entretiens et videos - Page 525
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CŒUR PAYSAN – Les Reportages de Vincent Lapierre
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Emmanuel Macron : Grand débat et gros bla-bla avec Jean Messiha (RN) – Le Samedi Politique
Invité : Jean Messiha est haut-fonctionnaire et délégué national au Rassemblement National. Avec nous, il revient sur les annonces d’Emmanuel Macron et sur les élections européennes qui auront lieu dans un mois.
Plus de 5 mois après la première manifestation des Gilets Jaunes, le président de la République cherche toujours une sortie de crise. Après une fuite en avant avec le Grand Débat National, l’heure du bilan a sonné. Jeudi soir, Emmanuel Macron a fait sa première conférence de presse à l’Elysée.
Résultat : pas de retour de l’ISF mais une réforme de l’impôt sur le revenu pour les travailleurs aux revenus modestes. Les retraites de moins de 2 000 euros seront également réindexées sur l’inflation et le seuil minimal devra être fixé à 1 000 euros.
Malgré des vœux pieux, Emmanuel Macron n’a pas fait pas de réelles propositions sur l’immigration.
Après plus de deux heures de conférence de presse, le président de la République aura du mal à faire taire la grogne des Gilets Jaunes qui n’ont pas tardé à dire leur déception.
Une déception qui pourrait peser dans la balance lors du scrutin des élections européennes du 26 mai prochain.
https://www.tvlibertes.com/emmanuel-macron-grand-debat-et-gros-bla-bla-avec-jean-messiha-rn
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Fréquence Occident : Emission spéciale camp EDELWEISS 2019
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Censure des réseaux sociaux : quoi faire ?
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Bérénice Levet : "Libérons-nous du féminisme !"
Le Cercle Pol Vandromme recevra Bérénice Levet qui présentera son dernier livre "Libérons-nous du féminisme !" Le mercredi 8 mai à 19h au Thon Hotel Stéphanie à Bruxelles
Docteur en philosophie, essayiste, Bérénice Levet est notamment l’auteur de "La théorie du genre ou le monde rêvé des anges" (Grasset) et du "Crépuscule des idoles progressistes" (Stock).
Dans "Libérons-nous du féminisme !" elle fustige avec talent et rigueur les dérives du néoféminisme qui n’est plus que « criminilisation du désir masculin, guerre des sexes, néopuritanisme, épuration culturelle, politique du deux poids-deux mesures lorsque le mâle est musulman… ».Lien permanent Catégories : actualité, culture et histoire, divers, entretiens et videos, lobby 0 commentaire -
Un objectif vital pour notre avenir construire un réseau pour le « NATO EXIT »
Auteurs : Prof Michel Chossudovsky et Manlio DinucciQuel a été le résultat du Colloque international “Les 70 ans de l’OTAN : quel bilan historique ? Sortir du système de guerre, maintenant”, qui s’est tenu à Florence le 7 avril 2019. Manlio Dinucci en parle avec Michel Chossudovsky.
Note : au cours de cette année, l’OTAN effectue 310 exercices militaires, quasiment tous contre la Russie.
Avec l’OTAN du welfare au “warfare”
70 ans de l’OTAN. Interview de Michel Chossudovsky sur les 70 ans de l’OTAN : “ce n’est pas une Alliance, ce sont les USA qui commandent, ils veulent plus de dépense militaire dans toute l’Europe, ils sont prêts à de nouveaux conflits armés, y compris nucléaires”
Au colloque international “Les 70 ans de l’OTAN : quel bilan historique ? Sortir du système de guerre, maintenant”, qui s’est tenu à Florence le 7 avril 2019 -avec plus de 600 participants d’Italie et d’Europe-, a participé comme principal intervenant Michel Chossudovsky, directeur de Global Research, le centre de recherche sur la globalisation (Canada), organisateur du Colloque avec le Colitato No Guera No Nato et d’autres associations italiennes. Nous avons posé quelques questions à Michel Chossudovsky -un des plus grands experts internationaux d’économie et géopolitique-, collaborateur de l’Encyclopedia Britannica, auteur de 11 livres publiés en plus de 20 langues.
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Quel a été le résultat du Colloque de Florence ?
L’événement a eu un très grand succès, avec la participation d’intervenants provenant des États-Unis, d’Europe et de Russie. L’histoire de l’OTAN y a été présentée. Y ont été identifiés et attentivement documentés les crimes contre l’humanité. À la fin du Colloque a été présentée la “Déclaration de Florence” pour sortir du système de la guerre.
Dans votre intervention introductive vous avez affirmé que l’Alliance atlantique n’est pas une alliance…
Sous l’apparence d’une alliance militaire multinationale c’est au contraire le Pentagone qui domine le mécanisme décisionnel de l’OTAN. Les USA contrôlent les structures de commandement de l’OTAN, qui sont incorporées à celles des États-Unis. le Commandant Suprême Allié en Europe (Saceur) est toujours un général étasunien nommé par Washington. Le Secrétaire général, actuellement Jens Stoltenberg, est essentiellement un bureaucrate qui s’occupe de relations publiques. Il n’a aucun rôle décisionnel.
Un autre thème que vous avez soulevé est celui des bases militaires USA en Italie et dans d’autres pays européens, y compris à l’Est, bien que le Pacte de Varsovie n’existe plus depuis 1991 et malgré la promesse faite à Gorbachev qu’aucun élargissement à l’Est n’aurait lieu. À quoi servent-elles ?
L’objectif tacite de l’OTAN -thème important de notre débat à Florence- a été d’opérer, sous une autre dénomination, “l’occupation militaire” de facto de l’Europe occidentale. Les États-Unis non seulement continuent à “occuper” les ex “pays de l’Axe” de la Seconde guerre mondiale (Italie, Allemagne), mais ont utilisé l’emblème de l’OTAN pour installer des bases militaires USA dans toute l’Europe occidentale, et, par la suite, en Europe Orientale dans le sillon de la guerre froide et dans les Balkans dans le sillon de la guerre OTAN contre la Yougoslavie (Serbie-Monténégro).
Qu’y a-t-il de changé par rapport à un possible usage d’armes nucléaires ?
Immédiatement après la guerre froide a été formulée une nouvelle doctrine nucléaire, focalisée sur l’usage préventif d’armes nucléaires, c’est-à-dire sur le first strike nucléaire comme moyen d’autodéfense. Dans le cadre des interventions USA-OTAN, présentées comme actions de maintien de la paix, a été créée une nouvelle génération d’armes nucléaires de “basse puissance” et “plus utilisables”, décrites comme “inoffensives pour les civils”. Les responsables politiques étasuniens les considèrent comme des “bombes pour la pacification”. Les accords de la guerre froide, qui établissaient certaines sauvegardes, ont été effacés. Le concept de “Destruction Mutuelle Assurée”, relatif à l’usage des armes nucléaires, a été remplacé par la doctrine de la guerre nucléaire préventive.
L’OTAN était “obsolète” au début de la présidence Trump mais maintenant elle est relancée par la Maison Blanche. Quelle relation y a-t-il entre course aux armements et crise économique ?
Guerre et globalisation vont de pair. La militarisation soutient l’imposition de la restructuration macro-économique dans les pays-cibles. Elle impose la dépense militaire pour soutenir l’économie de guerre au détriment de l’économie civile. Elle conduit à la déstabilisation économique et à la perte de pouvoir des institutions nationales. Un exemple : dernièrement le président Trump a proposé de grosses coupes budgétaires dans la santé, l’instruction et les infrastructures sociales, alors qu’il demande une grosse augmentation pour le budget du Pentagone. Au début de son administration, le président Trump a confirmé l’augmentation de la dépense pour le programme nucléaire militaire, lancé par Obama, de 1.000 à 1.200 milliards de dollars, en soutenant que cela sert à garder un monde plus sûr. Dans toute l’Union européenne l’augmentation de la dépense militaire, jumelée à des mesures d’austérité, est en train de conduire à la fin de ce qui était appelé “l’État-Providence” (welfare state). Maintenant l’OTAN est engagée sous la pression étasunienne à augmenter la dépense militaire et le secrétaire général Jens Stoltenberg déclare qu’il s’agit là de la chose juste à faire pour “garder la sécurité de notre population”. Les interventions militaires sont jumelées à des actes concomitants de sabotage économique et de manipulation financière. L’objectif final est la conquête des ressources autant humaines que matérielles et des institutions politiques. Les actes de guerre soutiennent un processus de conquête économique totale. Le projet hégémonique des États-Unis est de transformer les pays et les institutions internationales souveraines en territoires ouverts à leur pénétration. Un des instruments est l’imposition de lourdes contraintes aux pays endettés. L’imposition de réformes macro-économiques létales concourt à appauvrir de vastes secteurs de la population mondiale.
Quel est et quel devrait être le rôle des médias ?
Sans la désinformation opérée, en général, par presque tous les médias, le programme militaire USA-OTAN s’écroulerait comme un château de cartes. Les dangers imminents d’une nouvelle guerre avec les armements les plus modernes et du péril atomique, ne sont pas des informations qui font la Une. La guerre est représentée come une action de pacification. Les criminels de guerre sont dépeints comme des pacificateurs. La guerre devient paix. La réalité est renversée. Quand le mensonge devient vérité, on ne peut pas revenir en arrière.
Traduit de l’italien par M-A P- Source : Il Manifesto (Italie)
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COMMENT S'UNIR QUAND TOUT POUSSE À SE HAÏR ? #GOT S8E01 - DRACARYS DÉBRIEF
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Municipales, un enjeu d’importance
Les élections municipales de 2020 approchent. L’enjeu est d’importance et les catholiques doivent se sentir motivés pour entrer dans les conseils municipaux. Témoignage d’un candidat à la mairie d’une petite ville de 5 000 habitants du Sud de la France.
Vous êtes jeune, vous avez une famille, un métier, qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer à la conquête de votre mairie ?
Parce que râler c’est bien, mais agir c’est mieux ! J’ai 33 ans, je suis viticulteur sur une exploitation familiale et je suis père de bientôt 4 enfants. Ma famille et mon métier me donnent entière satisfaction et occupent déjà largement mes journées. Mais quand on aime son pays, on ne peut rester sur le bord du chemin à regarder impassiblement le délitement que nous constatons tant au niveau national qu’au niveau local. J’ai donc décidé de viser la mairie de ma ville, n’est-ce pas la meilleure place pour agir efficacement à mon niveau dans la vie de la cité ?
Vous êtes catholique. Votre foi est-elle aussi une raison de votre engagement ?
Oui, bien sûr ! La charité et l’apostolat poussent les chrétiens à se mettre au service des autres, y compris en politique et donc dans les conseils municipaux où on peut faire beaucoup pour promouvoir le bien commun.
Cette décision l’avez-vous prise seul ou y avez-vous associé votre épouse sachant qu’être maire est très consommateur de temps ?
J’en ai bien évidemment discuté au préalable avec mon épouse pour qu’elle mesure la charge que j’aurais sur les épaules. Mais, partageant les mêmes valeurs, elle a approuvé ma démarche.
Quels sont les enjeux locaux de cette municipalité ?
Ma ville, très connue pour son vin, souffre paradoxalement d’à peu près tous les maux : appauvrissement de la population, immigration importante avec un fort communautarisme, insécurité, saleté, habitations qui se dégradent, baisse de la population, commerces qui ferment, etc… Elle a besoin d’un maire entouré d’une équipe municipale qui s’investisse courageusement pour régler ces problèmes, de façon désintéressée et dans la proximité avec ses habitants.
D’un point de vue pratique, êtes-vous bien entouré pour mener à bien cette campagne ?
Bien s’entourer est capital quand on veut devenir maire. Il faut trouver les bonnes personnes avec les bons talents à mettre à la bonne place. Il s’agit de dénicher les perles rares, qui ont du temps à consacrer, le sens de l’intérêt général, d’une probité et d’une loyauté à toute épreuve, et surtout en phase avec le programme municipal que nous voulons défendre. Ce n’est pas simple, mais j’ai quasiment mon équipe complète.
Comment avez-vous constitué votre liste ?
J’ai démarché personnellement bon nombre d’habitants. C’est très consommateur de temps, mais très enrichissant. En effet, vous rencontrez toutes sortes de personnes, et une fois la confiance établie elles ont souvent plaisir à vous dire comment elles ressentent le quotidien et à vous faire part des changements qu’elles voudraient pour leur commune
Dans l’intérêt général, pourriez-vous travailler avec d’autres candidats déclarés à cette élection ?
Par principe, je n’y suis évidemment pas opposé mais à condition que ce soit vraiment dans l’intérêt général ! Ou plus exactement que ce soit pour la promotion du bien commun, notion qui me semble mieux cerner l’homme dans ses différentes facettes que celle d’intérêt général, trop « utilitaire »…
Pouvez-vous préciser votre position ?
Travailler pour le bien commun, c’est prendre l’homme dans tous ses aspects individuels : matériel, intellectuel et même religieux et en même temps dans ses rapports sociaux car l’individu appartient à une collectivité. Il me faudra donc travailler à l’épanouissement des habitants dans l’ensemble de leurs activités, pour ce qui relève des compétences d’un maire lesquelles, aujourd’hui encore, restent très importantes.
Cette démarche peut se faire avec d’autres candidats déclarés, mais je ne le ferai jamais, si je n’avais pas la certitude d’être en accord sur les points que je juge non négociables pour une bonne gestion communale : promotion de la famille, non augmentation de la fiscalité, le droit à la sécurité, le social sans les excès du socialisme, la culture au service de la population et non d’une poignée d’idéologues, la défense de nos traditions françaises et chrétiennes et enfin l’intégrité irréprochable de l’équipe municipale.
Vous parlez de traditions chrétiennes, cela est-il encore possible à l’heure de la laïcité ?
Oui bien sûr, sinon, je ne me serais pas engagé dans ce combat ! Il ne s’agit pas pour un maire de faire du prosélytisme, mais je pense qu’en France parler de racines, d’identité, ne peut se faire sans se référer au christianisme qui a façonné notre manière de vivre et qui est encore très présent dans nos consciences. La magnifique réaction du peuple français à l’incendie de Notre Dame en est la confirmation. Donc, en m’appuyant sur notre glorieux passé, je compte mettre en valeur nos racines chrétiennes, par exemple en célébrant le saint patron de notre commune, en rappelant les origines chrétiennes des fêtes de Noël et de Pâques, en proposant à nos habitants des instants culturels qui fassent revivre les grands heures de notre ville et mettent en valeur son patrimoine historique, etc.
Être maire, c’est une vocation ?
Un peu sans doute, car cela demande d’y mettre tout son cœur et pas mal de son temps. Mais je pense que la fonction de maire est essentielle à la reconstruction de la France. La crise des Gilets jaunes qui est une crise profonde d’identité de la France est l’illustration de la place centrale des maires dans la vie sociale et politique de notre société. J’espère en être !
Propos recueillis par Elus Catholiques dans la Cité, association qui a pour but d’encourager les catholiques à se présenter aux municipales de 2020 et de les assister dans leur démarche.
www.2020.eluscatholiques.fr contact@eluscatholiques.
https://www.lesalonbeige.fr/municipales-un-enjeu-dimportance/
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Perles de Culture n°210 avec Jean-Michel Vernochet et Christian Combaz
Anne Brassié reçoit le journaliste et essayiste Jean-Michel Vernochet pour ses livres « Les Gilets Jaunes… l’insurrection civique, les racines de la colère » aux Editions Apopsix et « L’imposture – La décomposition planifiée de l’État souverain » chez Kontre Kulture. Christian Combaz de « La France de Campagnol », ancien élève des Beaux-Arts, présente une autre facette de lui-même, celle d’un artiste.
https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n210-avec-jean-michel-vernochet-et-christian-combaz
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