas Sarkozy en votant très majoritairement pour Juppé, et choisir le candidat qui aurait à leurs yeux  le plus de chance de l’emporter contre Marine Le Pen au second.

    Soutenu par les nombreux adversaires de Nicolas Sarkozy, les adhérents-sympathisants  de droite les  plus européistes et immigrationnistes, le  ventre mou du centrisme, Ali Juppé comme le surnomme beaucoup de  ses adversaires sarkozystes sur les réseaux sociaux,  espérait bénéficier de ce rejet  anti-Sarko.  Le résultat de ce dimanche  fut aussi un référendum anti-Juppé pour le peuple de droite, ne se reconnaissant pas dans ce candidat des élites médiatiques et bien-pensantes.

    Capitalisant sur le double rejet de MM.  Juppé et Sarkozy, M Fillon  a réussi  à apparaître comme un homme neuf, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour un politicien  qui fut élu député pour  la première fois en 1981 et ministre  sous le gouvernement Balladur en 1993. Il n’est surtout  pas neutre  que ce soit le candidat de droite le plus libéral, le plus  transgressif sur le plan économique, qui soit le grand vainqueur de ce premier tour des primaires.

    François Fillon,  crédité d’avoir dit la vérité avec sa fameuse  sortie sur notre Etat en Faillite,  commença séguiniste, gaulliste social. Il  apparaît  plus circonspect sur les bienfaits de la mondialisation  qu’un Juppé, mais clame aujourd’hui  son admiration pour Margaret Thatcher… à un moment ou les peuples réclament  plus de protections face à la violence de l’ultra libéralisme mondialiste  - on  l’a vu avec le Brexit et l’élection  de M. Trump.   Mais il est  aussi  plus en phase avec les valeurs de la droite traditionnelle, majoritaires chez les électeurs, obtenant notamment, alors même qu’il ne remet pas en cause le mariage pour tous, le soutien de Sens commun. Son langage  de fermeté face à l’islamisme,  sa volonté d’un rapprochement avec la Russie de Poutine, son pragmatisme au sujet  du régime de Bachar el-Assad, bouclier des chrétiens  syriens, rempart contre le djihadisme,  ont aussi contribué à lui forger une image d’homme sensé et responsable chez les adhérents de son parti.

    Si Alain Juppé clamait ces derniers mois qu’il était le meilleur rempart contre un Nicolas Sarkozy accusé de complaisances coupables vis-à- vis du programme identitaire et sécuritaire du FN, M. Sarkozy lui répétait à qui voulait l’entendre qu’il était le meilleur rempart contre l’élection de Marine Le Pen. L’ex chef  de l’Etat a redit hier soir dans son allocution actant sa retraite de la vie politique (?) et son  soutien au second tour pour Fillon, son hostilité contre l’opposition nationale. Il a exhorté les électeurs à « ne pas emprunter la voix des extrêmes», «le chemin du pire». Même son de cloche d’un Juppé qui entend a-t-il dit, «rassembler contre le FN qui nous entraînerait vers la pire des aventures».

    François Fillon, constate Bruno Gollnisch, n’a jamais manifesté dans le passé  de fortes préoccupations sur l’atomisation communautaire de notre pays, ne s’est jamais vraiment opposé à l’immigration de peuplement, nos abandons de souveraineté à l’hydre bruxellois ou à l’Otan; il  reste lui aussi un adversaire résolu du FN. L’année dernière, comme c’est original, il  pronostiquait sur France Inter une guerre civile si les nationaux  et autres patriotes souverainistes arrivaient au pouvoir.  Il appelait  de ses vœux à une « offensive » contre « la montée régulière du FN dans l’opinion ». Il invitait ainsi à « ne pas jouer l’avenir de (nos) enfants et de (notre) pays à la roulette russe ». Il déclarait aussi en février 2015  qu’en cas de second tour PS-FN à la présidentielle, il voterait pour le candidat socialiste.

    Marine  le relevait hier, «la présidentielle, ce ne sont pas des partis politiques qui présentent un candidat (…), c’est un candidat qui se présente et qui est soutenu par un ou plusieurs partis»,  et c’est aussi un autre enseignement de ce scrutin,  «Jamais ils (les candidats à la primaire, NDLR) n’ont autant parlé que dans cette primaire de sécurité, jamais ils n’ont été aussi opposés à la mondialisation sauvage, jamais on a parlé autant de protectionnisme. C’est nous qui posons les termes du débat et ils tournent autour». 

    Et Le Figaro de noter encore cette analyse faite dans l’entourage de Marine Le Pen : «C’est une droite perdue, déboussolée, qui ne veut ni de Sarkzoy, ni  d’un Juppé  balladurisé plus vite que prévu, qui (s’est  donné)  à un homme tellement courageux qu’il a été incapable de s’élever contre Sarkozy pendant cinq ans». A charge pour l’opposition nationale de savoir fédérer un électorat sarkozyste pour partie  désormais en déshérence,   qui ne retrouve pas chez M. Fillon la fermeté affichée par l’ex président de la République sur les questions migratoires et sécuritaires  au cours de cette campagne. 

    http://gollnisch.com/2016/11/21/nouvelle-donne-2/

  • Primaire de la droite : Fillon écrase tout, Sarkozy c’est fini !

    Grand vainqueur du premier tour de la primaire de la droite et du centre, François Fillon a déjoué les pronostics et rafle la première place (44%) loin devant Alain Juppé, deuxième (28,3%).
    C’est un échec cuisant pour Nicolas Sarkozy (20%), qui a été éliminé dès le premier tour. Henri Vernet, rédacteur en chef adjoint et responsable du service politique au Parisien – Aujourd’hui en France, décrypte cette soirée historique.

    http://fr.novopress.info/