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élections - Page 636

  • Quelle leçon tirer des européennes ? La proportionnelle, et vite !

    Notre système électoral a agi comme une cocotte-minute sans soupape de sécurité.   

    J’ai toujours été un chaud partisan du scrutin à la proportionnelle, même lorsque je votais encore pour un parti dit de gouvernement. Les arguments en faveur du scrutin majoritaire m’ont très tôt paru comme des sophismes adaptés à la sauce « républicaine » pour gruger l’électeur et consolider un bipartisme de façade. Depuis le week-end dernier, il n’y a plus de doute. Le scrutin majoritaire non seulement donne une représentation infidèle de l’opinion de la nation mais il produit en plus deux effets pervers redoutables :

    - Il conforte les majorités politiques dans une fausse sécurité qui finit par creuser le fossé avec l’opinion ;

    - Se sentant lésée, l’opinion publique est encouragée dans une attitude de défiance et se radicalise toujours davantage.

    En somme, notre système électoral a agi comme une cocotte-minute sans soupape de sécurité, d’où les résultats « explosifs » de l’UKIP en Grande-Bretagne et du FN en France lors de cette dernière élection à la proportionnelle, et les résultats beaucoup plus mitigés de l’opposition, observés en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Espagne où ce mode de scrutin est la règle.

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  • Quelle leçon tirer des européennes ? La proportionnelle, et vite !

    Notre système électoral a agi comme une cocotte-minute sans soupape de sécurité.   

    J’ai toujours été un chaud partisan du scrutin à la proportionnelle, même lorsque je votais encore pour un parti dit de gouvernement. Les arguments en faveur du scrutin majoritaire m’ont très tôt paru comme des sophismes adaptés à la sauce « républicaine » pour gruger l’électeur et consolider un bipartisme de façade. Depuis le week-end dernier, il n’y a plus de doute. Le scrutin majoritaire non seulement donne une représentation infidèle de l’opinion de la nation mais il produit en plus deux effets pervers redoutables :

    - Il conforte les majorités politiques dans une fausse sécurité qui finit par creuser le fossé avec l’opinion ;

    - Se sentant lésée, l’opinion publique est encouragée dans une attitude de défiance et se radicalise toujours davantage.

    En somme, notre système électoral a agi comme une cocotte-minute sans soupape de sécurité, d’où les résultats « explosifs » de l’UKIP en Grande-Bretagne et du FN en France lors de cette dernière élection à la proportionnelle, et les résultats beaucoup plus mitigés de l’opposition, observés en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Espagne où ce mode de scrutin est la règle.

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  • Malgré l'effondrement du PS, l'exploit de l'UMP

    Alors que l'effondrement du PS laisse peu de cartes dans la main de François Hollande, qui a déjà utilisé celle du remplacement de Premier ministre, l'UMP commet l'exploit de focaliser l'attention médiatique sur son financement.

    L'ex-directeur de campagne adjoint de Nicolas Sarkozy a reconnu de fausses facturations au nom de l'UMP pour «absorber» les frais de campagne de l'ex-président. Jean-François Copé va répondre aux critiques lors d'un bureau UMP à l'Assemblée réunissant les ténors du parti.

    Jérôme Lavrilleux a ainsi reconnu que des meetings de Nicolas Sarkozy ont été indûment facturés à l'UMP par la société Bygmalion, au cours d'une interview sur BFMTV, lundi 26 mai, au cours de laquelle on a pu le voir en larmes. 

    "Les dépenses de la campagne (...) ont explosé et (...) ont été beaucoup plus importantes. Tout ceci a coûté de l'argent que ne permettait pas d'absorber des comptes de campagne. Une partie a été mise sur les comptes de campagne (...) L'autre partie a été absorbée par l'UMP. (...) Il y a eu un dérapage sur le nombre, non pas sur la valeur, mais sur le nombre d'événements qui ont été organisés dans cette campagne. J'ai pas eu le courage de dire stop, on en fait trop, on va dans le mur. J'ai commis cette erreur. J'ai fait part de mon sentiment. Je n'en ai fait part ni à Nicolas Sarkozy, ni à Jean-François Copé. Jean-François Copé n'a pas été mis au courant de cette dérive en volume de dépense."

    "La facturation sur ces événements, c'était une manière de ventiler les dépenses qui auraient dû l'être sur les comptes de campagne. On a une législation sur les comptes de campagne qui est totalement à côté de la plaque (...) Tous les partis politiques, notamment les deux qui vont au second tour, sont obligés d'user d'expédients.  Il n'y a pas besoin d'avoir fait sciences-po pour s'en rendre compte. (...) Je note qu'on s'interroge souvent sur nous, et très peu sur l'autre."

    Maître Patrick Maisonneuve, l'avocat de la société Bygmalion qui a lancé les accusations de factures bidons contre Nicolas Sarkozy, Jean-François Copé et l'UMP, est un membre du Parti Socialiste dont il a déjà auparavant défendu plusieurs de ses ténors dont Henri Emmanuelli et Jean-Noël Guérini. Moins de 5 minutes après que ce même Patrick Maisonneuve eut lancé ses accusations contre l'UMP, la police était déjà sur place pour perquisitionner le siège de l'UMP. Le PS sait se défendre.

    Michel Janva

  • Discours historique de Marine Le Pen, élections européennes, 25 mai 2014

  • Allemagne – Sept députés européens pour le parti anti-euro AfD

    afd-européennes-mpi

    Allemagne – Alternative für Deutschland (Alternative pour l’Allemagne) est un parti eurosceptique créé en 2013. Six mois à peine après sa fondation, l’AfD créait la surprise en obtenant plus de 2 millions de voix aux élections de septembre 2013, ne ratant que de peu l’entrée au Bundestag avec un score de 4,7 %.

    Mais l’Afd réitère l’effet de surprise en obtenant 6,5 % des voix lors des élections européennes, ce qui lui accorderait 7 députés européens.

    L’Afd est classé comme parti « populiste ». Il se revendique plutôt comme anti-establishment et anti-euro (l’AfD milite pour le retour au Deutsche Mark) mais non anti-Europe. L’AfD prône également l’utilisation du référendum pour les décisions politiques importantes, tant au niveau national qu’européen.

    http://medias-presse.info/allemagne-sept-deputes-europeens-pour-le-parti-anti-euro-afd/10490

  • Et maintenant, à l’UMP ? Bataille autour d’un fauteuil…

    Une chose est sûre : ça sent le vitriol à l’UMP.   

    « Nuit des longs couteaux », comme dit mon ami Nicolas Gauthier, ou bien « règlement de comptes à OK Corral », une chose est sûre : ça sent le vitriol à l’UMP. Avec ses 20,80 % aux européennes et surtout ses 5 points de retard sur le Front national, le parti qui a gouverné la France jusqu’en 2012 et nous abreuve à longueur d’année de ses sacro-saintes « valeurs républicaines » s’apprête à vivre des heures douloureuses. Surtout, la guerre des chefs contenue ces derniers mois à grand-peine pour cause d’échéances électorales va maintenant faire exploser la marmite. Demain, à l’heure peut-être où vous lirez ces lignes, ça devrait en effet chauffer au 238, rue de Vaugirard.

    Pour commencer, le chef Copé est censé – enfin ! – y présenter un rapport financier sur les comptes du parti. C’est qu’avec un sens choisi du « timing », il faut le reconnaître, on a eu droit la semaine passée à une jolie piqûre de rappel sur le scandale Bygmalion. Sorti à la veille des municipales, celui-ci met en évidence les liens de favoritisme entre le président de l’UMP et la filiale de cette société de communication organisatrice des manifestations du parti. Après Le Point, c’est Libération qui nous apprend l’existence d’une facture de 12,7 millions d’euros à l’UMP pour « l’organisation de 55 conventions thématiques ». Manque de bol, les participants supposés n’en ont pour certains aucun souvenir. C’est le cas, notamment, de Pierre Lellouche qui vient d’annoncer qu’il porte plainte pour « usurpation d’identité ». Rappelons, en passant, qu’on a tapé les militants voilà moins d’un an pour boucher un trou de 11 millions d’euros.

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  • Le début de la fin pour la dictature européenne

    Selon Yves Daoudal :

    "Au Royaume Uni, l’Ukip est arrivé en tête. Au Danemark, le parti du peuple danois est lui aussi arrivé en tête, avec cinq points d’avance sur le parti au pouvoir.

    Aux Pays-Bas, le parti de Geert Wilders n’a pas obtenu les résultats escomptés, mais contrairement à ce qui a été dit ce n’est pas une défaite : il conserve ses quatre sièges.

    En Autriche, le FPÖ a obtenu 20,5%, contre 12,7 en 2009.

    En Allemagne le nouveau parti AfD obtient 7% des voix et donc 7 sièges (conformément à la proportionnelle).

    Bref, c'est le début de la fin pour la dictature européenne, même si les tenants du désordre établi peuvent encore garder la main. Le score du FN est le premier coup de tonnerre. Le suivant sera sans doute le départ du Royaume Uni."

    Michel Janva

  • Le début de la fin pour la dictature européenne

    Selon Yves Daoudal :

    "Au Royaume Uni, l’Ukip est arrivé en tête. Au Danemark, le parti du peuple danois est lui aussi arrivé en tête, avec cinq points d’avance sur le parti au pouvoir.

    Aux Pays-Bas, le parti de Geert Wilders n’a pas obtenu les résultats escomptés, mais contrairement à ce qui a été dit ce n’est pas une défaite : il conserve ses quatre sièges.

    En Autriche, le FPÖ a obtenu 20,5%, contre 12,7 en 2009.

    En Allemagne le nouveau parti AfD obtient 7% des voix et donc 7 sièges (conformément à la proportionnelle).

    Bref, c'est le début de la fin pour la dictature européenne, même si les tenants du désordre établi peuvent encore garder la main. Le score du FN est le premier coup de tonnerre. Le suivant sera sans doute le départ du Royaume Uni."

    Michel Janva

  • Les Français brisent leurs chaînes !

     urne_voteIl y a eu le taux de participation, toujours très faible (42,50%) , mais un peu plus fort qu’en 2009 (40,63%).  Une abstention élevée  toujours préoccupante, en ce  qu’elle  traduit certes le désarroi des Français, leur rejet  du Système, mais aussi  une colère  stérile  qui conforte les partis   « traditionnels »qu’ils rejettent  et qu’ils  jugent avec raison responsables  des maux qui les accablent.  Il y a eu les petites manips visant à fausser la sincérité du scrutin, les bulletins de votes manquants ici ou là, l’absence aussi  de la profession de foi frontiste dans les enveloppes électorales  reçues par les électeurs, tendant à faire accroire que les listes FN n’étaient pas présentes partout. Il y a eu les accusations  infâmes, les procès en extrémisme, en racisme, les mêmes   procédés mensongers de sidération utilisés  ad nauseam depuis trente ans par le microcosme. Il y a eu la tribune de François Hollande  et celle de Nicolas Sarkozy en faveur de l’Europe bruxelloise  promettant le chaos en cas de victoire du FN. Il y a eu la campagne des pontes  socialistes, Manuel Valls en tête,  lequel   a jeté l’autorité de l’Etat dans la balance  pour  sa tournée anti FN, promettant de faire barrage  à l’opposition nationale qualifiée d’extrême droite, sur l’air  du No pasaran….. Mais les Français  n’ont pas flanché, et pour la première fois de son histoire, le FN est arrivé en tête à une élection nationale avec plus de 25% des voix (6, 34% en 2009)  dans   toutes  les  circonscriptions , à l’exception de l’Ouest et de l’Ile-de-France.  Marine Le Pen s’en félicitait dés hier soir,  nos compatriotes ont su se saisir   de ce scrutin pour manifester leur volonté de reprendre « les rênes de  leur  destin ». Les Français brisent leurs chaînes, le déclin n’est pas une fatalité !

     « Séisme », « cataclysme », « big-bang »… Les médias Français et européens n’ont pas lésiné sur les superlatifs pour décrire cette victoire historique du FN qui,  fort de plus de quatre millions de voix,  enverra a priori 24 députés au parlement européen sur les 74 du contingent octroyé à notre pays. Aucun institut de sondage n’avait prévu un succès  de cette ampleur pour le FN ont avancé les journalistes. Disons pour être plus précis  qu’ était donc publié  à chaque fois la fourchette basse des estimations de vote pour le FN, et la fourchette haute en faveur des listes UMP et PS…

    Hier soir, la France, fidèle à sa mission historique d’éclaireuse,  à son génie qui en fait un pays à part  dans le concert des nations, celui d’un peuple qui refuse de se coucher et de mourir sans résister,  a donc  fait vibrer  les patriotes du monde entier, rendu l’espoir aux défenseurs de l’Europe des patries, des nations et des souverainetés nationales.  

     Comme Marine, Jean-Marie Le Pen, Florian Philippot, Louis Aliot, Bruno Gollnisch a relevé hier soit sur LCP que ce résultat – «  une très grande satisfaction »- prouve que   «François Hollande n’a plus la confiance des Français. » Une « crise institutionnelle» qui doit conduire à  la dissolution de l’Assemblée dite  nationale dans laquelle 25% des électeurs sont représentés par deux députés… sur 577.« Il faut redonner la parole au peuple » a réaffirmé Bruno.

     Cela n’étonnera pas les lecteurs de ce blog, les figures du Système n’ont pu qu’ânonner sur les plateaux leurs mantras habituels, étalant  devant les Français leur  autisme et leur incapacité dramatique à comprendre les raisons du vote FN. Manuel Valls ce matin  sur RTL, a  affirmé droit dans ses bottes, comme Alain Juppé en son temps,   qu’il ne changera pas « de feuille de route ».  Jean-François Copé a refusé d’admettre le désaveu de son parti en mettant sur le dos du seul PS  le résultat de dimanche soir , lui qui affirmait dans un entretien  àParis Match publié  jeudi  que si le Front National arrivait en tête « ce serait humiliant pour la France »…

     Pas en reste,  François Bayrou a recyclé son discours habituel en expliquant sur France Info, comme le vert José Bové dénonçant « l’escroquerie du FN » (sic),  que l’opposition nationale  «propose des solutions insoutenables, invivables, dangereuses et impossibles à défendre pour quiconque exercera quelque pouvoir que ce soit. C’est un mouvement de protestation, pas un mouvement de construction pour l’avenir». Julien Dray a déroulé  les éléments de langage du PS en affirmant que  «ce qui se passe est d’une gravité extrême », notant avec plus de réalisme dans Le Parisien  que «  la gauche est au bord d’un KO historique. »Plus pathétique encore peut être, Jean-Luc Mélenchon, au bord des larmes, a écourté sa déclaration officielle  à la proclamation des premiers résultats,   en invitant « les travailleurs » à « (se ressaisir), invoquant sans rougir les mânes de la « patrie ».  « Ils » osent tout…

     Mais comme disait Lénine, « les faits sont têtus » !   L’UMP affaiblie  par les scandales, ses positionnements  contradictoires,  sa guerre des chefs, ne totaliserait  en moyenne  (selon une estimation CSA/BFMTV  et dans l’attente des résultats consolidés) que 20, 60% des voix (plus de 28% en 2009) , devant les listes PS-Radicaux de gauche (14,19%, 16,5 % des voix en 2009),  UDI-MoDem (9,80 %,  10,4 % selon Ipsos),   EELV  ( 9 %, 16,28 % en 2009),    Front de Gauche (6,5 %, score identique en 2009),  Debout La République (3,7 % , 1,77% en 2009)…

     Si le PS retrouve peu ou prou  son seuil historiquement bas de  de 1994, quand la liste européenne conduite par Michel Rocard avait obtenu 14,5 % des suffrages, la victoire du FN est bien «hors norme ».  Le politologue Jean-Yves Dormagenn, dans Libération, relève ainsi que le FN dispose encore d’une réserve de voix très importante car  analyse-t-il,  aux européennes. « Il y a une surreprésentation des électeurs très âgés et des diplômés, une sous-représentation des jeunes et des classes populaires (…).  Ces paramètres devraient pénaliser le FN. Celui-ci a donc sans doute des réserves électorales. Et peut-être que l’on se trompe sur sa sociologie, peut-être que l’on sous-estime sa puissance chez les plus âgés, par exemple. Cela veut dire que, dans certains tranches d’âges, il est vraiment très fort : je ne serais pas étonné que plus de la moitié des 18-25 ans du Nord-Pas de Calais aient voté pour lui».

    Selon Ipsos-Steria,  l’UMP aurait obtenu  25 % des suffrages chez les plus de 60 ans, mais  le FN aurait lui  capitalisé  30 % des voix chez les 18-35 ans; seulement 15% des moins de 30 ans aurait a contrario  apporté leurs voix  à l’UMP et au PS.  Les listes FN auraient aussi reçu les suffrages de  38 % des employés,  43 % des ouvriers, les partis de la trahison des catégories  populaires étant impitoyablement marginalisés par celles-ciCe n’est que justice,   seulement 8% des ouvriers et 16% des employés ont voté PS aux européennes, 5% des employés et 8% des ouvriers pour le Front de Gauche  de Jean-Luc Mélenchon.

     Dans le Nord-Ouest, la liste FN conduite par Marine a  ainsi recueilli   33, 61% des suffrages, celle de Florian Philippot dans le Grand Est  28,96%, celle de Louis Aliot dans leSud-Ouest   24,71 %,  celle de Aymeric Chauprade en Ile-de-France (et  les Français de l’étranger)   plus de 17%, celle de  Bernard Monnot dans le  Centre-Massif central  24,18%, celle de  Gilles Lebreton dans l’Ouest  19,30%. Notons aussi  une belle  percée également en outre-mer où la liste conduite par Marie-Luce Brasier-Clain atteint  10,24% des voix.

     Dans la circonscription Sud-Est  avec 28,18 % ( contre 22,40 %  à l’UMP),  la liste conduite par Jean-Marie Le Pen, Marie-Christine Arnautu et Bruno Gollnisch  remporte là aussi un grand succès.  A la hauteur de la claque infligée à la tête de liste du parti de M. Copé, unRenaud Muselier plein de morgue, pour ne rien dire de l’humiliation  subie  par le tout aussi dédaigneux Vincent Peillon,  dont la  liste PS d’union de la gauche  ne totalise  que 11,87%des voix !

     Comme à Marseille, à Hyères (Var), ville où Bruno Gollnisch  concourrait  aux législatives et  aux municipales, le FN dépasse les 30% ,  atteint 38,53% à  Brignoles (Var),   41,96%,  à Fréjus (Var), 46,17%  à   Cogolin (Var), 47,17%  à Bollène (Vaucluse, 47,17%), 50% à Marignane (Bouches-du-Rhône)…  C’est dans le département du  Vaucluse,  que la liste FN  réalise   son meilleur score de tous les départements du sud-est : 36,42%, très loin  devant l’UMP (19,25%) et  le PS (11,12%).

     Nous reviendrons demain sur ces premiers résultats,  ceux engrangés en Europe par les formations patriotiques et bien évidemment les réactions qu’ils suscitent.

    http://gollnisch.com/2014/05/26/les-francais-brisent-leurs-chaines/

  • Gollnisch : « On assiste à une insurection du peuple de France »

    Bruno Gollnisch réagissait sur LCP aux résultats des élections européennes.

    Bruno Gollnisch : "on assiste à une… par publicsenat