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élections - Page 56

  • Marine Le Pen revient sur l’instauration de la proportionnelle aux élections législatives : « Emmanuel Macron s’était engagé à mettre en place la proportionnelle, il a rompu sa promesse »

    Vu sur TVL

    Dans La Matinale de CNews et en simultané sur Europe 1, Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle répondait ce vendredi 22 avril aux questions de Sonia Mabrouk et Laurence Ferrari. 

    La candidate du Rassemblement National, créditée de 43% à 47% suivant les instituts de sondage, espère bien créer la surprise dimanche 24 avril.

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  • Delphine Wespiser (ancienne Miss France) va voter Marine Le Pen, elle est évincée de TPMP : « On me met au placard, parce que j’ai utilisé mon droit de liberté de penser et de m’exprimer »

    Vu sur TVL

    Delphine Wespiser, l’ancienne Miss France 2012 revenait sur son éviction de TPMP mercredi 21 avril sur cette même émission, après avoir apporté son soutien à Marine Le Pen. 

    L’élection présidentielle 2022 aura été marquée par les appels aux votes de plusieurs personnalités, l’une d’entre elles s’est vue être la proie aux insultes et aux menaces en tous genres.

    Delphine Wespiser s’est expliquée en défendant son « droit à la liberté de penser et de s’exprimer » :

  • « Il n’y aura pas d’alliance ». Jordan Bardella (RN) refuse tout rapprochement avec Eric Zemmour

    Vu sur TVL

    Invité de BFMTV ce matin, Jordan Bardella a fermé la porte à tout rapprochement avec Eric Zemmour. « Il n’y aura pas d’alliance », a lâché le numéro un par intérim du RN.

    Une déclaration qui intervient après qu’Eric Zemmour, Marion Maréchal et deux autres cadres du parti Reconquête ! ont officiellement appelé à une union des droites en vue des prochaines élections législatives.

     
  • Débat Marine Le Pen-Emmanuel Macron : Une femme face au robot

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    « Emmanuel Macron, laissez-la parler ! » Il est 22h50 et Léa Salamé rappelle le président de la République à l’ordre. C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.

    Elle s’est mise en route dès les premières minutes du grand débat d'entre-deux tours, à quelques jours du deuxième tour de l'élection présidentielle de 2022. Marine Le Pen a évoqué le peuple qui a souffert cinq ans, son besoin de protection, son souci de pouvoir d’achat, son besoin de justice. Macron admet que la période a été difficile. Il y a eu la pandémie, le retour de la  sur le sol européen. Mais au fond, il s’en moque. Il veut que le pays devienne une grande puissance écologique, il veut une  plus forte. Il veut, en somme, développer ce qui a provoqué le malheur des Français. Le ton est donné.

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  • Technocrates contre populistes

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    En ce 20 avril, les médias concentrent leur attention sur le débat qui doit opposer, match retour de 2017, les deux derniers candidats restés en lice pour l'élection.

    Les partisans de leurs 10 concurrents éliminés au soir du 10 avril en appellent déjà aux deux tours du prochain scrutin.

    Le Mélenchon, arrivé troisième, pense légitime d'imposer sa loi son appareil et surtout sa personne à toute la gauche. Il préempte le ralliement des électeurs écolos et socialistes, au-delà des élus. Il gomme en particulier les réticences laïcistes pour imposer sa propre politique d'alliance avec les communautaristes de l'islam.

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  • Zemmour appelle le RN, DF et les Républicains opposés à Macron à former une coalition pour battre la coalition des gauches et de Macron aux législatives

    Zemmour appelle le RN, DF et les Républicains opposés à Macron à former une coalition pour battre la coalition des gauches et de Macron aux législatives

    Voilà une bonne nouvelle pour ceux qui craignent la division des forces de droite au 1er tour des législatives, division qui pourrait empêcher un certain nombre de candidats de cette tendance d’accéder au 2e tour.

    Zemmour a en effet appelé à la constitution d’une coalition des droites pour battre les gauches, c’est-à-dire les candidats de la République en marche (vers la dictature totalitaire et la poursuite de la décadence) et de la France insoumise (à l’ordre divin et naturel).

    N’étant membre d’aucun des partis ci-dessus, je leur propose de se répartir les 577 circonscriptions proportionnellement aux résultats du 1er tour de la présidentielle.

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  • La quinzaine de la haine médiatique : le pluralisme, perdu de vue

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    La quinzaine de la haine bat son plein. Comme en 2002, comme en 2017, et malgré une campagne de premier tour active mais sereine pour Marine Le Pen, Éric  jouant le rôle de paratonnerre, le système tout entier se ligue contre elle. Dans cette deuxième phase de l’élection, elle avance à découvert et devient la cible préférée d’une haine moralement obligatoire. Presse, institutions, sportifs, médecins, philosophes et hommes d’Église, tous se lèvent, avec la violence d’un tsunami, pour repousser aux périphéries du vote la candidate souverainiste.

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  • Pourquoi le débat d’entre-deux-tours Marine Le Pen-Emmanuel Macron peut rebattre les cartes

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    Mercredi soir, des millions de Français seront suspendus devant le moment clé de cette campagne présidentielle. Les acteurs sont les mêmes qu’il y a cinq ans, mais le film risque d’être très différent. Le duel démarrera à 21 heures, il sera retransmis sur France 2LCI et FranceInfoTV. On connaît les thèmes dans le désordre : le pouvoir d’achat, bien sûr, les retraites, la place de la France dans le monde, l’immigration, la sécurité, la laïcité. Emmanuel Macron et  seront aussi interrogés sur leur manière de gouverner. Si le débat respecte ces chapitres et si les deux candidats se respectent tout court, ce sera déjà une première différence de taille avec le débat de 2017. Macron avait écrasé de son mépris son adversaire, coupant ses propos sans la laisser parler, injuriant la candidate et ses électeurs. Deuxième différence : les arbitres. En 2017, les journalistes Nathalie Saint-Cricq et Christophe Jakubyszyn avaient été débordés par la violence du choc entre Macron et Le Pen. Demain, Gilles Bouleau et Léa Salamé auront évidemment tiré les enseignements de ce naufrage. Les Français sont en droit d’espérer qu’ils parviennent à installer un dialogue plus équitable.

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