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entretiens et videos - Page 519

  • Désindustrialisation, délocalisation, travailleurs sur le carreau : STOP OU ENCORE ?

  • Rioufol : «Mélenchon se refuse d’aborder les problèmes d’immigration et d’Islam. Marine Le Pen a eu raison de renommer son parti “France Islamiste”»

    Ivan Rioufol (Le Figaro) analyse les faibles intentions de vote pour la France Insoumise : «Mélenchon a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés” (…) mais Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes centraux d’immigration, de communautarisme, d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens (…) Marine Le Pen a eu raison (de dire “France Insoumise” = “France Islamiste”), elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire.»
    – CNEWS, 24 mai 2019, 17h32

    « Mélenchon n’a vu que d’un oeil. Il a très bien discerné l’état d’insurrection de la société, ça il l’avait vu depuis longtemps comme l’avait vu Marine Le Pen quand elle parlait de la “Société des Oubliés”. Tous les deux avaient le même discours qui s’adressait à cette France périphérique, à cette France oubliée, à cette France des Gilets Jaunes – les Gilets Jaunes n’étaient pas toute cette France périphérique mais ils en ont été le symbole – donc Mélenchon et Le Pen, de ce point de vue là parlaient d’un même langage et c’était parfois très similaire, étonnamment similaire, mais on a bien vu que Mélenchon, lui, s’est refusé à aborder les problèmes qui sont centraux dont j’ai parlé tout-à-l’heure, c’est-à-dire les problèmes d’immigration, les problèmes de communautarisme, les problèmes d’Islam. Non seulement il ne les a pas abordés, mais il les a flattés en allant dans leurs sens, il suffit de lire son programme qui est un programme de mon point de vue complètement éthéré et complètement aberrant de vouloir absolument aller dans le sens de la flatterie des communautarismes, de la flatterie allant dans le communautarisme, de la flatterie de l’Islam politique, et donc dans la flatterie de l’Islamisme. Et donc il est là, il s’est fourvoyé en brouillant son image de Républicain laïque pour donner corps aujourd’hui à des revendications identitaires. »

    Sur le fait que Marine Le Pen ait renommé “France Insoumise” en “France Islamiste” : « C’est un propos très polémique, mais elle a raison, c’est-à-dire qu’elle met le doigt sur ce que je viens de vous décrire, de cette dérive qui de mon point de vue est une dérive en effet électoraliste et qui va vers une sorte d’acquiescement à une idéologie, l’idéologie islamiste, qui est une idéologie qui est en tout incompatible avec la démocratie. Donc c’est une erreur fondamentale que paie Mélenchon, et je pense que les électeurs s’en aperçoivent, sinon il n’y a aucune raison qu’il ait ce score-là. »

    http://www.fdesouche.com/1212029-rioufol-melenchon-se-refuse-daborder-les-problemes-dimmigration-et-dislam-marine-le-pen-a-eu-raison-de-renommer-son-parti-france-islamiste

  • Européennes : un avant dernier débat et beaucoup d’interrogations – Journal du jeudi 23 mai 2019

     

    Européennes : un avant dernier débat et beaucoup d’interrogations

    Mercredi soir se déroulait l’avant dernier débat des élections européennes, l’occasion d’une passe d’armes entre Marine Le Pen et Laurent Wauquiez… Mais en dehors de joutes oratoires, l’organisation de ces agapes télévisées et du choix des participants posent question.

    Pharmacie : le grand déplacement !

    Des fermetures massives de pharmacies en France ! L’exercice 2018 a vu de nombreuses officines fermer leurs portes… une restructuration du secteur est en cours avec, à la clé, une concentration des pharmacies derrière des grands groupes.

    Afrique du Sud : l’ANC par défaut

    L’Afrique du Sud repart sur les mêmes bases. Malgré de graves difficultés économiques et ethniques, le congrès national africain et le président Cyril Ramaphosa ont été reconduits à la tête de la nation arc-en-ciel.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-un-avant-dernier-debat-et-beaucoup-dinterrogations-journal-du-jeudi-23-mai-2019

  • ÉLECTIONS ÉLECTIONS EUROPÉENNES 2019 : LE CLIP DE CAMPAGNE DE LA FRANCE INSOUMISEEUROPÉENNES 2019 : LE CLIP DE CAMPAGNE DE LA FRANCE INSOUMISE

  • Géopôles – L’Europe de Strasbourg contre l’Europe de Bruxelles

    Richard Haddad reçoit Jean-Luc Schaffhauser, député européen sortant du Rassemblement National, et John Laughland, auteurs d’un livre sur l’Europe de Bruxelles.

    Cette Europe de Bruxelles a mis le marché et la concurrence au centre de ses institutions. Il en résulte une forfaiture démocratique, une guerre économique et sociale. Pour que l’Europe de la coopération des nations puisse voir le jour, il faut remettre en cause l’Union européenne telle qu’elle est conçue aujourd’hui.

    Jean-Luc Schaffhauser, philosophe de formation, consultant international et député européen, John Laughland, politologue et universitaire britannique spécialiste de l’Union européenne, tenteront de démontrer dans cette émission combien le projet européen initial a été dévoyé et développeront les solutions qu’ils proposent pour revenir à une « Europe de Strasbourg » fondée sur les Etats-nations.

    https://www.tvlibertes.com/geopoles-leurope-de-strasbourg-contre-leurope-de-bruxelles

  • Gollnisch interrogé dans Minute : bilan, fin de mandat et nouveau départ !

    Bruno Gollnisch répondait aux questions de l’hebdomadaire  Minute à quelques jours du scrutin européen et à quelques semaines de la fin de son mandat. L’heure d’un premier bilan et le moment de tracer de nouvelles perspectives…

    https://gollnisch.com/2019/05/21/gollnisch-dans-minute/

  • François Bousquet : pourquoi je vote Robert Ménard

    Mercredi 22 mai, à 19 heures, Robert Ménard dédicacera son livre, Un maire ne devrait pas faire ça, à la Nouvelle Librairie. Rendez-vous au 11, rue de Médicis, 75006 Paris.

    Qu’est-ce qui vous a conduit à inviter Robert Ménard à la Nouvelle Librairie, en plein Paris, au cœur du Quartier latin ? On est loin de Béziers…

    Par amitié pour l’homme privé et par admiration pour l’homme public.
    À 800 km de Paris, on voit la politique autrement, avec du recul.
    Penser global, agir local, disent les altermondialistes.
    Rien n’empêche de penser local et d’agir local.
    Rien n’interdit, non plus, d’agir local et de penser national.
    J’en veux pour preuve la ville de Béziers.
    En moins d’un mandat, Robert Ménard et son équipe l’ont métamorphosée.
    La belle endormie s’est réveillée, ses châteaux pinardiers ont repris des couleurs, ses places sont redevenues le cœur battant de la ville, la sécurité a été restaurée.
    Béziers est le laboratoire d’une expérience municipale qui ne demande qu’à être reproduite.
    Leçon numéro 1 : en quelques années, on peut enrayer le déclin programmé d’une cité.
    C’est cela que Robert Ménard retrace dans son livre, Un maire ne devrait pas faire ça.
    Les 35.000 maires de France devraient s’en inspirer, ça nous change de la soupe tiède que nous sert François Baroin, le président de l’Association des maires de France.
    Dans aucune autre ville on ne voit autant de quidams féliciter leur édile : « Monsieur le maire, vous nous avez rendu la fierté d’être Biterrois ! »
    Le secret de Ménard, c’est qu’il ressemble à ses électeurs – et celui qui ressemble a vocation à rassembler.
    Il ne les toise pas du haut de sa fonction comme un baron lointain retranché dans sa tour d’ivoire.
    Il apporte un vent de fraîcheur dans un monde politique dominé par ce qu’Armand Robin a appelé « la fausse parole ».
    Faites ce que je dis, pas ce que je fais !
    La parole politique s’est enlisée dans les eaux marécageuses du double discours.
    Lui est franc du collier.
    Il a le verbe haut, la tête froide et les pieds sur terre.
    C’est un homme pragmatique, pas un idéologue, il ne plie pas le réel à une idéologie.
    Les idéologues font de très mauvais gouvernants.
    L’avenir de la politique passe-t-il par l’échelon municipal ?
    Un maire ne devrait pas faire ça est un éloge de la démocratie de proximité.
    Si la citoyenneté n’est pas aussi mitoyenneté, elle se perd dans les couloirs de l’administration et les organigrammes ministériels.
    La proximité dans une ville de 80.000 habitants, c’est de pouvoir s’adresser directement à son maire, pour l’engueuler ou le féliciter.
    Ménard a un atout dont peu d’élus peuvent se prévaloir : il connaît ses administrés pour avoir rencontré 20.000 d’entre eux lors de sa campagne municipale.
    Il ne s’est pas contenté de serrer des mains en demandant des nouvelles du petit comme un automate chiraquien en tournée électorale.
    Non, il a recueilli les doléances et les confidences de ses compatriotes.
    Aucun sondeur, aucune enquête qualitative ne peuvent prétendre atteindre ce degré d’intimité avec la population.
    Il n’y a guère que Matteo Salvini qui peut se prévaloir d’une connaissance aussi fine du corps électoral : lorsqu’il animait un talk-show radiophonique, il a pris le pouls de l’Italie – avant de la conquérir.
    Où est le Matteo Salvini français ?
    On parle de plus en plus de candidatures issues de la société civile, et pas seulement chez les Insoumis ni chez les Verts, mais au sein même des partis centraux ; songez à Emmanuel Macron ou François-Xavier Bellamy.
    Or, à travers Macron et Bellamy, ça n’est jamais que le Système qui produit ses propres anticorps. Tout change pour que rien ne change.
    La société civile ainsi conçue, c’est l’hégémonie culturelle cuirassée de coercition, disait Antonio Gramsci.
    Il vaut mieux donc y regarder à deux fois.
    Une candidature issue de la société civile n’est pas la panacée universelle, elle n’est pas nécessairement la réponse à une classe politique en panne d’inspiration.
    Les jeunes loups succèdent aux vieux routiers, mais c’est pour maintenir des idées usées jusqu’à la corde.
    C’est le système des partis et des élites qui est en faillite.
    Primaires ou pas, les uns et les autres ne défendent plus que leurs boutiques.
    Ils obéissent à des logiques partisanes, ils raisonnent en termes de parts de marché, de publicité électorale.
    Charlatans et bonimenteurs, ils monopolisent l’offre électorale.
    C’est cette hégémonie sur la chose publique qu’il faut casser, comme naguère les lois anti-trusts ont permis de démanteler les féodalités économiques.
    La démocratie est une chose trop grave pour la confier aux seuls professionnels de la politique.
    C’est cela que le RIC doit d’abord faire émerger via les réseaux sociaux : une candidature pour 2022 susceptible de rallier les voix de la France périphérique et des gilets jaunes.
    Qui représentera ce tiers état abandonné ?
    Qui cristallisera et métabolisera ces réserves de colère, la grande passion politique selon Aristote, qui ont transformé les ronds-points en agora ?
    Seule une personnalité hors les murs est en mesure de le faire.
    Il faut la chercher parmi tous ces électrons libres qui ont fait sécession à l’intérieur du Système, les Éric Zemmour, Michel Onfray, Marion Maréchal et Robert Ménard.
    Ce n’est pas l’union des droites qu’il faut viser, c’est l’union des dissidences, l’alliance des populismes et des conservatismes, de droite comme de gauche, la rencontre des souverainismes.
    Elle a déjà eu lieu sur les ronds-points, elle ne demande qu’à gagner les assemblées.
    Venez en débattre avec nous le mercredi 22 mai à la Nouvelle Librairie, 11, rue de Médicis.
    Robert Ménard y dédicacera Un maire ne devrait pas faire ça.
    François Bousquet
  • Mercredi 22 mai : Robert Ménard à la Nouvelle Librairie

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